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Alors que la plupart des clubs, engagés dans les championnats nationaux, ont repris leur préparation, on connaît également la composition des groupes de nationale 3 pour le prochain exercice. Précisons que le coup d’envoi de la compétition sera donné le 27 août.  

Dans ce championnat s’affronteront les équipes franc-comtoises de Pontarlier, du Besançon Football, du FC Sochaux Montbéliard, de Vesoul, le promu, et de Jura Dolois.

Jeudi soir, à 20h, le cinéma de Morteau projettera le film documentaire de Laurent Geslin, baptisé « Le retour fragile du lynx ». Cette soirée est organisée dans le cadre de l’action « Parole de lynx », un vaste programme de sensibilisation,  mené par Ferus, en partenariat avec le Parc naturel régional du Doubs Horloger et la Maison des Jeunes et de la Culture de Morteau.

A l’heure où le retour des grands prédateurs fait toujours débat, quel bilan dresser 50 ans après la réintroduction de ce grand chat dans nos forêts ? Pour trouver des réponses rationnelles, le réalisateur a enquêté sur le terrain à la rencontre de biologistes, vétérinaires, chasseurs et forestiers. « Leurs témoignages permettront de mieux cerner la situation toujours fragile d’un félin indispensable à l’équilibre de nos écosystème » explique le communiqué de presse.

La séance sera suivie d’un temps d’échange avec les agents du Parc et les intervenants de l’association pour répondre aux interrogations du public quant à la présence de cette espèce emblématique de nos forêts.

Ginko fait savoir qu’en raison de travaux au niveau de la rue Proudhon, plusieurs lignes du réseau seront perturbées. Les arrêts Courbet, Gare de la Mouillère, Pont de Bregille, Centre Saint6Pierre et Poste ne sont pas desservis. Les horaires sur réservation de la ligne Ginko Hôpital sont également concernés.

Pour de plus amples informations : https://www.ginko.voyage/info-trafic/?no_cache=1

C’est une équipe Betclic Élite (anciennement Pro A) fraîchement promue qui viendra défier les bisontins dans le cadre des 64èmes de finale de la Coupe de France. Une rencontre de prestige qui se tiendra le mercredi 20 septembre à 20h. C’est une immense marche que devra franchir le BesAC (NM1) afin de poursuivre la belle aventure.  

Publié dans Actualités, A la une, Sport

Vivien Pianet, dans le monde l'humour depuis 10 ans, joue pour la première fois son spectacle Hors Série dans la cité des papes. Du 7 au 29 juillet, l'artiste fait rire les foules au théâtre Carnot. Il nous parle de Hors Série et de son ambition de programmation à travers toute la France. 

Un patchwork de personnages

Hors Série, comme son nom l’indique, est un spectacle à part. 12 personnages défilent pendant une heure au gré de l’écriture ubuesque de l'artiste et de sa compagnie Les extra-ordinaires. Des portraits de plusieurs origines : martiniquaise et haut-doubiste. Mais aussi des personnages “complètement barrés qui, peut être existent, mais on ne le sait pas”. Cette variété d’univers fait passer le temps vite avec Vivien. Ce dernier, pour une des première fois, tente de conquérir un public “en dehors des frontières franc-comtoises”.

Un comique du cru 

Ces frontières, il les chérit pourtant. Inspiré d'humoristes comme “la Madeleine de Proust”, Vivien aime parler de ces lieux que “les gens d’Avignon ne connaissent pas forcément”. Chroniqueur à France Bleu Besançon, il veut maintenant s’exporter à travers toute la France et, pour cela, Avignon est “un incontournable”. “On s’est préparés pendant 8 mois, au niveau marketing et à l'écriture pour adapter le spectacle aux demandes du théâtre Carnot”. Depuis plus de 10 ans dans le monde de l’humour et de la programmation de spectacle, le pontissalien a eu le déclic l’année dernière. “Ça coûte un billet Avignon” mais, grâce à des cagnottes en ligne et des accompagnements d’entreprises, le projet a pu voir le jour. 

 

Le quotidien d’un humoriste à Avignon 

Pour décrire le train de vie éreintant de jouer un spectacle dans le plus grand festival de théâtre vivant au monde, Vivien parle d’horaires précis qu’il faut respecter. “Je me couche tôt pour être en forme le lendemain car on tracte dès 10h puis on joue le spectacle, on rencontre le public, les programmateurs…”. La course après la montre se fait aussi après le public dans un moment ultra concurrentiel. “Les retours sont plutôt bons” mais c’est difficile de connaître le réel impact d’une telle aventure. “On ne sait pas vraiment si Hors-Série va tourner au-delà car les programmateurs voient plus de 50 spectacles en une semaine”. 

L’on saura seulement après le festival si Vivien Pianet va continuer de porter haut les couleurs doubistes dans le monde de l’humour. En attendant, si vous êtes de passage en Provence, il continue d’amuser la galerie encore 10 jours

 

Le podcast de la rédaction / Vivien Pianet    

Le tristement célèbre anesthésiste bisontin, Frédéric Péchier, mis en examen pour 30 cas présumés d'empoisonnement de patients dont 12 cas mortels lorsqu'il était en poste à la Clinique Saint-Vincent ainsi qu'à la Polyclinique de Franche-Comté, a pris la parole dans la presse nationale. Discret depuis le début de cette affaire et refusant de s’exprimer à de nombreuses reprises, Frédéric Péchier rompt le silence et clame une fois de plus son innocence.

Ce sont dans les colonnes de nos confrères du Parisien que l’ancien anesthésiste a choisi de s’exprimer. Soupçonné de 30 empoisonnements volontaires de patients, âgés de 4 à 89 ans entre 2008 et 2017, dont douze mortels, Frédéric Péchier avait choisi de garder le silence depuis de nombreux mois. Retranché à Poitiers chez ses parents, celui qui peut à nouveau exercer la médecine sous certaines conditions strictes, et sans lien direct avec les patients, souhaite « rétablir certaines vérités ». Dans cette interview, le cinquantenaire déplore que « sa présomption d’innocence soit piétinée en permanence, et souhaite laver son nom de tout soupçon ».

 

"Mourir innocent"

Il révèle avoir tout perdu. Sa vie professionnelle, familiale et sociale. Il se désole d’avoir dû retourner vivre dans sa chambre d’ado, dans la maison de ses parents. Une situation infantilisante. Il n’a pas vu son fils grandir, son mariage n’a pas résisté, et il n’a désormais plus aucun revenu. Une situation qui poussera à bout l’anesthésiste, qui, pris de désespoir, tentera de mettre fin à ses jours un soir d’octobre 2021. « Pour mourir innocent » expliquait sa lettre d’adieu. Rappelons-le, Frédéric Péchier est suspecté d’avoir entraîné volontairement des complications cardiaques chez des patients de ses confrères dans deux cliniques de Besançon, par vengeance mais aussi pour démontrer ses talents de réanimateur, selon l’accusation. Ce que l’anesthésiste a toujours nié. Selon ce dernier, seuls trois cas soulèvent véritablement la question d’empoisonnements potentiels. "Pour moi, il y a trois cas qui posent effectivement problème, car dans les poches d’injection, on a retrouvé des produits qui n’avaient rien à faire là. J’ignore si c’est volontaire ou non, et ce n’est pas à moi de le dire. Hormis ceux-là, il n’y a pas de preuve d’administration de produits anormaux", détaille Frédéric Péchier au Parisien.

 

Plusieurs éléments de défense

Quand l’anesthésiste est questionné sur ses arrivées, tel un sauveur, toujours au moment où surviennent les arrêts cardiaques, le cinquantenaire explique intervenir à chaque fois sur demande de ses collègues. « A chaque fois que je suis là, c’est parce qu’on m’a appelé ». Et s’il existe quelques incongruités selon Frédéric Péchier, la majorité des cas auraient une origine médicale ou seraient la conséquence « d’erreurs de confrères, voire d’un taré non identifié ». Quand est évoqué le cas de Sandra Simard, qui a déclenché l’enquête en 2017, où l’on reproche à l’anesthésiste d’avoir formulé le bon diagnostic en seulement quelques minutes, il explique simplement avoir administré du gluconate de calcium, « ce qu’il fait systématiquement en cas d’arrêt cardiaque ». Concernant les accidents cités comme « problématiques » par Frédéric Péchier, le dernier concerne l’un de ses patients, qui aurait pu lui servir d’alibi. Une version évidemment contestée par l’anesthésiste. Des témoins auraient d’ailleurs remarqué le comportement particulièrement stressé du médecin ce jour-là, qui aurait immédiatement évoqué une malveillance. « J’étais paumé, inquiet pour mon patient, je ne comprenais pas ce qu’il se passait. Entre les poches percées et le diagnostic fait immédiatement par mon collègue, oui, je me suis posé des questions » indique Frédéric Péchier au Parisien. Ce dernier évoque même les images de vidéosurveillance, où l’on identifie une femme de ménage. « Des vidéos qui n’ont pas été exploitées » regrette-t-il. Et si les enquêteurs estiment que seul un médecin avait les compétences pour agir, Frédéric Péchier affirme que « n’importe qui est capable de polluer une poche ». « Sur le potassium il y a écrit "DANGER". C’est dans les placards en accès libre, ce n’est pas comptabilisé au contraire de la morphine. Le bloc n’était pas sécurisé, tout le monde le sait. Qui nous dit que ce ne sont pas les agissements d’un taré ? En 2017, pendant mes vacances, quelqu’un a détruit pour 50.000€ de matériel. Ça n’a pas non plus été creusé. Et puis, il y a eu d’autres arrêts cardiaques après mon départ » confie l’anesthésiste.

 

En tout cas, l’ancien anesthésiste qui a toujours clamé son innocence se dit prêt à affronter « ce faisceau de présomptions », au cours d’un procès très attendu, qui ne devrait pas voir le jour avant 2025.

 

La 2è édition de la Transju’Cyclo se déroulera les 16 et 17 septembre. Après le succès de la 1ère édition, les organisateurs ont décidé de resservir le couvert en 2023. Différents parcours seront proposés. Ils permettront à tout un chacun, quel que soit son niveau, de découvrir ou redécouvrir les paysages des Montagnes du Jura. Une évolution remarquable sur les lacs, grandes étendues, vallées et monts du secteur. Au programme, des parcours allant de 70 à 250 kilomètres au cœur de ces paysages époustouflants.

Les inscriptions sont possibles sur le site : https://www.latransju.com/evenements/la-transju-cyclo/infos-pratiques/ . Le nombre de dossards est limité.

C’est une nouvelle avancée dans le dossier délicat des nuisances provoquées par le passage des poids-lourds dans les villages traversés par la nationale 83. Le 10 juillet dernier, le député Laurent Croizier et le Sénateur Jean-François Longeot ont réuni les différents acteurs autour de ce dossier à Sansom pour « travailler collectivement sur une liste de propositions qui seront approfondies par de nouvelles données de consommation, de carburant, de temps de trajet, de comptages, sur la nationale 83 et l’autoroute A36, notamment entre les péages d’Ecole-Valentin et de Bersaillin.

Jean-François Longeot et Laurent Croizier saluent « l’écoute, la qualité de discussion et la volonté collective d’avancer ». Les deux parlementaires sont convaincus que « seuls le dialogue et la co-construction sont en mesure de produire des solutions permettant de réduire le trafic des poids lourds en transit sur la RN83 ».

Notons que six personnes ont répondu à l’appel des deux parlementaires :

Xavier BERGELIN, président de la FNTR

Thierry MAIRE DU POSET, conseiller départemental du canton de Saint-Vit

Ludovic MALATY, directeur Méthodes et Matériels d’Exploitation de l’APRR

Pierre MEAU, directeur Péage de l’APRR

Rémy PAUL, maire de Samson

François VACHERESSE, président de l’association Bonne Route, et plusieurs de ses membres

NAISSANCES

08/07/2023 – Daniel de Carlos PEREIRA CORÔA, boulanger et de Catia GUERREIRO ROQUE, serveuse.

06/07/2023 – Kerem de Engin ÇAGLAR, opérateur et de Ebru ESEN, sans profession.

07/07/2023 – Elyna de Jérémie JANIER, carrossier et de Elodie MAGNIN, aide-soignante.

06/07/2023 – Youssef de Driss AIT ADDI, agent de sécurité et de Khadija AIT ADDI, sans profession.

10/07/2023 – Joy de Clifford MONDELAIN, agent de sécurité et de Anne-Sarah FERRIGNO, hôtesse de caisse.

07/07/2023 – Léo de Steven LHOMME-CHOULET, technicien qualité et de Apolline MERZOUGUI, aide-soignante.

10/07/2023 – Louise de Olivier CROCHET, responsable logistique et de Mathilde GOURMANEL, ingénieur mécanique bureau d’études.

09/07/2023 – Lena de Filipe DOS SANTOS, contremaître et de Justine ARNAUD, aide-soignante.

10/07/2023 – Bryan de Ludovic DUBEL, carrossier et de Sabrina MINARY, agent d’entretien.

08/07/2023 – Olivia de Théo AYMONIER, vendeur et de Coline BONNET, infirmière.

12/07/2023 – Naomi de Florent CHEVENEMENT, agriculteur et de Alice PASQUA, secrétaire de mairie.

MARIAGES

15/07/2023 – Rémi PARROT, mécanicien automobile et Clara ORTEGA, infirmière.

15/07/2023 – Hervé MARTIN, technicien en menuiserie et Barbara BERTON, responsable de secteur.

DECES

09/07/2023 – Paulette DUXIN, 88 ans, retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs), veuve de Michel VIEILLE-PETIT.

11/07/2023 – Christiane GRAND, 83 ans, retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs), épouse de Jean-Claude CHAUVIN.

Le Préfet du Jura a pris un arrêté de restriction temporaire des usages de l’eau qui place, pour les usages non économiques et économiques, le Plateau calcaire en alerte renforcée et la haute-chaîne en alerte.

Le passage en « Alerte Renforcée » pour le secteur du Plateau Calcaire implique un renforcement des mesures de restriction d’usage de l’eau. Pour les collectivités et les particuliers, identifiés au sein de l’arrêté comme des usages « non économiques (NE) », les arrosages se voient réduits, voire interdits, et les plages horaires définies se voient raccourcies par rapport au niveau « Alerte ». Pour les entreprises et exploitants agricoles, identifiés comme des usages « économiques (E) », ceux-ci sont appelés à intensifier les économies d’eau dans leurs activités.

Pour tout renseignement concernant les mesures de restrictions Sécheresse, il est possible : d’appeler le numéro vert gratuit au 0805 20 00 14 et d’envoyer un mail à l’adresse suivante : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Pour consulter le détail des mesures et des restrictions, rendez-vous sur l’arrêté cadre sécheresse : https://www.jura.gouv.fr/Actions-de-l-Etat/Environnement/Eau/Secheresse/2023/Arrete-cadre-secheresse-2023