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Selon l'Agence Régionale de Santé, « si la situation continue de s'améliorer en Bourgogne-Franche-Comté, la diminution de la circulation virale reste lente et le nombre d'hospitalisations pour des formes sévères de la maladie stagne ».

Si le nombre de patients admis à l'hôpital pour des formes graves de la maladie a encore diminué par rapport à la semaine précédente, toujours une centaine de personnes sont prises en charge dans les services de réanimation et de soins intensifs.

Concernant la vaccination, 40% des habitants de la région ont reçu au moins une dose de vaccin. Plus de 50% de la population de Bourgogne-Franche-Comté de plus de 18 ans a reçu au moins une dose de vaccin, le taux s'établit à plus de 75% pour les plus de 60 ans.

Les policiers pontissaliens ont remonté les bretelles à des lycéens ce vendredi qui dégradaient les poignées des fauteuils de bus scolaire avec les ficelles de masques usagés.

Les dégâts sont importants pour la société de transport en question. Dans un premier temps, les forces de l'ordre ont mené une opération de sensibilisation, mais des verbalisations seront prochainement adressées.

Un homme de 52 ans est impliqué dans une affaire de harcèlement téléphonique envers son ex-concubine. En quatre mois, il lui aurait envoyé une trentaine de messages. Epuisée, elle est venue porter plainte le 27 mai dernier au commissariat de police de Pontarlier.

Convoqué le 3 juin et placé en garde à vue, il a reconnu les faits. Il a expliqué avoir mal vécu une séparation. L'affaire a été transmise au Parquet qui statuera prochainement sur sa situation.

Ce vendredi après-midi, vers 16h, les sapeurs-pompiers ont porté secours à une personne de 35 ans, en fauteuil roulant, qui avait quitté la piste cyclable de la véloroute à hauteur de Thoraise. Elle s'est arrêtée contre un arbre, trois mètres en contrebas.

La victime a été remontée par les secouristes. Elle n'était pas blessée. Elle a été transportée en ambulance sur le centre hospitalier de Besançon.

Les pompiers sont intervenus pour une noyade cet après-midi à la Gare d’Eau à Besançon. Alors que deux hommes se baignaient dans le Doubs, l’un d’eux fut porté disparu.

Des recherches ont été effectuées au moyen d’un drone et des plongeurs. La victime a finalement été retrouvée et sortie de l’eau en arrêt cardiaque. Cette dernière a perdu la vie. L’autre personne a été transportées sur le centre hospitalier de Besançon.

Ce vendredi, la tête de liste des écologistes aux prochaines élections régionales Stéphanie Modde donnait une conférence de presse afin de dévoiler en détail son programme. Un programme axé sur la re-localisation de l’économie, l’équité des territoires, et la lutte contre le dérèglement climatique.

Le programme composé de trois grands enjeux se déclinent en 5 axes distincts, dont le premier s’intitule « Une Région qui prépare l’avenir Â». Parmi les propositions majeures retenues dans cet axe, les écologistes souhaitent développer l’économie circulaire en améliorant grandement le recyclage des déchets, soutenir l’entreprenariat en proposant un appui financier ainsi qu’un travail plus collaboratif avec les associations locales notamment. On peut également noter la volonté de créer un revenu de transition écologique pour les projets engagés dans cet aspect.

Une région qui agit pour et avec tous les territoires

Deuxième axe détaillé du programme de Stéphanie Modde, l’action pour et avec tous les territoires comprend une meileure équités entre ces derniers. Cela passera par une collaboration et non une concurrence entre Besançon et Dijon. Les écologistes souhaitent également améliorer l’offre de service public et le maillage entre les territoires grâce à un travail sur le ferroviaire, le bus, le co-voiturage, et le cyclable. Dernière mesure annoncée, les écologistes souhaitent soutenir les commerces de proximité.

Une région pour toutes et tous

Troisième axe du développement, les solidarités, primordiales pour Stéphanie Modde et ses colistiers. La priorité sera de tisser un lien fort avec le monde associatif en en faisant de véritables partenaires, et non en les subventionnant uniquement. Anna Maillard, tête de liste dans le Doubs, souhaite aussi améliorer l’accès à l’alimentation de qualité (bio, alimentation de proximité), et lutter contre les discriminations en imposant dans les formations un module sur le sujet.

Une région transparente et exemplaire au service du bien commun

Conscients de la défiance grandissante vis-à-vis des politiques, les écologistes souhaitent renouer le dialogue et montrer leur exemplarité. Tout d’abord, Stéphanie Modde souhaite placer les citoyens au coeur des décisions avec notamment la création d’associations citoyennes, comme c’est par exemple le cas au sujet des Vaites à Besançon. Le développement du numérique et la mise à disposition de tous les documents semblent également être des priorités du potentiel mandat à venir.

L’urgence environnementale au coeur de notre Région

Cinquième et dernier axe, l’environnement. La sauvegarde de l’eau, ou encore la protection des animaux sauvages font parti des thèmes développés. Sur ce dernier sujet, Anna Maillard souhaite par exemple mieux soutenir les acteurs de la biodiversité, créer des zones sans chasse ni pêche, ou encore former les futurs travailleurs du monde agricole à la présence d’animaux sauvages comme le loup et le lynx. Enfin, Stéphanie Modde et ses colistiers souhaitent travailler sur la rénovation thermique des logements, afin de soulager la santé et le porte-feuille des concitoyens.

Le SDIS est actuellement en intervention à la Gare d’Eau à Besançon, pour une noyade. Plus d’informations à venir sur le site de la radio.

Comme 15 autres sites de la Région, le complexe des Rosemonts a été retenu comme centre de préparation aux Jeux Olympiques 2024. Une excellente nouvelle pour le club de BMX bisontin, qui compte bien profiter de l’engouement naissant autour de la discipline.

C’est officiel depuis l’automne dernier. 16 sites sportifs franc-comtois serviront de lieu de préparation aux délégations françaises et/ou étrangères. Pour la BMX Race, c’est la piste des Rosemonts à Besançon qui a été retenue, après la candidature de Grand Besançon Métropole. Un motif de satisfaction pour le club et de reconnaissance pour ce sport devenu olympique que très récemment (en 2008 à Pékin). Concrètement, cette avancée qui verra plusieurs athlètes olympiques s’entrainer ici, a notamment permis au club, et à son président Stéphane Barroca, d’améliorer les infrastructures : « On a pu avancer plus rapidement dans nos travaux. Pour répondre au cahier des charges, il fallait au minima une butte de départ à 5 mètres. C’est ce qu’on a fait en fin d’année dernière. Aujourd’hui, on a un équipement de niveau international avec aussi une toute nouvelle piste, en sens inversé par rapport à l’ancienne Â».

Une avancée qui profite à tous

La désignation du site comme terre de préparation aux Jeux Olympiques ne va pas bénéficier qu’aux athlètes olympiques. L’amélioration des infrastructures est évidemment un plus pour les licenciés du club, mais aussi pour tous les férus de BMX du Grand-Est. Selon Stéphane Barroca, l’essor de ce sport se ressent de plus en plus ces derniers mois : « On est beaucoup plus sollicités qu’avant. Avec la période Covid, on a été un peu propulsés en tant que sport de plein air. Aujourd’hui ça continue, j’ai déjà des sollicitations pour le mois de septembre, alors qu’habituellement ça n’arrive qu’au mois d’août Â». Les récentes performances du natif du club Léo Garoyan jouent aussi surement pour beaucoup. Le jeune athlète de 21 ans, ancien champion du monde junior, commence à faire parler de lui chez les grands, avec une demi-finale de coupe du monde récemment à Bogota (Colombie).

 

La belle histoire continue pour Alex Vallet au GBDH. Arrivé d’Orchamps-Vennes en 2015, le pivot de 21 ans vient de parapher son premier contrat professionnel à Besançon. Pilier de la défense bisontine, le jeune franc-comtois se voit récompensé de sa belle saison. Lancé chez les pros en 2018 par Dragan Zovko, Alex Vallet semble faire partie intégrante du nouveau projet mené par le nouvel entraineur Benoit Guillaume.

Eric Monnin, vice-président à l’olympisme de l’université de Franche-Comté, a présenté ce matin la torche olympique des Jeux de Tokyo 2020, à la maison de l’université à Besançon. Il a été choisi par le Comité International Olympique pour être relayeur officiel de la flamme olympique, d’Olympie en Grèce jusqu’à Tokyo au Japon.

Une expérience honorante

« C’est un immense honneur, et surtout c’est un immense honneur de garder le flambeau de la torche olympique Â». Eric Monnin est le seul français à participer au relais de la torche olympique. Nec plus ultra, il aurait dû être le 132e et dernier relayeur en Grèce, dans l’agora d’Athènes le 18 mars, avant qu’elle s’envole pour Fukushima le lendemain. Pour des raisons sanitaires, le parcours a dû être annulé. 

Une torche à la pointe de la technologie

La torche olympique est un objet légendaire. Ils sont peu, ceux qui ont eu la chance de la voir, et encore moins nombreux ceux qui ont pu la tenir. Cette année, pour faire honneur au savoir-faire japonais, elle n’est plus qu’un objet d’art mais bien un objet de haute technologie. Composé d’une seule feuille d’aluminium sans soudure, une première, elle fonctionne sur un système à double combustion : une thermique, pour créer la flamme, et une catalytique, pour lui donner la couleur orange. Malgré tout une torche très légère, 71 centimètres de hauteur pour seulement 1,2 kg. La flamme olympique se trouve aujourd’hui dans la préfecture de Niigata, au Japon, avant d’arriver lors de la cérémonie d’ouverture à Tokyo le 23 juillet.

 

Eric Monnin au micro de Pleinair