Eliezer Mayenda, attaquant formé au club âgé de 16 ans et 9 mois, a signé un contrat professionnel pour deux saisons et demi en faveur du FCSM qui prend effet dès à présent. Le jeune homme, repéré à l’âge de 12 ans par le club franc-comtois, devient ainsi le plus jeune professionnel sochalien, devançant en précocité Jérémy Ménez.
Un jeu de rôle
Ce challenge de vente s’adressait aux élèves de bac professionnel et BTS vente et commerce de la région. Habituellement, cette phase de sélection régionale attire plus d’une centaine de participants, mais cette année ils étaient environ 70 en provenance de Besançon et de Pontarlier à concourir. Après avoir préparé leur étude de cas en petits groupes dans la salle Pourny, c’est au sein de l’UFA Jeanne-D’Arc que les jeunes négociants se devaient se confronter à un acheteur potentiel. Durant environ 10 minutes, ils devaient vendre un produit à un professionnel, qui jouait le rôle d’un acheteur, sous le regard de deux membres du jury. Munis d’une grille d’évaluation, ils avaient pour mission d’apprécier le déroulement d'une vente et le comportement du vendeur. Son contact avec le client, son aisance, son attitude, sa capacité à réagir aux objections et la qualité de sa vente étaient les critères évalués.
Une première expérience enrichissante
Cette année, c’était un cloueur de la marque Würth que les jeunes élèves devaient réussir à vendre à un professionnel. La fiche technique du produit paraissait plutôt compliquée, mais les apprentis vendeurs avaient de nombreux éléments sur lesquels rebondir. Fidélité du client, impact écologique, délai de livraison, tarif de la concurrence, des points clés qu’il ne fallait pas omettre afin de bâtir une argumentation qui fasse pencher la balance en sa faveur. Face au stress, et confrontés pour la première fois à des professionnels, certains élèves avaient du mal à trouver leurs mots alors que d’autres étaient très à l’aise. En tout cas, « c’était une première expérience très intéressante, très concrète, et très formatrice » souligne Hugoline, élève en BTS technique de vente. « On est forcément un peu stressé avant d’entrer dans la salle, ça c’est sûr ! Mais une fois qu’on commence, ça va tout de suite mieux, et on pense à autre chose » poursuit-elle. En tout cas, ces qualifications régionales du concours de négociations commerciales auront été une première expérience très enrichissante pour ces élèves, qui pour certains, auront la chance de se déplacer à Épinal au mois de mars pour la finale.
La mobilisation chez Kéolis pour l’amélioration des salaires se prolonge. Elle se poursuivra jusqu’à vendredi au moins. Elle s’inscrit dans le cadre d’un mouvement de grève illimité à l’initiative des syndicats CFE, CGC, CFTC et FO. Ce jeudi 3 février, le réseau bus & tram fonctionnera à 100 % avec les horaires habituels jusqu'à 20h.Vendredi, le réseau tram assurera 100 % du service avec les horaires habituels. Le réseau bus fonctionnera à 86 % avec les horaires "Petites Vacances Scolaires". A partir de 20h les lignes ne circulent pas.
La police bisontine lance un appel à témoins concernant une agression commise square St Amour dans la nuit du 23 au 24 octobre 2021, vers 2h30. Deux individus, accompagnés de trois filles, s’en sont pris à un autre homme. Les enquêteurs cherchent toute personne susceptible d’aider à l’identification des auteurs. Si vous avez des informations, n’hésitez pas à contacter le commissariat de Besançon au 03.81.21.10.99
Réparer sa faute tout en étant utile
Le parquet de Besançon et la Ville viennent de signer une convention qui formalise désormais la transaction. Cette alternative aux poursuites, prévue par la loi, s’applique aux contraventions et petits délits commis par des individus majeurs au préjudice de la Ville et constatés par les policiers municipaux. Dorénavant, lorsque des agents de police constatent des infractions, la mairie peut alors proposer au contrevenant deux solutions : la première consiste à réparer financièrement ce préjudice, alors que la deuxième est d’effectuer un travail non rémunéré pendant une durée maximale de trente heures.
Une dimension pédagogique
Cette transaction à but pédagogique est une alternative au travail d’intérêt général, et résulte d’une confiance établie entre la mairie et le parquet. « Il s’agit d’une alternative aux poursuites », explique Étienne Manteaux, le procureur de la République. « Cela évite le passage en audience publique et c’est moins stigmatisant ». L’objectif général étant de développer le travail non rémunéré qui a « une dimension pédagogique évidente » selon le magistrat. Et si le justiciable n’accepte pas la proposition qui lui est faite, son dossier est alors transmis au parquet en vue de poursuites pénales. Au total 40 à 50 TIG ou TNR (travail d’intérêt général ou travail non rémunéré) sont actuellement réalisés chaque année au sein des services de la Ville. La Justice souhaiterait gonfler ce chiffre et atteindre une centaine de TIG et TNR tous les ans.
Ce mardi à 18h45 à Besançon, rue de la Prévoyance, un équipage de la BAC a été envoyé en patrouille sur un point de deal signalé par des riverains qui ont constaté la présence d’un véhicule en stationnement en fond d'un parking avec deux individus à bord. En se rapprochant, les policiers ont constaté que les individus tentaient de se dissimuler derrière le tableau de bord de la voiture.
En procédant au contrôle des individus, le conducteur était trouvé en possession de plusieurs dizaines de grammes de résine de cannabis et d'héroïne et de la somme de 1305 euros. Les deux hommes de 20 et 21 ans ont été interpellés et placés en garde à vue.
Une route verglacée qui conduit au drame
Mercredi 19 janvier, le groupe d'amis avait projeté de se rendre au bord du lac de Chalain à un endroit bien connu de la conductrice pour y passer un peu de temps. Cependant une barrière interdisant l'accès au lieu où ils avaient prévu d'aller, ils avaient alors décidé d'aller au domaine de Chalain, dans un endroit où ils ne s'étaient jamais rendus ensemble auparavant, a expliqué le témoin. Il précise ensuite que la conductrice roulait à une vitesse adaptée, mais que dans une légère courbe à droite, le véhicule serait allé tout droit. Et que malgré les tentatives de la conductrice pour rectifier la trajectoire, le véhicule avait quitté la route, pour ensuite tomber dans la pente en faisant des tonneaux avant d'entrer dans l'eau à l'envers.
Un témoin miraculé
Le jeune homme a indiqué avoir pu se détacher et sortir du véhicule par une vitre brisée. Il se trouvait alors à un endroit où il n'avait pas pied. Il a ensuite nagé sur environ un mètre pour rejoindre la berge, avant de remonter sur le chemin conduisant à la route où il a arrêté un véhicule conduit par une femme. Cette dernière a alerté les secours, puis est retournée avec le jeune garçon sur les lieux de l'accident pour les guider. Les gendarmes sont ensuite arrivés quasi simultanément sur les lieux de l'accident, et les pompiers quelques minutes plus tard. Les examens médicaux légaux ont déterminé que les 4 victimes sont décédées de noyades intervenues très rapidement pour 3 d'entre elles. Un des mineurs avait survécu jusqu'à l'arrivée des gendarmes, mais il a succombé à la conjugaison de l'hypothermie et de la noyade avant l'arrivée des pompiers. Les investigations vont encore se poursuivre.
Il y a du handball ce mercredi soir. Dans la cadre de la 14è journée et 1ère journée des matches retour du championnat de D1 féminine, l’ESBF reçoit le leader messin. Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 20h. A l’aller, les Lorraines, l’ancienne bisontine et mortuacienne Chloé Valentini, avaient dominé les bisontines sur le score de 33 à 24.
Ce samedi, de 10h à 17h, les quatre campus de l’IMEA (Besançon, Pontarlier, Montbéliard et Vesoul) de la chambre de commerce Saône-Doubs ouvrent leur porte au public. Un temps précieux pour découvrir les formations et la pédagogie dispensées dans cette école consacrée aux métiers du commerce et de la vente.
Dans cette structure, qui forme de nombreux jeunes, on dispense des formations en alternance BAC+2 et BAC+3 reconnues par l’état. Les savoir-être et savoir-faire sont au cœur des connaissances et des apprentissages apportées par une équipe pédagogique, composée également d’intervenants professionnels extérieurs, mobilisée autour de la transmission et du partage avec leurs étudiants. Une approche qui semble convenir à la nouvelle génération, consciente que cette pratique « est la meilleure des écoles » et « une insertion plus que certaine sur le marché de l’emploi ». Comme le confirme Françoise Sanchez, directrice de l’école IMEA, le taux d’employabilité des jeunes à l’issue de leur cursus de formation est de 83%.
Remi et Charline
Agés de 19 ans et 20 ans, les deux étudiants sont respectivement en 2è et 1er années de formation. Rémi, une fois son diplôme en poche l’été prochain, devrait confirmer un BAC+3 dans le domaine du marketing sportif. Charline se laisse encore un peu de temps pour envisager la suite. Pour ces deux jeunes, la vente et le commerce sont leur quotidien. Rémunérés, ils alternent chaque semaine temps théorique et pratique. C’est d’ailleurs ce qu’ils sont venus chercher. Les études dans une salle de classe, sur une table, devant un ordinateur, ils n’en veulent plus. Comme beaucoup de jeunes adultes de leur âge, ils veulent être complément acteurs de leur formation. Faire, apprendre, se débrouiller, commencer à gagner sa vie, côtoyer et se former aux côtés de professionnels, c’est ce qui les a poussés à franchir le pas et les portes de l’IMEA de Pontarlier par exemple. Ils ne le regrettent pas et semblent s’épanouir dans cet univers qui permet de se construire et de grandir professionnellement et personnellement.
Le reportage de la rédaction : Rémi, Charline et Françoise Sanchez
Hier soir, pour son dernier match sur le parquet du Palais des Sports pour cette saison, le BesAC s'est incliné face à Avignon dans le cadre d’une nouvelle journée de championnat en nationale 1 masculine. La formation n’est pas parvenue à réitérer son exploit face au Havre. Les Bisontins ont été vaincus sur le score de 80 à 88.