La Ville de Besançon recrute des animateurs périscolaires pour la rentrée 2021/2022. Les personnes titulaires du BAFA sont évidemment priorisées, mais la Ville rappelle qu’elle offre la possibilité de se former gratuitement à cette formation. Au total, 282 postes sont créés par la municipalité. Le salaire est lui de 590 euros net pour un contrat de 21h/semaine.
La Préfecture du Jura indique que des temps de vaccination en soirée se déroulent actuellement dans certains centres répartis sur le département. Ainsi, des créneaux seront ouverts ce mercredi 16 juin à Dole de 10h à 20h, de 17h à 21h à Champagnole et le 18 juin de 18h à 20h à Lons-le-Saunier.
A cinq jours des élections régionales et départementales, le caricaturiste politique pontissalien, qui s'était illustré lors des dernières municipales, vient de récidiver. Il a placardé des affiches dans les rues du centre-ville de la capitale du Haut-Doubs.
Il a repris l'univers du célèbre dessin-animé des années 80 « Barbapapa ». On y voit « Barbamama », alias Florence Rogeboz, et Barbapapa, alias Romuald Vivot. Tous deux candidats Les Républicains aux élections départementales dans le canton de Pontarlier. La députée Annie Genevard y figure également. La parlementaire est dans le costume de Barbabelle.
À l’occasion de la journée mondiale de lutte contre la maltraitance des personnes âgées, Anne-Sophie Pelletier, députée européenne et ancienne gréviste de l’EHPAD de Foucherans, est revenue à notre micro sur l’importance de sensibiliser sur cette cau
Ce mardi 15 juin, une quarantaine de fonctionnaires s’est rassemblée à 17h devant la préfecture du Doubs. Parmi les syndicats représentés, la CGT, Force Ouvrière, FSU ou encore Solidaires. Ils exigent une revalorisation salariale décente ainsi que des créations de postes suffisantes afin de rendre la fonction publique attractive, mais aussi pour avoir la capacité de répondre aux besoins des concitoyens. Un représentant a été reçu par Jean Richert, directeur de cabinet du préfet.
À l’occasion de la journée mondiale de lutte contre la maltraitance des personnes âgées, Anne-Sophie Pelletier, députée européenne et ancienne gréviste de l’EHPAD de Foucherans, est revenue à notre micro sur l’importance de sensibiliser sur cette cause, ainsi que sur les mesures à prendre pour améliorer la situation dans ces établissements.
Les années passent, la colère gronde, et pourtant, la situation semble rester la même. Dans certains EHPAD, les conditions de vie des résidents se détériorent, tout comme les conditions de travail des aides soignants. Cette situation, la députée Anne-Sophie Pelletier la connait bien. Elle-même aide médico-psychologique, l’élue européenne a fait de cette cause son grand combat politique. En 2019, elle publie un livre nommé « EHPAD : Une honte française ». Deux ans plus tard, les problématiques demeurent les mêmes. Pire, la crise sanitaire a mis en lumière d’autres problèmes dont l’opinion public peinait à s’intéresser : « La maltraitance est institutionnalisée aujourd’hui. Dans certains EHPAD, les soignants ont une cadence infernale, sont épuisés, Les choses ne changeront pas tant que ces soignants seront en sous-effectif. Il faut voir les EHPAD comme des lieux de vie, et non pas des lieux de fin de vie », nous confie l’euro-députée.
Pas assez « start-up nation »
Malgré la mise en lumière de la problématique avec l’arrivée de la crise sanitaire, les avancées se font rares, voir inexistantes. Malgré de nombreux épisodes de manifestations et de grèves, l’État ne semble pas enclin à augmenter les budgets réclamés par les professionnels du métier. Pour Anne-Sophie Pelletier, l’inflexibilité du gouvernement est révélatrice de la politique publique mise en place : « Est-ce qu’on veut une politique de vivre ensemble, ou une politique d’invisibilisation de ceux qui ne rapportent pas ? Actuellement, c’est plutôt la deuxième option, les personnes âgées ne doivent pas être assez start-up nation pour l’État ». Avec une centaine d’euro-députés, Anne-Sophie Pelletier a demandé une commission d’enquête pour savoir ce qui s’est passé dans les EHPAD, dans les centres médico-spécialisées, et pour les personnes en situation de handicap.
Des mesures nécessaires
L’euro-députée ne se contente pas de critiquer l’État, elle propose également des solutions. Face à la situation urgente, Anne-Sophie Pelletier veut d’abord réstaurer le dialogue entre familles et directeurs d’établissements : « La possibilité ou non de rendre visite à ses proches était à l’appréciation du directeur. Dans la région, de nombreuses familles se plaignent encore de ne pas pouvoir voir leur proche ». Deuxième proposition urgente à mettre en place, la remise en place de réels projets de vie individualisés : « À partir de ces projets, il faut mettre un nombre de personnel adéquat. Il faut respecter les droits fondamentaux des personnes âgées, c’est-à -dire de vivre dans la dignité ». Enfin, la députée européenne souhaite qu’on laisse les soignants aider dignement les résidents, et que ces derniers soient traités comme des êtres vivants et non comme du bétail : « Quand vos responsables vous disent de ne pas vous attacher, que ce n’est qu’un travail, non ce n’est pas possible. On ne peut pas déshumaniser comme cela ces personnes âgées. Avec tout le respect que j’ai pour les postiers, on ne vas pas jeter un colis dans une boite au lettre »
Les salariés de MBF Aluminium ne sont toujours pas fixés sur leur sort. Ce mardi, le tribunal de commerce de Dijon n'a pas rendu sa décision. Ce dernier devrait se prononcer ce vendredi.
Rappelons qu'un seul repreneur s'est fait connaître. Il s'agit de Mikaël Azoulay. 210 emplois pourraient être conservés sur les 272 que compte actuellement le site jurassien.
La police de Pontarlier lance un avis de recherche. Elle recherche un homme d'une trentaine d'années, dont le chien, un dog argentin blanc, a mordu le chien d'une personne non voyante, un labrador. Le couple se promenait, lundi soir, vers 22h, au centre-ville de Pontarlier.
Le propriétaire du chien, qui a refusé de montrer les papiers de son animal à ses victimes, mesure environ 1m80 et ses cheveux sont noirs. Si vous avez assisté à la scène ou reconnaissez cette personne, n'hésitez pas à contacter le commissariat de police de Pontarlier au 03.81.38.51.10.
Lundi, vers 17h30, une patrouille de police a reconnu, au volant de sa voiture, un homme défavorablement connu de ses services. A la vue des policiers, ce dernier a abandonné son véhicule. Néanmoins, les policiers sont parvenus à l'interpeller.
Le contrôle d'alcoolémie s'est révélé négatif, alors que celui aux opiacés fut positif. En attendant, les résultats définitifs des analyses effectuées, son permis de conduire a été retenu. Son véhicule a été immobilisé
Un jeune homme de 22 ans devra s'expliquer prochainement devant la justice. Le 2 juin dernier, lors d'un contrôle, il est apparu qu'il conduisait sous stupéfiants, sans permis de conduire, qui avait été annulé, et pour diverses autres infractions. S'il était au volant sous l'effet de la drogue, le contrôle d'alcoolémie s'est révélé négatif.
Concernant la panne réseau de l'opérateur Orange, impactant les numéros 15, 17, 18 et 112, la préfecture du Doubs indique ce mercredi soir que des difficultés persistent sur certains numéros de secours, en particulier le 15, avec des problèmes d'aboutissement et de coupure. Ainsi, les numéros de contournement sont maintenus jusqu'à ce vendredi 4 juin.
Pour le Doubs, les numéros sont les suivants :
SDIS : 03.70.07.90.99
SAMU : 03.81.21.40.00
Gendarmerie Nationale : 03.81.47.49.24
Police Nationale : 03.81.21.11.22