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Handball

D1F

ESBF 23  – 25 Chambray

N1F

Palente Besançon 37 – 28 Chevigny Saint Sauveur

ESBF 32 – 27 Yutz

Villemomble 34 – 31 Saône Mamirolle

N2F

Maîche 28 – 11 Dampierre

Basket

Nationale 1 M

Avignon 92 – 93 BesAC

Nationale 2 M

Lons le Saunier 90 – 77 Montbrison

Nationale 3 M

Montmorot 80 – 57 CTC Phenix

Riedisheim 93 – 82 Jura Salins

Tarare 85 – 74 Poligny

Nationale 2 F

Lons le Saunier 70 – 57 FC Lyon

Nationale 3 F

Lons le Saunier 64 – 67 Berrwiller

Horbourg 67 – 58 Champagnole

Rugby

Fédérale 2

Chalon 25 – 24 Saint Claude

Le Puy  36 – 23 Grand Dole

Fédérale 3

Besançon 10 - 22 Illkirch Graffenstaden

Publié dans Actualités

National

Nancy 1  – 1 FC Sochaux Montbéliard

National 2

Jura Sud   2 – 0 SC Toulon

Racing Besançon 1 – 1 Créteil

National 3

Jura Dolois 2 – 1 Vesoul

Selongey 1 – 3 CA Pontarlier

ASPTT Dijon 1 – 1 FC Sochaux Montbéliard (2)

Besançon Football – Gueugnon

Régional 1

Groupe B

Lons le Saunier – Jura Sud Foot (2) ( Reporté)

Val d’Amour – Saint Apollinaire  (Reporté)

Fauverney – Jura Lacs

Ornans – UF Maconnais

Louhans Cuiseaux (2) – Bresse Jura

Dijon USC – Champagnole

Groupe C

L’Isle sur le Doubs 1 – 4 Grandvillars

Racing Besançon (2) – Audincourt

Jura Dolois (2) – Morteau Montlebon

4 Rivières 70 – Perrousienne

Baume les Dames – Valdahon Vercel

Belfort Sud – Noidanais

Les quatre départements francs-comtois ont été placés en vigilance jaune « vent violent Â». En cours de matinée, le vent se renforcera, et atteindra par endroits 70 à 80 km/h en cours de journée, et pourra dépasser localement les 90 km/h. Dans la nuit de samedi à dimanche, le vent restera soutenu, et s’affaiblira dimanche, en cours de journée.

Deux personnes ont perdu la vie ce vendredi, vers 16h45,  dans un accident de la route à Augisey (39). On déplore cinq victimes. Deux d’entre-elles sont décédées. Trois autres sont grièvement blessées.

Le Cross des 4 villages revient le samedi 11 novembre pour cette nouvelle édition 2023 à Oye-et-Pallet. Cet événement labellisé Fédération Française d’Athlétisme proposera différents parcours, allant de 1,5km à 8,5km pour les plus endurants. Une dizaine de catégories seront représentées. A l’heure actuelle, plus d’une centaine de dossards ont été vendus, mais 700 coureurs sont attendus. Fabien Coste, le président de l’ASOP, l’association sportive Oye-et-Pallet, espère battre le record de l’année dernière, avec 677 athlètes qui s’étaient rassemblés.

 

« On a lancé les inscriptions il y a une dizaine de jours. Aujourd’hui, on a un peu plus d’une centaine d’inscrits. Les parcours sont prêts. Il nous reste juste à organiser l’emplacement des bénévoles sur le parcours, à l’arrivée, et à la buvette Â» souligne Fabien Coste, le président de l’ASOP, l’association sportive Oye-et-Pallet. Le cross des 4 villages accueille le 11 novembre de chaque année, à Oye-et-Pallet, plusieurs centaines de participants, répartis sur 10 catégories différentes, avec des parcours destinés à tout le monde. « Tous les parcours se finissent vers la salle des fêtes au centre du village d’Oye-et-Pallet. Les plus petits partent du centre du village, et plus on monte dans les catégories, plus ils partent éloignés du village. Les plus loin partent de La Planée, pour faire un parcours de 8,5km. Une autre catégorie part de La Planée, mais avec un parcours plus court, de 5km. Mais il y a aussi un départ de Malpas avec un parcours de 3,5km et un parcours qui part entre Oye-et-Pallet et Malpas, et qui fait 1,5km Â» explique le président de l’ASOP.

 

Plus de 700 coureurs attendus ?

Cet événement est labellisé Fédération Française d’Athlétisme, et respecte donc les catégories d’âge de la FFA, des U7 jusqu’aux vétérans. « Ã‡a fait depuis l’année passé qu’on est inscrit au calendrier FFA. Historiquement, on était un cross connu des fondeurs, qui était une des dernières répétitions avant la saison de ski, avec la dernière course automnale. Depuis l’année passée, on a essayé d’élargir, en faisant parler de nous, et on avait pensé que le calendrier de la Fédération Française était un bon moyen pour y parvenir Â» détaille Fabien Coste. Si l’édition 2022 avait vu défiler 677 dossards, l’objectif cette année est de dépasser les 700. « Ce serait bien de battre le record de l’année dernière. Ce 11 novembre tombe un samedi, généralement on arrive à attirer un peu plus de monde, comme les travailleurs frontaliers qui sont disponibles. Mais cette année il y a aussi quelques matches de foot et des rencontres de sports collectifs, donc on attend de voir ce que ça donne. En tout cas, on sera prêt. Les parcours seront balisés. Après, on verra ce que la météo va nous réserver ! Â» conclut le président de l’ASOP.

 

Pour plus d'informations et pour pouvoir s'inscrirehttps://www.asop.fr/

La Banque Alimentaire s’est trouvée un nouveau local. Plus grand, correspondant davantage aux attentes en termes de conditions de travail et de sécurité, la structure s’installera au 4 rue du Gray à Chalezeule. Le nouveau site s’étend sur une superficie de près de 4.000 m2. Soit un coût total de 2,3 millions d’euros, comprenant l’acquisition du bâtiment et les travaux d’aménagement. Plusieurs partenaires soutiennent cette initiative : la ville de Besançon, Grand Besançon Métropole, le conseil départemental du Doubs et l’Ademe.

Comme le rappelle Sylvie Wanlin, en charge de la solidarité et du CCAS, ce déménagement est devenu une nécessité. Outre les avantages précités, le nouveau centre permettra d’intensifier la lutte contre le gaspillage, améliorera la qualité des denrées livrées aux partenaires , en valorisant certains rebus de produits frais ou encore en transformant des fruits et légumes sur place.

Des besoins de plus en plus importants

Dans un contexte de crise sociale, à laquelle s’ajoute une crise des collectes et du bénévolat, la Banque Alimentaire a plus que jamais besoin d’évoluer dans des conditions lui permettant de mener pleinement ses missions. Entre 2022 et 2023, les fréquentations hebdomadaires de l’ensemble des distributions ont augmenté en moyenne de 14,5%. Rappelons que la banque alimentaire n’assure pas de distribution de repas directement  Ã  un public, mais elle assure 60% des besoins alimentaires en Franche-Comté, en les redistribuant à d’autres acteurs sociaux, que sont par exemple les Restos du Coeur. Son action est capitale. A titre d’exemple, le 23 octobre dernier, l’aide alimentaire sur Besançon a permis d’aider près de 6500 familles et près de 2.500 ménages ont bénéficié de repas.

A l’image de la Ville de Besançon, les collectivités prennent leurs responsabilités et accompagnent la banque alimentaire dans ses missions. La population est appelée à se mobiliser à son tour, en participant à la traditionnelle collecte de denrées alimentaires et de produits d’hygiène qui se tiendra les 24, 25 et 26 novembre prochains dans la région.

En compagnie de partenaires associatifs et institutionnels, la ville de Besançon travaille, depuis trois ans, sur un projet de maison des femmes. La nouvelle infrastructure qui devrait voir le jour d’ici la fin de l’année 2024, début 2025, s’installera dans les locaux de la résidence autonome Henri Huot, qui est désormais inoccupée, rue Jean Wyrsch. L’objectif est de concentrer en un même lieu un ensemble de services, répondant majoritairement aux besoins des femmes victimes de violences. Le coût de l’acquisition de cette bâtisse s’élève à 1,2 million d’euros.

La Ville de Besançon et ses partenaires veulent donner naissance à un lieu unique, permettant de donner des réponses multiples. Et ce, dans les domaines psycho-sociaux, juridiques et médicaux . Certaines structures, à l’image de Solidarité Femmes, occuperont pleinement ce nouvel espace. D’autres assureront des permanences.  Des bureaux d’entretiens, un centre de ressources, une salle de formation pour les professionnels, une salle informatique, une recyclerie et un espace de stockage Banque Alimentaire, un espace pour accueillir les enfants et travailler sur la parentalité et une cuisine et un espace de vie pour l’accueil de jour des femmes en grande difficulté seront aménagés.

Par ce projet, à l’image d’Elise Aebischer, l’élue bisontine en charge de l’égalité femmes-hommes, les élus espèrent toucher un public plus large et des personnes qui ont encore du mal à solliciter de l’aide. Tout en conservant la confidentialité recherchée dans ce genre de prise en charge, la Ville de Besançon se félicite de pouvoir proposer un lieu unique et facilement identifiable au sein de la cité.

L'interview de la rédaction : Elise Aebischer

 

 

Le Bes.AC qui a créé l’exploit il y a quelques jours en s’imposant face au leader, Andrézieux, doit poursuivre sur cette dynamique. Les basketteurs bisontins qui apparaissent désormais à la 10ème place au classement de National 1 doivent confirmer en allant s’imposer sur le parquet d’Avignon / Le Pontet, actuel 4ème. Les hommes de Joseph Kalambani sont toujours à la recherche de leur deuxième succès de suite. La rencontre débutera à 20h. 

Publié dans Actualités, A la une, Sport

Lundi soir, dans le cadre du prochain conseil municipal de Besançon, les élus se prononceront sur un vÅ“u, déposé par la majorité municipale, portant sur les mineurs non accompagnés déclarés « non mineurs Â». Les élus s’insurgent contre la situation de 78 jeunes, originaires d’Afrique, présentant des papiers les reconnaissant mineurs, mais que les autorités françaises, en l’occurrence le conseil Départemental du Doubs et la Préfecture contestent. L’affaire est actuellement dans les mains de la justice. Une partie de ces jeunes migrants ont été entendus mardi dernier par un juge des enfants.

Hébergés à Planoise

Pour l’heure, 41 des 78 jeunes en question ont été mis à l’abri dans des appartements appartenant à Loge.GBM à Planoise. Ils occupent, en compagnie d’une quarantaine d’autres demandeurs d’asile, un espace de sept étages, comprenant 27 logements. Ils sont pris en charge par la ville et le milieu associatif local,  Ã  la suite du démantèlement du camp qu’ils avaient installé rue d’Arène. Anne Vignot et son équipe demandent, par ce vÅ“u, que le vide juridique qui ne reconnait ni la minorité, ni la majorité de ces personnes, soit comblé. Il est demandé « une loi plus claire en la matière et que l’état prenne ses responsabilités Â». C’est d’ailleurs la raison pour laquelle ce document sera envoyé au préfet, aux ministres concernés et aux parlementaires.

L'interbiew de la rédaction : Anne Vignot

Soixante-neuf infractions, sept crimes, et 25 victimes. Jean-Christophe Quenot, cet ancien bisontin est jugé depuis ce vendredi jusqu’au 7 novembre devant la cour criminelle de Paris. Il est accusé de six viols et 19 agressions sexuelles sur des garçons âgés de 10 à 17 ans. Les faits se seraient produits entre janvier 2014 et octobre 2017 en Malaisie, où l’homme était professeur de français.

C’est le 30 mars 2019, à Besançon, que les enquêteurs de l’OCRVP (Office central de répression des violences aux personnes) ont mis la main sur l’homme de 51 ans, venu se réfugier chez ses parents. Recherché, il avait d’abord été arrêté en 2019 par la police thaïlandaise, alors qu'il se trouvait dans une chambre d'hôtel de Bangkok avec deux garçons de 14 ans. Placé en détention, Jean-Christophe Quenot avait été libéré après quelques jours en versant une caution de 8.000€ en liquide. Il avait réussi à retourner en Malaisie grâce à des passeurs, avant de s’envoler pour Genève, et enfin revenir en France. L’enseignant bisontin s’était expatrié à Singapour au début des années 1990. Au moins une cinquantaine d’enfants auraient été abusés entre 1990 et 2019 dans différents pays : Thaïlande, Malaisie, Singapour, Philippines, Inde, Sri Lanka et Indonésie. Les policiers thaïlandais avaient découvert une caméra et un ordinateur avec des contenus pédopornographiques. Plus de 174.000 photos et vidéos le mettant en scène abusant d'enfants ont été saisies.