Ce samedi 25 janvier, le club de football Groupe Jeunes de l’Arche organise un après-midi de découverte du football féminin. Le rendez-vous est fixé de 13h30 à 17h30 au stade de Chaffois. Les jeunes filles nées entre 2010 et 2017 seront accueillies de 13h30 à 15h30. Celles nées avant 2010, sont attendues entre 15h30 et 17h30. Pour de plus amples informations, il est possible de joindre Frédéric Lonchampt au 06.87.86.04.99
La mobilisation ne faiblit pas au CHS de Novillars. Ce mercredi, les agents ont envahi le conseil de surveillance de l’établissement. Ils ont de nouveau alerté sur leurs conditions de travail et leurs difficultés à soigner. Selon le collectif , « l’hôpital implose ». Le statu quo est encore bien réel. Les manifestants déplorent l’absence de réponse de leur direction.
C’est un rendez-vous qu’il est d’ores et déjà possible de renseigner sur son agenda. Ce mercredi 29 juin, l’établissement de santé de Quingey, organise une journée portes ouvertes de 14h à 18h à destination du grand public. Au programme ; visites, ateliers et temps d’échanges pour mieux comprendre le fonctionnement d’un tel établissement.
Cette rencontre permettra également de mettre un accent particulier sur les nouvelles technologies au service de la prise en charge des patients. Grâce aux réponses aux appels à projet de l’ARS (accidentés de la route) et du Département, l’établissement a acquis des équipements innovants.
Jusqu’au 29 juin, à Besançon, des travaux sont menés sur la passerelle Jean Abisse, reliant le chemin de la Malate aux anciennes usines de « la Rhodia », dans le quartier des Prés de Vaux. Il s’agit de travaux de sondages sur les points d’appui de la structure. Rappelons que des déviations sont mises en place. La collectivité précise qu’en raison de contraintes techniques ou de conditions météorologiques défavorables, le chantier pourrait être reporté et les conditions de réalisation des travaux adaptées
Les premiers départs en vacances arrivent à grands pas. Cette année, le ministère de l’intérieur demande à chacun d’utiliser internet pour faciliter les démarches d’inscription à ce service, qui permet de solliciter l’aide des forces de l’ordre pour surveiller sa propriété durant son absence. Ce nouveau dispositif est en place depuis le 20 juin dernier. Il a pour mission de dématérialiser la démarche et de faciliter son inscription. Pour ce faire, il suffit tout simplement de renseigner les bonnes informations sur le document mis en ligne sur les sites internet habituels, comme celui de l’administration française : https://www.service-public.fr
La transmission des informations s’effectuera également différemment. Les utilisateurs de ce service pourront consulter directement sur leur téléphone les avis de passage des policiers ou des gendarmes, en fonction de leur lieu de résidence.
A Pontarlier, le commandant Trousseau rappelle que la durée maximale d’une demande ne peut dépasser les 90 jours et doit être supérieure à deux jours. Depuis son lancement, il y a sept ans, ce dispositif a montré toute son efficacité. Seulement deux délits, dont une tentative de cambriolage ont été constatés. Les visites sont aléatoires. Néanmoins ce service ne doit pas faire oublier aux propriétaires qu’ils doivent protéger leur propriété et veiller à la bonne application de certaines mesures.
L'interview de la rédaction / Le Commandant Armand Trousseau
La Bisontine Juliette Labous a pris la médaille d’argent ce jeudi après-midi au championnat de France dans l’épreuve du contre-la-montre. Rappelons que l’évènement se déroule à Cholet jusqu’au 26 juin. Une déception pour la Bisontine, qui termine à 26 secondes de sa rivale de toujours Audrey Cordon-Ragot.
A Besançon, les représentants syndicaux de la société Safran, spécialisée dans l’aéronautique, mobilisée depuis mercredi, ont décidé de suspendre leur mouvement ce jeudi à l’issue d’une rencontre avec la direction. Les négociations restent néanmoins insatisfaisantes. Cette dernière campe sur ses positions.
Si l’effort consenti de 62 euros brut devrait se confirmer en juillet prochain, la demande de 60 euros supplémentaires, que les salariés justifient par une valorisation de leur savoir-faire, n’a pas trouvé d’écho favorable pour le moment. De nouvelles discussions seront possibles en octobre prochain. D’ici là, les revendications demeurent et de nouvelles mobilisations surprises ont été annoncées à la direction.
Le budget 2021 a été présenté mercredi 22 juin à la presse par le Grand Besançon Métropole. Dans une période économique compliquée due à l’inflation, le bilan n’est pas catastrophique avec un endettement maîtrisé et une balance positive avec 291 millions d'euros de recettes pour 268 millions de dépenses. Cependant, si cette situation d’inflation dure, la présidente du Grand Besançon Anne Vignot déclare qu’il faudra effectuer des choix entre différents projets, des choix pas encore décidés mais qui seront nécessairement difficiles.
La communauté urbaine de Besançon, source de très nombreux projets
Le Grand Besançon Métropole participe lui-même à l’inflation avec un « véritable boost de projets » selon la présidente Anne Vignot. En effet, le niveau de réalisation des investissements dans le budget principal n’a jamais été aussi haut en 2021 avec plus de 41 millions d’euros. C’est un beau travail réalisé par les agents de la communauté mais qui va devoir prendre un coup dans l’aile avec cette période inflationniste qui arrive juste après la crise sanitaire qui avait déjà fait des dégâts économiques (9 millions de pertes en 2020 puis 4 millions en 2021).
Une crise qui tombe mal dans une période de « transition »
Ces difficultés budgétaires sont dommageables dans une période de “transition écologique” et de vote de certains projets controversés, comme celui de la tarification transports que nous évoquions dans nos précédentes éditions. Lorine Gagliolo qui présentait en même temps son rapport sur les actions de développement durable de l’agglomération pourrait donc voir le budget affilié à de telles actions diminuer. Des actions aussi multiples que le financement de parking de vélo, de covoiturage ou bien l’aide à l’éco-tourisme, à l’enseignement artistique pour tous avec le financement du conservatoire à rayonnement régional, la solidarité des territoires avec le programme « aide aux communes » ou enfin la gratuité des transports lors des pics de pollution.
Des choix difficiles
Des choix devront être réalisés et Anne Vignot nous informe que ces choix ne sont pas encore faits et seront difficiles puisque « chaque élu se voit mal réduire ou arrêter sa politique ».Chaque projet nécessitant au moins 5 ans pour être mis en place, l’arrêt de ceux-ci s’avère compliqué, c’est pourquoi Anne Vignot demande à l’Etat d’étendre la période de réalisation des projets afin de « lisser et amortir ». C’est également ce que prévoit le vice-président du grand Besançon Gabriel Baulieu qui estime que certains « beaux projets devront être différés ».
L'interview de la rédaction / Anne Vignot
« Le pourquoi de cette construction est double » confie François Rosset, président du club de canoë-kayak de Pontarlier. « Déjà parce que le club était très étriqué dans le moulin de la Fauconnière. Comme au niveau de la possibilité d'accueil des classes, on était vraiment à l’étroit. Il fallait qu'on l’agrandisse » explique le président. C’est alors que la ville de Pontarlier a projeté d’installer des micros-centrales de production électrique sur les barrages des Forges et de la Fauconnière. L’opportunité pour le Canoë-Kayak Pontissalien de prendre son envol quelques centaines de mètres plus loin, sur un terrain plus spacieux, avec cette idée de base beaucoup plus conséquente. Ce qui permettrait d’accueillir la centaine d’adhérents du club et ses compétiteurs internationaux dans les meilleures conditions, tout en permettant de ranger et de stocker tout le matériel plus efficacement.
« Toutes les fondations ont été réalisées. Il va y avoir le coulage d'une dalle qui va se mettre en place et ensuite les murs qui seront montés pour essayer d'avoir un bâtiment qui sera le plus écolo et économique possible. Il devrait être moderne dans la gestion des flux de chauffage et toutes ces choses-là » souligne François Rosset. L’investissement supporté par la ville de Pontarlier s’élève à 1,1 million d’euros pour la base. Une passerelle enjambant le Doubs devrait aussi être réalisée l’année prochaine. L’occasion de transformer ce nouveau site en véritable parc paysager de loisirs pour tous les Pontissaliens. L’ouverture de la base devrait être pour l’été 2023, une date qui coïncide parfaitement avec les 50 ans du club du Canoë-Kayak Pontissalien, créé le 10 juin 1973.
L’écomusée de Chapelle-des-Bois fête les journées du patrimoine de pays et des moulins ce samedi 25 juin, de 14h à 18h, Au cours de cet après-midi, le public pourra visiter l’endroit. La déambulation portera sur le thème : « Histoire de la reconstruction de la Maison Michaud, c'était il y a 44 ans !". Un diaporama sur la reconstruction de la ferme sera également proposé. Pour tout savoir sur cet évènement : www.ecomusee-jura.fr