La Ville de Besançon indique que la prochaine campagne de recensement de la population locale se déroulera du 19 janvier au 25 février. Comme dans toutes les communes de plus de 10 000 habitants, 8 % des adresses du territoire bisontin sont tirées au sort par l’INSEE pour être recensées. Les agents recenseurs, munis de leur carte officielle, se présenteront aux domiciles des personnes sélectionnées. Le recensement de la population est très utile. Il permet de définir les politiques publiques et le montant des dotations de l’état.
La Préfecture du Doubs indique que pour accompagner les TPE dans les démarches leur permettant de bénéficier d’un prix plafond pour leur électricité, plusieurs dispositifs sont mis en place. Des réunions d’information seront organisées les 19, 20 et 23 janvier prochains dans les trois arrondissements du département. Celle de Besançon devrait se tenir le 19 janvier. Par ailleurs, une permanence spécifique est également prévue dans les 25 maisons France Services.
On connaît le nom des deux personnalités qui parraineront la 25è Percée du Vin Jaune, qui se tiendra en février prochain à Voiteur. Ce sont deux régionaux qui assumeront cette responsabilité. Ainsi, Lola Semonin, alias la Madeleine Proust, sera la marraine de l’événement et le chef étoilé au Guide Michelin Mathias Marc sera le parrain du concours de cuisine. Rendez-vous les 3, 4 et 5 février prochains.
Suite à notre info sur la conférence-débat sur les énergies éoliennes, qui se tiendra au Marais de Saône, Fabien Bouglé, l’intervenant a tenu à réagir. Nous publions son droit de réponse
« Concernant mon engagement sur la lutte contre la pollution éolienne, je précise que cela fait 14 ans que je dénonce l’inutilité des éoliennes. Ces alertes m’ont amené à être auditionné dans une commission d’enquête parlementaire organisée à l’initiative du député LR julien Aubert. Dans ce cadre j’ai publié un livre sur les éoliennes qui est un succès de librairie. Ce travail d’alerte m’a amené à côtoyer et échanger avec l’intégralité du prisme politique de la droite à gauche, de l’extrême droite à l’extrême la gauche. J’ai par exemple participé à un échange au sein de la librairie de gauche Librairie Tropique, j’ai donné une conférence pour le maire communiste du Tréport, j’ai été invité à intervenir pour une conférence par un député de la majorité présidentielle et j’ai conseillé de nombreux parlementaires de la majorité et de l’opposition. Mon travail s’inscrit dans une démarche de concorde citoyenne et les associations de lutte contre la pollution éolienne sont apolitiques. Concernant mon rôle d’élu local, je suis d’après les critères du ministère de l’Intérieur et de la préfecture élu « divers droite » (confirmé à deux reprises) chef de file du principal parti local minoritaire. J’entretiens avec tous les élus d’opposition en particulier avec celui d’EELV de très bons rapports dans une véritable entente républicaine. Je n’appartiens à aucun des partis politiques mentionnés, je n’ai soutenu aucun candidat à l’élection présidentielle, mais j’ai bien été engagé à la manif pour tous en 2012. Cela étant ses engagements locaux ou sociétaux n’ont absolument aucun rapport avec mon travail d’alerte sur l’énergie qui préoccupe aujourd’hui considérablement nos concitoyens ».
La venue de Fabien Bouglé pour animer une conférence débat sur les énergies éoliennes et nucléaires à l’espace du Marais à Saône suscitent des réactions. Ce rendez-vous est organisé par l’association d’opposants au projet éolien de Nancray. S’il est reconnu que chacun « a le droit et le devoir d’exprimer ses opinions », des citoyens rappellent le CV de l’intervenant. Chef d’entreprise, lanceur d’alerte écologiste et expert en politique énergétique, il est aussi conseiller municipal à Versailles. Sa proximité avec les idées du Rassemblement National, son soutien apporté à Eric Zemmour et ses combats et ses prises de paroles au sein de la Manif Pour Tous sont apportés à la connaissance de tous, preuves et image à l’appui.
Suite à notre info sur la conférence-débat sur les énergies éoliennes, qui se tiendra au Marais de Saône, Fabien Bouglé, l’intervenant a tenu à réagir. Nous publions son droit de réponse
« Concernant mon engagement sur la lutte contre la pollution éolienne, je précise que cela fait 14 ans que je dénonce l’inutilité des éoliennes. Ces alertes m’ont amené à être auditionné dans une commission d’enquête parlementaire organisée à l’initiative du député LR julien Aubert. Dans ce cadre j’ai publié un livre sur les éoliennes qui est un succès de librairie. Ce travail d’alerte m’a amené à côtoyer et échanger avec l’intégralité du prisme politique de la droite à gauche, de l’extrême droite à l’extrême la gauche. J’ai par exemple participé à un échange au sein de la librairie de gauche Librairie Tropique, j’ai donné une conférence pour le maire communiste du Tréport, j’ai été invité à intervenir pour une conférence par un député de la majorité présidentielle et j’ai conseillé de nombreux parlementaires de la majorité et de l’opposition. Mon travail s’inscrit dans une démarche de concorde citoyenne et les associations de lutte contre la pollution éolienne sont apolitiques. Concernant mon rôle d’élu local, je suis d’après les critères du ministère de l’Intérieur et de la préfecture élu « divers droite » (confirmé à deux reprises) chef de file du principal parti local minoritaire. J’entretiens avec tous les élus d’opposition en particulier avec celui d’EELV de très bons rapports dans une véritable entente républicaine. Je n’appartiens à aucun des partis politiques mentionnés, je n’ai soutenu aucun candidat à l’élection présidentielle, mais j’ai bien été engagé à la manif pour tous en 2012. Cela étant ses engagements locaux ou sociétaux n’ont absolument aucun rapport avec mon travail d’alerte sur l’énergie qui préoccupe aujourd’hui considérablement nos concitoyens ».
Les sapeurs-pompiers ont porté secours à une jeune automobiliste de 21 ans hier soir, vers 21h, à Fournet Blancheroche. Sa voiture a quitté la route et a fait un tonneau. A l’arrivée des secouristes, la jeune femme était sortie de son véhicule. Elle n’était pas blessée. Après un bilan médical, il a été décidé de ne pas la transférer sur un centre hospitalier.
Il y a du football ce mardi soir. Dans le cadre de la 18è journée de championnat en Ligue 2, le FC Sochaux Montbéliard (3è) se déplace chez le leader, le Havre. Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 20h45. Parmi les bonnes nouvelles du côté du clan sochalien, on notera les retours aux affaires d’Ibrahim Sissoko, qui était sorti face aux Girondins de Bordeaux, et de Gaëtan Weissbeck, qui avait un souci au genou. Sochaux veut atteindre les 35 points avant de basculer dans la deuxième partie de saison. Il lui reste deux journées pour le faire.
Les sapeurs-pompiers du Jura sont intervenus hier soir, vers 20h30, à Hauteroche pour un feu de ferme, qui s’est propagé à la toiture d’une habitation accolée, en cours de rénovation. Quatre lances ont été déployées pour venir à bout des flammes. Huit engins et 25 soldats du feu se sont rendus sur place.
La neige se fait désirer cette année dans le Massif du Jura comme partout ailleurs. Néanmoins, cette absence n’a pas empêché la station de ski de Métabief d’ouvrir ses portes du 17 décembre jusqu’au 1er janvier. Si cette ouverture était inespérée, quelques skieurs ont pu dévaler les pentes du Morond malgré une cruelle absence de neige et des températures frôlant les 15 degrés. Mais les activités nordiques et de glisse ne sont pas les seules à être proposées dans le Massif du Jura. Pour Julien Vrignon, directeur de l’office du tourisme du Pays du Haut-Doubs, bien d’autres alternatives sont possibles. Sites touristiques, fromageries, activités de pleine nature, VTT, marche à pied, tout est possible dans une station qui tend à devenir une station 4 saisons au fil des années.
Ces dernières semaines, les pistes étaient d’herbe, légèrement parsemées de neige de culture. Les flocons n’auront pas abondé en cette fin d’année, mais pas de quoi tirer la sonnette d’alarme pour Julien Vrignon, tant les alternatives sont nombreuses, au sein d’une station « de montagne » et pas uniquement une station « de sport d’hiver ou de ski ». Malgré une baisse de chiffre d’affaires par rapport au mois très enneigé de décembre 2021, le directeur de l’office du tourisme du Pays du Haut-Doubs se veut rassurant. « Au regard des dix dernières années, ce manque de neige n’est pas une situation exceptionnelle. Parce que sur la période de Noël ou sur le mois de janvier, on l’a déjà connu, on l’a déjà vécu. On a déjà eu des Noël sans neige. Cette saison, on en a eu pendant la première semaine des vacances scolaires où on a pu pratiquer assez facilement le ski alpin. Sur la deuxième c’était un peu plus réduit. Par contre on n’a pas eu d’activités nordiques proposées. Et pendant ces vacances de Noël, on a eu une offre touristique qui a pu « profiter » de ce manque de neige. Le Fort Saint-Antoine a fait le plein tout comme de nombreuses autres activités en extérieur. On a même eu des activités de VTT proposées sur la dernière semaine des vacances de Noël qui ont trouvé leur public » explique Julien Vrignon. « Quand il n’y a plus, ou pas suffisamment de neige pour pratiquer, ça se répercute sur d’autres activités, en intérieur ou en pleine nature » souligne le directeur de l’office du tourisme du Pays du Haut-Doubs.
« Le territoire du Haut-Doubs a quand même cette résilience qui est de plus en plus forte face à ce manque de neige. On est aujourd’hui sur un territoire qui est beaucoup plus réactif qu’il ne l’a été les années précédentes. Il y a cinq, dix ans, on était mois en capacité de réagir face à ce manque de neige. Et aujourd’hui, on se met en transition, et on transforme un peu notre modèle économique, tout en prenant en compte le changement climatique » Julien Vrignon, directeur de l’office du tourisme du Pays du Haut-Doubs.
Si les images des webcams déposées aux sommets des stations du Massif du Jura manquent cruellement de blanc, alors qu'à la même époque l'année dernière les pistes étaient bien garnies, il faudra s’habituer à ces situations. A Métabief, le changement climatique et l’incertitude de la météo dirige désormais la station vers une station de montagne, et plus uniquement sur une station de sport d’hiver ou de ski. « Le modèle est en train de se transformer, et c’est plutôt de bon augure. Alors ça exige et ça oblige évidemment tout le tissu économique à s’adapter. C’est un travail de fond qui s’engage individuellement pour chaque professionnel, qui lui, doit se poser des questions. Ensuite il doit trouver des réponses, en associant parfois des prestataires d’accompagnement. En tout cas, ça oblige à travailler de manière collective, afin de trouver des solutions qui correspondent aujourd’hui aux besoins des clients, même face aux aléas climatiques » explique le directeur de l'office du tourisme du pyas du Haut-Doubs. C’est l’ambition de la station de Métabief : devenir cette station de montagne où l’on peut pratiquer des activités de pleine nature toute l’année, en fonction des saisons, des opportunités qui se présentent, avec ou sans neige, avec ou sans beau temps, en intérieur comme en extérieur. « Je dirais aux touristes de venir et de revenir ! C’est ce qui est intéressant, on a un territoire avec une très forte capacité de réactivité, afin de proposer des activités très rapidement, avec neige quand il y en a, et sans neige quand il n’y en a pas » souligne Julien Vrignon.
Un jeune homme de 19 ans devra s’expliquer en mai prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon. Il est soupçonné d’avoir émis de nombreux chèques via un compte non approvisionné. Il a expliqué aux enquêteurs bisontins « avoir revendu la totalité de ses achats pour payer ses employés ».
Les investigations ont permis d’établir qu’il avait émis sciemment 15 chèques pour un montant total de plus de 23.000 euros. Les policiers bisontins ont été saisis d’une plainte, émanant d’un magasin de Franois, près de Besançon, qui a constaté que le jeune malfrat avait payé deux vélos électriques avec des chèques sans provision pour un montant de près de 5.000 euros. L’individu a été placé en garde à vue ce lundi matin. Au cours de son audition, il a reconnu les faits.