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A l’occasion de la journée mondiale du bénévolat ce lundi, France Bénévolat organisait une journée de rencontres et d’échanges entre les associations et les bénévoles ce lundi à la MJC de Palente, à Besançon. A l’heure où les associations connaissent une forte diminution des effectifs, surtout depuis la crise sanitaire, cette journée paraissait importante pour présenter la structure et ses missions, mais aussi accueillir et recruter de nouveaux bénévoles.

France Bénévolat se définit comme une association à but non lucratif, qui a pour vocation « le développement de l'engagement bénévole associatif pour une citoyenneté active ». Ses missions sont de mettre en relation les bénévoles avec les associations, de faire la promotion générale du bénévolat, auprès d’organismes divers, et enfin d’assister les associations dans le suivi et la fidélisation de leurs ressources bénévoles. C’est donc à l’occasion de la journée mondiale du bénévolat, que la structure bisontine a voulu organiser une journée libre dans les locaux de la MJC de Palente, où l’association recevait des bénévoles qui venaient se renseigner, s’inscrire ou même chercher des missions. Des associations étaient aussi présentes sur place pour se renseigner, ainsi qu’éventuellement adhérer au projet de France Bénévolat.

Aux alentours de midi, Paul Louvel, coprésident de France Bénévolat, affichait un sourire témoignant de sa bonne humeur. « Pour l’instant, on est relativement satisfait, on a eu pas mal de monde. On n’avait pas forcément d’objectif particulier, mais ça permet de mettre tout le monde en relation, de discuter, d’échanger, de parler de nos expériences, c’est toujours enrichissant Â».

Aujourd’hui, un manque criant de bénévoles se fait ressentir en France. La crise sanitaire n’a pas non plus épargnée le monde associatif. « On a un gros déficit, c’est vrai. Notamment après cette pandémie de 2 ans de Covid. Il y a eu à peu près une érosion de 15% de bénévoles dans les associations. C’est relativement important. Certaines sont très fragilisées, donc il faut essayer de tous se mobiliser pour combler ça Â» explique le coprésident de France Bénévolat. « Je pense que dans le bénévolat on peut s’épanouir. L’objectif c’est d’être utile, de travailler en collectivité, de tisser des liens sociaux avec d’autres individus, ça aide beaucoup. Mais surtout, et j’appuie mon propos sur ces termes, ça apporte énormément à soi-même Â» conclut Paul Louvel.

Pour se renseigner ou s’engager, il est possible de contacter l’association au 03.81.51.80.44 ou sur www.francebenevolat.org. Ou alors directement en se rendant au local du mardi au jeudi, de 10h à midi et de 15h à 17h, au 5 avenue de Bourgogne, à Besançon.

Le parcours des bleus lors de cette coupe du monde au Qatar continue pour l'équipe de France, et la ville de Pontarlier continue donc ses retransmissions. Comme c’était déjà le cas pour les matchs de poule et des huitièmes de finale, la ville diffusera également le quart de finale de coupe du monde entre la France et l'Angleterre (coup d'envoie à 20h00). Cela se passera ce samedi 10 décembre à la Salle Morand, 6 rue Morand. L’ouverture des portes se fera à 19h30. Contrairement aux matchs précédents, il n'y aura pas de buvette sur place. En cas de qualification en demi-finale de l’équipe de France, le lieu de retransmission sera communiqué ultérieurement.

Le budget de la CCGP (communauté de communes du Grand Pontarlier) se prépare pour le 14 décembre prochain, celui de la ville pour le mois de mars. Un casse-tête pour les élus qui doivent jongler entre annonces gouvernementales et hausses du prix de l’énergie. Entretien avec Patrick Genre, maire de Pontarlier et président de la CCGP.

 

Vous avez récemment débattu des orientations budgétaires 2023 pour la CCGP. Mais avec le reste de la crise COVID, l’inflation et la crise énergétique, comment construire un budget ?

Nous sommes dans une situation qui est totalement inédite. Je n'ai pas connu pareille situation alors que je suis élu depuis plus de vingt ans. Les résultats de cette crise sont multiples. Aujourd'hui, l'inflation pour les collectivités est supérieure à l'inflation des ménages. Elle est, sur 2022, entre 7% et 9%.  Pour 2023 elle sera plutôt entre 5% et 7%. Nous avons à faire bien entendu à l’augmentation des coûts concernant les investissements puisque les entreprises sont elles-mêmes confrontées à des augmentations de leurs charges. Nous sommes confrontés aux délais de réalisation des chantiers parce qu’il y a des problèmes de fourniture. Et puis nous sommes surtout maintenant concernés par cette explosion des coûts énergétiques. Nous aurons dans les prochains jours la connaissance du coût global pour la CCGP et la ville. On nous a préconisé de construire un budget avec un triplement du prix de l'électricité et de +50% pour le gaz donc ça représente des surcoûts énormes pour les collectivités. Cette très forte tension et augmentation des charges de fonctionnement va poser des problèmes pour financer ces dépenses supplémentaires. Cela va renier ou diminuer l'autofinancement et l’épargne que réalisent les collectivités. C’est un risque de ralentir l'investissement ou d'augmenter le recours à l'emprunt. C'est la première fois que nous avons une telle conjoncture d'événements. De plus, il y a encore beaucoup de flou sur les mesures qu’envisage de prendre le gouvernement pour nous accompagner. Bouclier, filet ou amortisseur tarifaire… Aujourd'hui nous avons des éléments qui évoluent presque tous les jours. Rien n'est figé, rien n'est écrit définitivement. Donc construire un budget dans ces conditions-là, c'est quand même assez compliqué.

Vous avancez pour le moment sans avoir une possibilité de voir sur le moyen ou même court terme ?

Nous avons pris, pour construire le budget, la base la plus réaliste. Ensuite on adaptera tout au long de 2023, à travers ce qu'on appelle les budgets supplémentaires où l'édition modificative. Nous allons actualiser les éléments budgétaires par rapport à ce qui nous sera annoncé par le gouvernement, donc c'est un budget qui va être certainement l'objet de pas mal de révisions en cours d’année.

Dans ces conditions, est-ce que vous allez continuer à investir ? En cas contraire, dans quoi la ville ou la communauté de communes renoncerait en premier ?

Vous avez raison de dire qu’il y a un choix quasiment cornélien qui pourrait se dessiner. Pour l’instant nous n’en sommes pas là car nous avons la chance d'avoir des bases financières et budgétaires qui sont saines. Nous avons longuement développé une vraie vigilance depuis quelques années. Le risque, c’est que les dépenses de fonctionnement progressent plus vite que les recettes de fonctionnement, ce qui réduirait l'épargne de la collectivité. Une collectivité, à l'inverse de l'État, n'a pas le droit de présenter un budget en déséquilibre. Donc il faut qu'on arrive à trouver des économies structurelles sur le fonctionnement de la collectivité, pour compenser l'inflation et pour compenser la hausse énergétique. Il y a des arbitrages qui devront être réalisés.

De quelles manières ?

Nous allons revoir tous les projets d'investissement, regarder si le projet a été engagé, réalisé etc... Ensuite, la décision sera de savoir si nous reportons, nous lissons dans le temps. Ce sont des arbitrages qui vont être rendus dans les prochaines semaines, mais l'objectif c'est bien de poursuivre ce qui est engagé. Il faut continuer à travailler sur des projets qui vont permettre à la collectivité d'être attractive. En ce sens, on parle des dossiers sur l'économie, de mobilité douce, bien entendu la poursuite de l’enfant, de l'appel d'offre et la consultation pour le centre aquatique. On parle de la mise en place de la taxe d'enlèvement des ordures ménagères, le schéma des modes doux... Tous ces éléments-là vont être poursuivis. Ce qui change c’est que ces projets pourront se faire peut-être moins rapidement que ce que nous avions envisagé, dans le but d’étaler la dépense. Pour l'instant on ne renonce à aucun projet, on réactualisera en fonction. Après, si on est face à un projet qui prend 30, 40, 50% de plus, peut-être qu'on sera amené à le reporter.

Vous avez récemment perdu la taxe d'habitation et la CVAE (contribution sur la valeur ajoutée des entreprises) va disparaître. Comment allez-vous réagir face à ces diminutions de recettes ?

C’est une mauvaise nouvelle. Ça veut dire que demain, en 2023, il n'y aura plus aucun lien fiscal entre les ménages et nous. Seuls les propriétaires ont encore la taxe foncière, mais ils ne sont pas majoritaires. Il n’y aura plus de lien fiscal avec le monde économique avec la suppression de la CVAE ce qui pour moi n’est pas une bonne chose. Il n’y a plus de relations entre la collectivité et l'ensemble de ces acteurs et territoires. Ce sera comme la taxe d'habitation et tout le reste : on nationalise la fiscalité. Cela doit être compensé, mais là aussi il y a un grand flou, on ne sait pas précisément comment donc il y a beaucoup d'interrogations. On sait que lorsqu’il y a une compensation par l'État, ce n'est jamais en intégrant la dynamique, donc on perd de la capacité de financement et on perd de l'autonomie. On dépend de plus en plus des dotations qui tombent de l'État. Donc d'un côté nous avons des recettes qui stagnent, voire même qui baissent et d'autre on a des dépenses qui progressent. Pour les villes il y a des dépenses qui risquent d'exploser comme celles liées à l'accompagnement social parce que tout cet environnement d'inflation pèse sur les ménages. Cela risque d'accroître des besoins en aide financière, en aide alimentaire pour beaucoup de personnes.

Beaucoup de communes ont recours à l’augmentation du montant de la taxe foncière ? La moyenne est de + 3% ou 4% au niveau national pour 2023. Vous n’y toucherez pas dans le Grand Pontarlier ?

Non, nous avons pris l'orientation pour l'instant de geler la taxe. Il n’y aura pas d'augmentation de la taxe foncière en 2023 sur la communauté de communes. Il faut savoir quand même que les valeurs foncières vont augmenter, aux alentours de 6% ou 7%, donc malgré tout, les propriétaires verront la taxe foncière augmenter. C'est une décision de l'État donc nous ne voulons pas alourdir encore cette augmentation en élevant de notre côté notre taux. Nous avons donc décidé de geler le taux intercommunal.

Ce dont vous n’avez pas pu échapper, c'est l’augmentation du prix de l'eau. De combien montera la facture ?

Les budgets assainissement sont des budgets annexes, mais ils sont dans les mêmes configurations que l'inflation, les coûts, les délais. Les coûts des marchés sont en moyenne de 30% en plus. Entre l'eau et l'assainissement, c'est plus d’un million d'euros de plus en dépense énergétique qui est envisagée pour 2023. On a pu, sur l'assainissement, reprendre une partie des provisions de l'épargne pour diminuer l'impact. Ce n’est pas possible pour l’eau car nous n’avons pas d'épargne sur ce point, puisque la compétence a été transférée cette année. Nous n’avons aucune autre solution que d'augmenter le prix du mètre cube. L’augmentation sera de presque 40% parce que c'est 26% en plus des +15% déjà prévus. Nous augmentons de 26% de plus que ce qui était prévu. Effectivement cela va être un élément qui sera notable. Pour relativiser, même si l'augmentation en pourcentage est très élevée, on peut se dire que cela revient à peu près entre 10 et 11€ en moyenne par mois. Mais le problème c'est que cette dizaine d’euros par mois de plus pour l'eau sera valable aussi pour l'assainissement, pour l'alimentaire, pour les vêtements, pour le loyer et pour le carburant. Et c'est cette accumulation d'augmentation qui va créer une situation qui va être compliquée, on le sait. Mais nous n’avons pas le choix, c’est impossible de présenter des budgets en déficit. Donc pour équilibrer le fonctionnement par rapport à l'augmentation des charges, il a fallu qu'on joue sur le prix du mètre cube.

 

Propos recueillis par Benjamin Cornuez

Publié dans Actualités, A la une

Alain Fousseret,  ancien conseiller régional écologiste de Franche-Comté, entre 2004 et 2015,  est décédé cette nuit. Il avait 66 ans. Il a succombé à une crise cardiaque. Il était le frère de Jean-Louis Fousseret, l’ancien Maire bisontin. Il avait été réélu conseiller municipal de la commune de Danjoutin, dans le Territoire de Belfort, en 2020. Alain Fousseret était ingénieur écologue de formation.

Les sapeurs-pompiers du Jura sont intervenus à Champagnole, rue du Sauget, pour une fuite d’eau dans un bâtiment. Les occupants des 1er et 2è étages, quatre personnes, dont deux enfants, ont été relogés. Au rez-de-chaussée, l’installation électrique d’une partie du cabinet de radiologie, a été isolée. L’activité de l’établissement a pu se poursuivre. Quatre véhicules et sept sapeurs-pompiers se sont rendus sur place.

A Besançon, le lycée Jules Haag, ancienne école nationale d’horlogerie, poursuit son travail de recherche et de collecte de données pour son site internet dédié aux lycéens résistants. Pour rappel, plus d’une soixantaine d’anciens élèves de ce lycée ont perdu la vie au moment de la seconde Guerre Mondiale.

C’est un travail de mémoire colossal qui est réalisé par les lycéens de l’école nationale d’Horlogerie. Depuis plusieurs années, ces jeunes se transmettent le flambeau, un site internet, pour raconter et retracer la vie des résistants de l’établissement, mettre un visage et une histoire sur ces héros sacrifiés, et faire revivre l’engagement de ces jeunes gens au quotidien. Car oui, l’histoire de la seconde Guerre Mondiale est très ancrée au sein du lycée Jules Haag. Dans l’entrée de l’établissement, des plaques rappellent ce tragique épisode historique. Sur ces plaques, 66 noms de braves gens qui ont fait le choix d’accomplir leur devoir envers la patrie, donnant leur vie afin de libérer la France.

 

Un site internet dédié aux élèves résistants

Lors de la guerre 1939-1945, le lycée Jules Haag a perdu beaucoup d’élèves, certains mobilisés dans l’armée, d’autres déportés en Allemagne ou encore qui ont rejoint la résistance. D’innombrables actions menées, mais peu de traces laissées. A travers ce site internet se transmettant de génération en génération, « A nos camarades de l’Horlo disparus pendant la 2nde Guerre Mondiale Â», les élèves souhaitent recenser et récolter le plus d’informations possibles (photos, témoignages, actes de naissance/décès, service militaire, etc), afin d’étoffer davantage la plateforme. Et redonner vie à ces héros. « Il nous semblait important de retracer la vie de ces anciens élèves qui étaient dans notre lycée. Il y a certains lycéens de cette époque dont on ne connait pas la vie. Et ce qu’on voudrait, c’est demander de l’aide à d’éventuelles personnes qui les connaissent, ou qui ont des informations sur eux pour compléter leur fiche sur le site Â» explique Emile, lycéen à Jules Haag.  Â« C’est un appel à témoin. On demande d’apporter cette visibilité en plus, qu’on n’a pas depuis le lycée, et qui nous permettra de remplir le site internet et d’honorer la mémoire de ces anciens combattants Â» poursuit Adam, impliqué dans le projet.  

 

Emile et Adam exposent le projet : 

 

« Un projet réalisé dans le cadre du cours d’Education Morale et Civique avec notre professeur, en echo avec le programme de terminale en histoire et constitue notre devoir de mémoire à tous. En effet, notre travail a pour dessein de mettre un visage, une histoire, derrière les noms gravés sur les plaques de marbre se situant dans le hall d’honneur du Lycée Jules Haag. Ce ne sont pas juste des noms, dont la plupart des élèves ignorent l’existence, mais la vie de jeunes gens dont nous allons vous raconter l’histoire […] Ce fut un projet difficile à construire puisque ces personnes décédés la plupart du temps très jeunes sont donc sans descendance et les personnes les ayant connues ont malheureusement disparu elles aussi. C’est la raison pour laquelle nous ne disposons, pour certains noms, que très peu d’informations. Aussi espérons-nous pouvoir poursuivre et parfaire ce beau projet avec vous, si vous êtes en possession d’informations complémentaires Â»

QR Code et concours de la résistance

En mars prochain, cette classe de terminale de l’Horlo devrait passer une semaine à Caen, dans le cadre du concours de la résistance. L’occasion de présenter l’ambitieux projet mené depuis des années, qu’ils espèrent enrichir le plus possible d’ici-là. Avec comme aboutissement, la création de QR Codes, des sortes de petits codes-barres disposés dans un carré à fond blanc, qui renvoient à une page internet lorsqu’on les scanne avec un téléphone portable. « L’objectif, c’est de créer un QR Code pour chaque personne, renvoyant directement au site internet, plus particulièrement à la fiche de l’élève. Et de faire une plaque qu’on posera devant le lycée, avec un code en face de chaque nom, pour que toutes les personnes intéressées puissent flasher ce QR Code et se renseigner, à n’importe quelle heure, n’importe quelle période de l’année Â» détaille Emile. Le voyage en Normandie pourra aussi être l’occasion pour les élèves de l’Horlo, de compléter leurs informations en ayant accès aux archives locales. Tout cela entrecoupé bien évidemment par la visite des plages du débarquement, d’abbayes, et tout le patrimoine historique de la guerre de 1939-1945.

 

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Exemple de QR Code

 

Des élèves résistants, tout comme certains professeurs

A l’école nationale d’horlogerie, si les lycéens s’impliquaient dans la résistance, c’était aussi le cas de certains professeurs. Mr. Trincano par exemple, ce proviseur contraint de fuir au sud pendant l’occupation, sous le régime de Vichy. Il revient deux jours plus tard dans la cité comtoise, et expulse les Allemands du lycée pour en reprendre le contrôle. Emile nous parle aussi de son grand-père, un ami très proche de Mr. Petitot, professeur d’horlogerie. Ce dernier s’est fait arrêter par la Gestapo en plein cours, et envoyé au camp de concentration de Mauthausen, en Autriche. « Mon grand-père et lui étaient de grands amis. Cet homme lui a tout raconté sur sa vie en tant que résistant, alors qu’il n’en avait jamais parlé à personne Â».

 

Emile et Adam racontent l'histoire de professeurs résistants : 

 

 

Samedi dernier, en présence de Serge Castel, préfet du Jura,  et des deux fils de Jean Millet, la nouvelle gendarmerie d’Arbois « Jean Millet Â» a été inaugurée. L’établissement porte désormais le nom de ce gendarme natif d’Arbois, mort pour la France le 10 octobre 1944 dans le Territoire de Belfort. Il a été fusillé par l’armée allemande. Précisons que ce projet, porté par la municipalité, en lien avec la gendarmerie nationale, a été soutenu par l’Etat à hauteur de 1,2 million d’euros. Son coût global est de 3,7 millions d’euros.

Dans le cadre de l’opération nationale de sécurisation des passages à niveau, la gendarmerie nationale et SNCF réseau se sont associées pour mener une opération nationale de prévention. Ainsi, des actions ont été programmées aux abords des passages à niveau du département, comme par exemple au Vaudioux, pour sensibiliser les usagers de la route sur les risques d'accidents liés au franchissement de ces installations. Parmi les consignes de sécurité à respecter, il est rappelé que si le feu rouge clignote, il faut s’arrêter.

La société keolis indique qu’en raison de travaux de maintenance sur les voies du Tram, des perturbations sont à prévoir du lundi 12 au mercredi 14 décembre à Besançon.  A partir de 21h, les lignes T1 et T2 seront perturbées. A partir de 22h30, ces mêmes lignes ne circuleront plus. Le plan B sera alors mis en place.

Il y a du basket ce mardi soir. Dans le cadre de la 1ère journée des matches retour de nationale 1 masculine, le BesAC reçoit Hyères Toulon. Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 20h15. Les Bisontins, dixièmes au classement, vont tenter de remporter une deuxième victoire consécutive. Ils seraient bien inspirés de le faire. Et ce, pour éviter de voir leur adversaire du jour (13è) se rapprocher d’eux.