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Les Bleus du biathlon ont décroché la médaille d’argent lors du relais de la première manche de Coupe du Monde, qui se dispute à Östersund, en Suède. Derrière l’intouchable Norvège, la France s’impose devant la Suède, troisième. Le Jurassien Quentin Fillon Maillet faisait partie du quatuor tricolore, aux côtés de Fabien Claude, Emilien Jacquelin et Éric Perrot.

Les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus ce samedi pour secourir une femme de 56 ans égarée dans les bois entre les Granges-Narboz et Oye-et-Pallet. La localisation a nécessité l’usage d’une motoneige et des reconnaissances pédestres. Bloquée en contrebas d’une pente enneigée dominant la départementale 437, la victime, indemne, a été remontée grâce à un dispositif installé par les spécialistes en milieux périlleux. Après bilan, elle n’a pas été hospitalisée et a pu regagner son véhicule.

Le Pontissalien Marco Heinis s’est illustré ce samedi 29 novembre lors de la première étape de la Coupe du Monde de combiné nordique à Ruka, en Finlande. Le Français a pris une solide neuvième place dans la poursuite, permettant de penser à une saison solide, marquée par les olympiades à venir, en février prochain. Le Jurassien Laurent Mulhethaler est 16è. Edgar Vallet et 24è. Gaël Blondeau se classe en 37è position. Mattéo Baud est 38è. 

La saison de Coupe du Monde démarre en fanfare pour l’équipe de France féminine de biathlon. Jeanne Richard, Océane Michelon, Justine Braisaz-Bouchet et Lou Jeanmonnot ont offert au clan tricolore une victoire éclatante sur le relais. La Marseillaise a retenti sur le podium suédois, marquant le premier succès collectif des Bleues cet hiver.

Un accident de la circulation a impliqué un véhicule de tourisme et le tramway cette nuit, à Besançon, à hauteur du Pont de la République. Les sapeurs-pompiers du Doubs ont pris en charge trois personnes : une femme de 22 ans et un homme de 25 ans, occupants de la voiture, ainsi que la conductrice de tramway âgée de 30 ans. Toutes ont été laissées sur place. Les cinq voyageurs présents dans le tramway ne présentaient aucune blessure.

Hier soir, deux véhicules sont entrées en collision à l’angle des rues de la Viotte et du Chasnot. Les sapeurs-pompiers du Doubs ont désincarcéré un homme de 30 ans, blessé grave, évacué vers le CHRU Minjoz. Un second homme de 35 ans, impliqué, a été laissé sur place après bilan. La circulation a été interrompue durant l’intervention, avec le concours des services partenaires.

Tout va bien pour le Grand Besançon Doubs Handball, qui a signé hier soir une nouvelle victoire dans le cadre de la 12e journée de la ProLigue. Les Bisontins se sont imposés 31–29 face à Sarrebourg, confirmant leur dynamique positive avec un troisième succès sur les quatre objectifs fixés par le staff.

Sous la conduite de Christophe Viennet, le collectif pointe désormais à la huitième place avec 12 points. Pour répondre pleinement aux attentes sportives, il devra encore s’imposer vendredi à Saintes, actuel avant-dernier du classement.

Le 8ᵉ tour de la Coupe de France verra s’affronter ce samedi, à 13h30, le Racing Besançon, pensionnaire de National 3, et Freyming-Merlebach, équipe de Régionale 2. Une affiche sur le papier favorable aux Bisontins, mais dont le contexte appelle à la plus grande prudence.

Un tirage « clément » mais trompeur

Sur le papier, le Racing part favori. Deux divisions séparent les deux formations, ce que reconnaît volontiers la direction sportive du club bisontin. Toutefois, « il y a un adage qui dit que le tirage est bon lorsqu’on gagne le match » explique Roland Girard, le Président du Racing. Le club estime avoir bénéficié d’un tirage « dit clément », mais ne se cache pas derrière cet avantage théorique : vigilance maximale. D’autant que Freyming-Merlebach réalise une saison parfaite jusqu’ici. L’équipe est invaincue depuis le début de l’exercice, portée par une dynamique exceptionnelle et l’enthousiasme d’un public qui jouera un rôle essentiel.

L'interview de la rédaction : Roland Girard, président du Racing Besançon 

Un déplacement long et un contexte hostile

Le match se jouera en Moselle. Un environnement que le Racing ne connaît pas, et qui ne correspond pas à un cadre traditionnel de rencontre de haut niveau. Autour d’une simple main courante, 1 500 spectateurs sont attendus pour pousser les leurs. Le staff du Racing insiste : « Le contexte est particulier ». Jouer à l’extérieur, sur un terrain peu familier, face à un adversaire sans complexe et porté par tout un club, peut faire basculer la rencontre.

L'interview de la rédaction : Roland Girard, président du Racing Besançon 

Un groupe serein mais perfectible

La Coupe de France joue un rôle particulier dans la saison du Racing. Elle transcende l’équipe, qui vise clairement les 32es de finale, objectif affiché. « On est à un match d’y arriver », rappelle M. Girard.  Côté sportif, le début de saison en championnat est jugé « moyen » : le Racing se situe au milieu de tableau, loin de ses ambitions. Le groupe comporte de nombreux nouveaux joueurs, un entraîneur arrivé récemment et un collectif encore en progression. Néanmoins, « l’alchimie se crée depuis quelques matchs », ce qui nourrit l’optimisme.

La Coupe, un objectif sportif… et financier

Contrairement à d’autres clubs qui la considèrent comme un bonus, la Coupe de France représente pour le Racing un véritable double objectif. Elle offre des émotions uniques — comme lors du tour précédent, où le club a éliminé  Thionville, le leader de National 2 — mais aussi un apport financier essentiel pour une structure amateur. À l’heure où les comptes sont scrutés dans le football non professionnel, chaque tour passé représente un bol d’air.

Coup d’envoi à 13h30 : un match à ne surtout pas sous-estimer

Favori, mais en terrain hostile. Supérieur sur le papier, mais confronté à une équipe en pleine confiance. Le Racing Besançon se sait attendu et observé. Pour espérer poursuivre son épopée, il devra maîtriser ses émotions, respecter son adversaire et imposer son jeu. Car en Coupe de France, plus que nulle part ailleurs, la hiérarchie ne demande qu’à être renversée.

L'interview de la rédaction : Roland Girard, président du Racing Besançon 

La programmation estivale dévoilée par la Saline Royale d’Arc‑et‑Senans, sans concertation préalable avec les organisateurs du Festival de la Paille,  qui organise un évènement au même moment, a cristallisé une difficulté majeure : celle d’une coexistence culturelle fragilisée par l’absence de dialogue.

Rappelons les faits

Le 5 novembre, le Collectif Organisation annonçait que la prochaine édition serait la dernière, une « édition de légende ». Une décision qualifiée d’« acte » par les organisateurs, née d’un contexte économique, culturel et institutionnel fragilisé. « Un acte difficile, puis assumé, posé pour préserver l’intégrité de nos valeurs, de notre association et de nos équipes », précise le communiqué.

Un public fidèle malgré l’annonce

L’ouverture de la billetterie, quelques jours plus tard, a confirmé l’attachement du public. Les festivaliers, fidèles depuis plus de deux décennies, ont répondu massivement, témoignant d’un soutien immédiat et profond. Pour les organisateurs, « la diversité culturelle ne peut se construire sur des rapports de force ou une concurrence silencieuse ». « Elle doit reposer sur le dialogue, l’écoute et la coopération entre acteurs, dans le respect du tissu culturel déjà présent ». Le collectif appelle ainsi les institutions, les professionnels et les citoyens à une vigilance partagée pour préserver les événements indépendants, « vitaux et historiques », garants de la diversité culturelle.

Une culture qui rassemble

« Nous défendons une culture qui rassemble plutôt qu’elle n’oppose. Une culture libre, accessible, inventive, qui ne se construit pas contre, mais avec », affirme l’organisation. Refusant toute politisation, le collectif revendique une position responsable et collective, ancrée dans les réalités du secteur. La dernière édition du Festival de la Paille s’annonce donc comme un moment fort, à la fois célébration et acte de résistance culturelle, porté par la fidélité de son public et par la volonté de défendre un modèle coopératif et équilibré.

Ce vendredi, lors de sa deuxième conférence de presse, Bénédicte Hérard, candidate à la mairie de Pontarlier, a présenté la première moitié de la liste qu’elle conduira pour les élections municipales de mars prochain. Cette intervention marque un tournant dans la campagne, désormais bien engagée et structurée autour d’une stratégie assumée : proximité, transparence et construction collective du projet.

 

Une liste révélée en deux étapes

Même si la liste complète est déjà « finalisée », Bénédicte Hérard a fait le choix d’un dévoilement progressif. Elle a ainsi présenté la première partie de son équipe, composée de profils représentatifs des différents secteurs de la ville. La seconde moitié de la liste sera révélée au début du mois de janvier. Ce choix en deux temps permet, selon elle, « d’offrir aux habitants une meilleure lisibilité et de valoriser chaque candidat individuellement ». Seule certitude, l’équipe sera composée d’une très grande majorité de nouveaux engagés, auxquels il convient d’associer quelques conseillers de l’actuelle majorité de Patrick Genre : Jean-Marc Grosjean, Didier Chauvin, Romuald Vivot, Anne-Lise Ballyet et Valérie Jacquet. L’identité d’un dernier autre élu sera dévoilé prochainement.

L'interview de la rédaction : Bénédicte Hérard 

 

Un calendrier de campagne parfaitement maîtrisé

Bénédicte Hérard l’a rappelé avec fermeté : son agenda de campagne est défini en interne, sans contraintes externes. Seules les échéances électorales des 15 et 22 mars guident le rythme. Cette autonomie assumée vise à mener une campagne structurée, réfléchie et conforme aux obligations légales, tout en laissant le temps nécessaire aux rencontres et à l’échange.

Un projet alimenté par le terrain

Depuis plusieurs semaines, la candidate multiplie les rencontres avec les acteurs associatifs, économiques et institutionnels, ainsi qu’avec les habitants des différents quartiers.
L’objectif est clair : enrichir le projet grâce aux besoins et propositions recueillis, et construire une vision cohérente du développement de Pontarlier. Cette démarche s’inscrit aussi dans une réflexion plus large, intégrant les enjeux intercommunaux, départementaux et régionaux.

L'interview de la rédaction : Bénédicte Hérard 

La stratégie “aller vers” : une campagne au contact des habitants

Refusant l’idée d’une permanence de campagne fixe, Bénédicte Hérard privilégie le contact direct et mobile. Un calendrier sera prochainement publié pour préciser les lieux et moments où l’équipe se rendra dans les quartiers, sur les marchés, dans les espaces publics et au cœur des lieux de vie. Cette stratégie « aller vers » vise à rendre la campagne plus accessible et à multiplier les échanges spontanés avec les citoyens.

L'interview de la rédaction : Bénédicte Hérard 

Une vision exigeante du rôle de maire

Pour Mme Hérard, le maire doit incarner la proximité au quotidien : une élue présente, identifiable, disponible, « à portée de voix » selon ses mots. Être maire, « c’est accepter l’interpellation, la discussion, la critique constructive et la gestion continue des besoins du territoire ». Cette conception engagée et exigeante du mandat municipal s’impose comme l’un des marqueurs forts de sa campagne. Ainsi, afin de traduire cette volonté dans la pratique, la candidate prévoit d’instaurer une permanence ouverte un samedi matin par mois. Elle sera accompagnée de conseillers et d’adjoints potentiels afin de traiter rapidement les problèmes signalés et d’assurer un suivi immédiat des dossiers.

L'interview de la rédaction : Bénédicte Hérard 

 

Un début d’année stratégique

Juste après la trêve des confiseurs, début janvier, un nouveau rendez-vous majeur de la campagne permettra de dévoiler la seconde partie de la liste, de présenter les orientations détaillées du projet et de poursuivre les échanges avec les habitants.

L'interview de la rédaction : Bénédicte Hérard 

En réaffirmant son choix de proximité, en structurant un projet participatif et en orchestrant une montée en puissance progressive de sa liste, Bénédicte Hérard impose une campagne claire, assumée et résolument tournée vers les habitants de Pontarlier. Les prochaines semaines s’annoncent déterminantes pour préciser, affiner et partager sa vision de l’avenir de la ville.

 

Les premiers noms de la liste

Bénédicte Hérard – Professeur, adjointe Ville, Vice-Présidente Grand Pontarlier, conseillère régionale, élue sortante

Ballyet Anne-Lise – Assistante Direction, conseillère déléguée sortante.

Bournez Clément – Agriculteur, moniteur de ski.

Chassard Fabienne – Agent immobilier et engagement associatif culturel.

Daher Marie – Chanteuse lyrique.

Chauvin Didier – Directeur établissement scolaire retraité, adjoint et vice président au Grand Pontarlier sortant.

Garcia Xavier – Technicien forestier, engagement associatif culturel.

Goker Filiz – Médiatrice sociale, engagement associatif culturel.

Grosjean Jean-Marc – Agent Préval, adjoint et vice président au Grand Pontarlier sortant.

Jacquet Valérie – infimière hygiéniste, conseillère municipale sortante.

Locatelli Marlène – chef d’entreprise, agent immobilier.

Mejri Sami – chef d’entreprise, engagament associatif (sport).

Pecclet Pascal – Gérant de société retraité, président club sportif.

Pierrot-Martin Jean Baptiste – Professeur, engagé devoir de mémoire et patriotisme

Tamine Karima – Chargé de recrutement

Vivot Romuald – Chargé de communication, conseiller départemental, consillé délégué sortant.