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La motion de censure du groupe LIOT, déposée à l’Assemblée nationale, contre le gouvernement, a été rejetée ce lundi soir. Neuf petites voix ont manqué. Sur les 287 requises pour faire aboutir la motion de censure, celle-ci en a obtenu 278. La motion du Rassemblement National a également connu le même épilogue. A Besançon, un rassemblement s’est tenu, ce lundi soir, sur la place Pasteur. Une trentaine de personnes se sont également mobilisées à Morteau.

Selon SNCF voyageurs, le trafic des trains dans notre Région sera quasi normal ce mardi 21 mars. Aucune difficulté n’est annoncée sur les lignes TER en Franche-Comté. Il en est de même pour les liaisons Lyria, avec 100% des trafics assurés en Bourgogne Franche-Comté.

Ce lundi 20 mars, sous haute protection policière, s’ouvrait à Besançon le procès du clan de "Picardie", la deuxième bande de Planoise impliquée dans les violences survenues ces dernières années sur fond de trafic de stupéfiants. Huit individus doivent être jugés. Pour rappel, la première bande, dite « de la Tour Â» a été jugée en juin dernier, conduisant notamment à des peines de 10 ans d’emprisonnement pour les leaders de cette association de malfaiteurs.

Gyrophares allumés, sirènes hurlantes, vitres teintées, trois véhicules sont arrivés ce lundi matin au tribunal de Besançon. Des équipes de sécurité pénitentiaire lourdement armées et des policiers en civil ont veillé au bon déroulement des opérations. Le quartier a été en partie bloqué et l’accès au tribunal particulièrement surveillé. Sur les neufs prévenus, six étaient présents en ce 1er jour de ce procès. Deux sont actuellement en fuite, dont le donneur d’ordre, le meneur de ce clan. Sur les six prévenus présents, cinq sont actuellement en détention provisoire. Quelques tensions ont animé le début de ce procès avec des insultes entre ces individus, rapidement rappelés à l’ordre par la présidente de la cour. Trois d’entre eux ont ensuite été appelés à la barre ce lundi pour être questionnés sur leurs rôle et leurs agissements. Les autres devraient suivre ce mardi à partir de 9h. Ce procès d’ampleur s’étendra jusqu’à jeudi et devrait connaître son épilogue en fin d’après-midi.

Une noyade a été constatée ce lundi après-midi à Vieux-Charmont (25). Le corps d’un homme de 65 ans a été extrait d’un étang. Selon les secours, la victime était présente dans l’eau « depuis un moment Â». Le sexagénaire n’a pas survécu. Le décès a été déclaré par un médecin du SMUR.

Alors que l’avenir du gouvernement se dessine en ce moment à l’Assemblée nationale, les étudiants bisontins ne lâchent rien et continuent leur mobilisation contre la reforme des retraites. Depuis quelques jours, le blocage a été levé à la faculté des lettres de Besançon, mais les jeunes militants n’ont pas quitté leur position.

Si l’allongement du temps de travail, avec un âge de départ à 64 ans, continue d’être fortement décrié, les étudiants demandent également une meilleure prise en compte de la jeunesse dans les politiques mises en œuvre. Les jeunes ont des choses à dire et des valeurs à décliner. A ce stade, à la fac de lettres, les absences ne sont pas comptabilisées et les examens sont repoussés

Les étudiants mobilisés sont en colère et ils le font savoir. D’ores et déjà, ils appellent au rassemblement et à venir manifester ce jeudi à Besançon. Les jeunes se réuniront à 13h30 devant le site Mégevand, avant de rejoindre le parking Battant, où leurs aînés seront présents.

L'interview de la rédaction : une jeune militante de la jeunesse communiste

 

NAISSANCES

06/03/2023 – Arthur de Louis ROGNON, planificateur et de Agathe ANDRE, assistante commerciale.
11/03/2023 – Liv de Rémi LEHNEBACH, professeur de percussions et de Maëlle CONSTANT, horlogère.
11/03/2023 – Ana de Michaël LICCIARDI, entraineur de football et de Houda HADDAD, sans profession.
12/03/2023 – Emile de Sébastien LANQUETIN, pisteur secouriste et de Lysiane EDME, directrice d’hébergement touristique.
10/03/2023 – Emilio de Jonathan CHAPATTE, enseignant et de Stéphanie DOS REIS SERRA, kinésithérapeute.
12/03/2023 – Kélyo de Maxime FOUCHER, professeur conduite routière et de Emelyne VERJUS, vendeuse.
13/03/2023 – Sanïyaah de Anthony GHAZI, coiffeur et de Meyjda MOUSSAOUI, sans profession.
11/03/2023 – Gabriella de Dylan LEBAS, plombier chauffagiste et de Marion DROZ-VINCENT, assistante dentaire.
11/03/2023 – Thylia de Rudy BARTHE, régleur et de Danaëlle KIEFER, aide sociale à l’hébergement dans un home.
13/03/2023 – Münevver de Huseyin KÖSE, chauffagiste et de Aÿse MENTESE, sans profession.
12/03/2023 – Naho de Clément COURTET, agriculteur et de Sinah ROLOT, infirmière à domicile.
12/03/2023 – Mayson de Jordan DUMONT, vendeur et de Justine GROSDEMANGE, sans profession.
15/03/2023 – Elyana de Bryan TALAGRAND, employé caisserie et scierie, et de Oceane DARDANEL, assistante maternelle.
13/03/2023 – Valerio de Simon PETITE, chef de groupe automobile et de Mathilde FONTAINE, infirmière.
16/03/2023 – Côme de Ludovic LEVEXIER, charpentier et de Jennifer PROST, coiffeuse esthéticienne.
15/03/2023 – Lila de Yassine MEHERZI, employé de commerce et de Justine NGUYEN, responsable de vente.
15/03/2023 - Agathe de Antoine ROY, chef de projet et de Anaïs GEHENIAUX, professeur des écoles.
15/03/2023 – Élia de Ahmetcan YILMAZ, opérateur en horlogerie et de Aurélia ANSELME, juriste.

PUBLICATION

18/03/2023 – Jérôme SAILLARD, infographiste et Valérie SCHMITT, secrétaire médicale.

DECES

15/03/2023 – Béatrice BELOT, 61 ans, retraitée, domiciliée à Cuvier (Jura) veuve de Robert GUILLEMIN.
16/03/2023 - Nicole CHAVETNOIR, 80 ans, retraitée, domiciliée à Doubs (Doubs) épouse de François AMSTUTZ.
13/03/2023 – Pierre XAVIER, 84 ans, retraité, domicilié à Levier (Doubs).
16/03/2023 – Edmond CARISEY, 83 ans, retraité, domicilié à Les Fontenelles (Doubs) veu de Renée PARRENIN.

C’est une véritable crise que connaît actuellement l’équipe française masculine de biathlon. Les deux entraîneurs des Bleus Vincent Vittoz et Patrick Favre ont quitté leur poste d’entraîneur. Dans le journal l’Equipe, Stéphane Bouthiau, le directeur du biathlon français, dit ‘ regretté le comportement des athlètes Â», qui a conduit au départ des deux hommes.

A nos confrères de Ouest France, le Jurassien Quentin Fillon Maillet déclaré que la formation avait « besoin d’un peu de changement Â». Le champion olympique regrette cette situation, mais, selon lui, le système était devenu « moins dynamique et la lassitude présente Â».

Le coup d’envoi du printemps de la sécurité routière a été donné dans le Val de Morteau. Une initiative du Centre Intercommunal de la Sécurité, de la Prévention et de la délinquance (CISPD). Il s’agit d’un organisme intercommunal, qui regroupe un ensemble d’acteurs, sur les thèmes de la sécurité et de la délinquance. Les acteurs sociaux, des représentants des différents organismes de l’état, la gendarmerie, la police municipale, le Centre Communal d’Action Sociale et des élus composent cette instance. Plusieurs sujets et problématiques sont abordés : les violences intrafamiliales, la prévention ou encore la sécurité routière.

C’est donc dans ce cadre-là, que la semaine de la courtoisie au volant a débuté le 18 mars. Elle se poursuivra jusqu’au 25 mars. A travers différentes actions, les élus du Val de Morteau, et son président Cédric Bôle, maire de Morteau et président de la Communauté de Communes du Val de Morteau, veulent sensibiliser le habitants de leur territoire à une conduite citoyenne et responsable et inciter les différents usagers ( automobilistes, cyclistes, motards et piétons) à un meilleur partage de l’espace public.  Pour ce faire, il est prévu des messages de prévention sur les réseaux sociaux des communes de la Communauté de Communes du Val de Morteau. En parallèle, le public, à partir de 10 ans, est invité à participer au concours de communication sur « la courtoisie au volant et le partage de la route dans le Val de Morteau Â».

Forum de la sécurité routière

Pour clore cette action citoyenne, le Centre Intercommunal de la Sécurité, de la Prévention et de la délinquance organisera, le samedi 13 mai, à l’Escale,  un forum sécurité routière. Une dizaine de stands prévention sensibiliseront petits et grands usagers de la route : ceinture de sécurité, téléphone au volant, alcool au volant, rappel du code de la route, simulation d’intervention des secours,… .

Toutes les informations sont disponibles en contactant le CCAS de Morteau : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

L'interview de la rédaction : Cédric bôle

A compter de ce lundi 20 mars, et jusqu’au mercredi 22 mars, les 8.445 élèves de terminale de l’académie de Besançon, en voie générale et technologique, passent leurs deux épreuves de spécialités, avant l’épreuve de philosophie et le grand oral, qui se tiendront en juin prochain. Les notes obtenues par les candidats, qui leur seront communiquées d’ici le 12 avril, compteront pour l’obtention du diplôme et apparaîtront dans les dossiers d’inscription sur Parcoursup.

Pour la première fois depuis la mise en place de la réforme du baccalauréat, que la crise sanitaire était venue perturber, les épreuves peuvent se tenir en mars. Néanmoins, en 2023, elles se déroulent dans un contexte incertain, avec la contestation contre la réforme des retraites. Pour parer à d’éventuelles perturbations, le rectorat a fait appel à des surveillants supplémentaires. Des aménagements ont également été prévus pour les candidats en retard aux épreuves en raison d’éventuelles perturbations dans les transports.

Plus de 1000 enseignants mobilisés

Dans l’académie de Besançon, plus de 1.000 enseignants sont mobilisés. 852 d’entre eux assureront la correction des épreuves écrites. Ils sont 180 à participer aux épreuves orales. On recense également 42 centres d’examen, en plus de la maison d’arrêt. Rappelons que les épreuves finales se tiendront le mercredi 14 juin pour la philosophie et du 19 au 30 juin pour les oraux. Les résultats définitifs du bac seront connus le mardi 4 juillet 2023 Ã  partir de 10h

Ce lundi 20 mars s’ouvrait à Besançon le procès du clan "Norma", regroupant des acteurs du trafic de drogue dans le quartier de Planoise. Il s’agit de la deuxième bande impliquée dans les violences survenues dans ce quartier bisontin ces dernières années, gravitant essentiellement autour du trafic de stupéfiants. La première bande, dit « de la Tour Â» a été jugée en juin, conduisant notamment à des peines de 10 ans d’emprisonnement pour les leader de cette association de malfaiteurs. Ce procès d’ampleur devrait durer quatre jours et huit individus doivent être jugés.

Un second acte et un procès d’exception

Jusqu’à jeudi, le palais de justice sera placé sous une surveillance policière accrue, afin que le clan « Norma Â», la bande rivale, réponde de ses actes devant le tribunal, pour trafic de drogue, association de malfaiteurs et violences aggravées avec armes. « Un procès d’exception Â» selon Etienne Manteaux, le procureur de la République de Besançon. En effet, la justice va exposer des conversations cryptées entre ces dealers présumés, fruit d’un décodage massif de messages PGP, réputés comme inviolables. Huit individus doivent être jugés. Un seul d’entre eux manque encore à l'appel, le présumé leader de la bande. Visé par un mandat d'arrêt, il est toujours recherché par les enquêteurs, et a pour l’instant réussi à passer entre les mailles du filet.