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Ce mercredi après-midi, un individu, qui était en possession d’une sacoche qui contenait 67 grammes de cannabis et près de 2 grammes de cocaïne a été interpellé. Il se trouvait à proximité de la maison d’arrêt de Besançon. Ce dernier a reconnu qu’il s’apprêtait à lancer le paquet par-dessus l’enceinte de la maison d’arrêt. Sa garde à vue est toujours en cours ce  soir.

Les sapeurs-pompiers du Jura sont intervenus ce mercredi après-midi, vers 16h, au Chateley pour un accident de bûcheronnage. La victime, grièvement blessée, a été transportée par hélicoptère sur un centre hospitalier.

En raison du contexte sanitaire actuel, l’hôpital de Pontarlier a décidé de réactiver son plan blanc. Dans ce contexte,  les visites auprès des patients sont suspendues jusqu’au 30 avril inclus à compter de ce  jeudi 7 avril. Les visites par la famille seront possibles pour les fins de vie, elles seront limitées à la maternité, en pédiatrie et néonatologie au papa ou co-parent. Les visites sont également suspendues à la chambre mortuaire du site des rives du Doubs.

Pour la première depuis le lancement du projet 2018, La Rodia et la ville de Besançon ont accueilli, ce mercredi 6 avril, la finale de l’Ecole du flow. Une possibilité pour les lycéens de France et d’Allemagne de laisser parler leur créativité.

flow rodia 3

Un millier de jeunes artistes en compétition

Devant un public déjà acquis à leur cause, le duo de rappeurs franco-allemand Felix et Till de Zweierpasch se préparent à faire le show dans la grande salle de La Rodia. Grands animateurs de la journée, les deux artistes lancent les hostilités avant que les six groupes encore en course prennent le relais. Car, parmi les 1000 artistes lycéens concourant cette année, seuls quelques-uns d’entre eux peuvent toujours croire au titre suprême. A l’honneur, les villes de Champagnole, Faverney, Chazay d’Azergues, Karlsruhe, Lahr en Forêt Noire, Montbéliard et Ludwigsburg, toutes représentées par les finalistes. Ces derniers ont interprété  des chansons hip-hop sur le thème de la Liberté, puis ont été départagés par un jury. En jeu, un titre en collaboration avec Till et Félix et la fierté d’avoir partagé un moment unique.

Une union culturelle réconfortante

flow rodia benjamin

 

Organisée par le Centre Culturel Français Freiburg et les éditions Klett et Zweierpasch, l’Ecole du flow permet aux deux pays limitrophes de s’unir grâce à la musique. Et cette année plus que jamais puisque l’événement était placé sous le signe de la guerre qui se déroule actuellement en Ukraine. Alors, dans ce contexte géopolitique terrifiant, la cohésion de tous les jeunes autour d’un bien culturel aussi précieux est un motif d’espoir pour l’avenir. Les participants se sont rassemblés d’ailleurs pour effectuer une minute de silence puis prendre une photo commune afin d’hisser haut un message anti-guerre à la Russie. Leur manière à eux de s’investir dans une cause des plus importantes.

Ce mercredi, les joueuses de l’ESBF reçoivent Chambray à 7 journées de la fin du championnat. Même si les Engagées n’ont pas réussi à renverser Bietigheim cette semaine et voit son parcours européen s’achever, les bisontines restent sur 4 victoires de suite en Ligue Butagaz Énergie. La réception de Chambray est l’occasion rêvée pour se maintenir encore plus dans le top 5, et prendre de la distance sur les concurrents directs.

« Le match de Chambray n’est pas plus important que le match de Fleury dimanche prochain. La seule différence, c’est que Chambray est un adversaire direct dans la course à l’Europe. Il est donc nécessaire de remporter ce match, afin de les distancer Â» Sébastien Mizoule, entraîneur de l’ESBF

L’ESBF est actuellement 5ème ex-aequo avec les Neptunes de Nantes. Il faudra cependant rester précautionneux lors de ce match, afin de pouvoir répondre au rythme intense qui sera imposé aux bisontines. En effet, comme Sébastien Mizoule le rappelle, son groupe encore engagé sur deux tableaux, lance avec cette réception une série de quatre matchs en 11 jours. Les Engagées se rendront à Fleury dimanche, avant de les affronter 3 jours plus tard, cette fois-ci pour le compte de la demi-finale de Coupe de France. Puis, de poursuivre le championnat avec la réception de Dijon, samedi 16 avril.  

Publié dans Actualités, Sport

L’élection présidentielle se rapproche. Le premier tour aura lieu ce dimanche 10 avril, puis le second tour le dimanche 24 avril. Plein Air a rencontré des jeunes engagés politiquement au cours de ces derniers jours. Ils se sont exprimés sur leurs attentes, notamment concernant la jeunesse. Aujourd’hui nous nous sommes entretenus avec Kevin Landry, 21 ans, référent des jeunes avec Macron en Haute-Saône, étudiant à la faculté de Besançon, engagé à La République En Marche.

 

Depuis combien de temps êtes-vous engagé politiquement, et pourquoi avoir choisi « La République En Marche Â» ?  

Alors je suis politiquement engagé depuis les élections municipales de 2020. Je m’intéresse à la politique depuis que j’ai 14 ans. Je me suis engagé à LREM car j’ai soutenu Emmanuel Macron en 2017, même si je n’avais pas le droit de vote et que je n’étais encore que lycéen. Sa démarche m’intéressait, cette volonté de passer outre les clivages, et de faire de la politique autrement. J’ai adhéré au parti suite aux municipales.

 

Aujourd’hui, en quoi un jeune peut-il se retrouver dans la politique d’Emmanuel Macron ?

Je dirais qu’on a un avantage sur les autres candidats à l'élection présidentielle, c'est qu'on a un président sortant, qui a un bilan. D'autant plus qu'il est positif, et particulièrement pour les jeunes. Au sein des Jeunes avec Macron, on a lancé en septembre dernier une campagne d'affichage « Macron président des jeunes Â». Notre volonté par cette campagne d'affichage, c'était de rappeler le bilan extrêmement favorable du président à l'égard des jeunes. Alors je pourrais citer les repas Crous à 1€, qui au départ étaient ouverts à tous les étudiants, puis aux étudiants boursiers. Vous voyez, on est également dans une résidence universitaire, et juste à côté, il y a des protections hygiéniques gratuites pour les étudiants. C'est un exemple concret de la politique du gouvernement. Tout comme la contraception gratuite pour les femmes de 18 à 25 ans. Je crois que jamais un président de la République n'a eu autant d'impact concret dans la vie des jeunes, qu'ils soient étudiants ou non. On pourrait aussi parler de l'apprentissage. En 2017 on avait un peu plus de 200.000 contrats d'apprentissage qui étaient signés en une année. En 2021 on est à plus de 700.000. Et sur le prochain quinquennat, le candidat Emmanuel Macron vise les 1.000.000. Donc on a vraiment une dynamique qui touche tous les jeunes, que ce soient les étudiants, que ce soient les jeunes sans formation, sans emploi, avec la plateforme « Un jeune une solution Â». C’est quand même 9 milliards pour la jeunesse. Mais également les jeunes qui veulent aller vers l'emploi avec l'apprentissage, et puis les jeunes qui sont en emploi, avec toutes les mesures qui ont été prises pour le pouvoir d'achat.

 

Certains candidats se sont positionnés sur le droit de vote à 16 ans. Emmanuel Macron est plutôt mitigé. Qu’en pensez-vous à titre personnel, et quel ressenti avez-vous auprès des autres jeunes de LREM ?

Alors je n’ai jamais entendu Emmanuel Macron s'exprimer favorablement à cette idée. Moi à titre personnel j'y suis défavorable. Et à vrai dire quand j'écoute les jeunes autour de moi, mes camarades, des amis, je n'ai pas l'impression que cette problématique intéresse plus que ça. J'ai l'impression que ça ne concerne qu'un certain nombre de militants politiques, qui comme moi, ont eu très tôt un avis et auraient aimé l'exprimer, moi le premier, bien avant 18 ans. Maintenant je pense qu'il faut aussi savoir reconnaître que les jeunes, dans la grande majorité, ne nous ressemblent pas tous. Ils ne sont pas tous aussi intéressés par la politique. Élargir le droit de vote à 16 ans, ça ne fera qu’élargir la base de l'abstention si je puis dire, parce que les jeunes de 18 à 24 ans s'abstiennent déjà énormément. Donc je préfère qu'on tente des choses pour lutter contre l'abstention des jeunes.

 

Est-ce que localement vous ressentez un fort engouement autour d’Emmanuel Macron, et quels pourraient-être les atouts, les arguments, qui inciteraient les jeunes à se mobiliser aux urnes en avril prochain ?

Oui il y a un engouement forcément, on arrive à l'approche du premier tour, donc on sent que de plus en plus de gens souhaitent participer à la campagne. On a de nouveaux adhérents régulièrement, que ce soit au niveau du Doubs, mais aussi plus généralement au niveau de la région et de la France. Je dirais qu’Emmanuel Macron a plusieurs atouts. D'abord un bilan positif. Ensuite, il a un projet tourné vers la jeunesse, qui s'inscrit dans la continuité de ce qui a été fait. Je retiens 3 grands piliers au niveau de la jeunesse.

Le premier, l'orientation avec la proposition qui permet aux jeunes de la 5ème à la 3ème de découvrir beaucoup plus de métiers, notamment des métiers manuels et techniques. Également la proposition de faire des lycées professionnels des voies d'excellence, permettant aux jeunes de voir le temps de stage augmenter de 50% tout en étant rémunérés.

Le 2ème pilier, c'est la question du travail et du pouvoir d'achat. Parce que les jeunes ce ne sont pas uniquement les étudiants ni ceux qui sont en études, mais aussi ceux qui travaillent. Et en matière de pouvoir d'achat, le candidat Emmanuel Macron propose plusieurs choses. D'abord la suppression de la redevance télé qui représente quand même un gain d'une centaine d'euros par an et qui s'inscrit dans la logique de suppression de la taxe d'habitation. Puis, une proposition qui me tient particulièrement à cœur et qui concerne aussi les jeunes, c'est la question de la création d'un compte épargne-temps. On parle beaucoup de la retraite à 65 ans, mais quelqu'un qui travaille pourra cumuler ses RTT et ses congés payés sur un compte épargne temps, et il pourra soit les monétiser, pour justement avoir un peu plus de pouvoir d'achat, ou alors s'il le souhaite les cumuler pour ensuite les utiliser plus tard.

Enfin, le dernier pilier est celui de la culture et du numérique. Comme l'extension du pass culture pour permettre à des plus jeunes de bénéficier de cette mesure, qui je crois est un succès. On entend beaucoup « Macron président de la droite Â» ou que sais-je, mais la réalité est que cette proposition est une mesure qui vise à lutter contre les inégalités en matière culturelle, et permet l'émancipation des jeunes par la culture. Il propose également des sessions généralisées de l'enseignement du code informatique et des usages numériques à partir de la 5ème. On sait que le numérique est de plus en plus prégnant dans notre vie, et donc enseigner à ces jeunes les usages numériques et le code, je pense que c'est une très bonne proposition. Et celle que je mettrais en dehors de de tout ce package : le financement du permis de conduire pour les jeunes qui s'engagent au sein du service national universel. Ça c'est véritablement à la fois une mesure de pouvoir d'achat mais aussi d'émancipation, quand on sait que par exemple à la campagne, ou à Besançon, la voiture c'est super important pour se déplacer, notamment pour travailler.

 

Quelle qualité fait d’Emmanuel Macron un bon président de la République ?

Je crois qu'il a toutes les qualités d'un président de la République. On voit qu’en matière internationale il a la stature, à la fois la réserve et la dynamique nécessaire pour conduire des négociations, par exemple avec Poutine. Et puis on a vu aussi en matière de réforme que c'était un président qui a l'envie de faire et qui qui n'a pas peur parfois d'être impopulaire. Parce qu'il croit que certaines réformes sont bonnes pour le pays et donc il les fait. Et puis surtout il a été élu pour ça. A titre personnel, ma vie a changé, a évolué. Je me souviens qu’au tout début de mes études je devais payer chaque semaine des courses pour manger ou des repas au Crous assez onéreux, même si c'est relatif. Aujourd'hui, grâce à Emmanuel Macron, et en tant qu’étudiant boursier, je bénéficie des repas à 1€. Ce n'est pas rien. Je suis étudiant donc ce sont surtout des thématiques qui sont liées à la vie étudiante, mais on pourrait aussi citer la suppression de la cotisation sociale étudiante qui représente un gain de pouvoir d'achat pour les étudiants d'une centaine de euros annuellement. Ma vie s'est améliorée sur le quinquennat du président de la République. 

 

L’élection présidentielle se rapproche. Le premier tour aura lieu ce dimanche 10 avril, puis le second tour le dimanche 24 avril. Plein Air a rencontré des jeunes engagés politiquement aux côtés de leur candidat. Ils se sont exprimés sur leurs attentes, notamment concernant la jeunesse. Aujourd’hui nous nous sommes entretenus avec Sébastien Archambault, étudiant à la faculté de droit de Besançon, engagé aux côtés d’Éric Zemmour. 

 

Depuis combien de temps êtes-vous engagé politiquement, et pourquoi avoir choisi « Reconquête Â» ?

Alors j’ai milité au Rassemblement National lors des élections régionales pour soutenir la candidature de Julien Odoul. Puis je suis arrivé à Génération Z, au mois d’octobre. Je soutiens Eric Zemmour parce que le RN ne me convenait plus, d’un point de vue idéologique. Marine Le Pen était pour moi un choix par défaut, qui ne me convenait plus sur beaucoup de choses. Et je me suis retrouvé en Eric Zemmour, qui pour moi est le plus apte à rassembler les droites, et plus encore.

 

Aujourd’hui, en quoi un jeune peut-il se retrouver dans la politique d’Éric Zemmour ?

C’est quelqu’un qui représente l’espoir pour la jeunesse. Pour avoir un avenir beaucoup plus sûr, plus prometteur pour notre pays. Il a toujours privilégié le mérite des jeunes français, qui souffrent de plus en plus. Concernant tous ceux qui rentrent dans le supérieur, Zemmour proposera pour les élèves de classes moyennes par exemple, une bourse qui sera financée par la suppression des bourses pour les étudiants absentéistes. L’inscription sera aussi beaucoup plus poussée pour les étudiants étrangers. Le mérite sera vraiment récompensé.

 

Certains candidats se sont positionnés sur le droit de vote à 16 ans. Éric Zemmour a déclaré être contre. Qu’en pensez-vous à titre personnel, et quel ressenti avez-vous auprès des autres jeunes de Reconquête ?

On considère que c’est beaucoup trop tôt. Quand j’avais 16 ans je n’avais pas encore la maturité nécessaire, je ne m’intéressais que de loin à la politique. Et je ne pense pas que les jeunes de 16 ans aujourd’hui ont les connaissances politiques pour avoir un avis bien tranché, pour avoir des convictions profondes. Souvent à cet âge, on est souvent influencé par ses amis, ses parents, on ne peut pas se forger un vrai avis.

 

Est-ce que localement vous ressentez un fort engouement autour d’Éric Zemmour, et quels pourraient-être les atouts, les arguments, qui inciteraient les jeunes à se mobiliser aux urnes en avril prochain ?

Il y a une forte mobilisation, on est environ une cinquantaine de militants très actifs, et une bonne base jeunesse qui est très soudée. On est vraiment porté par le mouvement.

 

Quelle qualité ferait d’Éric Zemmour un bon président de la République ?

C’est son courage. Il ne se couchera pas face à différentes pressions. On le voit déjà, il l’a toujours montré depuis le départ, depuis qu’il est journaliste politique. Il ne s’est jamais plié, il n’a jamais divergé de quoique ce soit. C’est vraiment son courage, son honnêteté, le fait qu’il ne soit pas un politicien comme les autres, c’est ce qui m’a beaucoup attiré chez lui. 

 

Un accident mortel de la circulation s’est produit ce lundi après-midi, vers 13h45, à Cesancey (39). Quatre voitures sont impliquées. On déplore cinq victimes. Une personne n’a pas survécu à ses blessures. Trois autres sont grièvement blessées, deux d’entre elles ont été transportées par hélicoptère dans un centre hospitalier. Une dernière est plus légèrement touchée. Les causes et les circonstances de ce drame ne sont pas encore connues.