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Le 20 juillet dernier, la gendarmerie du Jura informait du bilan des sept derniers jours, relevé par l’Escadron Départemental de Sécurité Routière du Jura. Il a constaté :

  • 50 excès de vitesse
  • 14 conduites addictives
  • 7 défauts de permis
  • 5 téléphones au volant
  • 5 fautes de priorités
  • 3 accidents, dont 5 blessés
Publié dans Actualités, A la une

C’est confirmé. L’édition 2021 de la Haute Foire de Pontarlier n’aura pas lieu comme prévu l’automne prochain. Les incertitudes sur la pandémie et sur les mesures sanitaires qui pourraient être prises font courir trop de risques à l’organisateur, la SEM Micropolis, qui a choisi de jeter l’éponge.

L’absence de réponses précises du gouvernement sur les éventuelles mesures sanitaires envisagées dans les prochaines semaines en raison de la propagation du variant delta ne facilite pas la prise de décision . Précisons que Patrick Genre, le maire pontissalien, doit rencontrer la semaine prochaine Jean-François Colombet, le préfet du Doubs. Sans doute que la situation sanitaire du pays sera évoquée.

À la suite d'une réunion avec la société ID Verde, qui conduit le chantier de la nouvelle pelouse hybride du Stade Bonal, le FC Sochaux-Montbéliard a été alerté du risque très important de détérioration du terrain en cas d'utilisation prématurée, en raison de l’évolution qu’a connue la pousse du gazon. La décision a été prise d'une délocalisation de la rencontre de la 2e journée de Ligue 2 BKT entre le FCSM et le Havre AC qui doit se jouer le samedi 31 juillet à 19h. La Ligue de Football professionnel impose le choix d'un stade répondant aux normes de la Ligue 2 BKT, et le FCSM a retenu l'option la moins éloignée : le Stade Gaston Gérard de Dijon. Face à cette situation et les conséquences pratiques qui en découlent, le FC Sochaux-Montbéliard va contacter très vite ses abonnés et ses partenaires afin de leur proposer les différentes options envisageables, qui devront tenir compte de délais d'organisation très courts et de la programmation du match lors d'un un week-end de chassé-croisé estival.

Publié dans Actualités, A la une, Sport

La sixième édition de la Ponta’beach touche à sa fin. Après quatre semaines de sport et d’animations, les pontissaliens pourront en profiter jusqu’à ce dimanche.

Si la météo n’a pas toujours été clémente, le soleil ainsi que de nombreux participants ont fait leur retour cette dernière semaine. Des plus jeunes et plus âgés ont pu profiter d’un terrain de basket, de structures gonflables, d’un mini-golf, du ventri-glisse et bien d’autres activités. Que serait la Ponta’beach sans ses activités de plage ? On peut y retrouver un terrain de beach volley ou encore un terrain de foot en sable. Après l’effort, les buvettes peuvent être un moyen de se reposer.

PONTA BEACH NEW 5

“Les familles viennent avec le sourire aux lèvres”

Lorsqu'on lui demande le bilan de la Ponta’beach, l’adjoint aux Sports de la Mairie de Pontarlier, Philippe Besson, se félicite de la tenue de la manifestation dans une période chamboulée par la Covid-19. La météo a fait des siennes en ce mois de juillet mais il retient les jours de beau temps où “les familles et les enfants viennent avec le sourire aux lèvres”. Et enfin, le rôle des associations a encore été très important cette année pour faire vivre la Ponta’beach. Diverses animations sur le site sont organisées par plusieurs clubs sportifs. Un tournoi de beach-volley a lieu ce week-end, alors qu’un tournoi de pétanque s'esr déroulé dans les semaines précédentes. Les activités sportives se conjugent avec les activités culturelles. “On retrouve une belle synergie entre les clubs, la ville et tous les publics sportifs rencontrés sur le site” remarque l'élu.

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La question de la durée de la manifestation

Cette sixième édition de la Ponta’beach est spéciale. Après s’être déroulée sur une durée de deux semaines lors des cinq éditions précédentes, la municipalité a fait le choix d’avancer la durée à un mois. “Il y avait une forte demande de prolongement de la durée émanant des participants lors des années précédentes”, précise Philippe Besson. Victime de son succès, les visiteurs sont nombreux à demander un nouvel allongement de la durée, sur deux mois cette fois-ci. “Les frais à la charge de la ville et essentiellement les frais de gardiennage seraient trop lourds à porter” conclut l'élue en charge des sports.

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Les sapeurs-pompiers du Doubs informent que ce vendredi aux alentours de midi, à Grandfontaine, un agent Enedis s’est fait électriser. Touché gravement, il a été pris en charge par les secours. Plus de précisions à venir.

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Ce dimanche, Pontarlier, capitale mondiale de l’absinthe, accueille une nouvelle édition de la fête de l’Absinthe. Covid-19 oblige, cette manifestation biennale côté français proposera une jolie randonnée de 13 kilomètres, qui permettra aux participants de découvrir le patrimoine local lié à la Fée Verte. Au programme : musique, dégustations, sites historiques et superbes panoramas. Rappelons qu’en 1900, la capitale du Haut-Doubs comptait 25 distilleries et 150 bistrots. A cette époque, 15 millions de litres d’absinthe étaient produits par an.

Hier, jeudi, un groupe d’une dizaine de personnes s’est attaqué à sa cueillette sur un terrain de 3400 m2, situé au lieu-dit « La Rotonde », propriété d’un distillateur local. Ces participants, composés de passionnés et d’intérimaires, ont coupé la plante, dont seules les feuilles vertes et les inflorescences (terminaisons de chaque branche) ont un intérêt. Il y a ensuite l’étape du séchage dans un hangar. Complètement secs, les végétaux qui donneront toute sa saveur au breuvage, seront ensuite livrés au producteur, qui se chargera de la mise en alambic et de la distillation.

ABSINTHE CULTURE

 

La récolte

Comme pour la vigne avec le raisin, les spécialistes scrutent avec grande attention le bon stade de floraison de la plante. Quoiqu’il en soit, la récolte s’effectue entre le 20 et le 30 juillet. Cette année, il faut bien avouer que les fortes pluies de juillet n’ont pas été une très bonne nouvelle. « La météo a une influence énorme sur la qualité de la plante » explique Benoît Delory, Chef de cueille. Et de poursuivre : « la plante s’en sort mieux lorsqu’elle se développe sous un climat aride. Elle s’exprime mieux au niveau aromatique quand elle souffre ».

 

ABSINTHE CULTURE 2

La production

Suite à sa réhabilitation en 2001, après son interdiction en 1915, la fée verte a repris des couleurs. Il n’en reste pas moins que sa production est beaucoup moins importante que jadis « Il y a 70, voire 80 ans, nous parlions de centaines d’hectares d’absinthe, alors qu’aujourd’hui, les surfaces de production ont très nettement diminué » termine M. Delory.

L'interview de la rédcation / M. Delory

 

La Saline royale propose de venir s’amuser en famille à l’occasion d’après-midis d’initiation aux arts du Cirque animés par le Centre des Arts du Cirque de Besançon, Passe-Muraille. Cet atelier a pour objectif de faire découvrir les différentes disciplines circassiennes : acrobatie, jonglerie, portés et équilibre sur mains et sur objet. La Saline royale accueil aussi des centres de loisirs dans le cadre du dispositif « C’est mon patrimoine ». Ce mercredi, des élèves de l’école Donzelot, en provenance de Valentigney, ont pu découvrir et participer à ce dispositif.

 

La thématique du cirque

 

« C’est mon patrimoine » propose un parcours structuré autour d’une thématique ancrée dans l’histoire des sites, pour une rencontre entre les jeunes et le patrimoine. Sur chacun des sites participants, il s’agit de créer une offre attractive, artistique et culturel, articulant découverte du patrimoine et pratique artistique. « Ce dispositif permet d’accueillir des enfants de tout territoire et de tout milieu social à la Saline Royale, en pouvant leur proposer des activités en liens avec les thématiques culturelles », souligne Adeline Dody, responsable médiation culturelle à la Saline Royale. Et cette année, une des thématiques de la Saline est le cirque.

 

Firdaws, élève de l'école Donzelot : 



 

L’opération « C’est mon patrimoine »

 

Piloté par le ministère de la Culture et l'Agence nationale pour la Cohésion des Territoires (ANCT), le dispositif « C’est mon patrimoine » permet à la Saline Royale d’Arc-et-Senans d’accueillir actuellement des centres de loisirs. Il participe à l’éducation artistique et culturelle des enfants et des adolescents pendant les vacances scolaires. Accueillis dans les lieux de patrimoine sur l’ensemble du territoire, les jeunes ont accès à différents programmes d’activités pluridisciplinaires. Ateliers, visites théâtralisées, jeux de piste, lectures, danse, performances ou pratique des arts numériques permettent de s’approprier de façon inédite le patrimoine. En s’adressant à des jeunes issus des territoires prioritaires, urbains mais aussi ruraux, « C’est mon patrimoine » a pour ambition de les sensibiliser aux patrimoines et à l’histoire.

 

Ryan, élève de l'école Donzelot :



Le canoë kayak Pontarlier a décroché le titre de champion de France en canoë monoplace à Bourg-Saint-Maurice ce jeudi. La prestation pontissalienne a été très remarquée et a obtenu les félicitations des entraîneurs nationaux.

canoe kayak 2

 

La performance est d’autant plus belle que Sébastien Dekerlau, Baptiste Delaplace et Jules Bernardet ont amélioré de 9 secondes leur performance en finale par rapport au temps réalisé lors des qualifications. En kayak monoplace, on notera la 10è place de Thomas Rosset, Rémi Dobey et Yann Rivallant.