National 2
Epinal 0 – 0 Racing Besançon
ASM Belfort 1 – 1 Metz
Jura Sud 2 - 1 Canet Roussillon
National 3
FC Grandvillars 1 – 0 Saint Apollinaire
Jura Dolois 0 – 2 CA Pontarlier
Montceau 2 – 2 Morteau Montlebon
Besançon Football 1 – 1 FC Sochaux Montbéliard (2)
Régional 1
Groupe B
Levier 2 – 2 Jura Lacs
Lons le Saunier – Chalon
Champagnole 1 – 1 Fauverney Rouvres
Louhans Cuiseaux (2) – Bresse Jura Foot
Pontarlier (2) 0 – 1 Jura Sud Foot (2)
Saint Vit – La Chapelle Guinchay
Groupe C
Ornans 3 – 2 4 Rivières 70
Audincourt 2 – 2 Jura Dolois (2)
Vesoul 1 – 0 Racing Besançon (2)
USPV – Lure
Baume les Dames – Belfort Sud
ASM Belfort (2) – Valdahon Vercel
Dans le cadre de la 22è journée de championnat en Proligue, le Grand Besançon Doubs Handball (13è) se déplace sur le parquet de Saran (3è) ce vendredi soir. Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 20h30. Il reste neuf journées au groupe de Benoît Guillaume pour garder sa place à ce niveau.
Cette rencontre a sans doute a été cochée dans le calendrier. Ce vendredi soir, le BesAC dispute un de ses deux matchs programmés au Palais des Sports Ghani Yalouz. A 20h, le groupe de Joseph Kalambani affronte Lorient, le leader de cette poule médiane de Phase 2. La victoire est impérative pour figurer dans les sept places qualificatives pour les play-offs. Lors de leurs dernières rencontres, les basketteurs bisontins sont tombés dans leurs travers, en ne parvenant pas notamment à conclure positivement leur match. Ce soir devant leur public, ils auront à cœur de bien faire. Le coup d’envoi sera donné à 20h15.
Il y a du handball ce soir. A huit journées de la fin du championnat, les filles de l’ESBF disputent une rencontre importante pour tenter de se rapprocher des places européennes. Pour cette 19è journée en D1 féminine, les Bisontines se déplacent à Chambray. Au classement, le groupe de Sébastien Mizoule est 8è, avec 29 points. Chambray occupe la cinquième place, qualificative pour l’Europe, avec 39 points. Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 20h.
Les quinze arbres remarquables d’Arçon ont été abattues. Une déchirure que ne cache pas l’association Nature et Patrimoine de la commune dans un récent communiqué de presse. Il est expliqué que « l’autorisation de la commune d’Arçon, l’autorisation du préfet du Doubs et le rejet du référé engendrent une déception considérable et une perte irréparable ». Les militants dénoncent une décision contraire « à la nécessité d’adapter nos écosystèmes et nos lieux de vie au changement climatique ». Nostalgiques, ils rappellent qu’il faudra « 150 ans pour retrouver une allée d’arbres de caractère et d’une richesse comparable ».
La troisième édition du salon de l’emploi, organisé par la Communauté de Communes du Grand Pontarlier, se déroulera le jeudi 30 mars à l’Espace Pourny de Pontarlier. 82 participants sont annoncés. Il s’agit d’entreprises, d’agences d’intérim, d’organismes, spécialisés dans le recrutement, de collectivités locales ou de centres de formation. A travers cette initiative, Bertrand Guinchard, l’élu en charge de l’activité économique sur le territoire pontissalien, a voulu créer un lieu de rencontres entre professionnels et visiteurs.
Un très grand nombre de secteurs d’activité sera représenté. L’élu pontissalien rappelle que cette initiative a vu le jour en raison des difficultés que rencontraient, en 2019 déjà , de nombreuses entreprises. Au-delà de cet aspect, ce rendez-vous annuel est également un formidable coup de projecteur sur la diversité de l’activité économique locale, ne serait-ce par les nombreux emplois et opportunités professionnelles qu’elle offre.
Beaucoup d’offres d’emploi non pourvues
Les raisons à cette situation sont sans doute multiples. Il serait faux de vouloir pointer un seul facteur. Bertrand Guinchard évoque « une situation qui s’est aggravée depuis 2019 ». Salariés et responsables d’entreprise doivent mieux se connaître et apprendre à œuvrer ensemble. « Le non-travail est devenu à la mode. Dès que l’on a fait quelques temps de travail, on veut prendre du bon temps. On donne naissance à des micros entreprises pour avoir du temps pour soi. La main d’œuvre traditionnelle, dont les entreprises ont besoin, se réduit au maximum. C’est un vrai problème. Nous avons des entreprises qui refusent des commandes et des marchés. On a vu des petites entreprises, notamment dans la restauration et l’artisanat, fermées car elles sont dans l’incapacité de répondre à des marchés ».
Préparer cette rencontre
Bertrand Guinchard invite les visiteurs à bien préparer leurs futures rencontres professionnelles. « Apportez un maximum de documents pour vous faire connaître, pour vous valoriser et montrer votre motivation. Il faut donner envie aux entreprises de vous recruter » conseille M. Guinchard. A l’entrée du site, un mur de l’emploi sera installé. Il présentera les entreprises et les différents métiers et offres qui en découlent.
Rendez à l’Espace Pourny de Pontarlier ce jeudi 30 mars de 10h à 18h.
L'interview de la rédaction : Bertrand Guinchard
Le mardi 21 janvier, le tribunal administratif de Besançon rendait sa décision concernant le dossier épineux aux lourds antécédents politiques : l’écoquartier des Vaîtes. Les associations "Les Jardins des Vaîtes" et "France Nature Environnement 25-90", demandaient l'annulation de l'arrêté du 18 mars 2019 du préfet du Doubs, qui autorisait des travaux de construction sur cette zone malgré la présence d'espèces protégées. Le tribunal administratif leur avait alors donné raison. Ce mercredi, de nombreux collectifs se sont réunis pour redemander l’abandon total de cet écoquartier, ainsi que le reclassement des terres en zones agricoles
Il est vrai, que lorsqu’on se déplace dans les jardins des Vaîtes, un vent parfumé se propage, les allées sont florissantes, les mésanges voltigent en chantant et les premiers lézards se prélassent au soleil. Dans un jardin, réunies autour d’une table, plusieurs associations, Les Jardins des Vaîtes, Solidaires, Alternatiba, Extinction Rébellion, CNL (Confédération Nationale du Logement) se penchent sur un document, transmis à la ville de Besançon et du Grand Besançon. Il s’agit d’une demande de l’abrogation du PLU de l’écoquartier des Vaîtes. L’abandon total du projet, ainsi que le reclassement des terres en zones agricoles.
« On est déjà très satisfaits de cette victoire au tribunal administratif, puisque ça préserve, au moins dans un premier temps, les coups de pelleteuse sur les terres » indique Claire Arnoux. « Mais ça ne clos pas tout. On aurait espéré que la mairie se serve de cette décision comme porte de sortie honorable de ce projet, qui a déjà trop duré » ajoute la présidente de l’association Les Jardins des Vaîtes. Pour rappel, l’initiative de ce projet d’écoquartier date de 2005. « Il n’a plus l’assentiment de la population, il ne correspond plus aux enjeux de logements et d’adaptation au changement climatique. Il faut arrêter » déplore Claire Arnoux.
C’est donc l’abandon total du projet de l’écoquartier qui est souhaité par les associations, ainsi que le reclassement des terres en zones agricoles, extrêmement riches, avec des pratiques agricoles, maraichères et jardinières variées, permettant un accueil favorable à la biodiversité et aux espèces protégées. Les collectifs se basent sur trois arguments phares. Le premier, développé au tribunal administratif, concerne la démographie de la ville de Besançon et la vacances des logements, qui ne justifie pas de bétonner autant de terres. « La ville de Besançon a une population stagnante, mais une vacance des logements en augmentation » souligne Claire Arnoux. « Deuxièmement, le fait de classer ces terres comme étant à urbaniser, prouve la méconnaissance de la richesse de ces terres en termes de ressources de biodiversité. Et enfin, nous sommes sur des terres de très haute valeur agronomique » conclut la présidente de l’association Les Jardins des Vaîtes.
Claire Arnoux, présidente de l’association Les Jardins des Vaîtes :
SNCF Voyageurs indique que, malgré une nette amélioration, la journée de vendredi sera encore perturbée. Il est annoncé 2 TER sur 3 en moyenne selon les lignes. 90% des liaisons Lyria, entre la France et la Suisse, seront assurées en Bourgogne-Franche-Comté.
Un accident de la route s’est produit ce jeudi après-midi, entre Mamirolle et Saône, sur la nationale 57, dans le sens Pontarlier-Besançon. Une voiture a fait des tonneaux. Un homme de 20 ans, grièvement blessé, a été pris en charge par les secours et transporté sur l’hôpital Minjoz. A l’arrivée des secours, il était conscient. Il avait le bras coincé sous le véhicule.
Le Bisontin Claude Lorius est mort . Il avait 91 ans. Ce chercheur et glaciologue a mené 22 expéditions polaires, au Groenland et en Antarctique. Sa première mission date de l’année 1957. Il fut le premier, dans les années 60, à montrer l’effet des gaz à effet de serre sur le réchauffement climatique. A l’époque, il s’était vu opposer un grand scepticisme des mondes politique et scientifique. Ses obsèques auront lieu ce vendredi à Mâcon.