Ce vendredi, s’est tenue au Mégarama et au Musée des Beaux-Arts et d’Archéologie, la première réunion de concertation du projet de végétalisation de la Place de la Révolution à Besançon. Les nombreux participants ont été informés du déroulement et de l’organisation de la démarche. Les étés qui se succèdent confirment que cet endroit est particulièrement chaud. Les habitants et les passants le ressentent. La thermographie aérienne réalisée le confirme également. Le thermomètre peut indiquer jusqu’à 50° en surface.

Dans ces conditions, la Ville de Besançon s’est fixée comme objectif de végétaliser cet espace bisontin très minéral. La cité veut concrétiser ce projet avec les Bisontines et les Bisontins. Ainsi, pour recueillir les propositions de chacun, différents outils sont mis en place. Une maison de projet a été installée au Musée des Beaux-Arts où des ateliers participatifs sont proposés jusqu’au 4 décembre. Des rencontres sont organisées avec le grand public, mais également les commerçants sédentaires, ceux du marché et les acteurs de l’événementiel.
Les travaux pourraient être lancés durant l’été 2023. Les plantations devraient être déployées durant l’hiver 2023/2024. D’ici là , plusieurs actions se tiendront. En février prochain, le contenu des échanges avec la population sera restitué. En mars, un vote sera organisé. Le projet final sera connu en mai prochain.
L'interview de la rédaction / Kevin Bertagnoli
Concernant l’épidémie de covid-19, l’Agence Régionale de Santé de Bourgogne-Franche-Comté indique que la progression du virus a marqué le pas ces 7 derniers jours dans la région. Néanmoins, l’épidémie reste à un niveau élevé. Le taux d’incidence en population générale affiche moins de 700 cas pour 100 000 habitants, contre 750 la semaine précédente.
Un accident matériel de la circulation routière s’est produit ce vendredi, en fin d’après-midi, sur la départementale 673, à hauteur de la Belle Etoile, dans le sens Besançon/Saint Vit. Une voiture a terminé sa course sur le toit. La victime, un jeune homme d’une vingtaine d’années, a été transportée pour des examens de contrôle à l’hôpital. Il semblerait qu’il ait perdu le contrôle de son véhicule, dans une courbe, sur une chaussée rendue glissante par la pluie. Cet accident a provoqué une forte gêne à la circulation. Deux kilomètres de bouchon ont été enregistrés.
Ce samedi, à Pontarlier, le gymnase Charles de Gaule se met en rose. Le CA Pontarlier basket participe à l’opération « Octobre Rose » pour sensibiliser supporters, joueuses et joueurs au dépistage du cancer du sein et récolter des fonds pour la recherche et les malades.
Ainsi, à l’occasion de la réception de Beaune en championnat, les Capistes en profitent pour mettre à l’honneur l’association « un bracelet contre le cancer », qui tiendra un stand et vendra ses bijoux au profit de la recherche. A partir de 16h30, un autre partenaire sera présent et proposera un stand de remise en beauté ( nattes, boucles, retouches, maquillage, ..). Le public pourra en profiter et faire un don qui sera reversé à l’association « un bracelet contre le cancer ». A travers cette action, le CAP basket veut relayer le message d’Octobre Rose et poursuivre sa mission éducative. Rappelons que le club dispose depuis quatre ans du label citoyen qu’il fait fructifier tout au long de la saison en organisant des évènements de solidarité et humanitaires auprès de ses jeunes basketteurs.
Le sport féminin à l’honneur
Les dirigeants pontissaliens profiteront également de cet évènement pour mettre à l’honneur leur section féminine, composée des catégories U11, U13 et U15. Ces jeunes basketteuses seront mises à l’honneur lors de la présentation des équipes, peu avant 18h. Un nouvelle fois encore le CA Pontarlier fait l’actualité et s’inscrit pleinement dans la vie de la cité.
L'interview de la rédaction / Maxime Tellier
Pour nous ce n’est pas délicat si le dialogue peut exister. Nous voulons que le loup perdure. C’est un animal indispensable par son rôle écologique à la biodiversité que nous défendons tous. Et quand je dis tous, je comprends tous les citoyens. Evidemment, nous tenons aussi à ce que cela soit fait avec la profession d’éleveur, dont nous souhaitons qu’elle perdure.
D'abord, je n’utiliserais pas le terme « attaquer », mais « prédater ». Les prédations sur les bovins sont connues depuis déjà longtemps, dans les Alpes en particulier. On n'y a pas accordé beaucoup d'attention. Le loup se nourrit avec ce qu'il a sous la dent. Peut-être parce qu’on ne le gêne pas trop vis-à -vis du détail, mais aussi parce qu’on n’est pas assez préparé alors qu'on savait depuis longtemps que ça arriverait. Le bétail sauvage que sont les cerfs, chamois, chevreuils dont il se nourrit aussi, représente l’essentiel de son régime alimentaire, quasiment 80%. Le loup n'attaque pas pour le plaisir. Il prédate quand il a faim, c'est un chasseur. C'est un comportement tout à fait naturel, et comme beaucoup de prédateurs, il va où y a quelque chose à manger. Il n'y a rien de plus naturel dans ce comportement de prédation du loup.
J’en ai rencontré, et je suis suffisamment amoureux des animaux, qu’ils soient domestiques où sauvages, pour comprendre les éleveurs. Je pense deux choses. La première, c'est qu’effectivement quand vous êtes éleveur, quand vous soignez vos bêtes, votre troupeau, matin midi et soir, douze mois par an, et quand il y en a une qui est blessée ou tuée, ça chamboule le cœur. Ça c'est évident. Non seulement je comprends, mais d'une certaine manière je partage. Là où je suis un petit peu plus réservé, c'est qu’on n'a pas mis en place les mesures de protection du troupeau. On sait un certain nombre de choses, si ces mesures-là étaient mises en œuvre, ça poserait déjà beaucoup moins de problèmes. On ne serait même pas à 20 bêtes tuées cette année.
Pour ces gros animaux que sont les bovins, on a des progrès à faire, mais c'est à inventer ensemble. Entre les éleveurs et nous-même. Par ailleurs, les chiens sont parfaitement efficaces, et on sait très bien aujourd'hui comment les adapter aux troupeaux de bovins. C'est faisable très rapidement, et on n'a pas besoin de tous les protéger, on sait où est le loup, on peut dans un premier temps protéger ces troupeaux qui présentent le plus de risques d'être exposés.
Entre autres, ce n’est pas le seul. Mais effectivement, c'est celui auquel on pense toujours en premier.
Le loup est souhaité par la société tout entière. Je le dis dans ces termes-là , parce qu'il bénéficie d'une mesure de protection réglementaire qui a été fixée par la nation. Donc toute la société est engagée. Ce qui veut dire que la préservation du loup et son maintien durable sur notre territoire, sont à prendre en charge par toute la société, et pas simplement les victimes. Les victimes, il y en a effectivement deux pour l'instant : les éleveurs bien évidemment, mais aussi les touristes et les promeneurs. Comme ça se fait déjà , un touriste qui se retrouve face à un ours ne doit pas avoir n'importe quel comportement. Il faut qu'il apprenne. Le touriste, face au patou qui doit défendre son troupeau, doit aussi apprendre à se comporter correctement pour ne pas être agressé. C'est vraiment un travail global qui doit être fait. L'éleveur doit apprendre à gérer son chien, et le touriste doit être prévenu et informé quand il va dans ces secteurs.
On savait depuis une bonne dizaine d'années qu'on aurait ces problèmes-là en Franche-Comté. On n'a rien fait. On prend des décisions aujourd'hui dans l'urgence, alors que si on avait pris des dispositions anticipées, il n'y aurait pas du tout les mêmes problèmes. Je fais une comparaison avec la santé. Aujourd'hui on a le choix sur le plan médical entre le préventif et le curatif. Pendant des années on a choisi le curatif. Le résultat ? On a un système de santé qui explose et aujourd'hui on essaye de s'orienter vers le préventif. Et c’est par exemple le cas des vaccins. La grippe c'est ça. Les surveillances pour les cancers du sein pour les femmes, c'est ça. C'est du préventif. Il faut en faire autant avec la nature.
Absolument, et dans le cas du loup c'est flagrant. On tire n'importe quoi, n'importe comment. Une thèse récente a été tenue à Montpellier dans une de nos grandes instances universitaires. Elle a démontré, lorsque l’on fait le bilan de tous les tirs qui ont été faits en France face au loup, qu’on ne peut pas prévoir si les résultats seront favorables, défavorables ou neutres. Le fait que ce soit une louve qui avait déjà porté, montre que c'était probablement une femelle dominante. Probablement, je reste prudent. Si vous vous débarrassez de la femelle dominante, vous désorganisez la meute, et vous accentuez les effets de prédation. C'est ce qu’il s'est passé. On a eu le calme pendant une dizaine de jours, et puis ça a recommencé.
Si on veut amener le loup à ficher la paix aux troupeaux sans le tuer, il faut qu'on connaisse parfaitement les meutes, la hiérarchie, il faut qu'on identifie les individus. C'est ce que font les Suisses sur Marchairuz par exemple. A ce moment-là , vous pouvez savoir sur quel loup il faut agir pour que la meute ne vienne plus vers le troupeau. Ça on ne le sait pas aujourd’hui, parce qu’on n’a pas anticipé. Alors qu’on sait depuis plus de 20 ans que le massif du Jura serait un territoire de colonisation du loup.
"Le loup est un animal qui est protégé par la France et protégé par l'Europe. C'est vraiment la société tout entière qui doit prendre en charge. Il faut que nous soyons tous ensemble solidairement avec eux, pour que les choses se passent bien qu'on prenne les bonnes mesures"
C’est beaucoup plus ambigu que ça. Mais vous évoquez sans doute la grande réunion qui s’est tenue à Labergement-Sainte-Marie le 3 octobre dernier. Il y avait du monde dans la salle. En bonne démocratie et surtout en bonne transparence, les médias auraient dû entrer et entendre ce qui a été dit. J’y étais aussi avec quelques amis. Quand on regarde dans la salle, tout le monde était venu pour le loup. L'après-midi, il y a eu une visite de terrain faite pour les éleveurs, et nous n'en avons pas été informés. Ce qui veut dire que nous en avons été exclus. Il y a eu d'autres réunions comme ça où nous avons été exclus. On nous invite de temps en temps, mais pas pour ce qu’ils considèrent comme les moments importants.
Absolument. On avait envoyé un communiqué de presse la semaine dernière. On va continuer à communiquer et à demander ça. Nous ne voulons pas être complices, mais nous voulons être acteur à part entière, comme les autres. Nous ne demandons pas que notre parole, seule, soit imposée à tout le monde. Nous sommes des citoyens respectueux de la démocratie, et nous souhaitons simplement que les décisions prises soient des décisions partagées.
On reste une petite fédération départementale, mais nous bénéficions du réseau France Nature Environnement. Par ailleurs, la fédération nationale est un des membres actifs du comité de pilotage du plan national loup. Notre fédération nous y représente, nous raconte un certain nombre de choses, et nous l’informons de ce qui se passe chez nous. On peut apporter des idées, qui d'ailleurs pour beaucoup sont proposées depuis longtemps. Même s'il y en a encore d'autres à inventer par rapport aux bovins.
Nous sommes des citoyens, nous savons très bien ce qu’est l’économie, le porte-monnaie familial et le porte-monnaie professionnel. Nous savons très bien que la gestion du loup, l’acceptation du loup, sur le plan économique, ne représente pas forcément des fortunes, mais ce n’est pas neutre non plus. On conçoit tout à fait que les efforts que nous sollicitons auprès des éleveurs ne soient pas si simples que ça. Mais c’est un effort collectif, puisque c'est la nation qui l'a choisi. Et nous, nous allons au-delà de ça. Nous avons des propositions alternatives qui permettraient économiquement aux éleveurs et à toute la filière comté de bénéficier de la présence du loup. C'est un changement d'attitude important. On ne se contente pas de dire qu’on veut le loup, et puis l’éleveur, débrouille-toi. Non, on n'est pas comme ça. Le loup on le veut, et c’est vrai que les éleveurs en supportent fortement les conséquences. Donc on veut les aider. Ça veut dire être solidaire sur le plan économique, il y a des aides financières de collectivité, et ça veut aussi dire réfléchir avec eux à une démarche économique qui intégrerait le loup.
Oui dans le principe général. Ça fait deux ans que j’ai rencontré le CIGC. Ils le savent, ils me traitent de petit rigolo, mais ça ne me dérange pas. Je peux comprendre, parce que je ne suis pas dans les contraintes économiques qui sont les leurs. Je comprends leur positionnement. Mais ce que je dis, c'est que le loup est la réponse pour régler le problème du loup, économiquement parlant.
Le loup crée une situation qui est une opportunité pour cette évolution de la pratique d'élevage sur notre territoire. C'est un sacré stimulant. Pour l'instant, un certain nombre de gens considèrent que c’est un emmerdeur. Mais il faut transformer cet emmerdeur en avantage. Nos propositions vont dans ce sens-là . C’est l'opportunité pour que les propositions que nous avons faites, doivent être réfléchies en commun, discutées en commun et mises en œuvre en commun. Je suis toujours dans cette logique de partenariat collectif. Mais ne partons pas du principe, comme l’a fait la présidente de la FNSEA, du principe « zéro attaque ». Ça n’a pas de sens. Concernant les insectes qui détruisent les cultures, les agriculteurs ont réfléchi il y a 30 ans déjà , non pas au zéro dégât par des insectes, champignons ou autres. Ils ont réfléchi au minimum économiquement acceptable. Ça change tout comme point de vue, ce serait intéressant qu’on fasse ça avec le loup aussi.
Oui, c'est toute la société qui concernée, ce ne sont pas seulement les éleveurs. C'est vrai qu'ils sont en première ligne, mais l’éleveur n’est pas de la chair à canon. Pas du tout. Je l’ai déjà dit au président de la FDSEA, je suis reconnaissant parce qu’ils me nourrissent. Et le fait qu’ils me nourrissent me libère du temps pour faire d'autres choses. Et je le redirais sans aucun problème, parce que je le pense sincèrement. Il ne faut pas réfléchir à l'éradication du loup. Si il est protégé, ce n’est pas simplement parce qu'il était en fragilité à un moment donné. C’est aussi parce qu'il a un rôle très important dans le fonctionnement des écosystèmes pour la contribution à la biodiversité. C'est un des éléments de réponse à l'érosion de la biodiversité qui nous concerne tous.
Les sapeurs-pompiers du Jura sont intervenus ce matin, vers 11h, pour un début d’incendie, rapidement maîtrisé, à Serre les Moulières. Le propriétaire de l’habitation, un homme de 57 ans, ayant inhalé des fumées et présentant des brûlures a été pris en charge par les secouristes et transporté sur le centre hospitalier de Dole.
A Pontarlier, Anne Lise Ballyet, l’élue en charge de la jeunesse, lance un appel à projets « initiatives jeunes ». Cette démarche citoyenne s’adresse à tous les jeunes domiciliés, scolarisés ou travaillant dans la cité du Haut-Doubs, âgés entre 14 et 25 ans.
Rendre les jeunes acteurs sur leur territoire, leur permettre de s’exprimer, de mettre en place des actions et de prendre des responsabilités et de les assumer, tels son les enjeux de ce projet, qui fait suite à un questionnaire que l’élue et le service éducation, jeunesse et politique de la ville ont lancé au début de ce mandant.
A toi de jouer !
Anne Lise Ballyet a voulu un cadre « le plus souple possible ». L’objectif étant d’être efficace et de ne pas se perdre dans des démarches administratives compliquées et repoussantes. Pour faire simple, il suffit de se rapprocher d’un structure partenaire ( maisons de quartier, Point Information Jeunesse et service jeunesse de la ville), de déposer un dossier de candidature et décliner son initiative le plus précisément possible. Et ce, deux mois avant sa réalisation.
Un premier budget de 5.000 euros
Pour cette fin d’année, le conseil municipal de Pontarlier a voté une subvention de 5.000 euros. Entre 10.000 et 15.000 euros pourraient être accordés pour l’année 2023. Les projets collectifs seront privilégiés. Toutes les idées sont les bienvenues : environnement, animation dans un quartier, évènement sportifs, projet avec une association caritative ou humanitaire, intergénération, … . Tout est possible. Anne Lise Ballyet espère que cette initiative rencontrera un franc succès. En tout cas, elle a le mérite de s’intéresser à la jeunesse et lui donner la possibilité d’agir. Chaque dossier sera minutieusement examiné. Une fois l’action réalisée, ses organisateurs auront trois mois pour produire un bilan.
Pour obtenir de plus amples informations : Initiatives jeunes - Ville de Pontarlier (ville-pontarlier.fr)
L'interview de la rédaction / Anne Lise Ballyet
L’inquiétude grandit à l’hôpital de Champagnole. Le 18 octobre dernier, le personnel hospitalier de l’hôpital jurassien a été informé de la fermeture du SMUR et des consultations non programmées à compter du 1er novembre prochain. C’est un nouveau coup dur pour le site champagnolais qui a déjà perdu son service d’urgences et son service de médecine.
Le personnel hospitalier appelle les élus et la population à se mobiliser à leurs côtés. Les agents dénoncent « une mise en danger » de la population de ce territoire jurassien, qui se compose de 40.000 habitants. A compter du 1er novembre, sans service de secours de proximité, les interventions seront menées par les SMUR de Lons-le-Saunier, Morez, Dole et Pontarlier. « Ce qui aura des effets dans la qualité des soins apportés aux patients ».
La surprise est d’autant plus grande que cette décision fait suite à la délivrance du label « hôpital de proximité », qui a été décerné par l’autorité de tutelle de Champagnole il y a deux mois. « Sur quels critères se base-t-on pour délivrer cette distinction » s’interrogent nos interlocuteurs.
Au cours du super comice de Pontarlier, une remarquable exposition, qui a vu le jour grâce à l’équipe des Archives Municipales de Pontarlier, Jean-Pierre et Michel Gurtner et Philippe Marguet est proposée à la Chapelle des Annonciades.
Construite autour d’écrits d’époque, de photographies et d’une vidéo, elle plonge le visiteur dans l’évolution de la manière de faire les foins au pays de l’AOC Comté. Les angles de la mécanisation et de l’évolution socio-économique ont été choisies par les concepteurs. On y voit l’évolution des machines, des fermes, des paysans, des procédés pour le séchage et le stockage… . Entre la faucille et le tracteur équipé de faucheuse, les outils, les techniques et les hommes n’ont cessé d’évoluer. Le métier a bien changé.
C’est donc tout ce progrès technologique, cette modernité dans le temps et ce regard différent sur le métier que nous conte cette exposition. Un regard bienveillant, nostalgique et contemporain qui ne manquera pas de susciter l’intérêt de ceux qui ont envie de redécouvrir l’évolution de la fenaison d’hier à aujourd’hui.
L’exposition « fenaison d’hier à aujourd’hui » est à découvrir jusqu’au 13 novembre. A noter que les dimanche 6 et 13 novembre, la chapelle des Annonciades accueillera une pièce de théâtre, jouée par la compagnie le Filépat, qui revisitera, à sa manière, cette évolution des foins.
L'interview de la rédaction / Jean-Pierre Gurtner
Dans le cadre de la 6è journée de championnat en nationale 1 masculine de basket, le BesAC défie Kaysersberg ce vendredi, à partir de 20h15, au complexe des Montboucons. Il y a une semaine, les basketteurs bisontins se sont inclinés sur le score de 76 à 74 face à Pont de Cheruy. Ce soir, le huitième du championnat affronte une équipe alsacienne qui squatte la 12è place du classement. Un petit point seulement sépare les deux formations.