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Demain, vendredi 28 mars, plus de 110 acteurs majeurs de la vie étudiante en Bourgogne-Franche-Comté se réuniront à Dole pour une journée d’échanges, de coopérations et de perspectives autour d’un objectif commun : améliorer concrètement le quotidien et les conditions d’études des 83 000 étudiants de la région.

Porté par la Région académique Bourgogne-Franche-Comté, le Crous Bourgogne-Franche-Comté, la Région Bourgogne-Franche-Comté et l’ensemble des acteurs de la vie étudiante, cet évènement s’articulera autour de différents temps forts. Plusieurs thématiques seront abordés : logement, santé, bien-être, engagement, vie de campus, réussite universitaire… . Il permettra également de faire un retour sur des expériences diverses et de mettre en lumière des projets innovants.

Ce vendredi, de 12h à 14h, place du 8 septembre, au centre-ville, la ville de Besançon et la Direction Départementale des Territoires du Doubs s’associent pour proposer un temps de sensibilisation pour bien circuler en vélo et trottinette. Lors de cette initiative, les règles de circulation à vélo et trottinette seront rappelées à travers des jeux et des animations.  Les chiffres pour l’année 2024 montrent une augmentation significative de l’accidentalité.

A l’échelon départemental, depuis 2020, le nombre d’accident corporel incluant au moins  un engin de déplacement personnel motorisés a été multiplié par 10. Il s’agit également dans les 3/4 des accidents d’une collision entre ce moyen de locomotion et une voiture. Le constat vaut également pour la pratique du vélo avec plus de 47 accidents enregistrés sur 2024.

C’est confirmé depuis quelques jours. La mise à jour du Nutri-Score a été validée par le gouvernement. Catherine Vautrin, Annie Genevard, Éric Lombard, Yannick Neuder et Véronique Louwagie ont signé collégialement l’arrêté, tout en demandant « une démarche d’amélioration continue du dispositif ». Une attention particulière sera notamment prêtée pour que les nouvelles informations  ne « nuisent pas aux produits issus de la richesse de nos terroirs et symboles de notre patrimoine culinaire ». 

Il est regretté que ces produits soient « notés défavorablement par l’algorithme du Nutri-Score, calculé à partir d’une quantité de 100 grammes ou 100 ml de produits », alors que selon les ministres, « ils offrent des bienfaits nutritionnels reconnus, lorsqu’ils sont consommés selon les repères nutritionnels en vigueur. Plus d’infos sur : https://www.mangerbouger.fr/

Dans un communiqué de presse, la France Insoumise du Doubs appelle la population à se mobiliser à ses côtés en signant la pétition mise en ligne « pour soutenir les personnels du médico-social et les enfants qu’ils accompagnent ».  Comme ces derniers, ils alertent sur « la situation de la protection de l’enfance ». Il est pointé les coupes budgétaires programmés et le manque de moyens. « Une société qui abandonne ses enfants est une société en perdition » déclarent les Insoumis, qui soutiennent également les mobilisations du 24 mars et 1er avril à venir. Les personnes qui le souhaitent peuvent également signer la pétition en ligne.

Le musée des Beaux-Arts et d’Archéologie de Besançon est partenaire de la journée internationale des droits des femmes. A cette occasion, le 8 mars prochain, la Maison des Femmes pour l’Egalité, en lien avec un collectif bisontin d’associations et les institutions partenaires, propose un riche programme d’évènements. Conférence, salon, concert, sport, … seront proposés. A travers ces initiatives, les organisateurs veulent sensibiliser sur l’égalité entre les sexes. Pour de plus amples informations : https://sortir.besancon.fr/tag/journee-internationale-des-droits-des-femmes/

Dans le cadre de la journée du 8 mars, date de mobilisation pour les droits des femmes et des minorités de genre, une manifestation se tiendra, à partir de 13 heures à Besançon. Le rendez-vous est fixé sur l’esplanade des droits de l’homme, au centre-ville de la capitale comtoise.

Ce rassemblement est à l’initiative de l’intersyndicale femmes du Doubs, créée en novembre 2024 à Besançon, et qui a pour objectifs de proposer des formations et de combattre les inégalités femmes-hommes. A travers cette mobilisation, le collectif veut sensibiliser aux inégalités, mais également s’opposer « aux menaces qui pèsent sur les droits et les libertés des femmes et des minorités de genre ».

Les 14 et 15 mars prochains, Amnesty International organisera, à Besançon, le festival « Plumes Rebelles ». Un évènement qui se déroulera en deux temps. Une première partie se tient au sein des établissements scolaires de la Ville. Elle invite collégiens, lycéens et étudiants à s’interroger sur des sujets de société. Pour cette nouvelle édition, quatre thématiques ont été retenues : la 3è République, BD et droits humains, droits de la nature et l’Intelligence Artificielle. Dans ce cadre-là, la jeunesse bisontine est invitée à s’exprimer sur l’un de ces sujets, sous la forme d’un concours de nouvelles ou d’illustrations.

L'interview de la rédaction : Alexandra Duvergne, membre de l'ONG à Besançon 

Ouvert au grand public

L'interview de la rédaction : Alexandra Duvergne, membre de l'ONG à Besançon 

Le grand public est également invité à venir participer à cet évènement. Le vendredi 14 mars, les nouvelles primées seront publiées et une lecture publique sera proposée, lors de la remise des prix, prévue à partir de 13h30, à l’amphi Donzelot, à la faculté des lettres de Besançon. En fin de journée, à 18h, le publique pourra assister à la conférence de Jean-Noël Jeanneney, sur le thème de la 3è république, à la salle Proudhon, au Kursaal. Le lendemain, la manifestation se poursuivra toujours au Kursaal, avec la déclinaison de l’ensemble des thèmes précédemment évoqués, et la projection du film « Bigger Than Us », à 20h. Au programme : des temps de rencontres et des tables rondes. Pour tout savoir sur cet évènement : https://plumesrebelles.fr/

L’entrée est libre est gratuite. A l’exception de la séance de cinéma.

A la demande de Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, les territoires ont décliné un plan d’action de restauration de la sécurité du quotidien. Cette réflexion vise à restaurer la sécurité du quotidien. Elle s’inscrit dans le cadre d’une circulaire ministérielle, dont la rédaction a été confiée aux préfets.

L'interview de la rédaction : Rémi Bastille, préfet du Doubs

Dans le département du Doubs, sept axes prioritaires ont été définies. Cela concerne : le trafic de stupéfiants, les violences intrafamiliales, les cambriolages, la maîtrise des flux, les atteintes à l’environnement et les rodéos urbains. La lutte contre le trafic de stupéfiants fait  partie des priorités. Les forces de l’ordre doivent s’adapter aux nouvelles stratégies mises en œuvre par les délinquants, qui innovent sans cesse pour contourner les obstacles. L’appréhension  des nouvelles technologies, via les réseaux cryptés, et le renforcement de la présence policière sur le territoire, en multipliant les contrôles routiers, permettent de mieux répondre à ces enjeux. L’A36 et les nationales 57 et 83 sont des points de passage favorisant les trafics en tout genre. Les actions ciblées en direction des consommateurs, les enquêtes patrimoniales et la lutte contre la fraude économique et financière sont également des actions qui ont fait leur preuve. Pour le seul département du Doubs, en zone police : 745 kilos de cannabis,  31 kilos d’héroïne, 10 kilos de cocaïne, près de 1.500 cachets d’ecstasy ont été saisis.

L'interview de la rédaction : Laurent Perraut, directeur interdépartemental de la police nationale

Les violences intrafamiliales

Les violences sexuelles et intrafamiliales sont également au cœur des préoccupations des autorités. Concernant le département du Doubs, en 2024, les violences sexuelles ont augmenté de 38%. La mobilisation reste plus que jamais d’actualité. Elle se traduit par des actions contre les auteurs de violences, la protection des victimes, la formation des policiers et des gendarmes et des actions de sensibilisation et prévention, notamment dans les établissements scolaires. La célérité est une priorité dans ce genre d’affaires. Cela se traduit notamment par l’interpellation immédiate de l’auteur présumé « pour protéger les victimes et réaliser les auditions nécessaires ». Police et gendarmerie sont également dotées de salles dédiées à l’audition pour une meilleure prise en charge et écoute des enfants mineurs.

Les violences contre les élus

L'interview de la rédaction : Colonel Lionel James, chef du Groupement de Gendarmerie du Doubs

Parmi les sept axes d’action définis, la lutte contre les violences à l’encontre des élus est abordée. En 2024, 45 faits ont été relevés par les forces de l’ordre dans ce domaine dans le Doubs. La gendarmerie, via ses brigades locales, maintient un contact étroit avec les maires des différentes communes du territoire. Une enquête judiciaire est le plus souvent ouverte pour mener les investigations nécessaires et mettre un terme à la violence exercée, qu’il s’agisse de menaces ou d’actes physiques de différentes ampleurs.

Ce jeudi, s’est tenue, en préfecture, à Besançon, une nouvelle séance plénière de la commission départementale de surendettement. Un temps qui a également permis de dresser le bilan annuel de cette instance.  En 2024, la hausse du chômage et l’inflation ont entraîné une augmentation des dépôts de dossiers du surendettement. Il s’agit de la première augmentation notable depuis le Covid.19, avec une hausse de 12,3% par rapport à 2023. Soit 1.125 dossiers déposés.  Dans le Doubs,  en 2024, l’endettement contracté par l’ensemble des ménages surendettés s’établit à 42,3 millions d’euros. L’endettement médian, hors immobilier, de ces derniers est estimé à 19.032 euros ( contre 17.289 euros en Bourgogne Franche-Comté et 17.447 euros en France métropolitaine).

L'interview de la rédaction : Laurent Quinet, directeur départemental de la Banque de France

 

Quels profils ?

La majorité des personnes surendettées sont des femmes, représentant 51,4% dans le Doubs. 60% des dossiers concernent des personnes divorcées, séparées, célibataires ou veuves. 75% des ménages en difficultés sont composés de personnes seules, avec sou sans enfant. Enfin, 89,5% des ménages surendettés sont locataires ou hébergés gratuitement.

 

Effacement de dettes

Dans le département du Doubs, l’effacement de la dette représente un total de 11 millions d’euros d’encours sur 42,3 millions d’euros. Soit 22,2% du montant total des dettes des dossiers clos. Le montant effacé moyen, par dossier, est de 20.943 euros dans le Doubs, contre 18.353 euros en Bourgogne Franche-Comté et 19.728 euros en France métropolitaine. Précisons que les crédits à la consommation représentent une part marginale des cas de surendettement.

L'interview de la rédaction : Laurent Quinet, directeur départemental de la Banque de France

Le fonctionnement de la Commission

La commission départementale se réunit environ toutes les trois semaines. Les dossiers sont idéalement accompagnés par des travailleurs sociaux. Elle se compose de sept membres. Elle est présidée par le préfet ou son représentant. Le directeur départemental de la Banque de France, un représentant des finances publiques, des travailleurs sociaux, … siègent également à leurs côtés. Sa raison est également d’assurer le meilleur accompagnement possible afin que des solutions pérennes soient trouvées. En  2024, les chiffres sont plutôt encourageants, avec un taux, qui est passé de 63% en 2023 à 70% en 2024, concernant l’établissement de solutions pérennes.

Quid de 2025 ?

Difficile de répondre précisément à cette question. Néanmoins, la fragilité de certains secteurs économiques, tels que l’automobile et l’horlogerie pourraient aggraver la situation dans le département du Doubs. Les autorités sont vigilantes et analysent avec intérêt  les informations et différents signes à leur disposition.

 

Dans son édition du jour, nos confrères du Journal « Voix du Jura » font savoir que 8 millions de drogue en transit ont été interceptés sur les autoroutes dans le département lors de trois opérations distinctes, menées dans la nuit du 29 au 30 janvier et les 2 février et 4 février derniers. Ce qui représente plus de 800 kilos de cannabis saisis. Selon l’hebdomadaire jurassien, « ce volume, impressionnant, représente un cinquième de la moyenne des saisies de produits stupéfiants réalisées chaque année par la brigade des douanes de Lons-le-Saunier ».

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