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Un mineur de 17 ans a été interpellé mardi après-midi, vers 13h45, rue Brabant, à Besançon. Les policiers ont identifié ce jeune homme, qui se trouvait dans une voiture, alors qu’il faisait l’objet d’une interdiction judiciaire d’être dans le quartier de Planoise. Il était également en possession d’un couteau de cuisine et d’une boulette de cocaïne à l’intérieur d’un cellophane. Sa garde à vue est toujours d’actualité ce matin.


Une femme de 33 ans et un homme de 21 ans s’expliqueront en juin prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon. Le 11 février dernier, à hauteur du parc de jeux de la rue du piémont, dans le quartier Planoise, à l’issue d’une transaction, la trentenaire a été interpellée en possession d’une dose de cocaïne, qu’elle venait de se procurer pour 30 euros. Le vendeur présumé disposait d’une somme de 85 euros. Lors de son audition, ce dernier a reconnu consommer des produits stupéfiants, mais réfute le trafic qui lui est reproché.

Dans le cadre du tournage du film « Les Truites Â», qui s’effectuera dans le Doubs, entre Ornans et Besançon, en juin et juillet prochain, la production recherche une fille caucasienne, âgée de 9 ou 10 ans, « vive et frondeuse Â», qui incarnera Louise, la petite sÅ“ur de Léo, le personnage principal du film. Aucune expérience de jeu n’est requise.  

Pour obtenir de plus amples informations : : https://castprod.com/poste/casting-jeune-fille-meme-debutante-pour-un-role-dans-le-film-les-truites-realisee-par-lucie-prost-en-bourgogne-franche-comte/

Après la rageuse quatrième place du Jurassien Quentin Fillon maillet dans le 20 kilomètres individuel ce mardi, on suivra les femmes cet après-midi aux championnats du monde de biathlon à Oberhof. Elles s’élanceront sur le 15 kilomètres individuel. Le coup d’envoi de la course sera donné à 14h30.

Malgré une nette domination tout au long de la rencontre, le BesAC s’est incliné hier soir dans son championnat de nationale 1. Les hommes de Joseph Kalambani ont été vaincus sur le score de 80 à 82. Les Bisontins sont septièmes au classement. La saison régulière se termine vendredi soir, avec un déplacement à Feurs, actuel 12è.

Dans le cadre de la contestation contre la réforme des retraites, SNCF voyageurs indique que le trafic ferroviaire sera perturbé ce jeudi. Prévoyez 2 TGV sur 3 en moyenne. 1 TER sur 3 sera en circulation en région Bourgogne Franche-Comté. Aucune circulation n’est annoncée sur les lignes des Hirondelles et des Horlogers et concernant les navettes Besançon TGV – Besançon Viotte.

C’est avec un groupe décimé par les blessures et la maladie que l’ESBF  se présentera,  ce mercredi soir, au Palais des Sports, face à Metz, le leader incontesté de ce championnat de D1 féminine. Le club sait que la confrontation à venir sera difficile, mais, en même temps, le collectif  doit se montrer à la hauteur dans ce genre de match pour tenter d’accéder à une place européenne. Rien n’est impossible, quatre points séparent la formation bisontine de la cinquième place. L’équipe doit être capable de « faire un coup Â» face à ces formation de haut du tableau.

« Metz est la meilleure équipe européenne, donc du monde. Nous n’abordons pas cette confrontation, comme un match à la vie à la mort, mais comme un moment où on ne peut que se sublimer dans ces moments-là Â» explique Sébastien Mizoule, le coach bisontin. Et de poursuivre : « si on ne se sublime pas, on va prendre une fessée. Metz, c’est l’Everest. Ce n’est pas le Mont Blanc Â». Le technicien attend de ses joueuses, « un engagement total Â», mais aussi qu’elles soient également en capacité d’aborder cette rencontre « avec plaisir et envie Â». Sébastien Mizoule explique que lorsque l’on dispute un tel match, la seule technique n’est pas suffisante. « D’autres ingrédients sont nécessaires Â».  Â« Une ambiance collective peut masquer les manques quantitatifs que nous connaissons actuellement. Il va falloir que l’on se serre les coudes Â» conclut-il.

Le coup d’envoi de cette rencontre sera donné à 20h au Palais des Sports Ghani Yalouz.

L'interview de la rédaction : Sébastien Mizoule

 

Un grave accident de la route s’est produit ce mardi après-midi à Saint-Hippolyte. Il s’agit d’un choc frontal entre deux voitures. On déplore quatre blessés. Une femme est grièvement blessée. Elle a été transportée par hélicoptère sur l’hôpital de Besançon. Les trois autres blessés, plus légèrement touchés, ont été dirigés sur  les hôpitaux de Trévenans et Minjoz.

Les salariés des Galeries Lafayette ont débrayé pendant deux heures ce mardi à Besançon, rue des Granges. Une action nationale à l'appel du syndicat CFDT. Les inquiétudes sont grandes pour ces hommes et ces femmes exerçant dans les enseignes rachetées par l’homme d’affaires Michel Ohayon. D’autant plus que d’autres  marques qu’il gère se trouvent également dans la plus grande des difficultés. Les enseignes Camaïeu et Go Sport ont été respectivement placées en liquidation judiciaire et en redressement judiciaire. A Besançon, les livraisons et certains travaux d’entretien ne sont plus assurés.  

Des élus, dont Anne Vignot et Nicolas Bodin, en charge de l’économie et du commerce à Grand Besançon Métropole, ont participé au rassemblement du jour. Ces derniers ont apporté leur soutien aux manifestants et entendent se mobiliser pour obtenir des informations précises sur la situation financière du milliardaire bordelais. « Cette situation est mystérieuse car nous ne connaissons pas l’état total du dossier. On ne sait pas en terme de solvabilité quels sont les revenus et les ressources du groupe ?  Â» explique M. Bodin. Et de compléter : « Cela nous soucie car les Galeries Lafayette représentent un magasin d’attractivité pour le centre-ville de Besançon Â». Humainement aussi, les Galeries Lafayette sont un employeur important. Le magasin salarie environ 75 personnes. 50 emplois directs et environ 25 emplois liés à de la sous-traitance.

L'interview de la rédaction / Nicolas Bodin



Regard sur la santé du commerce bisontin

Conscients que le commerce local subit une importante mutation,  qu’il est important de prendre en compte, Nicolas Bodin et les élus de Grand Besançon mèneront, en compagnie des associations de commerçants, les réflexions qui s’imposent pour gérer au mieux cette situation, qui demande une vigilance particulière. « Pour faire face à internet, le commerce doit absolument se renouveler. On sent bien qu’il est en train de se passer quelque chose » explique M. Bodin. « On y réfléchit Â». A ce sujet, les élus travaillent sur « la limitation potentielle des zones d’activité en périphérie de la ville de Besançon Â».  

L'interview de la rédaction / Nicolas Bodin

Compte tenu du coût de l’énergie, les élus de la Communauté de Communes de la station des Rousses ont décidé de procéder à la fermeture temporaire de l’Espace des Mondes Polaires de Prémanon. Nolwenn Marchand, son président, Maire de Prémanon, explique que la facture a considérablement augmenté. Soit une multiplication de près de 4, que la collectivité n’était pas en mesure de pouvoir assumer. La nouvelle facture atteint 500.000 euros, contre les 120.000 euros anuellement budgétisés.

Les élus jurassiens mènent les investigations nécessaires pour mieux comprendre cette situation. « Des relevés sont actuellement réalisés sur les différentes installations électriques Â» explique M. Marchand. Les groupes froids de la patinoire n’expliquent qu’en partie cette hausse. Des dysfonctionnements ont également été constatés sur le système de chauffage mis en place, qui génère des consommations électriques importantes.  Alimenté par géothermie et un système de récupération des calories sur les groupes froids de la patinoire, il ne répond pas aux attentes.

Fermeture en fin de saison

Parce qu’il serait impossible d’honorer les futures factures, il a été pris la décision de fermer temporairement le site. Bien évidemment, cette mesure n’est pas sans conséquences pour l’emploi et l’économie locale. Les élus en ont bien conscience. Dans un premier temps, il a été prévu de fermer l’établissement à compter du 5 mars. La partie muséale réouvrira pour trois mois cet été. Quant à la patinoire, elle ne retrouvera son public qu’en décembre prochain. Des aménagements seront prochainement consentis pour corriger ces dépenses « pharaoniques Â».

La colère d’un élu

Nolwenn Marchand ne cache pas sa colère. ‘ Cette situation est insupportable. Comment les fournisseurs d’énergie peuvent nous demander de payer de telles sommes ? » s’insurge-t-il. Et de terminer : « c’est inadmissible d’avoir des augmentations comme celle-là sur des biens de première nécessité comme l’électricité. C’est politiquement absolument inadmissible Â». Ce  n’est certainement pas l’application prochaine de l’amortisseur électricité qui devrait réduire de 100.000 euros les charges,  qui changera la donne.

L'interview de la rédaction : Nolwenn Marchand