Ce vendredi soir, Doubs Terre de Trail organisait sa soirée des champions au Palais des Sports Ghani Yalouz à Besançon. Le challenge Procompta est un moment très attendu dans la saison puisqu’il récompense les traileuses et les traileurs qui se sont illustrés durant cette saison perturbée par la crise sanitaire ambiante.

Pour cette édition 2021, une quinzaine d’épreuves se sont déroulées, contre 25 habituellement. Lors de chacun de ces rendez-vous, des points sont attribués et un classement général est arrêté. Cette compétition dans la compétition apporte une effervescence supplémentaire. Des cadets (16 ans) aux seniors, dont le plus âgé a 72 ans, des récompenses sont attribuées. On compte environ une cinquantaine de lauréats. Pour figurer dans ce riche palmarès, il faut avoir participé à au moins trois courses.
L'nterview de la rédaction / Thomas Dubourgeois, président de Doubs Terre de Trail

Et l’avenir ?
La saison est désormais terminée. La trail qui s’est disputé à Montbéliard, il y a 15 jours, a donné un coup de sifflet final. La reprise est prévue fin mars. Tout le monde souhaite que le nouveau calendrier soit le plus complet possible. Une organisation qui sera visible désormais sur une application mobile, une première nouveauté annoncée pour l’année prochaine.

Ce vendredi, les policiers bisontins sont intervenus sur le parking d’un supermarché, implanté rue Brûlard à Besançon. Il s’agissait d’un différend entre un couple. La victime a déclaré que le père de ses enfants l’avait poussée et menacée de mort. Il l’aurait blessée aux doigts en lui arrachant la clé de son appartement des mains. L’individu, âgé de 27 ans, a été placé en garde à vue. Cette dernière est toujours d’actualité ce vendredi soir.
Un homme de 48 ans devra s’expliquer en mars prochain devant la justice. Il est soupçonné d’avoir commis des violences conjugales sur son ex-compagne. Le couple était séparé depuis un an. L’individu était venu voir sa victime pour examiner le contenu de son téléphone portable. Cette dernière s’est vue prescrire 3 jours d’ITT. Sa garde à vue, qui a commencé la veille, s’est terminée ce vendredi après-midi. Précisons que la femme est âgée de 39 ans.
La police de Pontarlier lance un avis de recherche. Un jeune homme de 17 ans n’a plus donné signe de vie depuis ce jeudi, vers 17h. La dernière fois qu’il a été aperçu, il se trouvait sur la place Saint Bénigne. Cet adolescent mesure 1,75 mètre. Il est de type européen. Il est mince. Ses cheveux, longs, sont châtain-clair. Ses yeux sont bleus. Au moment de sa disparition, il était habillé en noir. Toute personne qui a des informations à communiquer doit contacter le commissariat au 03.81.38.51.10
La Ville de Besançon mène une politique ambitieuse visant à faciliter l’accès de tous à la culture. Cela concerne notamment les personnes en situation de handicap. Lorsqu’il a été rénové, le Musée des Beaux-Arts et d’Archéologie a été pensé pour faciliter l’accueil, les déplacements de ce public et l’accès aux œuvres. Actuellement, c’est le musée du Temps qui connaît une rénovation identique.
Ces travaux s’inscrivent dans une série d’actions et de moyens mis en place, tels que le recrutement de médiateurs culturels, d’une référente handicap, l’organisation d’animations pour tous pour mieux faire découvrir les œuvres, en s’adaptant aux handicaps de chacun, et la création d’outils d’aide à la visite. Différents supports existent, dont l’audiodescription, qui impose une rigueur dans le choix des mots afin de décrire et faire vivre au mieux l’œuvre présentée, et l’écriture inclusive. Preuve de cette volonté, ce vendredi, la Ville et le Musée ont profité de la journée internationale des personnes handicapées pour proposer une visite de l’exposition « en toute discrétion » en langue des signes. Il a également été présenté le plan tactile de l’établissement, financé par le Lion’s Club Lumière de Besançon.
D’autres publics ciblés
Si les personnes en situation de handicap font l’objet de toutes les attentions, la Ville de Besançon s’intéresse également à la situation des personnes en Ehpad, hospitalisées, isolées ou les sans domiciles fixes. Les exemples ne manquent pas. Durant le confinement, la cité comtoise a par exemple développé l’initiative « le musée au bout du fil » pour créer du lien. Au cours de son discours introductif, Nicolas Surlapierre, le directeur des Musées du centre-ville de Besançon, a reconnu, en toute objectivité, la politique ambitieuse que mène la cité en la matière.
l'interview de la rédaction / Nicolas Surlapierre
Jacques Grosperrin, sénateur du Doubs, porte-parole et référent de Valérie Pécresse pour la Franche-Comté, appelle les adhérents de la région à la soutenir en votant pour elle lors du deuxième tour de la primaire des Républicains qui se terminera ce samedi. Rappelons qu’Éric Ciotti est arrivé en tête avec 25,59% des voix et Valérie Pécresse deuxième avec 25%. Michel Barnier a terminé troisième (23,9 %), suivi de Xavier Bertrand (22,4 %) et Philippe Juvin (3,1 %).
« À l’issue du premier tour de la primaire, nous connaissons les deux qualifiés pour l’investiture. J’ai une pensée pour tous les candidats éliminés. Ils participeront à la belle équipe de France qui saura nous conduire à la victoire en avril prochain. Et je félicite Éric CIOTTI pour le score important qu’il a réalisé.
Référent et porte-parole de Valérie PÉCRESSE pour la Franche-Comté, j’appelle tous les électeurs de cette primaire à se tourner vers elle pour le deuxième tour. Je sais que beaucoup vont le faire dans notre parti. Je connais bien Valérie PÉCRESSE, depuis longtemps. Ses compétences. Son opiniâtreté »
À l'occasion de la journée du climat le mercredi 8 décembre prochain et comme de nombreuses villes en France, la Ville de Pontarlier a souhaité, pour la deuxième année consécutive, soutenir cette initiative en proposant plusieurs animations. En parallèle de ces actions, la Ville invite toutes les structures présentes sur son territoire à s'emparer du sujet et à faire preuve d'initiatives durant cette semaine thématique. Les règles sanitaires en vigueur seront appliquées. Le port du masque et le pass sanitaire sont obligatoires selon l'âge des personnes.
• Conférence « Enrichissons-nous, écolomisons ! »
Laurent NOURDIN propose d’alimenter notre regard critique afin d’aborder au mieux les changements à venir. "Le changement de nos habitudes peut nous permettre de faire des économies, tant favorables à notre porte-monnaie qu’à la planète !"
> Mercredi 8 décembre à 20h00 (accueil à partir de 19h45)
> Salle Morand
> Entrée libre
• Ateliers de la Fresque du climat
> Samedi 11 décembre de 9h à 12h
> Salle polyvalente de l'école primaire Vauthier (les ateliers pourront être effectués en ligne si les conditions sanitaires l'obligent)
> Événement gratuit
> 1 atelier enfant et 2 ateliers adultes (modulation possible selon les inscriptions)
> Inscription en ligne ici ou par mail à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
L’Intersyndicale des Personnels de l’Éducation Nationale de l’académie de Besançon se félicitent « du retour à la raison » du rectorat, autorisant Jean-Christophe Peton à retourner devant ses élèves du lycée du Bois de Mouchard. Le professeur de lettres avait été suspendu à titre provisoire pour avoir mis en cause le rôle de l'Éducation nationale lors de l’affaire Samuel Paty. Pour autant, ils tiennent à réaffirmer leur incompréhension face à une réponse qu’ils jugent inappropriée, alors que le débat autour des conditions de l’hommage à Samuel Paty était l’occasion pour l’Institution, selon eux, de répondre aux questionnements et aux inquiétudes des personnels.
L’intersyndicale souhaite que soient tirées toutes les conclusions de cet épisode fâcheux afin qu’il puisse être le départ d’une véritable relation de confiance entre l’Administration et ses enseignants afin de faire vivre au quotidien la liberté d’opinion et d’expression.
Le 14 octobre dernier, sur la plateforme Pronote et sur son compte Twitter, le professeur avait réagi à l’organisation d’une minute de silence en hommage à Samuel Paty, un an après son assassinat :
« Avant d’être égorgé, Samuel Paty a été abandonné par sa hiérarchie, l’Éducation nationale et ses sbires, et même tancé pour avoir montré des caricatures qui pouvaient heurter X ou Y ou Z. Aujourd’hui, la même hiérarchie nous intime une minute de silence pour lui rendre hommage. Cette minute de silence, il faut la faire, pour lui, évidemment. Mais ne soyons pas dupes de l’hypocrisie de l’institution et de ses relais. »
Après onze années de réflexion, d’études et de travaux, le poste électrique de Pontarlier, apparu au début des années 80, a été entièrement rénové. L’objectif est de moderniser et renforcer la performance du réseau électrique et améliorer son intégration dans l’environnement. Cette infrastructure, essentielle du réseau électrique, assure la jonction entre le Réseau de Transport d’Electricité de 63.000 volts, géré par RTE, et le réseau de distribution de 20.000 volts, géré par Enedis.
« Cet équipement nécessitait d’être modernisé pour des raisons environnementales, avec notamment la réduction des impacts acoustique et visuel, une meilleure qualité de fourniture pour le secteur et s’adapter à la transition écologique pour accueillir les nouveaux usages de l’électricité, comme la mobilité électrique, l’autoconsommation et l’intégration de production d’énergie renouvelable sur le secteur » explique Thierry Brault, le directeur régional d’Enedis en Alsace Franche-Comté.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Ce poste alimente 18.910 clients basse tension avec 432 postes de distribution publique. Il est équipé de trois transformateurs de 63.000 volts/20.000 volts, qui acheminent l’énergie électrique sur 14 lignes moyenne tension. Le coût de cette transformation s’élève à 20 millions d’euro.
L'interview de la rédaction / Thierry Brault - Directeur régional Enedis en Alsace Franche-Comté
Concernant la crise du covid-19. Dans son bilan hebdomadaire, le rectorat de Besançon indique que trois structures scolaires sont actuellement fermées et 74 classes à distance bénéficient de la continuité pédagogique dans l'académie. Il s’agit d’un collège et de deux écoles. Par ailleurs, 1.274 élèves et 81 personnels sont cas confirmés à la Covid-19 en cumul sur les 7 derniers jours. Ces données ont été arrêtées à la date du jeudi 2 décembre à 13 h.