Un individu, âgé de 20 ans, était toujours en garde à vie hier soir. Le 21 novembre dernier, vers 20h, il a été remis aux policiers bisontins après avoir commis un vol à l’étalage, dans la zone commerciale de Chateaufarine, au préjudice de l'enseigne H&M pour un montant de près de 80 euros.
Un automobiliste de 31ans devra s’expliquer en février prochain devant la justice. Le 21 novembre dernier, vers 3h, rue des Chaprais, à Besançon, lors d’un contrôle, il est apparu qu’il conduisait avec un taux de 1,3 gramme d’alcool dans le sang.
Lors de sa conduite, il a subitement fait un demi-tour sur un terre-plein au niveau de la place de la Liberté. C’es ce qui a mis en alerte les forces de l’ordre. Lors de sa garde à vue, il a reconnu les faits qui lui étaient reprochés. Il a indiqué avoir consommé de l’alcool à l’occasion d’une soirée festive entre amis.
Un homme de 44 ans, qui faisait l’objet d’un mandat d’amener, formulé par la Suisse, a été interpellé par les forces de l’ordre pontissaliennes le 21 novembre dernier sur son lieu de travail. Présenté au parquet ce vendredi matin, il a été placé en détention provisoire à Besançon. Il sera prochainement extradé vers la Suisse. Il est inquiété par la justice pour des faits de violences intrafamiliales.
Une automobiliste d’une cinquantaine d’années sera convoquée ultérieurement pour répondre de son délit par le commissariat de police de Pontarlier. Mercredi soir, vers 19h35, la quinquagénaire a perdu le contrôle de son véhicule, au niveau de la place d’Arçon. Elle n’a pas été blessée, mais sa voiture aurait pu s’encastrer dans la vitrine de l’Hôtel de Ville. Le test d’alcoolémie a révélé qu’elle conduisait avec un taux de 2,50 grammes d’alcool dans le sang.
Un homme de 20 ans est toujours en garde à vue ce mercredi matin à Besançon. Cet individu n’est pas un inconnu de la police et de la justice. Il présente neuf faits de vols de vélos électriques et trottinettes sur le centre-ville de Besançon sur le dernier mois. Les investigations ont permis d’établir qu’il faisait également l‘objet de deux inscriptions pour obligation de quitter le territoire, avec interdiction d’y revenir. Le jeune homme avait, dernièrement, été repéré sur une trottinette volée par les opérateurs vidéo, place Jouffroy d'Abbans.
En attendant son jugement le 29 novembre prochain, un jeune homme de 24 ans a été placé en détention provisoire. Le 18 novembre, rue Berlioz, à Besançon, il est apparu qu’il se trouvait, en compagnie d’une personne placée sous curatelle, à proximité du domicile de cette dernière. Alors que le mis en cause était sous le coup d’un contrôle judiciaire qui lui interdisait de paraître à Besançon et d’entrer en contact avec cet homme de 64 ans. C’est l’infirmière du sexagénaire qui a signalé les faits. Lors de son interpellation, le jeune contrevenant se trouvait sou l’emprise de produit stupéfiant. Lors de sa garde à vue, il a reconnu l’intégralité des faits.
Un jeune homme de 17 ans a été interpellé le 18 novembre dernier, à minuit, sur un point de vente de produits stupéfiants à Besançon, rue de Fribourg. Il était en possession de 5 grammes de résine de cannabis et de la somme de 650 euros en numéraire. Au cours de son audition, le jeune homme a reconnu sa dépendance au produit. Il a nié la revente, mais a admis « dépanner » parfois certains de ses amis gratuitement. Concernant la somme, elle représenterait des économies réalisées à l’approche des fêtes de fin d’année. A l’issue de sa présentation devant le juge des enfants, le mis en cause a été placé sous contrôle judiciaire. Il devra regagner son domicile à Mayotte. Il sera reconduit par son frère. Il a été laissé libre.
Un homme de 39 ans a été placé en garde à vue ce lundi à Besançon. Il est soupçonné d’avoir proféré des menaces de mort avec une arme, en l’occurrence un marteau, envers le personnel d’une agence d’assurance automobile, avenue île de France. Lors de son audition, l’intéressé a reconnu un différend commercial. Cependant, il nie avoir fait usage de son marteau. Le responsable de l’agence a reconnu que l’homme s’était montré virulent et agressif et qu’il avait exhibé son marteau, sans pour autant menacer directement des employés.
Suite au décès du militaire de 26 ans, il y a une semaine, à Besançon, après son agression sur le parking de la discothèque le QG, le parquet a requalifié les faits en violence volontaire ayant entraîné la mort sans intention de la donner, avec la circonstance aggravante que les faits ont été commis en réunion. Pour l’heure, deux individus, âgés de 19 ans, ont été placés en détention provisoire. Le troisième homme est toujours en fuite. Par ailleurs, le mandat d’arrêt va être étendu, afin que toutes les mesures soient prises si l’individu est interpellé à l’étranger. Ils encourent 20 ans de réclusion criminelle.
L'interview de la rédaction : Etienne Manteaux, Procureur de la République de Besançon
Après un long temps d’enquête, rendue fastidieuse par la vigilance de l’intéressé, un homme de 32 ans a été interpellé ce mardi à Besançon. Dans deux appartements, cet individu, qualifié de semi-grossiste, était en possession de près de 3 kilos d’héroïne, 1 kilo de cocaïne et de résine de cannabis, 320 grammes d’herbe de cannabis, 1,5 kilo de résine de cannabis, 600 grammes de produits de coupe d’héroïne et 1,5 kilo de produits de coupe de cocaïne. Il a également été retrouvé 616.000 euros en numéraire. Après 96 heures de garde à vue, le trentenaire sera déféré ce vendredi devant le magistrat instructeur. Pour l'heure, il nie tous les faits qui lui sont reprochés.
L'interview de la rédaction : Etienne Manteaux, procureur de la république de Besançon
Une enquête au long cours
Les investigations policières ont démarré le 26 avril 2023, lorsque des policiers de la brigade anticriminalité ont découvert dans une voiture, occupée par deux individus des quantités importantes de stupéfiants : plus de 4 kilos d’héroïne et près de 6 kilos de produits de coupe. Le savoir-faire des policiers, avec, notamment, Le recueil d’empreintes sur les paquets de stupéfiants ont permis aux investigations d’avancer, avec l’interpellation et les auditions de plusieurs individus. Ce qui permettra d’atteindre le semi-grossiste de 32 ans, qui a tout fait pour garder ses distances. Selon le Procureur de la République, « cet homme est peu connu de la justice ». Il a su compliquer l’enquête en changeant régulièrement de téléphone et en faisant preuve d'une grande méfiance. Il encourt 10 ans d’emprisonnement.
L'interview de la rédaction : Etienne Manteaux, procureur de la république de Besançon