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Un homme a été interpellé ce mardi matin à son domicile pontissalien. Il s’expliquera en octobre prochain devant la justice. Ce dernier a été identifié à deux reprises,  en avril dernier, en totale infraction sur sa moto. Il a été enregistré par les forces de l’ordre plusieurs infractions au code de la route, une mise en danger de la vie d’autrui et un délit de fuite.

La transhumance des chèvres est de retour à Besançon. Elle est programmée le dimanche 22 mai, à 9h30, au départ de la promenade Chamars, et jusqu’à la colline de Planoise. Soit un parcours de 8 kilomètres.

Après un hiver passé à l’abri, les 80 chèvres et 40 brebis du troupeau municipal ont quitté leur lieu d’hivernage pour rejoindre leurs premières pâtures dans les collines ou prairies de la ville. Une partie du troupeau participera à l’animation prévue à cette date.

Au cours de cette randonnée, les marcheurs découvriront les fonctionnements de l’éco pâturage, ainsi que plusieurs solutions de protection de la biodiversité. Ils participeront également à plusieurs activités en pleine nature tout au long de l’après-midi.

Tout le programme est à retrouver sur sortir.besancon.fr. En cas d’intempéries, la manifestation sera annulée.

Après presque un an de travaux, le Château de Joux ouvrira ses portes aux visiteurs lundi 16 mai. Les pont-levis, le pont dormant et la porte d’honneur ont été restaurés. Des nouveautés sont attendues pour l’été.

Plusieurs mois de travaux ont été nécessaires pour retrouver de manière authentique les pont-levis et la porte d’honneur du Fort de Joux. C’est une fierté pour Lauren Mansuy, directrice du château de Joux et des musées pontissaliens : « Les visiteurs pourront retrouver ces éléments complétement restaurés, qui retrouvent ainsi leur prestige d’antan ». Au-delà de ces grosses restaurations, les visites guidées auront toujours lieu, sept en semaine et neuf le week-end, et ce tous les jours.

CHATEAU DE JOUX 2

Le château fort dans les nouveautés

Dès le 7 juillet, seront manipulés les pont-levis tous les mercredis à 14h. De plus, il sera possible de déambuler dans le château en suivant un parcours historique dessiné par un dessinateur de BD,  qui racontera les grands épisodes du château. Des animations familles seront prévues chaque matin à 10h30 avec une chasse au trésor et des spectacles en soirée, notamment avec le Festival des Nuits de Joux. Pendant que les visites guidées auront lieu, une nouveauté attend les visiteurs. En effet, pour les faire patienter, ils auront la possibilité de découvrir une exposition de dix panneaux sur l’histoire du château et avec une grande maquette de ce dernier. Le mardi et le jeudi se tiendront des visites nature théâtralisées.

CHATEAU DE JOUX

Des travaux jusqu’en 2030

Le château n’en a pas encore fini avec les chantiers. En effet des travaux sont prévus jusqu’en 2030. Ils concerneront toute une partie du monument pour donner naissance à différents musées. Pour financer ces investissements, le château bénéficie du soutien de la Mission Patrimoine portée par Stéphane Bern. La saison devrait être bonne  : « Les groupes et les scolaires ont déjà réservé. Cela s’annonce très bien », se réjouit la directrice qui rappelle qu’en moyenne la fréquentation s’élève à 45 000 visiteurs par an.

L'interview de la rédaction / Lauren Mansuy, directrice du château de Joux et des musées pontissaliens 

Alan dit AL est un jeune rappeur pontissalien de 20 ans, qui rêve de vivre de sa passion, le rap. Il sort son premier single “Tout va bien” en collaboration avec OB production.  

La musique dans la peau

Depuis son plus jeune âge, Alan passionné par la musique, joue du saxophone et de la guitare et utilise cet art pour exprimer ses émotions.  Il est étudiant en BTS moteur et combustion interne, quand il décide d’arrêter ses études pour se consacrer entièrement à la musique.  Il commence par faire des petits "freestyle" sur Instagram  puis décide de se rendre en studio pour enregistrer son premier single.

“Tout va bien”

Fruit d’un travail d’une année, ce titre décline un texte sombre qui exprime un sentiment de détresse partagé par le rappeur.  AL raconte  qu’il essaie d’être le plus sincère possible dans ses textes, pour partager au mieux ce qu’il  à ses auditeurs.   Ce single est son premier projet, il est sorti il y a 3 semaines sur la plateforme de streaming Spotify. Il est accompagné d’un clip produit par Hastro Production à retrouver sur Youtube.


Nouveaux projets

Pour l’instant, AL n’a pas pour projet de donner naissance à un album mais, plutôt,  de sortir plusieurs singles pour faire connaître son travail.  Son prochain projet nommé “Vainqueur”, sera une suite au premier single. Il explique que cette nouvelle mélodie montre que l’on peut se relever face aux difficultés de la vie. C’est un message d’espoir contrairement à sa première création.

L'interview de la rédaction

 

Suite à l’amélioration du contexte sanitaire, le CHI de Haute-Comté, l’hôpital de Pontarlier,  autorise à nouveau les visiteurs. Néanmoins, une organisation spécifique est mise en place en fonction des services. Ces allègements ne doivent pas faire oublier que le port du masque est obligatoire et que les gestes barrière doivent être respectées. Concernant les consultations et hospitalisations programmées, un test PCR négatif de moins de 48h reste obligatoire et le port du masque est obligatoire également.

Bon à savoir :

Médecines, Chirurgies : Visites autorisées à raison de 2 visiteurs maximum par patient par jour avec contrôle du pass sanitaire et port du masque obligatoire de 13h30 à 20h.

Grandvallier : Visites autorisées avec contrôle du pass sanitaire et port du masque obligatoire de 14h à 18h.

Maternité : Visites autorisées pour le papa ou co-parent une seule fois par jour par maman en isolement dans la chambre (toute sortie est définitive) avec contrôle du pass sanitaire et avec port du masque obligatoire. Une seule visite autorisée de la fratrie pendant la durée du séjour de la maman en isolement dans la chambre.

Pédiatrie & Néonatologie : Uniquement les parents avec contrôle du pass sanitaire et port du masque obligatoire et contrôle du pass sanitaire.

Chambre funéraire : Visites autorisées uniquement auprès des défunts non-covid avec port du masque obligatoire

Le boulanger bisontin Cédric Girod (35 ans) représentera la région Bourgogne Franche-Comté lors de la finale du 8è concours national de la meilleure baguette de tradition française qui se déroulera du 16 au 18 mai sur le parvis de la Cathédrale Notre-Dame de Paris. Cet évènement est à l’initiative de la Confédération nationale de la boulangerie-pâtisserie française.  L’artisan bisontin, qui est sorti vainqueur de l’épreuve régionale, aura six heures pour fabriquer, sur place et devant le public, 40 baguettes de tradition française répondant aux exigences du décret de septembre 1993. Aspect, croûte, arôme, mie, mâche, goût… Rien n’échappera aux experts.

C’est avec un état d’esprit de sportif qu’il se rend à Paris. Ce professionnel consciencieux et passionné ne veut pas manquer l’épreuve qui se présente à lui. Chaque jour, il se prépare sans relâche. Il multiplie les travaux dans son laboratoire, utilise du matériel et des farines différentes et envisage toutes les situations possibles. Il est vrai que le 16 mai prochain, les conditions seront particulières et pourraient avoir un impact sur la fabrication.

Soutiens et encouragements

 Cédric Girod ne veut pas décevoir sa clientèle. Il veut continuer à produire des baguettes et autres produits tel que lui aimerait les consommer. Le boulanger se définit comme un véritable artisan, soucieux du travail bien fait. Chaque jour, ses clients, qui sont de plus en plus nombreux à franchir les portes de son magasin, l’encouragent et lui rappellent le plaisir qu’ils ont à consommer des produits issus de la tradition et du savoir-faire français. Une reconnaissance de son travail qui lui est si cher.

Ce lundi soir, au palais des sports Ghani Yalouz, la délégation régionale académique à la jeunesse et aux sports organisait une soirée de prévention et de lutte contre les violences dans le sport. Cette initiative avait pour but premier d’informer et de sensibiliser les éducateurs sportifs et dirigeants des clubs  du Doubs sur les violences sexuelles, morales et physiques, le racisme et le bizutage au sein des pratiques.  Les intervenants, dont Patrice Durand, inspecteur d’académie, directeur des services de l’éducation nationale du Doubs, ont voulu porter cette réflexion avec les premiers concernés et les doter d’outils leur permettant de repérer d’éventuelles mauvaises conduites et connaître les démarches à mener et les institutions à contacter en cas de besoin

Tout sauf des éducateurs

Si dans leur très grande majorité, et heureusement, les éducateurs bénévoles et professionnels sont respectueux des jeunes qu’ils encadrent et conscients de l’importance de leur rôle et de leurs missions, certains agissent étrangement, oubliant leur responsabilité ou se montrant de véritables prédateurs. Sachant cibler leurs proies, notamment les jeunes les plus vulnérables, ils utilisent toutes sortes de brimades, sévices et violences pour asseoir leur autorité, semer la terreur, obtenir de meilleurs résultats ou attirer des mineurs dans les mailles de leur filet

Des langues qui se délient

Depuis les témoignages de quelques sportifs de renom, évoquant notamment les viols et agressions sexuelles dont ils ont été victimes, les autorités n’ont pas tardé à réagir. Chaque année, la justice condamne et éloigne des terrains de sport des individus dangereux, menaçants et agressifs. La lutte contre les violences exercées dans le milieu du sport est devenue une priorité des pouvoirs publics et des fédérations sportives. Des contrôles inopinés ou suite à des signalements sont effectués par les organismes et administrations en charge de cette mission. « Les valeurs du sport ne doivent pas être bafouées. Il est tellement déterminant dans l’épanouissement et le développement physique, intellectuel et social et moral d’un jeune que les agresseurs doivent être sortis et condamnés » rappelle Madame Saint-Jean, conseillère d’animation sportive, en charge de la réglementation à la délégation régionale académique à la jeunesse.

Le reportage / Patrice Durand et Florence Saint Jean

Comme l’an dernier, dans le cadre de son contrat de ville, Grand Besançon Métropole a obtenu une dotation supplémentaire de 1,8 million d’euros pour le développement de ses projets liés à la politique de la ville. Cet argent a pour but de soutenir les actions prévues dans les quartiers inscrits dans ce champ d’intervention. Définies avec la préfecture du Doubs, quatre actions ont été retenues dans les domaines de l’éducation, l’accès au sport, aux loisirs et à la santé. Plus précisément, cela concerne :

  • la rénovation énergétique des écoles Kennedy et Kergomard, dans le quartier de Montrapon
  • la construction du nouvel équipement sportif du gymnase Diderot dans le quartier Planoise
  • le soutien à des actions de santé publique et de lutte contre les addictions
  • le renforcement des animations pendant les vacances scolaires

Acquisition d’une cuisine mobile

D’un montant de 18.000 euros, Grand Besançon Métropole va faire l’acquisition d’une cuisine mobile. Ce nouvel équipement se rendra dans les quatre prioritaires de Besançon. L’objectif sera de créer des moments de partage de convivialité, mais aussi  de sensibiliser à l’hygiène alimentaire.

Après un temps de réflexion et de réadaptation nécessaire, répondant aux nouvelles obligations réglementaires et aux choix  politiques que la collectivité veut impulser ( équilibre entre les territoires, foncier disponible, possibilité de densification, …), Grand Besançon Métropole vient de définir précisément son schéma des activités économiques.

Il en ressort que 162 hectares sont désormais potentiellement aménageables d’ici 2050. Les élus l’affirment, sur ce territoire, « beaucoup d’entreprises souhaitent s’étendre ». Concrètement, ce nouveau schéma se décline de la façon suivante :

71 hectares sont réservés à l’aménagement à court et moyen terme :

  • Champs chevaux à Saint-Vit (19,5 ha) – sous réserve du résultat des études archéologiques.
  • Champs Pusy à Pelousey (3,7 ha)
  • Extension de Cheneau blond à Saône (8 ha) – sous réserve d’une évolution de la programmation vers une dominante mixte (industrie-artisanat-commerce de gros – logistique) et au vu des études hydrogéologiques.
  • Gennes (0,6 ha)
  • Marchaux-Chaudefontaine (34 ha bruts). Début de la commercialisation possible à la fin de l’année 2026.
  • Portes de Vesoul à Besançon (5ha)

19 hectares sont en attente du résultat des études pré-opérationnelles :

  • Besançon -Franois (10 ha)
  • Les Andiers – Thise (4 ha)
  • Pouilley-Pelousey (4,7 ha)

Par ailleurs, 16,2 hectares concernent des projets émanant du privé :

  • La Lye (projet Ohzone) à Miserey-Salines (3ha)
  • Lotissement Batipro à Thise (2,1 ha)
  • Site de l’Escale (ex-Jeantet à Besançon (2,5 ha)
  • Zone « Bonnefoy » à Franois (4,3 ha)
  • Zone A fan à Pirey (4,3 ha

 

L'interview de la rédaction / Anne Vignot ( p(ésidente de Grand Besançon Métropole)

 

Ce lundi 9 mai, deux jeunes gens, âgés de 18 et 25 ans, ont été interpellés après avoir tenté de jeter des colis contenant des denrées périssables par-dessus  l’enceinte de la maison d’arrêt de Besançon. L’un d’eux a tenté de prendre la fuite, mais il a été rattrapé par les forces de l’ordre.