La 75è édition du festival international de musique Besançon Franche-Comté se prépare déjà . Elle se tiendra du 9 au 18 septembre. Plus de 700 artistes et 30 concerts symphoniques animeront ce nouveau rendez-vous. Au programme : récital, oratorio, jazz et musiques du monde. Une bonne nouvelle, après ces deux dernières années si particulières, l’évènement bisontin retrouvera ses couleurs habituelles. On assistera notamment au grand retour des grandes formations orchestrales. Un rendez-vous, toujours très apprécié par les mélomanes, à ne manquer sous aucun prétexte.
En compagnie du directeur Alexandre Arnodo et de plusieurs spécialistes animaliers, la maire de Besançon présentait ce lundi matin le nouveau projet de conservation animale ex-situ de la Citadelle, qui consiste à renforcer la santé animale en son sein.
Une méthode précurseur entre la science et le collectif
Site classé au patrimoine de l’Unesco, la Citadelle de Besançon accueille depuis plus de 20 ans plusieurs espèces animales. Investi dans leur protection et donc leur préservation, le Parc zoologique a décidé de travailler, depuis octobre dernier, en compagnie de divers scientifiques et autres spécialistes en biodiversité. L’objectivité apportée par ces derniers permet de proposer une expertise et d’accompagner les transformations entamées sur le long terme. De plus, la volonté de l’équipe est de changer le regard sur l’animal pour qu’il soit réellement considéré en tant qu’individu propre. Et c’est grâce à cette nouvelle méthode, mêlant apport scientifique et apport du collectif, que le projet pourra se développer. Afin de régler les derniers ajustements, une autre rencontre est prévue dans les prochaines semaines entre les différentes instances engagées.
Des premiers résultats concluants
« Lutter contre la maltraitance » et veiller au bon état « physique et mental » sont des mesures fondamentales du projet rappellent Fabienne Delfour, éthologue cognitive et spécialiste en bien-être animal, et Jonas Livet, titulaire d’un Master en biologie de la conservation. Ainsi, la première phase d’observation réalisée de janvier à février 2022 sur 4 espèces s’est avérée concluante. Les gibbons ont alors vu se complexifier trois aspects de leur quotidien, à savoir leur santé, leur habitat ainsi que leur accès à l’alimentation. Ces mesures résultent d’un travail exigeant réparti entre 24 observateurs passant leur temps à étudier les comportements sociaux des différentes espèces présentes à la Citadelle. Mais à ce jour, leur mission principale demeure la conservation animale ex-situ et le développement de cette approche transversale entre animal et science.
La lutte contre les produits stupéfiants et le tabac était la priorité, mais les autres infractions ne sont pas oubliées également. Cette intervention policière, diligentée par le Parquet de Besançon, a pris la forme d’une opération coup de poing. L’objectif étant de montrer également à la population locale que la police et la justice agissent pour leur sécurité et faire tomber les trafiquants.
Les équipes sur place entendent mener d’autres actions identiques sur ce territoire. Continuer à surprendre les dealers et leurs clients à différentes heures de la journée pour contrecarrer certaines habitudes et empêcher le bon déroulement des transactions.
L'interview de la rédaction / David Gliardi, commissaire de police - directeur départemental adjoint de la sécurité publique. Bruno Ligiot, directeur régional des douanes de Franche-Comté
Depuis combien de temps êtes-vous engagé politiquement, et pourquoi avoir choisi « La République En Marche » ?
Alors je suis politiquement engagé depuis les élections municipales de 2020. Je m’intéresse à la politique depuis que j’ai 14 ans. Je me suis engagé à LREM car j’ai soutenu Emmanuel Macron en 2017, même si je n’avais pas le droit de vote et que je n’étais encore que lycéen. Sa démarche m’intéressait, cette volonté de passer outre les clivages, et de faire de la politique autrement. J’ai adhéré au parti suite aux municipales.
Aujourd’hui, en quoi un jeune peut-il se retrouver dans la politique d’Emmanuel Macron ?
Je dirais qu’on a un avantage sur les autres candidats à l'élection présidentielle, c'est qu'on a un président sortant, qui a un bilan. D'autant plus qu'il est positif, et particulièrement pour les jeunes. Au sein des Jeunes avec Macron, on a lancé en septembre dernier une campagne d'affichage « Macron président des jeunes ». Notre volonté par cette campagne d'affichage, c'était de rappeler le bilan extrêmement favorable du président à l'égard des jeunes. Alors je pourrais citer les repas Crous à 1€, qui au départ étaient ouverts à tous les étudiants, puis aux étudiants boursiers. Vous voyez, on est également dans une résidence universitaire, et juste à côté, il y a des protections hygiéniques gratuites pour les étudiants. C'est un exemple concret de la politique du gouvernement. Tout comme la contraception gratuite pour les femmes de 18 à 25 ans. Je crois que jamais un président de la République n'a eu autant d'impact concret dans la vie des jeunes, qu'ils soient étudiants ou non. On pourrait aussi parler de l'apprentissage. En 2017 on avait un peu plus de 200.000 contrats d'apprentissage qui étaient signés en une année. En 2021 on est à plus de 700.000. Et sur le prochain quinquennat, le candidat Emmanuel Macron vise les 1.000.000. Donc on a vraiment une dynamique qui touche tous les jeunes, que ce soient les étudiants, que ce soient les jeunes sans formation, sans emploi, avec la plateforme « Un jeune une solution ». C’est quand même 9 milliards pour la jeunesse. Mais également les jeunes qui veulent aller vers l'emploi avec l'apprentissage, et puis les jeunes qui sont en emploi, avec toutes les mesures qui ont été prises pour le pouvoir d'achat.
Certains candidats se sont positionnés sur le droit de vote à 16 ans. Emmanuel Macron est plutôt mitigé. Qu’en pensez-vous à titre personnel, et quel ressenti avez-vous auprès des autres jeunes de LREM ?
Alors je n’ai jamais entendu Emmanuel Macron s'exprimer favorablement à cette idée. Moi à titre personnel j'y suis défavorable. Et à vrai dire quand j'écoute les jeunes autour de moi, mes camarades, des amis, je n'ai pas l'impression que cette problématique intéresse plus que ça. J'ai l'impression que ça ne concerne qu'un certain nombre de militants politiques, qui comme moi, ont eu très tôt un avis et auraient aimé l'exprimer, moi le premier, bien avant 18 ans. Maintenant je pense qu'il faut aussi savoir reconnaître que les jeunes, dans la grande majorité, ne nous ressemblent pas tous. Ils ne sont pas tous aussi intéressés par la politique. Élargir le droit de vote à 16 ans, ça ne fera qu’élargir la base de l'abstention si je puis dire, parce que les jeunes de 18 à 24 ans s'abstiennent déjà énormément. Donc je préfère qu'on tente des choses pour lutter contre l'abstention des jeunes.
Est-ce que localement vous ressentez un fort engouement autour d’Emmanuel Macron, et quels pourraient-être les atouts, les arguments, qui inciteraient les jeunes à se mobiliser aux urnes en avril prochain ?
Oui il y a un engouement forcément, on arrive à l'approche du premier tour, donc on sent que de plus en plus de gens souhaitent participer à la campagne. On a de nouveaux adhérents régulièrement, que ce soit au niveau du Doubs, mais aussi plus généralement au niveau de la région et de la France. Je dirais qu’Emmanuel Macron a plusieurs atouts. D'abord un bilan positif. Ensuite, il a un projet tourné vers la jeunesse, qui s'inscrit dans la continuité de ce qui a été fait. Je retiens 3 grands piliers au niveau de la jeunesse.
Le premier, l'orientation avec la proposition qui permet aux jeunes de la 5ème à la 3ème de découvrir beaucoup plus de métiers, notamment des métiers manuels et techniques. Également la proposition de faire des lycées professionnels des voies d'excellence, permettant aux jeunes de voir le temps de stage augmenter de 50% tout en étant rémunérés.
Le 2ème pilier, c'est la question du travail et du pouvoir d'achat. Parce que les jeunes ce ne sont pas uniquement les étudiants ni ceux qui sont en études, mais aussi ceux qui travaillent. Et en matière de pouvoir d'achat, le candidat Emmanuel Macron propose plusieurs choses. D'abord la suppression de la redevance télé qui représente quand même un gain d'une centaine d'euros par an et qui s'inscrit dans la logique de suppression de la taxe d'habitation. Puis, une proposition qui me tient particulièrement à cœur et qui concerne aussi les jeunes, c'est la question de la création d'un compte épargne-temps. On parle beaucoup de la retraite à 65 ans, mais quelqu'un qui travaille pourra cumuler ses RTT et ses congés payés sur un compte épargne temps, et il pourra soit les monétiser, pour justement avoir un peu plus de pouvoir d'achat, ou alors s'il le souhaite les cumuler pour ensuite les utiliser plus tard.
Enfin, le dernier pilier est celui de la culture et du numérique. Comme l'extension du pass culture pour permettre à des plus jeunes de bénéficier de cette mesure, qui je crois est un succès. On entend beaucoup « Macron président de la droite » ou que sais-je, mais la réalité est que cette proposition est une mesure qui vise à lutter contre les inégalités en matière culturelle, et permet l'émancipation des jeunes par la culture. Il propose également des sessions généralisées de l'enseignement du code informatique et des usages numériques à partir de la 5ème. On sait que le numérique est de plus en plus prégnant dans notre vie, et donc enseigner à ces jeunes les usages numériques et le code, je pense que c'est une très bonne proposition. Et celle que je mettrais en dehors de de tout ce package : le financement du permis de conduire pour les jeunes qui s'engagent au sein du service national universel. Ça c'est véritablement à la fois une mesure de pouvoir d'achat mais aussi d'émancipation, quand on sait que par exemple à la campagne, ou à Besançon, la voiture c'est super important pour se déplacer, notamment pour travailler.
Quelle qualité fait d’Emmanuel Macron un bon président de la République ?
Je crois qu'il a toutes les qualités d'un président de la République. On voit qu’en matière internationale il a la stature, à la fois la réserve et la dynamique nécessaire pour conduire des négociations, par exemple avec Poutine. Et puis on a vu aussi en matière de réforme que c'était un président qui a l'envie de faire et qui qui n'a pas peur parfois d'être impopulaire. Parce qu'il croit que certaines réformes sont bonnes pour le pays et donc il les fait. Et puis surtout il a été élu pour ça. A titre personnel, ma vie a changé, a évolué. Je me souviens qu’au tout début de mes études je devais payer chaque semaine des courses pour manger ou des repas au Crous assez onéreux, même si c'est relatif. Aujourd'hui, grâce à Emmanuel Macron, et en tant qu’étudiant boursier, je bénéficie des repas à 1€. Ce n'est pas rien. Je suis étudiant donc ce sont surtout des thématiques qui sont liées à la vie étudiante, mais on pourrait aussi citer la suppression de la cotisation sociale étudiante qui représente un gain de pouvoir d'achat pour les étudiants d'une centaine de euros annuellement. Ma vie s'est améliorée sur le quinquennat du président de la République.
Ce mardi 5 avril, le conseil départemental du Doubs organisait les « Assises de l’inclusion numérique du Doubs ». Cette démarche s’inscrit dans le cadre du schéma de l’inclusion numérique, qui fait suit au schéma départemental des usages numériques, qui permet de déployer la fibre optique sur l’ensemble du département. Ce vaste chantier devrait être finalisé d’ici la fin de l’année, voire début d’année prochaine.
Conscient de l’enjeu et du risque d’isolement pour certains habitants du territoire du Doubs, le conseil départemental entend, via cette démarche, réunir tous les acteurs d’un même territoire pour finaliser des actions et formuler des propositions qui permettront à tout un chacun de maîtriser et d’accéder à ces nouvelles technologies, qui ont pris tellement de place dans notre quotidien. La réflexion est de premier ordre car l’avenir est définitivement tourné vers le numérique. Les confinements successifs, liés à la pandémie, ont pointé d’ailleurs un certain déséquilibre sur ce point. Ce qui oblige une véritable réflexion commune et partenariale pour faciliter l’accès des Doubistes à ces usages. Rappelons par exemple qu’à la fin de cette année, la quasi-totalité des procédures administratives de l’état deviendront dématérialisées.
11è département français
Le département du Doubs fait partie des territoires nationaux qui ont su se saisir rapidement de cette problématique. Il apparait d’ailleurs en 11è position des départements français ou les aménagements et la pratique du numérique sont les plus pertinents et efficients. Via le syndicat Mixte Doubs Très Haut Débit, la collectivité a mené une politique judicieuse répondant aux enjeux du moment et de demain. Le déploiement de la fibre optique et son installation définitive en bonne voie permettent désormais de réfléchir aux usages et à leur accès. Est-il utile de rappeler que suite au désintérêt et désengagement d’Orange dans certaines contrées, la collectivité a pris à son compte, en partenariat avec les communautés de communes, le fibrage des territoires oubliés.
L'interview de la rédaction / Christine Bouquin
Depuis combien de temps êtes-vous engagé politiquement, et pourquoi avoir choisi « Reconquête » ?
Alors j’ai milité au Rassemblement National lors des élections régionales pour soutenir la candidature de Julien Odoul. Puis je suis arrivé à Génération Z, au mois d’octobre. Je soutiens Eric Zemmour parce que le RN ne me convenait plus, d’un point de vue idéologique. Marine Le Pen était pour moi un choix par défaut, qui ne me convenait plus sur beaucoup de choses. Et je me suis retrouvé en Eric Zemmour, qui pour moi est le plus apte à rassembler les droites, et plus encore.
Aujourd’hui, en quoi un jeune peut-il se retrouver dans la politique d’Éric Zemmour ?
C’est quelqu’un qui représente l’espoir pour la jeunesse. Pour avoir un avenir beaucoup plus sûr, plus prometteur pour notre pays. Il a toujours privilégié le mérite des jeunes français, qui souffrent de plus en plus. Concernant tous ceux qui rentrent dans le supérieur, Zemmour proposera pour les élèves de classes moyennes par exemple, une bourse qui sera financée par la suppression des bourses pour les étudiants absentéistes. L’inscription sera aussi beaucoup plus poussée pour les étudiants étrangers. Le mérite sera vraiment récompensé.
Certains candidats se sont positionnés sur le droit de vote à 16 ans. Éric Zemmour a déclaré être contre. Qu’en pensez-vous à titre personnel, et quel ressenti avez-vous auprès des autres jeunes de Reconquête ?
On considère que c’est beaucoup trop tôt. Quand j’avais 16 ans je n’avais pas encore la maturité nécessaire, je ne m’intéressais que de loin à la politique. Et je ne pense pas que les jeunes de 16 ans aujourd’hui ont les connaissances politiques pour avoir un avis bien tranché, pour avoir des convictions profondes. Souvent à cet âge, on est souvent influencé par ses amis, ses parents, on ne peut pas se forger un vrai avis.
Est-ce que localement vous ressentez un fort engouement autour d’Éric Zemmour, et quels pourraient-être les atouts, les arguments, qui inciteraient les jeunes à se mobiliser aux urnes en avril prochain ?
Il y a une forte mobilisation, on est environ une cinquantaine de militants très actifs, et une bonne base jeunesse qui est très soudée. On est vraiment porté par le mouvement.
Quelle qualité ferait d’Éric Zemmour un bon président de la République ?
C’est son courage. Il ne se couchera pas face à différentes pressions. On le voit déjà , il l’a toujours montré depuis le départ, depuis qu’il est journaliste politique. Il ne s’est jamais plié, il n’a jamais divergé de quoique ce soit. C’est vraiment son courage, son honnêteté, le fait qu’il ne soit pas un politicien comme les autres, c’est ce qui m’a beaucoup attiré chez lui.
Pour répondre complètement à la loi de 2024 sur la gestion et le traitement des biodéchets, Grand Besançon Métropole mène actuellement une expérimentation sur le territoire du quartier Pasteur, au centre-ville. Concrètement, il est proposé un nouveau service de collecte à vélo pour les déchets de cuisine. 1800 habitants du quartier sont concernés par cette initiative. Deux collectes seront assurées par semaine.
Compte tenu des contraintes particulières liées à la situation géographique du quartier, qui se trouve sur un périmètre historiquement protégé, avec des espaces restreints et une forte densité urbaine, la Direction de la Gestion des Déchets du Grand Besançon a imaginé une solution alternative et mobile au compostage individuel ou collectif. Munie d’un vélo, d’une remorque et de deux bacs, l’association Trivial Compost collectera les biodéchets des participants, qui seront ensuite acheminés jusqu’à un site de traitement, situé à Chemaudin. Ce lundi après-midi, les locaux étaient invités à venir échanger et s’intéresser à l’action mise en place. Chacun s’est vu remettre un bioseau qui pourra être utilisé à chaque dépôt. Un sac pour la gestion du verre et un autre pour les recyclables étaient également à leur disposition.

Evaluation de l’expérimentation

La poursuite de cette expérimentation et sa déclinaison sur d’autres territoire dépendront de l’adhésion de la population. 1800 habitants sont concernés. La collectivité espère un taux d’adhésion à hauteur de 20% de la population de ce quartier du centre-ville bisontin. Un premier bilan sera effectué en juillet prochain. Cette première expérimentation est prévue jusqu’à la fin de cette année 2022.
Le reportage de la rédaction : Cyril Devesa ( président du Sybert) et un Bisontin engagé dans cette action
Le procès de Nicolas Zepeda se poursuit aux assises du Doubs. Dans une semaine, l’accusé chilien du meurtre de Narumi Kurosaki sera fixé sur son sort. Ce mardi Zepeda sera auditionné. Il sera notamment longuement interrogé sur les images de vidéosurveillance diffusées hier lors du procès et qui montrent la présence d’un homme masqué à proximité de la résidence universitaire où vivait Narumi Kurosaki sur le campus de la Bouloie à Besançon. Lors de cette audience, des étudiants ont également pu témoigner de leur stupeur durant la nuit du 4 décembre 2016 lorsqu’ils ont entendu des cris en provenance de la chambre 106, qu’occupait Narumi Kurosaki.
A l’image de Maître Galley, beaucoup s’interrogent sur le couple que formaient Nicolas Zepeda et Narumi Kurosaki. Il est évoqué « une relation improbable ». Un véritable choc culturel, qui interroge sur cet amour que pouvaient entretenir ces deux personnes. Leur éducation et leur façon de vivre sont autant de différences notoires qui suscitent de nombreuses interrogations. Selon Maître Galley, il est possible que Nicolas Zepeda ait eu « des exigences fortes auxquelles l’étudiante japonaise ne pouvait pas répondre culturellement ». Selon l’avocate de la famille de Narumi, cette dernière ne pouvait pas endosser le costume de femme sudaméricaine que Zepeda exigeait peut-être.
L'interview de la rédaction / Maître Galley
Un accident mortel de la circulation s’est produit ce lundi après-midi, vers 13h45, à Cesancey (39). Quatre voitures sont impliquées. On déplore cinq victimes. Une personne n’a pas survécu à ses blessures. Trois autres sont grièvement blessées, deux d’entre elles ont été transportées par hélicoptère dans un centre hospitalier. Une dernière est plus légèrement touchée. Les causes et les circonstances de ce drame ne sont pas encore connues.
Dans le procès de Nicolas Zepeda, les témoignages se sont succédés ce lundi. Cinq témoins ont été appelés à la barre. Ces étudiants ont tous évoqué les cris entendus dans la nuit du 4 décembre 2016 dans la chambre 106 de l’étudiante japonaise. De véritables cris d’horreurs, terrifiants, de ceux qui glacent le sang.
Leur évocation a d’ailleurs provoqué l’effondrement de la mère de Narumi. Pour clôturer cette journée, les images de vidéosurveillance ont été montrées à la cour, notamment celle de la nuit du 1er décembre. On y voit notamment un homme, le visage masqué, se balader à l’arrière du bâtiment Rousseau sur le campus de la Bouloie à Besançon et prendre des photos. Nicolas Zepeda sera entendu ce mardi.