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A compter du lundi 7 juin et jusqu'au vendredi 11 juin, des travaux de modernisation du passage à niveau n°29 situé sur la commune de La Cluse et Mijoux (25), sur la ligne Frasne - Les Verrières (Suisse) vont être réalisés par SNCF Réseau.

Ce chantier permettra de renouveler la voie sur 36 mètres, remplacer 110 tonnes de ballast et poser un platelage STRAIL de 18 mètres pour permettre de passer le passage à niveau en toute sécurité et réduire les nuisances sonores

Sur cette période, deux déviations routières vont être mises en place, une pour les véhicules légers et une pour les poids lourds. Ce chantier représente un investissement de 160 000 € financés par SNCF Réseau.

Une bonne nouvelle pour les Pontissaliens. La Ville informe de la réouverture du parc Jeanine Dessay, situé au centre-ville, pour la période estivale, tous les jours de 8h à 20h.

Pour préparer la réouverture de ce parc, les services municipaux ont travaillé de concours avec un spécialiste bénévole, soutenu par l'association de Pomologie et du Jardin botanique de Besançon. Sur place, les visiteurs pourront découvrir près de 600 espèces végétales et des vestiges et éléments historiques conservés témoignant de l'Histoire de Pontarlier.

Rappelons que le Parc de la Maison Chevalier a été rebaptisé à la suite du décès tragique de Jeanine Dessay, survenu le 15 avril 2019 à Pontarlier, assassinée par un individu dans un centre commercial pontissalien.

Un grave accident de la route s'est produit hier, en fin d'après-midi, vers 17h45, à Passavant (25). Deux voitures se sont percutées. On déplore trois blessés graves.

Un homme de 83 ans a été évacué, par hélicoptère, sur l'hôpital de Besançon. Deux autres victimes, un homme de 62 ans et une femme de 57 ans, ont été transportées, médicalisées, sur l'hôpital Minjoz en ambulance.

Hier soir, nous apprenions qu'une panne nationale impactait les centres d'appel d'urgence. Ainsi, les numéros 15-17-18-112 étaient concernés. Si vous ne parvenez pas à contacter les services d'urgence, vous pouvez composer les numéros suivants :

- SDIS : 03.70.07.90.99

- SAMU : 03.81.21.40.00

- Gendarmerie Nationale : 03.81.47.49.24

- Police Nationale : 03.81.21.11.22

La radio fête ses 100 ans en 2021. Rien de plus normal pour Plein Air que de lui rendre l'hommage qu'elle mérite. Cette vieille et bien belle dame est présente dans les foyers français depuis plus d'un siècle. Malgré les années qui s'écoulent, elles traversent les décennies en s'adaptant aux nouveaux modes d'écoute et d'usages. « Malgré ce contexte, la radio en France rassemble 40 millions d'auditeurs quotidiennement » explique Sébastien Widmer, le directeur général de la première radio commerciale privée franc-comtoise sur la région.

S'adapter et innover

C'est le leitmotiv de Plein Air. Fière de ses 50.000 auditeurs quotidiens, la radio ne s'endort pas sur ses lauriers. « La radio est contrainte d'évoluer. L'enjeu est de resituer l'auditeur au cœur des préoccupations » explique Mr Widmer. Pour ce faire, le média a lancé de multiples chantiers, qui vont lui permettre d'amorcer des projets, importants à son développement et répondant aux enjeux du moment et de l'avenir. Cela passe par la création de pôles, d'un nouveau site internet, à compter du 18 juin, et d'annonces fortes de développement à venir d'ici la fin de cette nouvelle année. Certes, la crise sanitaire a impacté le média radio, mais ce dernier a su garder le cap pour poursuivre ses investissements et envisager l'avenir avec attention.

Une démarche unique en France

Dans le cadre de cette date anniversaire, Plein Air et son directeur général, attachés à la qualité du son que la station émet, ont choisi de rassembler tout le matériel qui a fait le son de la bande FM lors de ces 40 dernières années. Il s'agit d'appareils audio qui ont donné l'identité sonore des radios françaises de 1985 jusqu'à 2015, et de les mettre à l'antenne sur Internet.

La police de Pontarlier rappelle l'importance de veiller à ses biens lorsque l'on est en collectivité. Dernièrement, le commissariat a enregistré deux vols de téléphone portable, survenus lors d'une soirée.

Idem, pour les escroqueries sur internet, avec des victimes qui ont agi sans réfléchir au moment d'une transaction. Le bon sens est de rigueur. Pas question par exemple d'envoyer une marchandise sans avoir reçu l'argent.

Un homme de 42 ans, d’origine algérienne, en situation irrégulière a été arrêté le 2 juin dernier à Besançon et assigné à résidence, en attendant d’être placé en rétention administrative et d’être reconduit dans son pays d’origine.

Un motard de 60 ans s'est blessé au genou mercredi, vers 13 heures, à hauteur du Pont des Chèvres à Pontarlier. Il a été pris en charge par les sapeurs-pompiers et transporté à l'hôpital. Sa moto est entrée en collision avec une voiture, conduite par une femme de 50 ans.

Un incendie s'est déclaré cet après-midi au centre nautique d'Ornans. Il a pris au niveau de l'espace détente sauna et hammam.

Une lance a été déployée. De ce fait, l'établissement doit fermer ses portes. Les causes et les circonstances de ce sinistre ne sont pas connus.

Un collectif de 25 enseignants et AESH (accompagnant des élèves en situation de handicap) a manifesté en début d’après-midi ce mercredi devant l’inspection académique du Doubs. Sous la bannière de la Fédération Syndicale Unitaire, elles souhaitent mettre en lumière leurs conditions de travail et leur grande précarité. 

Le métier d’AESH

L’usage du pronom « elles Â» n’est pas anodin. L’écrasante majorité des AESH est féminine. « Personnel 100% nécessaire dont on ne pourrait plus se passer », selon Marjorie Breney, enseignante en primaire et membre du FSU, elles sont toutes aujourd’hui payées au SMIC à temps partiel. Elles touchent donc en moyenne 750€ par mois. Et autre particularité, elles doivent travailler au moins 6 ans en CDD avant d’espérer un CDI de la part de leur administration. Par ailleurs, nouvelle directive de l’état, la mise en place de PIAL (pôles inclusifs d’accompagnement localisés), ce qui « transforme les AESH en pions déplaçables Â». Elles peuvent désormais être appelées pour remplacer une collègue, parfois dans une école loin de leur domicile. Cela entraîne des frais de déplacements plus élevés, difficile à sortir lorsque l’on gagne pour rappel 750€ par mois.

Une « pré-journée de mobilisation Â» dans le Doubs

Des enseignants sont venus cet après-midi pour soutenir les AESH de leur établissement devant l’inspection académique. 25 personnes ont donc brandi pancartes aux messages clairs : « paye mon AESH ou prends mon handicap Â» ou encore « AESH, 100% nécessaires, 100% précaires Â». Elles réclament l’attention des pouvoirs publics, plus de moyens pour les années suivantes, afin d’embaucher et recevoir des salaires plus élevés. Des pouvoirs publics qui n’ont pour l’instant pas été réceptifs : la secrétaire générale de l’académie de Besançon aurait déclaré aux représentants syndicaux : « je ne peux pas vous laisser dire que les AESH sont en situation précaire Â». Cette manifestation n’est que l’apéritif d’une journée de plus grande mobilisation : demain, jeudi 3 juin, une intersyndicale appelle à la grève nationale des AESH. Les revendications sont claires : l'augmentation des salaires, un statut contractuel stable et l'abandon des PIAL. Il faudra saluer le courage des personnels qui participeront à la grève demain : cette journée de mobilisation sera retirée de leurs salaires.