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Jusqu’au 21 septembre, la bibliothèque municipale de Besançon organise l’exposition « Courbet, les lettres cachées – histoire d’un trésor retrouvé ». Cette exposition met en scène 36 lettres sélectionnées, révélant la relation complexe entre Courbet et Mathilde Carly, qui s’est déroulée entre novembre 1872 et avril 1873. Des visites guidées thématiques sont organisées les mercredis et samedis à 15h au Musée des Beaux-Arts et d’Archéologie. Elles permettent de mettre en relation cette correspondance et les œuvres du peintre.

La troupe les Egarés du lycée Edgar Faure de Morteau vous donne rendez-vous la semaine prochaine, les 2 et 4 avril, pour les deux représentations au grand public de leur nouvelle pièce : « énième étage ». 2025, marque le onzième spectacle joué par des lycéens de l’établissement scolaire du Haut-Doubs.  Encadré par Romain Jaillet, comédien professionnel, ces 19 garçons et filles préparent activement leur prestation scénique. Durant dix séances, ils  ont endossé le rôle qui leur a été prêté. Ils ont également dû appréhender la pièce, entièrement écrite pour l’occasion, et dont ils ont été la source d’inspiration de l’auteur.

L'interview de la rédaction : Jeanne, jeune comédienne mortuacienne

Un ascenseur

« Enième étage » se passe dans un ascenseur, où les personnages semblent avoir des secrets. La pièce mélange savamment humour, émotion et critique sociale. Jouée par des jeunes comédiens amateurs, dont certains affichent déjà une solide et belle expérience, elle s’adresse à un large public. « Elle alterne moments comiques et moments de sensibilité. Elle a également des choses à dire sur la société, qui peuvent concerner  jeunes et moins jeunes » expliquent Jeanne et Ysé.

L'interview de la rédaction : Ysé, jeune comédienne mortuacienne

Les représentations auront lieu au théâtre de Morteau les mercredi 2 et vendredi 4 avril à 20h30. Précisons également qu’au cours de l’entracte, certains jeunes comédiens, également musiciens, joueront trois morceaux en live. Une belle soirée en perspective. L’entrée est gratuite et ouverte à tous

 

Une bonne nouvelle pour tous les amoureux d’histoire locale et passionnés de patrimoine local. A la Cluse-et-Mijoux, près de Pontarlier, la Château de Joux rouvrira ses portes le 1er avril prochain, et jusqu’au 15 novembre. Jusqu’au 4 juillet, le site ne propose que des visites guidées. Ensuite, il accueillera le public de 9h30 à 12h et de 13h30 à 17h30. Pour prévenir de votre visite : 03.81.69.47.95 ou contact@chateaudejoux.com

Jusqu’au 30 mars, le FRAC Franche-Comté présente l’exposition « Etonner la catastrophe », emprunté aux Misérables de Victor Hugo,  à Besançon. Cette initiative réunit cinq jeunes artistes, issus de l’ISBA, l’Institut supérieur des Beaux-Arts de Besançon. Il s’agit de June Balthazard, Mégane Brauer, Mathilde Chavanne, Hippolyte Cupillard et Jordan Paillet. En proposant des films, des installations et des dessins, les artistes explorent différents thèmes, tels que l’environnement, la société et la politique, des sujets contemporains plus que jamais d’actualité et chers à Victor Hugo.

A l’occasion du défilé des conscrits des classes nées en 5, le Centre de Ressources Iconographiques pour le Cinéma des Amis du Musée de Pontarlier rend hommage notamment à la classe 65, celle de son actif et bénévole passionné Claude Bertin-Denis,  à travers une exposition d’affiches des films sortis en 1945.  Celle-ci se déroulera du 1er au 30 avril dans le Hall de l’Hôtel de Ville de Pontarlier.

En 1945, 131 films sortent sur les écrans français encore marqués par la guerre qui s’achève. Les Français vont notamment faire un triomphe au film de Charlie Chaplin, « Le Dictateur », réalisé en 1939. 1945 marque également le début du succès du cinéma familial et des comédie légères, comme « la cage aux rossignols », de Jean Dréville, avec Noël-Noël.

Hier, le Musée Courbet d’Ornans installait « La Truite », une des œuvres majeures de l’artiste franc-comtois, dans ses murs. Une Huile sur toile, prêtée par le musée d’Orsay, dans le cadre d’un partenariat avec le Conseil Départemental du Doubs. Ces actions culturelles  permettent de mettre à disposition, chaque année, 100 œuvres du musée parisien, dans les musées des collectivités territoriales. La présence de l’œuvre de Gustave Courbet s’inscrit dans le cadre de l’opération « 100 œuvres qui racontent le climat », déclinée en 2025.

benjamin coudral la truite

 

L'interview de la rédaction : Christine Bouquin, présidente du Conseil Départemental du Doubs

Comme le soulignent  Sylvain Amic,  directeur de musées d’Orsay et de l’Orangerie – Valéry Giscard d’Estaing,  et Christine Bouquin, présidente du Conseil Départemental du Doubs, l'œuvre, en plus de tout l’intérêt qu’elle porte artistiquement, permettra d’aborder des sujets contemporains, liés au climat, à la biodiversité et à la nature. Dans ce cadre-là, des rencontres, prévues dans et hors les murs du musée, sont prévues avec diverses populations, que sont les collégiens, les lycéens, les agriculteurs, les associations et les collectivités. Comme le rappelle Sylvain Amic : « le musée d’Orsay est une matrice du monde contemporain, où les préoccupations actuelles se retrouvent dans les collections ». Dans un contexte où les opinions se mêlent aux informations, où les faits deviennent des opinions comme les autres, la parole scientifique est d’une importance capitale. « Le musée est un lieu de référence et de confiance pour le public, offrant des informations vérifiées et produites par des experts académiques » explique le directeur.

L'interview  de la rédaction : Sylvain Amic, directeur de musées d’Orsay et de l’Orangerie – Valéry Giscard d’Estaing

L'interview  de la rédaction : Sylvain Amic, directeur de musées d’Orsay et de l’Orangerie – Valéry Giscard d’Estaing

Rendre accessible la culture

la truite officiel

                                                                                                                Benjamin Foudral, Christine Bouquin et Sylvain Amic

Une nouvelle fois encore, le musée Courbet d’Ornans joue un rôle essentiel dans la diffusion de la culture en milieu rural. Grâce à ses équipes et à la volonté des élus départementaux, il rend accessible la culture et donne accès à sa richesse au plus grand nombre. L’arrivée  de ce prêt exceptionnel se conjugue également à d’autres évènements et expositions. Deux temps forts viendront compléter cette offre culturelle durant toute la période estivale, du 28 juin au 19 octobre, avec Eva Jospin à l’atelier Courbet à Ornans et l’exposition « Paysages de marche, dans les traces de Rousseau, Courbet, Renoir, Cézanne et les autres ».

L'interview de la rédaction; Benjamin Foudral, conservateur du Musée Courbet d'Ornans

L'interview de la rédaction; Benjamin Foudral, conservateur du Musée Courbet d'Ornans

 

« La Truite » de Gustave Courbet est visible à Ornans, jusqu’au mois d’octobre, dans le parcours permanent du musée.

L’évènement arrive à grands pas. Les 27, 28 et 29 mars prochains, la Ville de Morteau organise la 29è fête du livre. La fête promet d’être belle cette année encore, avec des rencontres, avec des auteurs et des illustrateurs, et des animations pour petits et grands. Cette année, la fête est placée sous le signe de la magie et de la sorcellerie. Pour tout savoir sur son déroulement : www.morteau.org.

A compter du 8 mars,  et jusqu’au 23 mars, le Centre de Ressources Iconographiques pour le Cinéma des Amis du Musée de Pontarlier rend hommage à Alain Delon. Ainsi, il sera proposé une exposition rétrospective de l’ensemble de sa filmographie en affiches. Environ 90 documents seront exposés à la chapelle des Annonciades de Pontarlier. En parallèle, le vendredi 7 mars, à 21 heures, sera projeté, au cinéma Olympia, « la veuve couderc », un long métrage de Pierre Granier Deferre, avec deux monstres sacrés du cinéma français : Alain Delon et Simone Signoret.

L'interview de la rédaction : Fabrice Hérard, chargé de mission à l’association des Amis du Musée de Pontarlier

 

Trois tournages dans la région

L’icône du cinéma français est venue tourner à trois reprises dans la région. En 1964, il joue le rôle principal dans « l’Insoumis » à Oye-et-Pallet. En 1971, il forme un duo mythique avec Simone Signoret dans « la Veuve Couderc ,  où quelques scènes ont été tournées dans la région, à Gray et Dole. Puis en 1973, il incarne le Juge Pierre Larcher dans les Granges Brûlées, à Pontarlier, à nouveau avec Simone Signoret.

L'interview de la rédaction : Fabrice Hérard, chargé de mission à l’association des Amis du Musée de Pontarlier

L’indiscrétion des Granges Brûlées

Les Pontissaliens de l’époque s’en souviennent encore. En 1973, le bouche à oreille a très bien fonctionné un jour de tournage. Les locaux apprennent que Delon est au Café Français. Très rapidement,  une émeute se forme, composée notamment de la gent féminine, bien désireuse de décrocher un autographe. Comme le rappelle Fabrice Hérard, chargé de mission à l’association des Amis du Musée de Pontarlier, les habitants du Haut-Doubs, et notamment ceux de Pontarlier, «  se sont appropriés ce film. Ils trouvaient qu’ils reflétaient bien la vie à cette époque à la campagne ».

L’exposition sur la filmographie d’Alain Delon est à découvrir du 8 mars au 23 mars à la Chapelle des Annonciades à Pontarlier.

A l’occasion du 90e anniversaire du cinéaste américain Woody Allen, le Centre de Ressources Iconographiques pour le Cinéma  des Amis du Musée de Pontarlier a souhaité lui rendre hommage à travers une exposition d’affiches de ses films. Cette exposition se déroulera dans le Hall de l’Hôtel de Ville de Pontarlier du 3 au 29 mars. Elle plongera le visiteur dans la riche filmographie de l’acteur et réalisateur

Dans le contexte budgétaire que nous connaissons, la Ville de Besançon et le Conseil Municipal se pencheront sur le budget 2025 ce jeudi soir. Soit un exercice comptable de 223 millions d’euros, avec 50 millions d’euros d’investissement, soit 5 millions de plus qu’en 2024. Même si l’effort sera moindre pour les collectivités locales, l’état prévoit néanmoins une enveloppe d’un milliard d’euros en moins cette année . Anthony Poulin, l’élu en charge des finances évoque un budget « rassurant et déterminant », plaçant l’entraide, la justice sociale et les habitants au cœur de cette  politique tournée « vers l’avenir et la transition écologique ».

L'interview de la rédaction : Anthnoy Poulin

Cette hausse de l’investissement est rendue possible grâce à une baisse de 1,8 million d’euros des dépenses énergétiques. De nombreuses initiatives sont au programme : un nouveau dispositif de médiation dans le quartier Battant, avec un budget de 200.000 euros, l’installation de la maison des femmes, la poursuite du plan écoles et crèches, avec près de 10 millions d’euros investis cette année, le renforcement de la lutte contre les addictions, le soutien accru aux associations, la mobilité, la rénovation des quartiers, notamment les Clairs-Soleils et Orchamps- Palente, les aménagements de végétalisation de la ville, …. .

La culture

Cette année encore, la Ville de Besançon entend poursuivre sa politique culturelle. Elle porte la vision « d’une culture partagée et inclusive ». Son objectif est de rendre les équipements culturels accessibles à un public le plus large possible. Dans ce cadre-là, la collectivité veut trouver une approche et des projets nouveaux,  permettant de créer du lien entre les différentes cultures et générations. Ce sera d’ailleurs la mission du futur directeur des musées du centre, qui devrait être nommé à la rentrée prochaine. Rappelons que la ville s’est séparée de la précédente directrice, dont le management a été remis en cause, après une enquête en interne. Cette première partie de saison sera marquée par plusieurs rendez-vous. Parmi lesquels : une programmation spécifique à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes et la grande exposition « Chorégraphies » du 19 avril au 21 septembre, mêlant arts visuels et vivants. La danse y aura toute sa place.

L'interview de la rédaction : Aline Chassagne, responsable de la culture à la Ville de Besançon

 

 

La petite enfance

La Ville de Besançon poursuivra, en 2025, son plan école et crèche. La cité  compte quatorze crèches collectives et une crèche familiale. Dernièrement, ce sont les sites de Saint-Ferjeux et des Orchamps qui ont bénéficié d’une totale réhabilitation. La Cour des Comptes vient, à ce sujet,  de reconnaître les investissements consentis par la collectivité dans ce domaine. Les rénovations énergétiques, pour réduire la consommation d’énergie et s’adapter aux changements climatiques, les aménagements extérieurs et le soin apporté à l’ergonomie pour faciliter le travail des agents ont été salués. Dans ce même document, l’organisme juge le taux d’occupation des crèches insuffisant. Il demande à la collectivité de dépasser les 61% actuellement réalisés.

 L'interview de la rédaction, Claudine Caulet, en charge de l'éducation

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