Marie-Françoise Blondeau, une habitante de Pouilley-les-Vignes, vient de sortir un premier ouvrage, qui en appellera sans doute un deuxième, baptisé « les tulipes sauvages ». Cet écrit plonge le lecteur dans un combat familial pour faire renaître un domaine vinicole jurassien, entre Poligny et Buvilly, que les évènements dramatiques, survenus au sein de sa famille, ont conduit à la ruine. Cet attachement à sa terre natale est l’un des combats de toute une vie pour cette femme au caractère volontaire et responsable
Dépossédés de ce bien, Marie-Françoise et ses deux fils vont tout mettre en œuvre pour récupérer ce magnifique domaine de Félizot , d’une superficie de 112 hectares. Il aura fallu toute la détermination de cette famille, qui ira se battre et défendre ses droits devant la justice pour faire revivre cet endroit, que les grands-parents avaient fait fructifier au début du XXe siècle. Toutes ces années de combat et de lutte, face à ce que l’autrice nomme de « la méchanceté, de la jalousie, et de l’avarice » sont fidèlement racontés. Depuis 1984, la septuagénaire consigne, dans un carnet, l’évolution de cette saga familiale, dont l’épilogue n’est pas encore définitivement venu. L’auteure veut avant tout laisser une trace pour les générations futures. La grange Félizot devrait renaître de ses cendres très prochainement. Si tout se passe pour le mieux, les premières vignes seront plantées au printemps prochain.
En attendant le tome 1 est à retrouver dans plusieurs librairies bisontines : « Au passage 18 » et sur commande à la FNAC et Cultura. Marie Françoise Blondeau dédicacera son livre ce vendredi au Super U de Pouilley-les-Vignes et prochainement à la librairie de Poligny.
L'interview de la rédaction / Marie-Françoise Blondeau
On connaît le prochain visage du 17è Tour cycliste du Jura qui se déroulera le 15 avril prochain. Cette année, c’est la Communauté de Communes Arbois, Poligny Salins Cœur du Jura qui accueillera l’évènement. Un parcours de 168 kilomètres attend le peloton. Le grand départ aura lieu au centre-ville de Poligny. La première partie du parcours fera la part belle aux baroudeurs en passant notamment par Arbois et son vignoble, la partie finale s’annonce corsée avec les ascensions autour de Salins les Bains.
On connaît le tirage au sort des 7è et 8è tours de la Coupe de France. On notera l’entrée en lice des clubs de Ligue 2, et donc du FC Sochaux Montbéliard. Ainsi, les professionnels sochaliens iront défier Hombourg Haut, une formation de Régionale 2. A suivre également les matches : Jura Sud (N2) – Vaulx-en-Velin (N2), Haguenau (N2) – Jura Dolois (N3) et Vénus, une formation évoluant à Tahiti, face à l’ASM Belfort. Ces rencontres se disputeront le 30 octobre. Le 8è Tour est prévu le 20 novembre.
Jean-Pierre Duboz, cet habitant de Bracon, près de Salins-les-Bains, est toujours porté disparu. Cet homme de 48 ans a quitté le domicile familial, entre le 3 et le 5 octobre. Il est parti sans véhicule ou moyen de transport, sans téléphone portable, sans ses papiers d'identité et sans son traitement médical. Toutes les personnes pouvant apporter des éléments utiles à l’enquête sont invitées à se faire connaître auprès de la gendarmerie nationale au 03.84..73.11.54 ou de composer le 17.
L’ESBF s’est inclinée hier soir face à Brest sur le score de 24 à 27 dans le cadre de la 6è journée de championnat en D1 féminine. Le groupe de Sébastien Mizoule a perdu, mais il a su montrer un bien meilleur visage. La reprise du championnat est désormais prévue le 30 novembre prochain, avec un difficile déplacement à Metz. Avant de recevoir Bera Bera, en Coupe d’Europe, quelques jours plus tard.
Selon la préfecture du Doubs, « les tensions d’approvisionnement dans les stations-services du département du Doubs semblent moins fortes. « Moins d’une station sur deux est impactée par ces difficultés sur le territoire alors qu’elles représentaient 6 stations sur 10 il y a encore quelques jours » explique le communiqué préfectoral.
Deux jeunes hommes, âgés de 17 et 18 ans, sont soupçonnés d’être impliqués dans plusieurs affaires survenues à Pontarlier. Les deux individus ont été interpellés ce mercredi. Ils ont dérobé deux véhicules, en ont accidenté plusieurs et ont brûlé l’un d’eux pour cacher des preuves. Ils ont également commis un cambriolage, en fracturant la porte de garage d’une habitation.
C’est grâce à des signalements et des descriptions précises que les deux jeunes malfrats présumés ont pu être identifiés. L’un d’eux était également en possession des objets dérobés. Un couteau et du cannabis ont également été retrouvés. Le mineur a été présenté à un juge des enfants ce mercredi. Quant à l’aîné, il devra s’expliquer prochainement devant la justice.
Avec des températures proches de 25°, les Bisontins ont profité de cette belle journée de mercredi. Sport, farnienté, lecture,…. . Pas question de passer à côté de ces conditions estivales. Le grand public s’interroge néanmoins sur ces hautes valeurs en cette mi-octobre. Elles s’inscrivent dans la continuité de l’été dernier. Même s’ils apprécient ces moments qu’ils partagent en famille ou entre amis, certains espèrent que cette situation n’est qu’un cycle et surtout pas annonciatrice d’un futur encore plus compliqué. Réactions en ce mercredi après-midi à la Gare d’Eau et au centre-ville de Besançon.
Le micro-trottoir de la rédaction
Depuis deux ans, période à laquelle le MMA a été autorisé en France, le CPB, le Cercle Pugilistique Bisontin, propose des temps d’initiation. Dès l’âge de 8 ans, il est possible de découvrir cette pratique. L’intérêt est d’assurer des séances encadrées, prônant des valeurs et dispensant les techniques nécessaires avant de pouvoir combattre.
Une prise en charge nécessaire qui permet de lutter contre les pratiques dangereuses qui se déroulent dans les cages de certains immeubles de quartier. Ce mardi, nous sommes partis a la rencontre de Max Tudezca, président du CPB, pour parler de cette nouvelle discipline, qui a envahi les salles bisontines : au QG du club, rue bersot , à Planoise et aux torcols.
Le MMA grandit bien et augmente constamment le nombre de ses combattants. Certains, les plus aguerris, ont même tenté l’aventure en Suisse. Au CPB, le président envisage d’organiser un ‘’Gala ‘’ pour faire découvrir cette discipline au grand public, démocratiser toujours et encore cette pratique et faire évoluer les mentalités.
L'interview de la rédaction/ Max Tudezca,président du CBP
"La Lue est une amoureuse de la chanson de caractère. Elle n’est jamais autant épanouie que lorsqu’elle écrit compose et interprète des chansons, et elle en compte déjà plus d’une centaine à son répertoire. En solo, en duo avec Jean-Michel Trimaille, en trio dans le collectif Cancoyote Girls, ou en tant que chroniqueuse chanson, La Lue allie, depuis 10 ans, les sons et le sens pour faire vibrer les âmes"
Bonjour Ludivine. Tu as sorti ton 4ème album en janvier, « Embrasser le chahut ». Comment trouves-tu ton inspiration ?
« L’inspiration vient me chercher. Parfois, quelqu’un va me partager une histoire, ça va m’émouvoir, me toucher, et je vais en faire une chanson. Je me réveille aussi parfois au milieu de la nuit, ça m’est arrivé plusieurs fois pour cet album, avec une idée très précise en tête que je n’avais pas la veille, et je me mets à écrire et une chanson en sort. Mais aussi un événement qui me met en colère, et je décide d’en faire une chanson »
Il arrive que tu t’inspires des histoires que ton public te raconte ?
« Oui effectivement, comme on parle du quotidien, avec des mots assez simples, on essaye de raconter des histoires, et les gens se reconnaissent souvent dans celles-ci. Ils viennent nous voir à la fin du concert, et puis ils nous racontent un bout de leur vie. Ça inspire et nourrit pour d’autres chansons »
Où peut-on te retrouver prochainement ?
« Je suis accompagné sur scène par deux musiciens extraordinaires, Jean-Michel Trimaille et Benoit Chabot. On retravaille le set, et on prépare, en prévision d’un concert important qu’on donnera le 27 novembre au Festi’Diff à Labergement-Sainte-Marie. On sera en co-plateau avec Oldelaf. Donc actuellement, on travaille le set pour ce concert, afin d’être préparé au mieux ! »
Tu me parlais du partage de ton art avec les enfants. Peux-tu m’en dire plus ?
« J’essaye de transmettre ce que j’ai eu la chance d’apprendre. Je fais pas mal d’ateliers d’écriture de chansons avec les enfants. Justement, pour le Festi’Diff, on travaille avec des enfants du SESSAD, de la Fondation Pluriel, et on va écrire une chanson qu’on interprétera sur scène le 27 novembre »
Comment perçoivent-ils ces ateliers ?
« J’ai déjà travaillé avec beaucoup d’enfants, et il y a chez eux beaucoup d’entrain et d’enthousiasme. C’est vraiment génial. Quelquefois, quand on est adulte, on perd un peu cet enthousiasme, et j’espère que ces enfants le garderont le plus longtemps possible ! »
Que peut-on te souhaiter pour l’avenir ?
« De continuer d’avoir la joie de chanter, de continuer à éprouver du bonheur en écrivant des chansons, et en les partageant avec le public. Mais aussi de continuer à bien réaliser nos clips ! Notre plus récent, Le Temps des Oiseaux, est sorti en début d’année. Il a été réalisé par François Royet. C’est l’histoire d’un homme amoureux de la nature et des oiseaux. Je vous invite à le regarder dès maintenant ! »