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Dernier jour d’audience ce lundi 15 décembre au procès de Frédéric Péchier devant la cour d’assises du Doubs. L’ex-anesthésiste de 53 ans, poursuivi pour l’empoisonnement volontaire de 30 patients dont 12 mortellement, continue de clamer son innocence. Son avocat a plaidé l’acquittement, estimant que l’accusation repose sur des soupçons et des coïncidences, sans preuves matérielles. Après 65 jours de débats, la cour est désormais en délibéré, verdict attendu d’ici la fin de semaine

Un accident matériel, avec délit de fuite, s’est produit ce  vendredi soir boulevard Allende à Besançon. Le conducteur, âgé de 22 ans et sans permis, a été interpellé grâce aux caméras de surveillance. Placé en garde à vue, il a reconnu les faits. Ses deux passagers ont été conduits en cellule de dégrisement.  La garde à vue a pris fin le 13 décembre, avec poursuite préliminaire en attente des résultats des stupéfiants.

Deux mineurs de 14 ans ont été  interpellés samedi rue Maurice Duvernoy à Besançon. Ils tentaient de voler des véhicules, vitre brisée, outils en main. Placés en garde à vue, ils ont reconnu les faits. Ils comparaîtront devant le juge des enfants en janvier

Un accident de la circulation routière s’est produit ce dimanche matin, vers 7h, rue de la Grette, à Besançon. Une conductrice de 28 ans, positive à l’alcool, avec 1,3  d’alcool dans le sang, a été placée en garde à vue. Son véhicule a fini à la fourrière. La jeune femme comparaîtra en avril prochain devant la tribunal dans le cadre d’une ordonnance pénale.

Aux assises du Doubs, les deux avocates générales ont requis la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d’une période de sûreté de 22 ans, contre l’ex-anesthésiste bisontin Frédéric Péchier. Le médecin est jugé pour trente empoisonnements, dont douze mortels, commis entre 2008 et 2017 dans deux cliniques de Besançon. L’accusation demande également son interdiction définitive d’exercer la médecine. Prochaine étape : lundi, avec les plaidoiries de la défense. Le verdict est attendu le 19 décembre prochain.

 

Dans la nuit du 11 décembre, peu après minuit, rue Rubbens, à Besançon, un équipage de la BAC a contrôlé un automobiliste circulant à vive allure. La vérification au fichier des personnes recherchées a révélé qu’il faisait l’objet d’une décision judiciaire : un jugement le condamnant à quatre mois d’emprisonnement. L’homme de 35 ans a été interpellé et placé en rétention judiciaire, avant d’être laissé libre le même jour après notification de son jugement.

Le 10 décembre, vers 17 h, rue d’Anvers, à Besançon,  un équipage de la BAC a contrôlé un homme de 23 ans faisant l’objet d’une recherche judiciaire. Le tribunal judiciaire de Besançon avait révoqué ses mesures de travaux d’intérêt général non effectués. L’individu a été interpellé et placé en rétention judiciaire jusqu’au 11 décembre. Il devra s’expliquer devant le juge d’application des peines le 2 février prochain.

Les réquisitions attendues ce jour, vendredi 12 décembre, marquent une étape décisive dans le procès de Frédéric Péchier devant la cour d’assises du Doubs.  Ce vendredi, l’accusation demandera une peine d’emprisonnement. Péchier encourt la réclusion criminelle à perpétuité.  Lundi, la défense plaidera  l’acquittement, avant un verdict attendu au plus tard le 19 décembre.

Le 8 décembre, vers 19h15, un policier en garde au Centre Hospitalier Universitaire Jean Minjoz a été agressé par une femme de 23 ans, hospitalisée dans une chambre carcérale. Retranchée dans les toilettes, elle a jeté sur lui de l’urine contenue dans un récipient. Déjà impliquée dans une procédure pour dégradation de véhicule, la jeune femme a été déférée le 10 décembre. Elle est convoquée le 6 janvier pour une expertise médicale et le 23 janvier devant le tribunal judiciaire. Un contrôle judiciaire lui interdit désormais de fréquenter le garage Citycar.

Samedi soir, 6 décembre, vers 21h45, rue Battant à Besançon, un homme de 25 ans, fortement alcoolisé, a été retenu par des passants après avoir tenté d’agresser une jeune femme. L’un des témoins, mordu au torse, s’est rendu au CHU. Les policiers ont découvert un couteau dans sa sacoche. Interpellé, placé en garde à vue, il a ensuite proféré des outrages et s’est rebellé au commissariat, sans blesser de fonctionnaire. Entendu après dégrisement, il a reconnu détenir le couteau, présenté comme un décapsuleur. La fin de sa garde à vue a été actée le 8 décembre. Il s’expliquera le 18 juin prochain devant la justice.