Un adolescent de 17 ans a perdu la vie ce lundi soir dans un accident de la route à Montbarrey (39). Vers 18h, une moto et une voiture se sont percutées. Malgré la tentative de réanimation, effectuée par les secouristes, le jeune motard n’a pas survécu à ses blessures. Quant à l’autre personne impliquée, âgée de 21 ans, elle n’est que légèrement blessée. Elle a été transportée sur le centre hospitalier de Dole.
Ce lundi après-midi, vers 13h30, à Besançon, les agents de sécurité d’un magasin, appartenant à l’enseigne FNAC, ont retenu un homme de 39 ans, qui venait de dérober une paire d’écouteurs « AirPod », dont les montant est estimé à 159 euros. Le trentenaire n’est pas un inconnu. Il y a quelques jours, il a été vu dans cette même enseigne en train de voler un téléphone portable et une montre connectée. Il a reconnu les faits. Il est toujours en garde à vue ce soir.
Ce lundi après-midi, deux jeunes ouvriers agricoles ont été blessés lors d’une manipulation sur une machine agricole de type botteleuse à Bourguignon (25). L’un d’eux est plus grièvement blessé. Les deux victimes ont été transportées sur les urgences de l’hôpital Nord Franche-Comté.
« Si on veut amener le loup à ficher la paix aux troupeaux sans le tuer, il faut qu'on connaisse parfaitement les meutes, la hiérarchie, il faut qu'on identifie les individus. C'est ce que font les Suisses sur Marchairuz par exemple. A ce moment-là , vous pouvez savoir sur quel loup il faut agir pour que la meute ne vienne plus vers le troupeau. Ça on ne le sait pas aujourd’hui, parce qu’on n’a pas anticipé. Alors qu’on sait depuis plus de 20 ans que le massif du Jura serait un territoire de colonisation du loup » souligne Gilles Benest.
Le mardi 20 septembre, vers 22h40, un binôme de lieutenants de louveterie a procédé au tir létal d’une louve sur une parcelle où un troupeau avait été prédaté dans la nuit du 18 au 19 septembre aux Longevilles-Mont-d’Or. Un tir réalisé alors que trois loups étaient observés en situation d’attaque sur le troupeau d’un GAEC concerné. Une situation provoquant la colère des défenseurs du loup. « On tire n'importe quoi, n'importe comment. Une thèse récente a démontré, lorsque l’on fait le bilan de tous les tirs qui ont été faits en France face au loup, qu’on ne peut pas prévoir si les résultats seront favorables, défavorables ou neutres. Le fait que ce soit une louve qui avait déjà porté, montre que c'était probablement une femelle dominante. Probablement, je reste prudent. Si vous vous débarrassez de la femelle dominante, vous désorganisez la meute, et vous accentuez les effets de prédation. C'est ce qu’il s'est passé. On a eu le calme pendant une dizaine de jours, et puis ça a recommencé » confie Gilles Benest.
Les prédations sur le bétail, appelées déprédations, ont augmenté depuis la recolonisation du loup. Dans notre région, elles concernent principalement les bovins. Ce phénomène crée des conflits entre la conservation du loup et les activités d’élevage. En plus des indemnisations et des subventions pour les mesures de protection des troupeaux, la France a ajouté un autre outil de gestion, les prélèvements létaux de loups. Mais l'incertitude persiste au sujet de l'efficacité des mesures létales pour réduire la déprédation, que cela soit en France ou ailleurs où elles sont appliquées.
« Deux hypothèses contradictoires s'opposent. La première soutient que les mesures létales sont efficaces par la réduction de la population et la sélection de loups moins enclins à la déprédation. La deuxième hypothèse soutient que ces mesures sont contreproductives car cela déstabilise la stabilité des meutes et en retour augmente les besoins des loups de dépendre sur le bétail. La raison de cette incertitude est la combinaison d'un faible nombre d'études sur le sujet, avec une faible inférence scientifique qui conduit à des résultats contradictoires. De plus, la plupart des études s'est concentrée sur la situation nord-américaine. Mon travail consistait à réduire l'incertitude de l'effet des mesures létales sur les déprédations réussies et observées sur les moutons en France. Nous avons adopté deux approches. Premièrement, nous avons choisi une approche de modélisation individu-centrée pour étudier la dynamique complète des mesures létales sur la structure de la population de loups et des déprédations. Nous avons intégré les mécanismes biologiques, tels que la dissolution des meutes, jamais intégrés auparavant. Nous avons testé différents scénarios de comportement de déprédation des loups. Notre modèle soutient que les mesures létales modélisées ont été efficaces pour réduire les déprédations par la réduction de la population 1) quand la probabilité de déprédation augmente pour les loups en meute à cause de besoins énergétiques plus élevés ou 2) quand, en plus, elle augmente aussi pour les loups adultes et avec la taille de la meute, reflétant les capacités de chasse. En revanche, notre modèle ne nous a pas permis de conclure sur les effets quand les probabilités de déprédation diminuent pour les adultes ou avec la taille de la meute. Deuxièmement, nous avons analysé les effets de la mort de loups sur les niveaux de déprédation en France avec les données de l'administration. Nous avons développé une méthodologie basée sur les calculs par noyaux. Nous concluons que les effets des tirs en France ont été hautement variables selon le contexte. La majorité des effets n'impliquaient pas de changement, le restant des effets étant une réduction des déprédations puis une augmentation. Les reports spatiaux de déprédations n'étaient en majorité pas suspectés. Enfin, nous avons ajouté une analyse rétrospective du pattern spatial de déprédation en France, en ajustant pour les distributions spatio-temporelles des moutons ainsi que la taille des troupeaux. Nous concluons que les points chauds ne résultaient probablement pas du seul facteur de la territorialité des loups, car d'autres facteurs doivent participer à leur formation. Nous observons que le risque de déprédation s'homogénéisait au fil du temps dans l'arc alpin. La méthode nous a permis de repérer les petits points chauds (avec de petits troupeaux ou pâturant peu de temps), et qui n'auraient pas été détectés avec l'actuelle méthode appliquée par l'administration. Ainsi, ce travail montre que dans le contexte local lié à l'environnement, au loup ou au pastoralisme a besoin d'être considéré pour la gestion des attaques, car il est peu probable que les tirs de loup aient un effet unique sur les loups et la déprédation.
Retrouvez l’intégralité de cette étude : https://www.loupfrance.fr/wp-content/uploads/Article-Faune-sauvage-tirs-derogatoires-de-loups-en-France.pdf
Jusqu’au 19 novembre, la Ville de Besançon est à l’initiative d’une grande enquête sociologique pour mieux connaître les associations locales. A travers les résultats obtenus, la cité entend réfléchir à l’amélioration de l’accompagnement qu’elle effectue auprès d’elles. « Plus les réponses seront nombreuses, plus l’enquête sera représentative et l’action de la collectivité revisitée » explique le communiqué de presse.
Pour retrouver l’enquête en ligne : Grande Enquête sociologique auprès des associations de Besançon - Besançon (besancon.fr)
Pour obtenir de plus amples informations, il est possible de contacter le service vie associative par téléphone au 03.81.87.82.32 ou 03.81.87.80.70 ou par mail à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Demain, mardi 1er novembre, jour de la Toussaint, les élus de Pontarlier respecteront la tradition. Ils se recueilleront sur les tombes des anciens maires de la Ville. Ils se rendront à 10h au cimetière des Marneaux et à 10h30 au cimetière Saint Roch.
NAISSANCES
20/10/2022 – Agathe de Julien CAFFIER, gérant hôtel restaurant et de Jessica MOUTEL, gérante hôtel restaurant.
21/10/2022 – Ulysse de Valentin ALCANTARA, ingénieur agro-alimentaire et de Camille GOUX, animatrice en périscolaire.
22/10/2022 – Aronn de Morgan DEJARDIN, chauffeur routier et de Pauline ALLART, hôtesse de caisse.
22/10/2022 – Adam de Abdelhafid GOURARI, agent technicien d’hôpital et de Kheira TADJER, fromagère.
24/10/2022 – Isaac de Alexis FAILLENET, employé en horlogerie et de Clémence CUENOT, employée en horlogerie.
21/10/2022 – Serhan de Mickaël ESEN, opérateur de production et de Ayse AKCAY, vendeuse.
24/10/2022 – Mia de Mikaël PILPAY, électricien et de Emilie TEMPERE, assistante maternelle.
22/10/2022 – Enes de Abdullah AKKUS, préparateur de commande et de Laura BEILHARTZ, secrétaire de mairie.
24/10/2022 – Thibault de Anthony PONTARLIER, charpentier et de Olivia PRETRE, aide-soignante.
24/10/2022 – Raphaël de Gaspard JEANCLER, pharmacien et de Elodie DAVID, masseur kinésithérapeute.
24/10/2022 – Nino de Thomas BLONDEAU, charpentier et de Agathe VALLET, masseur kinésithérapeute.
24/10/2022 – Lyana de Alexis COURDIER, couvreur et de Pauline VIVOT, fonctionnaire de police.
25/10/2022 – Ezio de Kévin SIMONIN, programmeur commande numérique et de Coraline MAILLE, infirmière.
25/10/2022 – Robin de Jérémie FERREUX, gérant d’entreprise et de Maud LANDRY, secrétaire médicale.
25/10/2022 – Alessio de Romain DROZ-GREY, conseiller vendeur et de Sylvie CELLI, hôtesse d’accueil.
27/10/2022 – Valentin de Julien MILLEVOYE, chef de projet industriel et de Floriane DUTOT, planificatrice.
25/10/2022 – Emma de Humphery NNADOZIE, ouvrier et de Majolie BANDOLO, auto-entrepreneur.
24/10/2022 – Anouck de Adrien BESANCON, machiniste forestier et de Lucie SONNEY, fromagère.
24/10/2022 – Zoé de Mickaël BINDA, chauffeur poids lourd et de Lucile DUBOZ, conseillère bancaire.
25/10/2022 – Leeroy de Cyril DO NASCIMENTO, auto-entrepreneur et de Carolina SOARES, vendeuse.
25/10/2022 – Alba de Jordan GAUTHIER, horloger et de Élodie MARQUES, horlogère.
27/10/2022 – Sixt de Morgan GARNIER, contrôleur qualité et de Karen VALLET, hypnothérapeute.
26/10/2022 – Camila de Lucas BOILLAT, ingénieur informatique et de Fiona DUBOIS-DUNILAC, gestionnaire en ressources humaines.
MARIAGES
29/10/2022 – Selahaddin AKPINAR, comptable et Yasemin ÖZER, agent territorial spécialisé des écoles maternelles.
DECES
22/10/2022 – Geneviève CHABOD, 89 ans, retraitée, domiciliée à Gilley (Doubs), épouse de Bernard BRUTILLOT.
22/10/2022 – Martine GRESSET, 68 ans, retraitée, domiciliée à Vaux et Chantegrue (Doubs). 22/10/2022 – Colette SALOMON, 94 ans, retraitée, domiciliée à Ouhans (Doubs), veuve de Louis TYRODE.
23/10/2022 – Pierre BOSSON, 83 ans, retraité, domicilié à Métabief (Doubs), veuf de Yvette CASOLARI.
24/10/2022 – Jean HURTE, 77 ans, retraité, domicilié à la Cluse et Mijoux (Doubs).
26/10/2022 – Viviane QUACH, 84 ans, retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs).
27/10/2022 – Marie-Madeleine SAILLARD, 87 ans, retraitée, domiciliée à Saint-Point-Lac (Doubs), épouse de Georges REMONNAY
Un accident a eu lieu sous le tunnel de la Citadelle ce lundi après-midi à Besançon. L’endommagement de la barrière, qui est un équipement de sécurité, oblige de fermer le tunnel à partir de 16h jusqu’à mercredi.
Ce mardi 1er novembre, on disputera la 2è partie du 2è Tour de Coupe de Bourgogne Franche-Comté. Parmi les rencontres à suivre : Bresse Jura – Entente Football Villages, La Joux Nozeroy – Châteaux de Joux, Triangle d’Or – Champagnole et Levier Valdahon Vercel.
Le propriétaire, âgé de 40 ans, d’un appartement dans lequel un homme d’une vingtaine d’années avait été retrouvé gisant dans une mare de sang a été mis en examen pour meurtre et écroué. Vendredi, cet individu, fortement alcoolisé, avait signalé aux passants la présence du corps dans son appartement. Il avait été hospitalisé pour des plaies au cou. Selon nos informations, le suspect est connu de la justice pour des faits de violences.