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La garde à vue d’un homme de 33 ans a été prolongée à Besançon. Le 17 août dernier, vers 18h30, rue Van Gogh, il a été retrouvé en possession de 230 grammes de résine de cannabis dans des petits pochons et 310 euros. Lors d’une perquisition menée à son domicile, plus de 10 grammes d’une poudre blanche, correspondant à des médicaments réduits en poudre, a été constaté dans plusieurs doses et une boite ronde. Lors de son audition, le mis en cause a nié les faits, mais a reconnu prendre de la cocaïne.

Un homme de 35 ans a été placé en garde à vue à Besançon. A l’intérieur de sa sacoche, il a été retrouvé 163 grammes de résine de cannabis, 8 grammes d’herbe de cannabis et 10 grammes de cocaïne. Une perquisition à son domicile a permis la découverte de 270 euros et 30 autres grammes de résine de cannabis.

Lors de son audition, il a expliqué que la sacoche lui avait été confiée et qu’il lui avait été demandé de la jeter. Il n’a pas souhaité donner le nom du commanditaire. Concernant les stupéfiants et l’argent retrouvés lors de la perquisition, il s’agirait de sa consommation personnelle et de ses économies, selon ses dires.

C’est une belle saison qui se prépare à l’Entente Saône Mamirolle. Pour la première fois de son histoire, l’équipe seniors garçons disputera le championnat de nationale 3 de handball. Pour réussir son maintien, la direction du club a confié son équipe fanion à  Thierry Escot, venu du Grand Besançon Doubs Handball. Sept nouvelles recrues, dont deux retours au club, sont venus renforcer le collectif existant. Ces nouveaux joueurs arrivent du GBDH (3), Val de Gray (2) et Pontarlier (1). Avec une moyenne d’âge d’environ 25 ans, le groupe reste sur une belle saison. Ce qui lui a valu cette montée historique ; Une situation très favorable, mais  qui interroge aussi sur la capacité du collectif à surmonter les obstacles lorsqu’il sera mis en difficulté et sorti de sa zone de confort

Convivialité et performance  

Joueurs et entraîneurs devront se montrer à la hauteur. Emmanuel Clerget et Jean-Baptiste Maliverney, les deux présidents du club, ont fixé les objectifs sportifs, qui doivent répondre au projet « Horizon 2025 Â». L’ambition est d’atteindre la nationale 1  pour les filles, qui évoluent actuellement en nationale 2, et le maintien en  N3 pour les garçons. Les valeurs de convivialité et de performance devront être respectées pour atteindre ou confirmer les résultats souhaités.

La formation

Avec 300 licenciés , l’Entente Saône Mamirolle est l’un des plus gros clubs de la région. Pour les dirigeants, la progression et les performances passent par la formation. C’est ce que tous les éducateurs s’attachent à faire auprès des jeunes catégories. Et ce, dès le niveau baby ( 4-6 ans)

Un nouvel entraîneur déterminé

En changeant de vestiaires, Thierry Escot avait envie de se lancer un nouveau challenge. Il a su séduire les dirigeants saônois. Le nouveau technicien est satisfait de la place et de la confiance qui lui sont accordées. Néanmoins, il sait que dans le sport rien n’est gagné. C’est la raison pour laquelle, il avance par étapes et attend les premières échéances pour évaluer encore la situation.

Premier match de préparation

Au terme de ces trois semaines de préparation, le groupe disputera son premier match amical ce samedi face à Palente. Trois autres matches face à Val de Gray, les -18 ans du GBDH, Lure et Pontarlier sont programmés. La reprise officielle est prévue le 10 septembre. Un beau week-end de sport est annoncé puisque les deux équipes seniors joueront à domicile. Les garçons affronteront Strasbourg Schiltigheim. En nationale 2, les filles seront opposées à Dambach-la-Ville

L'interview de la rédaction / Emmanuel Clerget (co-président) et Thierry Escot ( entraîneur principal)

Publié dans Actualités

Plusieurs matches de préparation sont à suivre ce vendredi soir. En basket, le BesAC affronte la Charité-sur-Loire, une formation de nationale 2. Le coup d’envoi sera donné à 19h au gymnase Saint-Claude à Besançon. A suivre également, l’opposition entre l’ESBF et Bourg-de-Péage, à 18h, à Morteau et le GBDH face à Vesoul, qui évolue nationale 1, en Haute-Saône à 20h.

Les filles de Palente Orchamps ont bien négocié leur match de préparation de ce jeudi soir. Elles se sont imposées sur le score 33 à 17 face à Chevigny-Saint-Sauveur au gymnase des Orchamps. La prochaine rencontre est programmée ce vendredi soir, à 20h,  Ã  Vaulx-en-Velin Handball. La reprise du championnat en D2 féminine est prévue le 3 septembre.

Une bonne nouvelle pour Alstom. La SNCF a passé commande à la firme de 15 TGV de nouvelle génération supplémentaires. Ils s’ajoutent aux 100 véhicules déjà achetés il y a quatre ans. Le montant du contrat s’élève à 590 millions d’euros. Ces équipements pourront être déployés sur les différentes lignes françaises et des pays voisins. Notre région est concernée puisque les sites de Belfort et d’Ornans participeront  à la construction de ces nouvelles machines.

Une nouvelle rentrée universitaire se profile à l’horizon. Cette année encore, la précarité des étudiants sera une réalité. Selon des chiffres communiqués par les syndicats, plus d’un étudiant sur deux doit travailler pour financer ses études. Une situation peu favorable pour réussir. D’ailleurs, fautes de moyens financiers, certains mettent un terme à leurs études.

Une précarité à laquelle on s’habitue

De tristes situations apparaissent dans notre quotidien. Elles se sont multipliées depuis ces deux dernières années. De nombreux jeunes doivent faire appel à l’aide humanitaire pour vivre. Les longues files d’attente  Ã  l’entrée des Restos du CÅ“ur et autres associations caritatives sont devenues monnaie courante. Des images insoutenables qui, malheureusement, se banalisent. « La sélection ne s’effectue plus par sur les résultats. Elle est devenue financière Â» déplore Wiam Bama, secrétaire départementale du syndicat salariés étudiants CGT dans le Doubs. Et de conclure : « Faire des études supérieures est devenu un luxe Â».

Une nouvelle augmentation du coût de la rentrée universitaire

Selon la traditionnelle étude de la FAGE, cette année, le coût moyen de la rentrée pour un étudiant non boursier s’élève à 2.527 euros. Soit une augmentation de 7,38% par rapport à l’année 2021. Frais d’inscription, logement, alimentation, … autant d’impondérables auxquels les étudiants doivent faire face. Les syndicats et associations étudiantes demandent aux autorités de prendre conscience de cette situation et de mettre en marche les politiques nécessaires pour faire évoluer favorablement cette situation.

L'interview de la rédaction / Wiam Bama, secrétaire départementale du syndicat salariés étudiants CGT dans le Doubs

L'allocation de rentrée scolaire est versée depuis ce mardi 16 août en métropole. Une aide qui est la bienvenue car cette année, le prix des fournitures scolaires va flamber. Cartables, cahiers, stylos et agendas n’échappent pas à l’inflation et à l’envolée des prix des matières premières. Inquiète, la Fédération des Conseils de Parents d’Elèves tire la sonnette d’alarme à quelques jours de la rentrée, et pointe aussi du doigt le manque criant d’enseignant.

 

Des fournitures scolaires onéreuses

A deux semaines de la rentrée, c’est une nouvelle dont les parents se seraient bien passés. Causé par l’inflation et l’envolée des prix des matières premières, le prix des fournitures scolaires explose. Cette hausse devrait s’élever de 10 % à 40 %, selon les produits. L’inflation qui était annoncée à 5 % en juin a désormais atteint 6 %. Par rapport à la rentrée 2021, des hausses de 20 à 25 % au rayon papeterie, de plus de 30 % côté stylos et surligneurs et de 40 % sur les calculatrices ont été constatés, rapportent nos confrères de Sud Ouest. Les conséquences ? Des paquets de copies qui passent de 4 à près de 6 euros et des cahiers qui prennent +0,50 €. Cela ne paraît pas énorme mais quand vous multipliez par le nombre de produits et le nombre d’enfants, l’écart devient significatif. Le papier sous toutes ses formes coûte de plus en plus cher, l’augmentation du prix des matières premières et de l’énergie en est la principale cause.

 

L’ARS, une aide à destination de 3 millions de français

L'allocation de rentrée scolaire est versée depuis ce mardi 16 août à tous les bénéficiaires. Plus de 3 millions de familles sont concernées en France. Cette prestation sociale est versée annuellement peu avant la rentrée par les caisses d'allocations familiales et les caisses de mutualité sociale agricole. Elle est versée sous conditions de ressources aux familles ayant à charge au moins un enfant scolarisé âgé de 6 à 18 ans pour les aider à financer l'achat des fournitures scolaires. Elle fait partie des prestations qui augmentent de 4% dans le cadre du projet de loi "pouvoir d'achat" pour faire face à l'inflation. Pour la rentrée 2022, son montant va augmenter d'une quinzaine d'euros en moyenne.

 

La colère des parents d’élèves

Attachés au principe de gratuité de l’école, cette hausse des prix reste en travers de la gorge des parents d’élèves. D’autant plus que l’allocation de rentrée scolaire, revalorisée cette année, n’est pas suffisante selon la FCPE, « ne faisant que s’aligner sur l’inflation Â». Autre inquiétude de taille pour les parents d’élèves : le manque cruel d'enseignants dans l’académie, et en règle générale, dans toute la France. « L’augmentation du coût de la rentrée est une préoccupation de la FCPE qui occupe une place importante. Mais ce qui nous inquiète aussi vraiment, c’est le manque d’enseignant. Ça fait des années qu’on tire la sonnette d’alarme sur les remplacements qui ne sont pas faits, les heures de classe qui ne sont pas pourvues. Et cette année encore, on s’attend à une dégradation très importante Â» souligne Isabelle Cauwet, membre du conseil d’administration de la FCPE du Doubs.  

 

Isabelle Cauwet, membre du conseil d’administration de la FCPE du Doubs : 

 

 

 

Un accident mortel s’est produit ce jeudi, vers 13h, à Trevillers (25). Une seule voiture est en cause. Un homme de 77 ans n’a pas survécu à ses blessures. Il a été éjecté de son véhicule qui a fait plusieurs tonneaux.

La 58è édition du Tour de l’Avenir, véritable révélateur de talents,  prendra officiellement son départ ce vendredi 19 août. L’arrivée est prévue le 28 août. On notera bien évidemment le passage du peloton en terre jurassienne lors de la 6è étape. Soit un parcours de 123 kilomètres entre Saint-Amour et Oyonnax par les communes de Balanod, Arinthod et Thoirette, pour ne citer qu’elles.