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L’Usine Nouvelle a classé en 29è position la structure SUPMICTORECH de Besançon dans son dernier palmarès national des écoles d’ingénieurs.  Avec une note globale de 54/100, la structure brille particulièrement dans les catégories de l’international, avec un 15ème rang et de la proximité avec les entreprises, avec une 36ème position. Deux axes stratégiques de son projet d’établissement. Ces bons résultats confirment la bonne implantation de l’école, avec un taux d’employabilité de près de 76%,  deux mois seulement après la fin du parcours de formation des étudiants.

Ouvert depuis la dernière rentrée universitaire, le centre d’enseignement et de soins dentaires du CHU de Besançon est une réalité. Il a fallu beaucoup d’abnégation et d’engagement des locaux pour que ce projet se concrétise. Pourtant son utilité pour le territoire, en manque de praticiens, ne fait aucun doute. Lancé en 2017, l’établissement a fini par enfin sortir de terre.

formation dentiste 2

L'interview de la rédaction : Professeur Edouard Euvrard

 

18 millions d’euros

Si les demandes administratives et de financements, qui se poursuivent d’ailleurs, ont été longs et fastidieux, il n’aura fallu qu’une année pour que le bâtiment sorte de terre. Le coût global des travaux s’élève à 18 millions d’euros. Trois millions d’euros ont été investis pour les équipements.

L'interview de la rédaction : Professeur Edouard Euvrard

40 salles de soins

Actuellement, une vingtaine d’étudiants, en quatrième année, sont accueillis. Lors de la prochaine rentrée universitaire, ils seront une centaine, issus des quatrième et cinquième années,  à investir les lieux. Rappelons que la formation se déroule en six années d’études. Ce n’est qu’à partir de la quatrième année que les futurs praticiens accèdent à une pratique plus approfondie et se retrouvent en face de patients. D’où l’utilité de ce nouvel espace et de ses 40 salles équipées pour l’acquisition des savoir-faire.

FOMATION DENTISTE

 

Une nouvelle offre

L’établissement n’est pas qu’un lieu de formation, il permet aussi de prodiguer de soins. Des créneaux sont ouverts à destination des personnes qui ne parviennent pas à obtenir de rendez-vous ou en situation de précarité. Sous la responsabilité des professionnels, des prises en charge sont effectuées.

L'interview de la rédaction : Thierry Gamond-Rius, directeur du CHU

L'interview de la rédaction  : Thierry Moulin, professeur de neurologie et directeur de l'UFR santé à l'université de Franvhe-Comté

 

Ce mercredi 18 février s’est ouverte la plateforme nationale de préinscription en première année de l’enseignement supérieur, Parcoursup. Désormais sont consultables les formations proposées pour la rentrée 2025. Pas toujours facile de s’y retrouver parmi les 23.000 parcours proposés.

Un ensemble d’informations y figurent : établissements, taux de réussite, débouchés, nombre de places disponibles, frais de scolarité… . A compter du 15 janvier, débuteront officiellement la période des inscriptions et de formulation des vœux.

Une journée nationale de mobilisation, baptisée « Budget 2025 : université en danger » se tient ce mardi 3 décembre dans de nombreuses villes universitaires de France. C’est dans ce cadre-là que Macha Woronoff, la présidente de l’université de Franche-Comté,  a tenu une conférence de presse pour exprimer ses inquiétudes et sa colère quant aux répercussions qu’aura le projet de loi de finances 2025 sur le fonctionnement et l’investissement de ces établissements, s’il s’appliquait en l’état. La mobilisation de Mme Woronoff s’inscrit dans un mouvement d’ampleur nationale, que 88 présidents d’université ont rejoint.

woronoff universités en danfger

Au total, ce sont 500 millions d’euros de nouvelles charges qui ne sont pas compensées pour 2025, dont 310 millions en masse salariale. La dernière goutte qui a fait déborder le vase est la décision de créer un fond de réserve de solidarité prélevé sur leurs dotations. Au total, pour la seule université de Franche-Comté, ces mesures financières impacteraient l’établissement franc-comtois à hauteur de 22 millions d’euros en 2025. Cette situation n’est pas nouvelle. Elle ne cesse de se dégrader depuis 2022.

L'interview de la rédaction : Macha Woronoff

Quels impacts ?

Ce contexte a indéniablement un impact direct sur les missions de l’université. Concrètement, elle l’obligerait à prendre des décisions douloureuses : limitation des capacités d’accueil sur Parcoursup, fermeture des sites universitaires délocalisés, arrêt des rénovations du patrimoine immobilier vieillissant ou encore réduction des services aux étudiants.

L'interview de la rédaction : Macha Woronoff

Augmentation des frais d’inscription

C’est un pas que Macha Woronoff, la présidente de l’université de Franche-Comté, ne franchira pas. « Une solution qui pénaliserait les étudiants, déjà touchés par la précarité et qui creusent les inégalités sociales ». Actuellement, en Franche-Comté, plus de 50% des étudiants sont obligés de travailler pour financer leurs études. L’université de Franche-Comté compte 40% d’étudiants boursiers.

L'interview de la rédaction : Macha Woronoff

Une présidente déterminée

Macha Woronoff entend poursuivre la mobilisation. Elle se dit complètement engagée dans ce mouvement et entend bien continuer à jouer « un rôle actif ». Le budget de l’université de Franche-Comté devrait être voté le 17 décembre prochain. Quoi qu’il en soit, le Conseil d’Administration de l’université se positionnera sur un exercice comptable en déficit de 3,4 millions d’euros.

 

25.000 étudiants sont inscrits à l’université de Franche-Comté à Besançon. Soit 21% des habitants de la ville de Besançon et 12% de la population de Grand Besançon Métropole. Environ 40% d’entre eux sont boursiers. Les étudiants bisontins, comme leurs camarades d’autres territoires, souffrent. La précarité est bien réelle et beaucoup de jeunes, sur le territoire bisontin également, choisissent de ne pas poursuivre leurs études,  au-delà de leur première années de licence, faute de ressources.

Dans le Grand Besançon, Sébastien Coudry est l’élu en charge de la vie étudiante.  La politique qu’il mène a pour objectif de proposer un territoire de vie et d’études dans lequel les jeunes peuvent s’épanouir, se former et vivre le plus décemment possible. Dans cet objectif, Grand Besançon Métropole a soutenu et soutient plusieurs projets. Elle a participé financièrement au (Li)ve, le lieu de vie étudiants à la Bouloie,  a contribué à la naissance d’une ressourcerie et d’une épicerie sociale étudiante ou encore a développé une politique tarifaire plus abordable  concernant les transports urbains, …. 

L'interview de la rédaction : Sébastien Coudry,  l’élu en charge de la vie étudiante.

 

Appel à projets

Dans le cadre de son budget spécifique, Grand Besançon Métropole lance cette année trois appels à projet. L’objectif est de permettre aux institutions et aux associations de proposer des initiatives, répondant à différents enjeux. Tels que la lutte contre la précarité, la transition écologique ou  la lutte contre les discriminations. Les personnes intéressées ne doivent pas hésiter à contacter Grand Besançon Métropole ou le CROUS Bourgogne Franche-Comté.

L'interview de la rédaction : Sébastien Coudry,  l’élu en charge de la vie étudiante. 

Suite à la situation d’un étudiant bisontin, contraint au redoublement, après avoir été hospitalisé en urgence, le jour de ses épreuves écrites de BTS, le député Modem doubiste Laurent Croizier a déposé une proposition de loi instaurant des sessions de remplacement pour les candidats hospitalisés.

« Alors que les examens du baccalauréat, du certificat d’aptitude professionnelle, ou du brevet professionnel prévoient des sessions de remplacement, une absence à une épreuve du Brevet de Technicien Supérieur pour une cause de force majeure est sanctionnée par la note zéro » pointe le parlementaire. Cette proposition de loi transpartisane a été cosignée par 35 députés de 9 groupes différents.

L’université de Franche-Comté a pris la décision de ne plus alimenter son compte X, anciennement Twitter. L’établissement explique qu’il « maintient son compte en veille pour préserver ses archives ». Il privilégiera « des plateformes plus alignées avec ses engagements éducatifs et sociétaux ». L’université de Franche-Comté ajoute que « cette décision reflète (sa) volonté de privilégier des espaces d’échanges plus sereins, loin des discours polarisants ».

La fête se prépare dans les campus bisontins et de Franche-Comté. La première des quatre dates se tiendra à Besançon. Ainsi, le 12 septembre l’évènement « Bienvenue aux étudiants » proposera de 12h à 23h, un ensemble de rendez-vous.

Parmi les événements proposés : un village d’animation avec des animations variées et des stands interactifs, de 15h à 19h, à Chamars et, à 19h, le concert « bouge ta rentrée », organisé par la BAF, le Bureau des Associations franc-comtoises. A Lons-le-Saunier, le rendez-vous se tiendra le 17 septembre de 9h à 17h30.

Une nouvelle étape débute pour Parcoursup ce jeudi soir. La phase d’admission sera effective à compter de 19h. Les candidats pourront alors consulter les premières réponses des formations à leurs vœux. Au cours de la soirée, ces derniers pourront commencer à répondre aux propositions d’admission qui leur ont été faites. Cette année, la phase d’admission principale concernera 945.500 candidats qui ont confirmé au moins un vœu d’orientation dans l’enseignement supérieur, contre 917.000 en 2023

La plateforme « MonMaster.gouv.fr » reprend du service ce lundi. Lancée l’an dernier, en février 2023, elle centralise les dossiers d’inscription des étudiants qui souhaitent poursuivre leurs études et décrocher un diplôme de niveau bac+5 à l’université ou dans une grande école. La procédure redémarrera en début de semaine prochaine. L’an dernier, plus de 3.500 formations et 8.000 parcours de master qui étaient proposés.

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