Depuis combien de temps êtes-vous engagé politiquement, et pourquoi avoir choisi « Reconquête » ?
Alors j’ai milité au Rassemblement National lors des élections régionales pour soutenir la candidature de Julien Odoul. Puis je suis arrivé à Génération Z, au mois d’octobre. Je soutiens Eric Zemmour parce que le RN ne me convenait plus, d’un point de vue idéologique. Marine Le Pen était pour moi un choix par défaut, qui ne me convenait plus sur beaucoup de choses. Et je me suis retrouvé en Eric Zemmour, qui pour moi est le plus apte à rassembler les droites, et plus encore.
Aujourd’hui, en quoi un jeune peut-il se retrouver dans la politique d’Éric Zemmour ?
C’est quelqu’un qui représente l’espoir pour la jeunesse. Pour avoir un avenir beaucoup plus sûr, plus prometteur pour notre pays. Il a toujours privilégié le mérite des jeunes français, qui souffrent de plus en plus. Concernant tous ceux qui rentrent dans le supérieur, Zemmour proposera pour les élèves de classes moyennes par exemple, une bourse qui sera financée par la suppression des bourses pour les étudiants absentéistes. L’inscription sera aussi beaucoup plus poussée pour les étudiants étrangers. Le mérite sera vraiment récompensé.
Certains candidats se sont positionnés sur le droit de vote à 16 ans. Éric Zemmour a déclaré être contre. Qu’en pensez-vous à titre personnel, et quel ressenti avez-vous auprès des autres jeunes de Reconquête ?
On considère que c’est beaucoup trop tôt. Quand j’avais 16 ans je n’avais pas encore la maturité nécessaire, je ne m’intéressais que de loin à la politique. Et je ne pense pas que les jeunes de 16 ans aujourd’hui ont les connaissances politiques pour avoir un avis bien tranché, pour avoir des convictions profondes. Souvent à cet âge, on est souvent influencé par ses amis, ses parents, on ne peut pas se forger un vrai avis.
Est-ce que localement vous ressentez un fort engouement autour d’Éric Zemmour, et quels pourraient-être les atouts, les arguments, qui inciteraient les jeunes à se mobiliser aux urnes en avril prochain ?
Il y a une forte mobilisation, on est environ une cinquantaine de militants très actifs, et une bonne base jeunesse qui est très soudée. On est vraiment porté par le mouvement.
Quelle qualité ferait d’Éric Zemmour un bon président de la République ?
C’est son courage. Il ne se couchera pas face à différentes pressions. On le voit déjà, il l’a toujours montré depuis le départ, depuis qu’il est journaliste politique. Il ne s’est jamais plié, il n’a jamais divergé de quoique ce soit. C’est vraiment son courage, son honnêteté, le fait qu’il ne soit pas un politicien comme les autres, c’est ce qui m’a beaucoup attiré chez lui.