Vendredi matin, vers 3h, les policiers de la BAC ont interpellé un homme, âgé d’une vingtaine d’années, rue du Commandant Marceau à Besançon. Alors qu’il se trouvait en compagnie de deux autres individus dans une voiture en stationnement, il a été retrouvé en possession d’un revolver, dissimulé à la ceinture, et de quatre cartouches, cachées dans une poche de son blouson. Il est également apparu qu’il faisait l’objet de plusieurs interdictions judiciaires : interdiction de porter une arme, de sortir du département du Rhône et de se rendre sur Besançon. Cet individu, placé en garde à vue, a été déféré en fin d’après-midi.
L’épidémie de Covid-19 continue de battre des records. La Bourgogne-Franche-Comté n’est pas épargnée. Actuellement, tous les départements sont concernés par des taux d’incidence à 4 chiffres. Sous l’effet de la double vague delta et omicron, la pression hospitalière s’accroît elle-aussi : plus de 900 personnes sont désormais prises en charge, dont 160 en soins critiques et l’ARS a demandé aux établissements de prolonger le plan blanc de 4 semaines.
Comme le veut la tradition, ce vendredi matin, dans les locaux du conservatoire de Besançon, Anne Vignot, la présidente de Grand Besançon Métropole, a présenté ses vœux et les projets pour l’année à venir. Gabriel Beaulieu, son vice-président, et Abdel Ghezali, 1er adjoint à la Ville de Besançon étaient également à ses côtés.
Difficile de se projeter, tant la situation sanitaire est incertaine. Néanmoins, les élus veulent continuer à travailler pour leur territoire. Tous les domaines et tous les champs d’action sont concernés : habitat, santé, économie transports, éducation, action sociale, culture, … . Les initiatives ne manquent pas. Anne Vignot veut faire de Besançon ‘un territoire vivant, à l’intérieur duquel la collectivité jouera et prendra pleinement son rôle ». « Nous avons une grande capacité à agir et réagir » ont précisé les élus.
Des projets ambitieux
Il serait fastidieux de vouloir dresser une liste précise des actions prévues mais d’importants chantiers sont d’ores et déjà lancés ou sont en cours de l’être : le projet de grande bibliothèque sur le site de l’ancien hôpital Saint-Jacques, la création de 900 logements sur le territoire du Grand Besançon, la création d’un nouveau Campus à la Bouloie, de nouvelles pistes cyclables, la base outdoor aux prés-de-Vaux, le développement et l’attractivité de la Citadelle,… . La collectivité entend également poursuivre son plan de rénovation énergétique, défendre l’hôpital public, faciliter le passage des jeunes vers l’emploi ou encore mener des opérations de solidarité auprès des publics les plus en difficulté.
L'interview de la rédaction / Anne Vignot
Concernant les tirs survenus hier soir vers 19h à Pontarlier, on a appris cet après-midi que les deux hommes ont été placés en garde à vue. Ils sont soupçonnés d’avoir enlevé et séquestré un industriel suisse dans une usine au Locle, mais ils ne sont pas parvenus à finaliser leur acte.
En fuite, ces derniers ont agressé une femme pour s’emparer de son véhicule dans la ville suisse. Aperçus à Pontarlier, ils ont été pris en chasse par une patrouille de police. Avec sang-froid, un des fonctionnaires a tiré 34 coups de feu au total pour stopper le véhicule qui s’était engagé dans une voie à sens unique, rue des Tourbières. Il est parvenu à viser le bloc moteur et la vitre arrière. En compagnie de renforts, ils sont parvenus à interpeller les deux individus. Des investigations se poursuivent de part et d’autre de la frontière.
Les deux hommes sont défavorablement connus de la justice. Ils sont respectivement âgés de 35 et 46 ans. Lorsque les policiers sont intervenus, les deux individus étaient masqués et l’un d’eux aurait sorti une arme.
L'interview de la rédaction
L’heure de la reprise a sonné pour les Sochaliens. Pour le compte de la 20ème journée de Ligue 2, ils affronteront Le Havre demain à 15 h, dans un match déjà important pour la suite du championnat.
Un match incertain
À l’heure actuelle, le match est bel et bien censé se jouer demain au Stade Océane du Havre. Oui mais voilà , les cas de COVID recensés récemment chez les Havrais laissent planer l’hypothèse d’un potentiel report de la rencontre. Cela étant, les Sochaliens se sont préparés normalement pour ce match déjà important pour la suite du championnat. Cinquième avec 33 points, les joueurs d’Omar Daf devancent d’une petite longueur les Havrais, sixième avec 32 points au compteur. Un gros morceau donc, pour entamer cette année 2022.
« On y va pour gagner, il faut marquer le coup » Aldo Kalulu.
Un match qui s’annonce difficile
Face au Havre, deuxième meilleure défense du championnat, la tâche s’annonce rude pour des Sochaliens qui connaissent d’ailleurs des difficultés sur le plan offensif. « C’est une équipe prétendante à la montée en Ligue 1. Malgré le fait qu’ils cachent leurs ambitions, ils ont un groupe très étoffé et c’est la deuxième meilleure défense de Ligue 2. Ça sera un match très difficile » déclare le technicien sochalien Omar Daf. Même son de cloche pour l’attaquant Aldo Kalulu, qui s’attend à un match forcément difficile, face à un adversaire direct dans cette course à la montée. Mais le Sochalien reste confiant avant ce match et espère que lui et ses partenaires réaliseront une grosse performance. « Quelle que soit l’issue du match, on sait que rien ne sera joué pour la suite du championnat, mais on va là -bas pour gagner, il faut marquer le coup » déclare Aldo Kalulu. Le match est lancé.
Interview de la rédaction, Omar Daf (coach du FC Sochaux Montbéliard) et Aldo Kalulu (Attaquant du FC Sochaux Montbéliard) :
Concernant l’épidémie de Covid-19. Selon des chiffres du rectorat de Besançon, arrêtés à la date de ce jeudi 6 janvier, aucune structure scolaire et aucune classe ne sont fermées à ce jour. En cumul sur les quatre jours, 770 cas confirmés d’élèves et 72 cas de personnels ont été déclarés. Le communiqué de presse précise que l’éducation nationale a commandé 55 millions de masques chirurgicaux afin d’équiper les personnels des écoles et des établissements scolaires, avec des premières livraisons dès la mi-janvier
En raison de la situation sanitaire du pays, il a été décidé d’annuler purement et simplement l’édition 2022 de la Transju’Jeunes qui devait se dérouler le mercredi 26 janvier aux Rousses. Depuis plus de 30 ans, La Transju’Jeunes est LE rendez-vous, de tous les jeunes de 7 à 19 ans, passionnés de ski de fond. C’est la deuxième année consécutive que cet évènement est bousculé par la pandémie.
Un accident impliquant un car scolaire s’est produit en début d’après-midi sur la commune de Fallerans (25). Le véhicule était vide. Seul le conducteur se trouvait à l’intérieur. Il a été pris en charge par les sapeurs-pompiers.
L’échéance approche à grands pas. Ce dimanche, à 14h, l’ESBF affronte les Hongroises de Monsonmagyarovari pour le compte du 1er tour des phases de poule de la Coupe d’Europe. Le départ est prévu ce samedi. Les Bisontines sont plus que jamais déterminées pour affronter cette formation, que personne n’attendait vraiment à ce niveau. Selon Sébastien Mizoule, le coach bisontin, seule une défense imprenable permettra à son groupe de l’emporter. Avec une moyenne de 32 buts en championnat cette saison, les Hongroises sont réputées pour être solides en attaque. En revanche, elles prennent aussi des buts. Les statistiques en laissent apparaître une trentaine par confrontation.
« Être dans le combat »
Sébastien Mizoule a demandé à son équipe de montrer un autre visage que celui qu’elle a dévoilé mercredi soir face à Dijon. « Il faudra être beaucoup plus dans le combat. Refuser de perdre ses duels » explique-t-il. Et de poursuivre : « Il faut qu’individuellement, on se secoue un petit peu plus les puces. Le mot d’ordre, c’est défendre fort. Les Hongroises n’ont rien à voir avec Dijon. C’est plus grand. C’est plus costaud. Ca tape fort ».
Départ prévu demain matin
Après une ultime séance d’entraînement demain matin à Besançon, le groupe prendra la direction de la Hongrie. Son arrivée est prévue vers 19h. Le match est programmé à 14h et le retour en Franche-Comté dans la nuit de dimanche à lundi.
L'interview de la rédaction
Pour la 3ème année consécutive, l'Université Savoie Mont-Blanc réalise une Enquête nationale sur la qualité du lien entre la population et les forces de sécurité intérieure. Chaque citoyen peut ainsi donner son avis au travers d'un questionnaire qui lui sera adressé par mail. Pour s'inscrire, il faut télécharger une demande de participation sur le site www.eqp21.fr, l'imprimer et la rapporter complétée au commissariat central de Besançon ou Planoise, Montbéliard, Héricourt ou Pontarlier. Pour les personnes qui ne peuvent pas imprimer le formulaire, il est également possible de se rendre directement dans les divers commissariats pour s'inscrire.