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Dans l’affaire Théo Découchant, retrouvé sans vie dans l’appartement d’une amie à Oiselay-et-Grachaux, en Haute-Saône, la femme de 18 ans, soupçonnée d’avoir tué le jeune homme, devrait être présentée au parquet de Besançon et mise en examen ce mercredi. Rappelons qu’une enquête pour homicide volontaire a été ouverte par le parquet de Vesoul.

Le jeune homme était porté disparu depuis la nuit du 29 au 30 novembre dernier. C’est lors d’une perquisition, menée le 6 décembre dernier,  que le corps du jeune bisontin, âgé de 23 ans, a été découvert. Le Procureur de la République tiendra une conférence de presse ce jeudi matin.

Dans un communiqué de presse, l’hôpital de Pontarlier indique qu’en raison de la dégradation de la situation sanitaire dans le Haut-Doubs, l’établissement a décidé de procéder à une déprogrammation partielle des opération chirurgicales pour les 13 jours à venir afin de redéployer une partie du personnel vers les prises en charge Covid.

Dans le cadre de la lutte contre le Covid19, la Ville de Pontarlier indique que depuis ce mardi 7 décembre, le centre de vaccination de Pontarlier s’est doté d’une troisième ligne de vaccination. Désormais, le centre pontissalien est ouvert de 8h à 12h et de 13h à 17h, six jours sur sept.

Dole Tourisme vous propose de partir à la découverte de la Ligne des Hirondelles. Une sympathique excursion ferroviaire, jalonnée de splendides paysages de Dole à Morez. Huit dates sont prévues. Elles sont réparties sur les mois de janvier, février et mars. Cette année, à l’occasion de la Coupe du Monde de ski de fond qui se tiendra du 14 au 16 janvier prochain à Prémanon, une formule spéciale est proposée. Les réservations sont possibles à compter du lundi 10 décembre. Renseignements et réservation au 03.84.72.11.22

Compte tenu de l’augmentation rapide du nombre de patients positifs à la Covid sur notre territoire, de l’afflux de patients dans l’ensemble des services du CHU, notamment en réanimation actuellement saturée, la cellule de crise du CHU de Besançon a décidé le déclenchement du plan blanc. L’augmentation rapide du taux d’incidence ces derniers jours (570 dans le Doubs, 635 dans le Jura) se répercute sur l’activité du CHU de Besançon.

Le centre hospitalier bisontin est très alarmiste et évoque « des projections à 2 semaines très alarmistes Â». Le nombre de patients positifs à la Covid-19 est passé de 32, vendredi, à 46 mardi. Dans les services de réanimation déjà fortement sollicités, 17 patients hospitalisés pour Covid-19 ont été admis, portant à plus de 100% le taux d’occupation global.

Cette décision engendre un droit de visite strictement limité et encadré, un plan de déprogrammation des activités à compter de ce jeudi 9 décembre et un appel aux libéraux volontaires, aux étudiants et aux personnels retraités.

L’hiver approche à grands pas, et les premiers froids commencent à être récurrents sur le territoire. Pour les oiseaux, l’hiver est une saison difficile durant laquelle la nourriture devient rare, mais indispensable pour affronter les conditions climatiques. Nous avons rencontré Samuel Maas, ornithologue à la LPO, la Ligue pour la Protection des Oiseaux, afin de connaître le bon comportement à adopter pour préserver nos amis à plumes. 

 

Quand faut-il nourrir les oiseaux ?

La LPO préconise un nourrissage seulement durant la mauvaise saison, en période de froid prolongé. Cela concerne particulièrement la période de mi-novembre jusqu’à fin mars, quand le gel et la neige limitent l’accès à la nourriture. Dès lors que le nourrissage a débuté, il est préférable de ne jamais stopper celui-ci dans cette même période, car les oiseaux risqueraient de rencontrer des difficultés à rechercher une nouvelle source de nourriture, leurs déplacements générant des dépenses énergétiques importantes. Cependant, il n’est pas conseillé de nourrir les oiseaux au printemps et en été, car beaucoup d’entre eux deviennent insectivores à cette saison, et cela pourrait créer une relation de dépendance pour les jeunes oiseaux qui doivent apprendre à se nourrir par eux-mêmes.

 

Où placer les mangeoires ?

Il est conseillé de placer les équipements en hauteur, pour protéger les oiseaux des prédateurs. L’idéal est de pouvoir positionner les mangeoires au centre du jardin, dans un endroit dégagé, loin des murs, baies vitrées, buissons, et branches latérales. Il est aussi préconisé de multiplier les points d’approvisionnement pour éviter la propagation de maladies, et de les nettoyer régulièrement.

 

Quelle nourriture privilégier ?

Chaque espèce d’oiseau possède des besoins spécifiques. Le mieux est de choisir des mélanges de graines, qui conviendront à de nombreuses espèces, quelle que soit la taille de leur bec. Les graines de tournesol noires, non grillées, non salées, et de préférence bio, sont particulièrement adaptées aux besoins des oiseaux à cette période. D’autres aliments comme les pains de graisse végétale, ou des fruits flétris (pommes, poires…) sont également intéressants. Il faut faire attention aux boules de graisse comprenant de la graisse animale ou composée d’huile de palme, tout comme celles du commerce, dont le filet peut devenir un piège mortel et rapidement se retrouver dans la nature. 

 

Les oiseaux doivent-ils être abreuvés ?

En effet, il est particulièrement difficile pour les oiseaux de trouver à boire ainsi qu’un endroit où prendre un bain en hiver, quand tous les points d’eau sont gelés. Il est donc important de coupler la mangeoire avec un abreuvoir, peu profond, dont l’eau doit être fréquemment changée. Pour qu’elle ne gèle pas, le sel et l’antigel sont évidemment à bannir, mais un bouchon en liège peut être placé sur la surface de l’eau, qui par son mouvement incessant, évitera à l’eau de se figer. 

 

Samuel Maas : 

 

 

Ce mardi après-midi, les policiers municipaux bisontins ont manifesté sur l’Esplanade des Droits de l’Homme sous les fenêtres d’Anne Vignot. Ils sont venus exprimer leur mécontentement, leur colère et leur inquiétude.

Ils dénoncent la totale désorganisation du service et demandent une politique claire et ambitieuse en la matière. Les policiers municipaux veulent des moyens humains et matériels à la hauteur de leur fonction et de leur mission. « Il nous faut des moyens pour être respectés, considérés par la population. Nos uniformes sont usés. Cela renvoie une très mauvaise image Â» explique Jacques Desoche du syndicat CFDT.  Parmi les exigences évoquées : des moyens adaptés aux situations auxquelles ils sont confrontés au quotidien, une clarification de leur mission et le recrutement d’un directeur de police municipale de catégorie A.

police municipale 2

Une première étape

M. Desoche ne le cache pas, d’autres actions seront menées. Les fonctionnaires jugent leur rencontre de vendredi dernier avec la maire écologiste de Besançon « insatisfaisante Â». « Cette mobilisation en appellera d’autres Â» explique le policier. Le collectif  attend « l’ouverture d’un réel dialogue social permettant d’écouter les agents et de tenir compte de leur avis et comprendre leurs inquiétudes Â».

police municipale

Le corps de Théo Decouchant, un jeune homme de 23 ans disparu dans la nuit du 29 au 30 novembre en Haute-Saône, a été découvert ce lundi 6 décembre, vers 13 heures, au domicile d’une jeune femme de 18 ans à Oiselay-et-Grachaux. Le jeune homme d'une vingtaine d'années, domicilié à Besançon, n'avait pas donné signe de vie depuis cette nuit-là, après avoir passé la soirée chez cette jeune fille. Cette dernière a été placée en garde à vue dans la même journée, soupçonnée d'être liée à un « homicide volontaire ». Une autopsie du corps était prévue ce matin et devrait permettre de déterminer les causes du décès.  

C’est demain que s’achèvera l’édition 2021 des défis de la boucle. Après Chatillon-le-Duc, Pelousey et Dannemarie-sur-Crête, c’est Besançon qui sera le théâtre de la dernière étape de cette édition.  

Une édition très réussie

À la veille de la dernière étape, l’heure est au bilan pour Sébastien Jouanneau. Le manager d’Even Outdoor, qui organise les courses en collaboration avec le Grand Besançon Trail Académie, se dit très satisfait de cette édition des défis de la boucle. Après le report de l’édition 2020 dû à la crise sanitaire, l’édition 2021 a tenu toutes ses promesses malgré une météo parfois capricieuse. Les organisateurs ont pu dénombrer plus de 800 inscrits par étape sur les trois premières courses, et on devrait atteindre la barre des 1000 personnes inscrites pour la course de mercredi soir à Besançon. De quoi satisfaire Sébastien Jouanneau qui sent que le concept plait au public. « Les gens sont extrêmement satisfaits, on a su être à la hauteur de leurs attentes afin de leur faire passer de bons moments Â».

« C’est une très grande réussite Â» Sébastien Jouanneau.

 

Une étape bisontine modifiée

Les organisateurs avaient prévu une étape intra-muros inédite pour boucler cette édition 2021, mais la météo a décidé de jouer les trouble-fête. En effet, la montée du niveau du Doubs ne permettra pas aux participants de sillonner les rues bisontines pour cette dernière étape. Néanmoins, ils se rendront sur le site de la Malcombe pour un parcours de type trail, qui reste cependant relativement accessible à tous les publics. « Nous irons comme en 2019 à la Malcombe pour cette dernière étape, qui restera accessible à tout le monde malgré le profil de la course » nous confie Sébastien Jouanneau. De quoi finir en beauté cette édition 2021 des défis de la boucle.

 

Interview de la rédaction, Sébastien Jouanneau (Organisateur des défis de la boucle) :

Les sapeurs-pompiers du Jura sont intervenus ce mardi matin vers 11h30 sur la RN5 à hauteur du Vaudioux, dans le Jura, pour un accident impliquant un poids lourd de type grumier et un TER. La circulation et le trafic SNCF ont été coupés pour une durée indéterminée. 27 sapeurs-pompiers et 11 engins ont été déployés sur les lieux. 8 personnes ont été laissées sur place.