Dernière ligne droite pour la compétition à Nove Mesto, en République Tchèque, où se déroulent les Championnats du Monde de biathlon. Après la médaille d’or de Quentin Fillon Maillet et de Lou Jeanmonnot, jeudi, sur le relais mixte simple, les biathlètes s’affronteront sur les relais ce samedi, avant les deux Mass-start de dimanche. Le Jurassien espère encore briller sur ces deux dernières épreuves et décrocher une première médaille en individuel sur ce challenge.
L'interview de Quentin Fillon Maillet ( Fédération Française de Ski)
Six nouveaux conteneurs textiles ont été installés au centre-ville de Besançon par Grand Besançon Métropole. La population peut y déposer les textiles, linges de maison et chaussures. Les chaussures et vêtements collectés sont triés par des partenaires associatifs et revendus, pour les articles en bon état, en boutiques solidaires de seconde main. Les autres sont recyclés. En 2022, 846 tonnes de textiles, linges de maisons et chaussures ont été collectées.
Où trouver ces nouveaux conteneurs : parking Robelin ; 26 rue Marulaz ; rue Girod de Chantrans ; faubourg Rivotte (2 conteneurs) et avenue de la Gare d’eau.
Il est rappelé que les vêtements et linges de maison déposés doivent être propres et secs et les chaussures liées par paire dans un sac fermé de 30 litres maximum.
Le sybert indique que la déchetterie de Devecey rouvrira ses portes ce samedi 17 février aux horaires habituels. Des travaux ont été menés sur le site. Ils avaient débuté le 22 janvier dernier. Pour rappel, le séparateur d'hydrocarbure a bénéficié d'une maintenance lourde, et une vanne de coupure a été installée, permettant de piégerles eaux d’extinction utilisées en cas d’incendie par les services de secours.
La police nationale de Besançon dresse le bilan de l’opération qui s’est déroulée, du 5 février au 15 février, sur l’ensemble de la circonscription. Durant cette période, les forces de l’ordre des unités motorisés zonales ont enregistré 101 délits, dont 32 ont donné lieu à des amendes forfaitaires délictuelles, et 217 contraventions. Ils ont notamment relevé 26 conduites sous l'empire de produits stupéfiants et 3 conduites sous l'empire d'un état alcoolique. Ils ont procédé à la mise à disposition de l'officier de police judiciaire de 42 personnes. Ils ont également découvert un véhicule volé.
Malgré l’absence de neige, le Gounefay sera animé tout au long de cette période hivernale. Des animations gratuites seront proposées aux enfants de 13h30 à 16h30 sur les hauteurs de Pontarlier. Ces rendez-vous débuteront le samedi 17 février, et se termineront le 3 mars. Au programme : Mikado géant, Molky, parcours d’agilité, …. .
Ces ateliers sont accessibles aux enfants à partir de 3 ans. Ils doivent être accompagnés d’un adulte. Des animations ponctuelles seront également proposées : biathlon, Escape-Game, animations nature. En cas de mauvais temps, certaines activités seront annulées. Pour de plus amples informations : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
La Ville de Besançon définit une nouvelle organisation à son service « hygiène et santé » et lui donne également une nouvelle identité. Désormais, appelez-le « service de santé publique ». A travers cette perspective, Anne Vignot et son équipe s’engagent dans une démarche « une seule santé ». Pour faire simple, la majorité municipale veut s’inscrire dans une évolution plus large, répondant aux enjeux sanitaires et environnementaux d’aujourd’hui. L’objectif est de faire savoir et d’appliquer des actions reconnaissant que la santé va au-delà de l’hygiène individuelle, mais englobe d’autres composantes que sont la santé humaine, animale et environnementale dans un ensemble interconnecté. « Ce service fait un travail de coordination de toutes les actions qui peuvent être menées dans toutes nos politiques » explique Anne Vignot.
Engagement des différents services de la Ville
Ainsi, cette nouvelle démarche prend forme dans une approche globale, impliquant différents services de la ville de Besançon. Anne Vignot veut une réponse coordonnée face aux défis croissants en matière de santé publique tels que le changement climatique, les enjeux liés à l’alimentation, la nécessité d’une vaccination étendue, la lutte contre la sédentarité et la gestion des maladies vectorielles. Des actions qui s’organisent également avec Grand Besançon Métropole, via le Contrat Local de Santé.
Trois grands champs
Le service santé publique s’articule ainsi autour de trois grands champs que sont : la salubrité publique santé environnement, la prévention et la promotion de la santé et la vaccination. C’est dans ce cadre-là que de nombreuses actions sont mises en œuvre, avec différents autres partenaires et experts, comme : la lutte contre les îlots de chaleur, la présence du moustique tigre et les piqûres de tique, la qualité de l’air, … . Précurseur dans ce domaine, en se dotant d’un service spécifique depuis 1890, la Ville de Besançon continue d’exister dans ce domaine. Elle organisera, en 2024, les états généraux de la santé en région, et, en 2025, le colloque national du réseau français Villes-Santé.
L'interview de la rédaction : Anne Vignot
Ce vendredi soir, dans le cadre de la 18è journée de championnat de ProLigue, le Grand Besançon Doubs Handball reçoit Valence. Après une belle victoire, contre Pontault Combault (33-28), lors de la reprise, début février, les Bisontins sont retombés dans leurs travers, une semaine plus tard contre Billère (29-23). Le collectif doit être en capacité de garder sa concentration et gérer ses émotions durant toute une partie. La combativité fait parfois défaut avec le risque de se laisser déborder par l’adversaire. « On peut le payer très cher. C’est ce qui s’est passé contre Billère. Nos adversaires ont profité des trois ou quatre ballons de suite, où l’on a été absent » explique le coach bisontin. Et de terminer : « Il nous faudra être réguliers face à Valence si nous voulons l’emporter ».
Le match contre Pontault Combault fait référence
Christophe Viennet sait que son groupe à les capacités de rivaliser. Il veut pour preuve la manière dont son groupe s’est comportée lors de l’opposition contre Pontault Combault. « Je vois des signes encourageants. On leur a tenu tête. J’ai vu des choses très intéressantes » analyse le technicien. « On est une équipe avec du potentiel. On est capable de monter dans des niveaux de jeu très hauts, mais on est capable aussi, par manque d’expérience, de maturité et de maîtrise émotionnelle par moments, de tomber très bas. Les montagnes s’érodent petit à petit et deviennent des collines, mais pour le moment, on fait du up and down au cœur d’un match » conclut l’entraineur bisontin.
L'interview de la rédaction / Christophe Viennet
Le Festival de la Paille et son organisateur, le Collectif Organisation, ont une nouvelle directrice. Eugénie Burnier succède à Sébastien Pigagniol. Cette jeune femme, originaire du Haut-Doubs, reste dans la culture et le spectacle vivant, mais s’oriente vers un autre domaine. Venue du monde du théâtre, elle se lance dans un nouveau défi après des expériences au théâtre national de Strasbourg et au théâtre universitaire de Franche-Comté, sur le campus de la Bouloie à Besançon.
Eugénie Burnier ne cache pas son plaisir de rejoindre les équipes du Festival de la Paille. « C’est un festival qui porte plein de sens pour moi » explique-t-elle. « Son implantation dans le milieu rural. Son public, parfois éloigné des programmations culturelles des villes et un environnement d’exception » ont eu les faveurs de cette professionnelle. Arrivée depuis quelques jours, Eugénie Burnier s’inscrira dans l’organisation et le fonctionnement mis en place, avant d’y apporter sa patte. « J’arrive déjà sur une 22è édition qui est pleine de changement, avec un format qui a été repensé. Je vais accompagner ce changement-là . Il y a renforcé l’identité et les valeurs du festival, mais aussi la volonté d’accompagner une nouvelle génération, avec de nouvelles impulsions » ajoute-t-elle.
Quelles nouvelles impulsions ?
La nouvelle directrice a d’ores et déjà défini des points forts comme les enjeux liés au développement durable et la question de la représentativité des femmes. L’avenir du Festival est également inscrit dans sa réflexion. « Repenser le Festival. Repenser comment on occupe un espace ? Comment on travaille avec les locaux ? Comment on mobilise un public durant un festival, …. , autant d’interrogations sur lesquelles Eugenie Burnier s’investira. Et de conclure : « Il y a plein de chantiers qui peuvent être ouverts, et que j’ai très envie de mener ».
L'interview de la rédaction : Eugénie Burnier
Sur sa page Facebook, à la date du 14 février dernier, le centre Athenas, spécialiste de la sauvegarde de la faune sauvage, a enregistré la mort d’un lynx, retrouvé sur la voie ferrée, entre Poligny et Saint Lothain (39). Et ce, alors que la structure vient de soigner un nouvel individu blessé. Il y a quelques jours, Athenas dénonçait le nombre inquiétant de lynx, victimes de collisions. En 36 jours, à la date du 5 février, elle avait déjà enregistré 7 lynx percutés.
Les oppositions municipales, « Ensemble Bisontins ! » et « Besançon Maintenant » et leurs chefs de file Laurent Croizier et Ludovic Fagaut dénoncent l’utilisation par la ville de Besançon du magazine d’information municipale, en l’occurrence le N°451, « pour sa propagande ». Il est dénoncé l’interview d’Anne Vignot, « sur six pages », sur la récente loi dite « immigration ». Les élus exigent « le remboursement de l’intégralité de l’argent public utilisé à des fins de propagande politique personnelle ». Ils disent avoir « saisi le préfet » et étudient « la possibilité de saisir le tribunal administratif ».