Concernant l’épidémie de Covid-19, l’augmentation de la circulation du virus s’observe de nouveau à l’échelle de tous les départements de Bourgogne-Franche-Comté, où le taux d’incidence en population générale approche les 500 cas pour 100 000 habitants, avec un taux de positivité des tests supérieur à 27%. Les hospitalisations repartent par ailleurs légèrement à la hausse, tendance qui n’avait pas été observée depuis l’été.
Les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus ce vendredi après-midi à Orchamps-Vennes pour le sauvetage d’une vache, tombée dans une doline d’environ 2,5 mètres de profondeur. L’intervention combinée des équipes spécialisées de sauvetage déblaiement et du sauvetage animalier a permis d’extraire rapidement l’animal qui a pu être confié à son propriétaire.
Grand Besançon Métropole poursuit son travail de mise aux normes des stations d’épuration de son territoire et leurs installations. L’objectif étant de traiter efficacement les eaux usées, rejoignant la source d’Arcier, qui alimente en eau potable la Ville de Besançon.
Cet investissement s’inscrit plus globalement dans un ensemble d’opérations touchant le Plateau. Certaines sont déjà achevées, comme la réalisation des travaux de mise en séparatif des eaux pluviales de Mamirolle, le renvoi des effluents de la Vèze et de Morre vers la station d’épuration de Port-Douvot à Besançon ou encore la mise aux normes de la station d’épuration de Saône. D’autres restent à venir comme le renvoi des effluents de Montfaucon, puis ceux de Gennes et de Saône, la reprise des réseaux d’eaux usées et d’eaux pluviales de Saône et enfin, la refonte des stations d’épuration de Fontain et de Pugey.
La mise aux normes de la station de Mamirolle
Elle va être conduite en deux phases, dont une partie de redimensionnement complet des installations, prévue jusqu’à fin 2024. En parallèle de ce chantier, dont le montant est estimé à 2,7 millions d’euros, l’ENIL de Mamirolle, l’Ecole Nationale d’Industrie Laitière, va devoir se doter d’un prétraitement pour gérer ses effluents, qui seront ensuite pris en compte dans le réseau d’assainissement de Grand Besançon Métropole. 450.000 euros seront investis par l’établissement.
Gérer les infrastructures
Les coûts de l’énergie inquiètent l’élu bisontin Christophe Lime. « Pas question de mettre en pause les installations pour faire des économies ». Le coût de l’électricité impacte considérablement les finances publiques. La facture pourra s’élever à 5,7 millions d’euros en 2023. Un triste nouveau record. Pour faire face à cette situation, les prix de l’eau et de l’assainissement pourraient augmenter.
La Crasy Pink Run fait son grand retour
La course emblématique revient pour cette édition 2022. L'an dernier, en raison des circonstances sanitaires et du nombre important de personnes qu'elle mobilise, le choix de ne de ne pas l'organiser avait été pris. Cette année elle revient donc en force, avec un parcours nouveau et aura lieu à Pontarlier le mercredi 5 octobre. Concernant les petites nouveautés, Bénédicte Hérard, adjointe au Maire en charge des Solidarités, du Social et de la Santé insiste « sur le fait qu’il faudra pour les participants une petite lampe frontale pour pouvoir faire ce parcours ». « Il y aura quelques surprises, et n’oubliez pas vos vêtements roses » indique aussi l’élue. Les animations sur la place d'Arçon commenceront à 18h pour laisser place à 19h35 à l'échauffement et au briefing. Enfin, à 20h sonnera le départ la course. Il y aura aussi des animations musicales sur la place à partir de 20h45. La première inscription est à 5,50€ et la deuxième de 11€ ( 5,50€ pour la course et 5,50€ de don). Les bénéfices sont ensuite reversés aux associations partenaires.
Bénédicte Hérard, adjointe au Maire en charge de la politique de la ville, des Solidarités, du Social de la Santé, et de l'administration générale :
La Crazy Pink Run n’avait pas eu lieu l’année dernière, mais l’événement s’était quand même tenu. La manifestation s’était déroulée sous la Halle Pasteur sur une demi-journée. Habituellement, c’est entre 2500 et 2800 coureurs qui sont mobilisés. Également sur place, de nombreuses associations, et les partenaires habituels qui sont en lien avec la lutte contre le cancer. « On a vraiment un large panel de d'associations partenaires qui viennent régulièrement et qui nous apportent leur soutien. Non seulement à la manifestation, mais aussi dans l'accompagnement des personnes qui sont prises en charge » souligne Bénédicte Hérard. Si cette année le Covid est encore d’actualité, nous savons désormais mieux gérer la situation et les cas sont moins graves. La course ouvrira officiellement le mois de sensibilisation. Un programme riche et varié sera proposé au sein de la cité pontissalienne.
Pour retrouver toute la programmation de l’évènement :
https://www.ville-pontarlier.fr/sortir/agenda/fiche/octobre-rose
Grand Besançon Métropole va se doter d’un nouveau parking de co-voiturage. Il sera aménagé sur un délaissé de domaine public, proche du giratoire situé sur la RN 83, sur les communes de Busy et Larnod. Comme le rappelle Yves Guyen, vice-président délégué à la voirie, aux infrastructures et réseaux opérationnels, « l’entrée Sud du Grand Besançon était dépourvue d’une telle infrastructure ». Et de poursuivre : « De nombreux automobilistes garent leurs véhicules sur le bord de la départementale 104, en direction de Pugey, à la sortie du giratoire. Ce qui est dangereux ». 40 places sont prévues. Le coût de l’opération est estimé à 200.000 HT. Les aménagements seront réalisés début 2023.
Cinq parkings de co-voiturage
Depuis 2021, cinq parkings de co-voiturage ont été réalisés sur le territoire du Grand Besançon. Ils ont vu le jour à la Vèze, Miserey-Salines, Chemaudin-et-Vaux, Marchaux-Chaudefontaine et rue de Vesoul à Besançon. Ils proposent ainsi plus de 200 places, réparties aux entrées Ouest, Nord et Est du territoire. D’autres initiatives identiques, inscrites dans le cadre d’un plan multimodal, verront le jour à Saint-Vit, Saône, Devecey, Roche-lez-Beaupré, … .
L'interview de la rédaction / Yves Guyen
Les élus de Grand Besançon Métropole se réuniront ce lundi soir pour un nouveau conseil communautaire. Le budget et la décision modificative N°2 seront à l’ordre du jour.
Le sujet n’est désormais plus tabou. Si la collectivité locale ne parvient pas à faire les économies nécessaires pour équilibrer son budget 2023, la hausse de l’impôt sera une des pistes qu’elle ne pourra écarter. Christophe Lime, le Vice-président délégué à la gestion de l’eau potable et des eaux pluviales, et Gabriel Baulieu, le 1er Vice-président de Grand Besançon Métropole, ne le cachent plus.
Pour l’heure, Grand Besançon Métropole espère pouvoir bénéficier du bouclier tarifaire. La collectivité l’a fait savoir à l’Etat. Ce qui lui permettrait de maîtriser ses dépenses énergétiques et ses coûts de fonctionnement. Selon les estimations actuelles, la facture énergétique pourrait atteindre 5 millions d’euros en 2023, hors transports, eau, assainissement et déchets. C’est plus du double qu’en 2022. « Si cela n’est pas possible, nous n’aurons pas d’alternatives que de trouver des solutions. Cela renvoie forcément à des considérations touchant à la fiscalité » explique M. Baulieu.
La réaffectation des crédits
Aucune décision n’a été prise. Les élus réfléchissent à toutes les solutions possibles. Des réponses définitives devront être apportées d’ici le 1er janvier prochain. En ce début d’automne, pour terminer cette année 2022, une réaffectation des crédits de fonctionnement a été opérée pour faire face aux charges supplémentaires qui apparaissent dans les services les plus consommateurs d’énergie ( déchets, eau et assainissement).
L'interview de la rédaction / Gabriel Baulieu
Compte tenu de l’amélioration de la situation, le préfet du Jura allège les mesures de restriction temporaire des usages de l’eau. Concernant la ressource en eau superficielle, les épisodes pluvieux réguliers commencent à résorber le déficit cumulé depuis le début de l’année. Mais la quantité d’eau enregistrée n’est pas homogène sur tout le département.
Pour la ressource en eaux souterraines, les précipitations ont seulement permis de stabiliser la situation observée début août, voire de légèrement l’améliorer. Toutes les informations précises sont à retrouver sur le site internet de la préfecture du Jura.
Serge Castel, le préfet du Jura, et Clément Pernod, le président du Conseil Départemental, ont inauguré ce mardi trois agences France Services sur les communes de Champagnole, Nozeroy et Foncine-le-Haut. Ces trois sites font désormais partie du réseau des 24 structures qui maillent le territoire jurassien. Rappelons que ces lieux ont été créés pour offrir aux usagers un accueil de proximité regroupant différents services de l’état. L’octroi de ce label permet aux structures concernées de recevoir de l’état une subvention annuelle de 30.000 euros qui contribue à leur fonctionnement.
Le GBDH qui n’a toujours pas remporté le moindre point cette saison, se déplace ce vendredi soir à Cherbourg. La rencontre promet d’être difficile pour les bisontins face à cette formation finaliste de Proligue la saison dernière. Benoît Guillaume, l’entraîneur du GBDH, devra trouver la bonne recette afin de motiver ses troupes, toujours à la recherche de leur premier succès cette saison.
Durant cette semaine de stage de l’équipe de France féminine de handball, deux matches sont programmés. Les Bleues affronteront l’Allemagne à deux reprises : à Metz ce vendredi 30 septembre et à Nancy le 2 octobre. Ces rencontres sont l’occasion de souligner le grand retour en équipe de France de Lucie Granier, l’ailière droite de l’ESBF. La bisontine fait partie du groupe des 20 joueuses retenues par le sélectionneur Olivier Krumbholz. La mortuacienne Chloé Valentini, ancienne ailière gauche de l’ESBF, fait aussi partie du groupe. En ligne de mire se dresse la 14ème édition du Championnat d’Europe, qui débutera le 4 novembre en Macédoine du Nord, Monténégro et Slovénie.