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Ils sont repartis pour de nouvelles aventures. Pour la dixième année, la troupe « les Egarés Â» du lycée Edgar Faure de Morteau remonte sur scène pour présenter le fruit de son travail. Encadrés par une équipe d’enseignants passionnés et Romain Jaillet, comédien professionnel, les lycéens préparent dans le plus grand secret cette nouvelle prestation. Depuis le début de l’année, à raison de dix séances, le mercredi après-midi, ils ont écrit et travaillé cette nouvelle pièce, baptisée « Natures Mortes Â».

Comme chaque année, cette initiative permet d’animer le territoire, mais également de sensibiliser des adolescents à cette pratique et tout ce qu’elle permet en termes de développement personnel, de confiance en soi, d’expression orale et de partage et d’investissement autour d’un projet commun.

Deux représentations programmées

Pour cette nouvelle édition, trois morceaux de musique live ont été intégrés. Ils seront interprétés par quelques comédiens musiciens. Les jeunes se produiront devant d’autres lycéens, mais deux représentations, à destination du grand public, sont également prévues. Elles se tiendront le mercredi 1er mai et le vendredi 3 mai à 20h30 au théâtre de Morteau. Entrée libre.

L'interview de la rédaction : Alix, une jeune comédienne

 

A compter du 2 avril, et jusqu’au 11 avril, dans le cadre du festival « Les Inclusifs Â», les bibliothèques municipales de Besançon organiseront une semaine d’animations autour du handicap afin de partager, reconnaître et accepter les différences visibles ou invisibles de chacun. Il sera notamment proposé des séances de jeux avec l’association des Familles de Traumatisés Crâniens, des lectures d’histoires et de comptines signées, pour apprendre tout en s’amusant la Langue des Signes Française, mais aussi plusieurs ateliers de sensibilisation à la déficience visuelle et à l’initiation du braille, ainsi qu’à la création d’une histoire tactile avec la fabrication d’un objet. Toutes les informations sont à retrouver sur le site https://sortir.besancon.fr/2024/03/13/festival-les-inclusifs-3eme-edition/

Ce lundi après-midi, à la Citadelle, l’Académie de Besançon et la Ville de Besançon ont signé une convention de partenariat concernant le Musée de la Déportation et de la Résistance. Mme Albert Moretti, rectrice de la région académique Bourgogne Franche-Comté, et Anne Vignot, Maire de Besançon, ont officialisé cet instant. Les deux entités ont acté ce qui existait déjà depuis 50 ans, mais qui méritait sans doute d’être davantage formalisé en cette période d’instabilité et d’incertitude dans le domaine géopolitique.

Depuis une cinquantaine d’années, le rectorat de Besançon met à la disposition de l’établissement bisontin des professeurs d’histoire, qui œuvrent au sein d’un conseil scientifique dans le but de toujours et encore d’informer et éclairer sur cette triste période de notre histoire contemporaine. Anne vignot y voit un musée, dont les collections doivent permettre de contextualiser, d’aider à la compréhension et de conduire à la réflexion, pour éviter de reproduire les mêmes erreurs et conserver une paix fragile et toujours très dangereusement menacée, alors que la guerre s’est imposée aux portes de l’Europe.

« Ce partenariat acte notre engagement en faveur du devoir de mémoire, de la lutte contre toutes les toutes les formes de haine et de discrimination. C’est aussi être en mesure de préparer les visites de nos élèves qui viennent ici découvrir, apprendre et réfléchir sur ces sujets, absolument fondamentaux, qui font l’histoire de notre République » termine Nathalie Albert Moretti.

L'interview de la rédaction : Nathalie Albert Moretti

Dans le cadre de la journée internationale des forêts, des évènements gratuits sont proposés sur le territoire bisontin ce samedi. De 9h30 à 21h, au hameau des Grandes Baraques, dans la forêt de Chailluz, le public pourra participer à des animations, des découvertes, des balades et des temps d’observation. Tous les publics sont concernés. A noter qu’9h30, une toute nouvelle activité de nettoyage de la forêt sera proposée sur une durée d’une heure par la Petite Ecole dans la forêt et le Sybert ( gants conseillés, non fournis).  

Ce samedi 9 mars, les MFR ouvrent leurs portes au public. Depuis plusieurs années, la pédagogie, mise en Å“uvre dans ces établissements, plaît à de nombreux jeunes et leurs familles. Grâce à leurs formations en alternance, pendant laquelle la moitié du temps se déroule en entreprise, et la mise en situation professionnelle qu’elles proposent, les MFR   rassemblent un très large public, parfois en échec scolaire, désireux d’apprendre un métier et de le pratiquer vraiment.

« Pendant très longtemps, notre slogan a été « réussir autrement Â». L’idée est de proposer une solution alternative, avec une pédagogie centrée sur le réel, l’apprentissage et la vie en collectivité Â» explique Olivier Cucherousset, le directeur des MFR de Bourgogne-Franche-Comté. Et de poursuivre : « au-delà de faire des bons professionnels, on cherche aussi à responsabiliser et transmettre des valeurs d’engagement Â» explique le responsable.

De la 4è au BTS

Les jeunes dès la 4è peuvent rejoindre ces établissements. Les classes de 4è et de 3è sont considérées comme des temps d’orientation. Les élèves suivent ensuite un cursus d’apprentissage, en alternance, en CAP, bac professionnel et BTS pour ceux qui le souhaitent. La palette des métiers est riche. Les domaines de l’agriculture, des services à la personne, du commerce, de la sécurité, des travaux publics, … sont enseignés. Avec 90% d’insertion dans le monde professionnel, la structure répond aux attentes des entreprises et de ses élèves, « qui ont une véritable appétence pour ce mode d’enseignement Â» conclut M. Cucherousset.

Pour tout savoir sur ce samedi de portes ouvertes : https://www.mfr-bfc.fr/

L'interview de la rédaction : Olivier Cucherousset, directeur des MFR de Bourgogne Franche-Comté

Ce jeudi 7 mars, le lycée Jeanne d’Arc de Pontarlier organise son 9è forum des métiers. Pour cette nouvelle édition, 70 professionnels, issus de très nombreux secteurs d’activité seront présents. Ils répondront aux questions et choix professionnels des 400 collégiens attendus lors de cet après-midi consacré à l’orientation. Des jeunes, scolarisés en troisième, venus de Pontarlier, Morteau et Labergement-Sainte- Marie.

« Notre objectif est de créer des interactions entre le monde professionnel et ces collégiens, auxquels on demande de préparer leur avenir, pour se projeter sur du court terme, d’ici la fin de l’année scolaire, pour se trouver une orientation Â» explique Philippe Besson, le directeur- adjoint de l’établissement scolaire du centre-ville pontissalien. Et de poursuivre : «  Cela permet de se confronter aux exigences du monde professionnel et de découvrir des parcours différents. Ces échanges leur donnent des perspectives et cela leur permet de voir que tout est possible, qu’il ne faut rien s’interdire Â».

Si beaucoup d’entre eux s’orienteront vers une seconde générale, le lycée Jeanne d’Arc veut intéresser ces jeunes au monde de l’entreprise et les placer au contact de ce milieu et de ses acteurs. « La diversité des parcours professionnels proposée doit permettre à chacun de trouver une voie, un cheminement possible Â» conclut Philippe Besson.

L'interview de la rédaction / Philippe Besson, directeur-adjoint du lycée Jeanne d'Arc à Pontarlier

Les associations bisontines, engagées dans un projet de solidarité internationale ou d’éducation à la citoyenneté mondiale, ont jusqu’au 1er avril pour envoyer leur formulaire de candidature. Un montant total de 15.000 euros, répartis entre les différents projets retenus, est prévu par la collectivité.

Le document est à envoyer par courrier : Ville de Besançon, Service des Relations Internationales 2, rue Mégevand, 25034 Besançon Cedex ou par mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Pour la 14è année, l’association AEKB de l’école de kinésithérapie de l’université de Franche-Comté organise sa « pause kiné Â». Elle se déroulera les 10 et 11 février prochains, de 9h à 20h à Besançon,  dans les murs de la structure.  Un évènement annuel toujours très plébiscité et qui accueille des centaines de visiteurs désireux de vivre un moment de relaxation. Pour les accueillir, les étudiants, de licence 1 au master, se mobilisent pleinement cette année encore.

Les jeunes praticiens  y voient un bon moyen de parfaire leur pratique professionnelle, mais également de récolter des fonds qui vont leur permettre d’organiser des soirées et des actions étudiantes. La prochaine, le gala annuel des étudiants kiné, se déroulera en février prochain. Cet argent permettra notamment de réserver le Kursaal.

Deux formules

Deux créneaux de massage sont au programme. Des interventions d’une demi-heure et d’une heure sont proposées. Comme chaque année, le succès est au rendez-vous. Il reste encore quelques places sur les temps du matin et de la fin d’après-midi de dimanche.  Les personnes désireuses de vivre cet instant de bien-être doivent s’inscrire. Elles peuvent le faire via la plateforme « Hello Asso Â» ( taper « Hello Asso pause kiné Â» dans la barre de recherche Google). Il est également possible de contacter les organisateurs par téléphone, en composant le 06.88.66.38.63.

L'interview de la rédaction : Nicolas Stampfler et Lucas Roche, président et vice-président de l'AEKB

 

La plateforme « MonMaster.gouv.fr Â» reprend du service ce lundi. Lancée l’an dernier, en février 2023, elle centralise les dossiers d’inscription des étudiants qui souhaitent poursuivre leurs études et décrocher un diplôme de niveau bac+5 à l’université ou dans une grande école. La procédure redémarrera en début de semaine prochaine. L’an dernier, plus de 3.500 formations et 8.000 parcours de master qui étaient proposés.

On en sait plus sur l’uniforme que porteront les élèves des établissements scolaires, engagés dès cette année, dans l’expérimentation du port de l’uniforme à l’école. Une centaine d’établissements sont concernés cette année, avant une éventuelle généralisation en 2026. Ce dernier, qui sera proposé aux collectivités,  se composera d’un polo blanc ou gris, d’un pull bleu marine et d’un pantalon gris, ainsi que d’une blouse pour les enfants de maternelle. Un espace permettra à la collectivité d’y faire apparaître son logo, en finançant une partie du coût.