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Dans l’objectif de faciliter la mobilité sur son territoire, Grand Besançon Métropole, en collaboration avec Keolis, lance le 31 janvier un service "d’open payment". C’est-à-dire la validation par carte bancaire à bord des bus et des trams Ginko. Ce nouveau dispositif propose une expérience de mobilité plus fluide et totalement sécurisée.

 

De quoi s'agit-il ?

Dès lundi 31 janvier, les voyageurs souhaitant utiliser les lignes de bus et de tram bénéficieront d’un nouveau service sur les lignes du réseau Ginko : la validation de leur voyage avec leur carte bancaire se fera directement sur le valideur. Il s’agit d’une première phase de déploiement de l’open payment sur les lignes urbaines. Une seconde phase interviendra avec le déploiement de cette solution sur les lignes périurbaines en septembre 2022.

 

Comment ça marche ?

Tout comme avec la carte Voyages Ginko, la multivalidation est possible jusqu’à 9 accompagnants et le voyageur doit valider en correspondance. Le calcul des trajets se fait sous quelques heures de façon centralisée et l’usager voit son compte bancaire débité de trajets effectués, généralement à l’issue de la journée. De plus, une plate-forme dédiée au service, accessible depuis le site ginko.voyage, permet le suivi de la consommation après création d’un compte personnel ou du numéro de carte bancaire. En cas de contrôle, le voyageur aura simplement à présenter sa carte bancaire au contrôleur Ginko.

Selon nos informations, en raison des conditions météo du jour, des perturbations sont à prévoir au niveau des ramassages scolaires. Les pluies verglaçantes du moment expliquent cette situation. On nous signale par exemple que les ramassages scolaires ne peuvent se tenir dans le secteur du Val de Morteau.

Les sapeurs du Doubs sont intervenus hier, vers 18h, à Levier pour une intoxication au monoxyde de carbone dans un logement individuel. Un dysfonctionnement s’est produit au niveau du conduit d’évacuation de fumées. Une femme de 23 ans et son bébé de 6 mois ont été légèrement intoxiqués. Ils ont été transportés à l’hôpital. En parallèle, les secouristes ont procédé à l’arrêt du dispositif et à la ventilation des locaux.

Un conducteur sera déféré ce vendredi, à 10h, à Besançon. Jeudi après-midi, lors d’un contrôle, pratiqué avenue Clémenceau, dans la cité comtoise, il est apparu que le conducteur n’était pas en possession d’un permis de conduire valable. Sa garde à vue est toujours en cours ce jeudi soir.

En raison d’un mouvement social, à l’initiative des syndicats CFE CGC, CFTC et FO, la société Keolis indique que des perturbations sont à prévoir ce vendredi sur le réseau Ginko à Besançon.  86% des services seront assurés.

Un bûcheron de 33 ans a été transporté à l’hôpital Nord Franche-Comté. Ce jeudi, vers 15h, à Dasle, l’homme est resté bloqué sous un arbre. L’action combinée des sapeurs-pompiers et du GRIMP a permis d’extraire la victime. Souffrant d’une déformation de l’épaule, le trentenaire a été pris en charge par les sapeurs-pompiers.

Les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus à Saint-Vit ce jeudi après-midi, vers 15h. Il s’agit d’un feu de cheminée à bois avec propagation dans la toiture. Le sinistre concerne une habitation mitoyenne de 150 m2 sur deux niveaux. Deux adultes et deux enfants ont été relogés dans leur famille.

Ce sont près de 500 manifestants qui étaient mobilisés ce matin dans les rues de Besançon, comme dans de nombreuses autres ville de France. Le secteur social et médico-social, en première ligne, s'est positionné symboliquement en tête du cortège. Un mouvement, pour revendiquer une augmentation des salaires ainsi qu'une amélioration des conditions de travail, qui s'accompagnait d'une grève générale et interprofessionnelle à l'appel de plusieurs syndicats.

Selon des chiffres communiqués par le rectorat, alors qu’environ 500 personnes se sont rassemblées pour la grande manifestation interprofessionnelle à Besançon, 6,7% des personnels de l’éducation nationale était en grève ce jeudi. L’administration a recensé 8,5% des enseignants mobilisés dans le 1er degré et 5,1% dans le second degré.

Ce mardi 1er février, deux boulangers, exerçant à Doubs, près de Pontarlier, participeront à l’émission de M6 « la meilleure boulangerie de France Â». Un programme animé par le duo Bruno Cormerais et Norbert Tarayre. Alexandre Michelin et Nicolas Philippe porteront les couleurs franc-comtoises et mettront tout en Å“uvre pour accéder, vendredi, à la finale régionale, qui leur ouvrira les portes de la grande finale nationale. Pour atteindre ce niveau, il faudra réussir les différentes épreuves proposées : esthétique et contenu de la boutique et qualité des produit vendus et confectionnés. Les aliments utilisés ont également toute leur importance.

Remarqués sur les réseaux sociaux par la production de l’émission, les deux boulangers doubistes ont accepté de relever le défi. Ils prennent avant tout de chose cette aventure médiatique comme un challenge personnel. Mais, bien évidemment, les deux hommes espèrent pouvoir bénéficier d’un joli coup de projecteur et une mise en lumière de leur savoir faire.  Â« Nous sommes des hommes de concours. On a envie de gagner. On a envie de faire pour nos clients Â» indique Alexandre Michelin.

l'interview de la rédaction / Alexandre Michelin