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L’évènement approche à grands pas. Cette année, le Carnaval de Besançon célèbre l’ouverture sur le monde les 12 et 13 avril prochains. Cette année, à l’occasion du grand défilé du dimanche après-midi, 200 étudiants costumés défileront pour clôturer la grande parade. Les jeunes qui souhaitent y participer sont invités à s’inscrire, via le lien : https://vosdemarches.grandbesancon.fr/billetterie/reservation/index/id/4487/idcatstr/com .

Cette édition invite les jeunes à exprimer leur créativité et à célébrer la diversité culturelle dans une ambiance festive. Un concours du meilleur déguisement viendra récompenser les costumes les plus originaux (un week-end à Neuchâtel est à remporter).

Pour préparer cette journée haute en couleur, des ateliers gratuits sont proposés au (Li)VE, sur le Campus de la Bouloie, situé 38 Avenue de l’Observatoire à Besançon : jeudi 27 mars, de 16h à 20h, pour la création de costumes et vendredi 28 mars, durant le même créneau horaire, pour la fabrication d’accessoires

Ce vendredi, de 12h à 14h, place du 8 septembre, au centre-ville, la ville de Besançon et la Direction Départementale des Territoires du Doubs s’associent pour proposer un temps de sensibilisation pour bien circuler en vélo et trottinette. Lors de cette initiative, les règles de circulation à vélo et trottinette seront rappelées à travers des jeux et des animations.  Les chiffres pour l’année 2024 montrent une augmentation significative de l’accidentalité.

A l’échelon départemental, depuis 2020, le nombre d’accident corporel incluant au moins  un engin de déplacement personnel motorisés a été multiplié par 10. Il s’agit également dans les 3/4 des accidents d’une collision entre ce moyen de locomotion et une voiture. Le constat vaut également pour la pratique du vélo avec plus de 47 accidents enregistrés sur 2024.

Ce mardi 17 mars, en présence de Catherine Vautrin, ministre du travail, de la santé, des solidarités et des familles, a été inauguré le nouveau bâtiment de l’institut de formation des professions de santé, baptisé Paulette Guinchard. Quatre ans ont été nécessaires pour donner naissance à ce nouvel espace, installé à Temis santé. D’une superficie de 7.000 m2 et d’un montant de 31 millions d’euros, ce nouveau projet immobilier est porté par la Région Bourgogne Franche-Comté, qui finance également le fonctionnement de la structure à hauteur de 70%.

L'interview de la rédaction : Fabienne Paulin, directrice de l’établissement

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L'interview de la rédaction : Fabienne Paulin, directrice de l’établissement

1.000 étudiants et une cinquantaine de formateurs y sont accueillis dans neuf filières de formation ; aide-soignant, ambulancier, auxiliaire de puériculture, infirmier, puériculteur, infirmier anesthésiste, infirmier de bloc opératoire, masseur kinésithérapeute et cadre de santé. Avant de rejoindre son nouveau site, la structure se divisait sur deux secteurs : l’hôpital Saint Jacques et le site des Tilleroyes.

Dans le cadre du contrat de ville du Grand Besançon pour la période 2025/2030, la Ville de Besançon et Grand Besançon Métropole organisent des temps d’échanges et d’écoute des habitants des quartiers prioritaires de la cité comtoise jusqu’en juillet prochain.

Dates et lieux des rencontres « Parlons projet de quartier » :

Orchamps Palente : Jeudi 13 mars 2025 à 18 h 30 – Salle Jean Zay, 97 rue des Cras (Habitat, aménagements espaces publics, écoles)

Planoise : Samedi 15 mars 2025 à 9 h 30 – Centre Nelson Mandela, 13 avenue d’Ile de France (Point d’étape renouvellement urbain, habitat)

Hauts de Saint-Claude : Lundi 31 mars 2025 à 18 h 30 – Salle Arnoux, Complexe sportif des Torcols, 3 chemin des Torcols (Espace vie sociale, jeunesse)

Clairs-Soleils Vareilles : Mardi 1 er avril 2025 à 18 h 30 – Centre Marion Luther King, 67 rue de Chalezeule (Parentalité, futur espace Aimé Césaire)

Montrapon : Mardi 08 avril 2025 à 19 h 00 – Espace Renée et Jules Rose, 8 rue Stendhal (Jeunesse, prévention)

Battant : Mercredi 16 avril 2025 à 18 h 30 (lieu à préciser) (Sécurité, tranquillité publique)

Cité Viotte : Mardi 13 Mai 2025à 18 h 30 (lieu à préciser) (Animation vie sociale)

Rosemont - Saint-Ferjeux (Amitié, Pelouse, Pesty) : Mardi 20 mai 2025 à 18 h 30 (lieu à préciser) (Animation vie sociale)

Une opération de réfection des pavés le long des rails du tramway est lancée à Besançon.  « Ces travaux correspondent à un renouvellement nécessaire » indique Grand Besançon Métropole.  Les interventions se dérouleront en journée, tout en maintenant l’exploitation des deux lignes du tramway. « La première phase débute sur le Quai Veil Picard avant de se poursuivre progressivement le long des voies, jusqu’à l’été » ajoute la collectivité.

A Besançon. D’ici quelques semaines vont débuter les premières opérations de réhabilitation du quartier Palente / Orchamps. Elles s’inscrivent dans un ambitieux plan de rénovation urbaine, envisagé sur un horizon de 15 à 20 ans. Ces premières interventions se déclinent en trois chantiers, qui devraient être finalisés d’ici un an.

L'interview de la rédaction : Asni Halem

La première initiative concerne un terrain de football en sable, inutilisé depuis au moins 5 ans, qui laissera place à un terrain synthétique, qui sera accessible aux habitants et aux enfants de l’école Edouard Hériot. Le coût est estimé aux environs de 450.000 euros, avec un financement de l’état, via le dispositif « politique de la ville ». L’autre intervention concernera la continuité de l’aménagement de la place Olof Palme, qui avait déjà fait l’objet de travaux lors du précédent mandat. Enfin, la Ville va créer un chemin sécurisé, baptisé le « Chemin des Ecoliers », entre la Rue Gounod et l’école Jean Zay,  pour notamment protéger les écoliers. Le coût de ces deux derniers chantiers, financés également par l’état,  sont respectivement estimés à 100.000 euros et 300.000 euros.

Sécurité et incivilités

Comme elle a su le faire aux Clairs Soleils et comme elle le réalise actuellement à Planoise, la Ville veut inscrire le quartier de Palente/Orchamps dans une rénovation urbaine pertinente, permettant à ses habitants d’y vivre dans la plus grande des sécurités et dans le meilleur des cadres de vie. Les incivilités sont en constante augmentation et le trafic de drogue s’y est déplacé. Laissant des individus, le plus souvent non originaires du quartier, y développer des affaires illicites. Ce quartier bisontin concentre environ 13.000 habitants. Il est l’un des territoires les plus pauvres de Besançon. Une population très jeune, avec une forte représentation des moins de 25 ans,  et une population également âgée, avec un taux élevé de personnes de plus de 65 ans, cohabitent. L’école Jean Zay est d’ailleurs l’une des plus pauvres du département.

L'interview de la rédaction : Asni Halem

A compter de ce lundi 3 mars, les travaux de reconstruction de l’immeuble, situé 8 rue Bersot à Besançon, seront lancés. Les travaux de gros œuvre s’étendront jusqu’en juillet. Le second œuvre prendra ensuite le relais à partir de septembre, pour une livraison prévue au premier trimestre 2026.

Ce projet prévoit la création de quatre logements (un studio, deux T2 et un T4), soit environ 200 m² de surface de plancher. Cette opération est financée par une subvention de 743.000 euros de l’Agence Nationale de l’Habitat (ANAH) mais aussi par la Ville de Besançon et par l’Office Foncier Solidaire du Grand Besançon.

Dans un communiqué de presse, Jean-Philippe Allenbach, le président du Mouvement Franche-Comté, fait savoir que maître Amandine Dravigny, avocate du parti, a adressé un mail pour demander un ensemble de documents, relatifs au marché public, portant sur la commande d’une statue de Jenny d’Héricourt de l’artiste Grenobloise Lili Reynaud-Dewar. Il est également demandé à la Ville « les délibérations y afférentes ».

Jean-Philippe Allenbach rappelle qu’il avait dernièrement alerté  le Préfet du Doubs, regrettant, selon lui, que la municipalité « n'ait pas fait d'appel d'offres concernant le choix de l'artiste ». Le coût de cette acquisition s’élève à plus de 103.000 euros. Il est prévu que la sculpture soit installée prochainement sur la place de la Révolution, au centre-ville de Besançon.

 

Hasni Alem, élu à la ville de Besançon, en charge du quartier Orchamps-Palente, s’oppose aux projets de fermeture d’une classe de maternelle à l’école Condorcet et d’une classe de primaire à l’école Pierre Marie Curie. Pour l’élu bisontin, ces fermetures auront pour conséquence d’aggraver les inégalités sociales. « Cette fermeture impliquera qu’il y aura en moyenne 24 élèves par classe dans ces deux écoles” pointe-t-il. Et de terminer : “Dans un quartier comme celui d'Orchamps-Palente, ce choix est un très mauvais signe et ouvre la porte à un risque de dérive du quartier. L’émancipation des quartiers populaires passera par l’école publique ou ne passera pas… ».

Mercredi soir, la Ville de Besançon avait également réagi. Si la cité reconnaissait le dialogue constructif avec le directeur académique des services de l’Education Nationale, qui avait conduit à la fin des projets de suppression de classes dans les écoles Sapins, Jean Zay et Saint-Claude, elle s’inquiétait quant au maintien d’autres projets de fermeture, concernant des structures implantées dans les quartiers prioritaires. Elle demandait la réouverture des discussions.  «  L’inclusion scolaire, l’égalité des chances et la réussite éducative des enfants bisontins passe par l’amélioration de la prise en compte des besoins pédagogiques des enfants et de la diminution de la charge de travail des enseignants ».

Dans le contexte budgétaire que nous connaissons, la Ville de Besançon et le Conseil Municipal se pencheront sur le budget 2025 ce jeudi soir. Soit un exercice comptable de 223 millions d’euros, avec 50 millions d’euros d’investissement, soit 5 millions de plus qu’en 2024. Même si l’effort sera moindre pour les collectivités locales, l’état prévoit néanmoins une enveloppe d’un milliard d’euros en moins cette année . Anthony Poulin, l’élu en charge des finances évoque un budget « rassurant et déterminant », plaçant l’entraide, la justice sociale et les habitants au cœur de cette  politique tournée « vers l’avenir et la transition écologique ».

L'interview de la rédaction : Anthnoy Poulin

Cette hausse de l’investissement est rendue possible grâce à une baisse de 1,8 million d’euros des dépenses énergétiques. De nombreuses initiatives sont au programme : un nouveau dispositif de médiation dans le quartier Battant, avec un budget de 200.000 euros, l’installation de la maison des femmes, la poursuite du plan écoles et crèches, avec près de 10 millions d’euros investis cette année, le renforcement de la lutte contre les addictions, le soutien accru aux associations, la mobilité, la rénovation des quartiers, notamment les Clairs-Soleils et Orchamps- Palente, les aménagements de végétalisation de la ville, …. .

La culture

Cette année encore, la Ville de Besançon entend poursuivre sa politique culturelle. Elle porte la vision « d’une culture partagée et inclusive ». Son objectif est de rendre les équipements culturels accessibles à un public le plus large possible. Dans ce cadre-là, la collectivité veut trouver une approche et des projets nouveaux,  permettant de créer du lien entre les différentes cultures et générations. Ce sera d’ailleurs la mission du futur directeur des musées du centre, qui devrait être nommé à la rentrée prochaine. Rappelons que la ville s’est séparée de la précédente directrice, dont le management a été remis en cause, après une enquête en interne. Cette première partie de saison sera marquée par plusieurs rendez-vous. Parmi lesquels : une programmation spécifique à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes et la grande exposition « Chorégraphies » du 19 avril au 21 septembre, mêlant arts visuels et vivants. La danse y aura toute sa place.

L'interview de la rédaction : Aline Chassagne, responsable de la culture à la Ville de Besançon

 

 

La petite enfance

La Ville de Besançon poursuivra, en 2025, son plan école et crèche. La cité  compte quatorze crèches collectives et une crèche familiale. Dernièrement, ce sont les sites de Saint-Ferjeux et des Orchamps qui ont bénéficié d’une totale réhabilitation. La Cour des Comptes vient, à ce sujet,  de reconnaître les investissements consentis par la collectivité dans ce domaine. Les rénovations énergétiques, pour réduire la consommation d’énergie et s’adapter aux changements climatiques, les aménagements extérieurs et le soin apporté à l’ergonomie pour faciliter le travail des agents ont été salués. Dans ce même document, l’organisme juge le taux d’occupation des crèches insuffisant. Il demande à la collectivité de dépasser les 61% actuellement réalisés.

 L'interview de la rédaction, Claudine Caulet, en charge de l'éducation

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