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L'association bisontine Movo organise ce vendredi 8 et ce samedi 9 juillet une block party dans le quartier Palente. L'objectif ? Initier les jeunes aux pratiques urbaines et mettre en valeur les talents locaux de demain.

 

À Besançon, le quartier Palente risque bien d'être animé lors des deux prochains jours. Une block party, terme américain désignant une fête de quartier, est organisée par l'association locale Movo. Au programme : sessions d'initiation aux danses urbaines, tournoi de basket 3x3 et bien plus encore... Les participants sont attendus sur le terrain de sport synthétique qui se situe entre la rue des Aubépines et la rue des Anémones à partir de demain 16H et jusqu'à 22 h 30. La block-party débutera avec une initiation au basket puis avec le tournoi 3 contre 3. Suivront ensuite deux initiations à la danse en hip-hop et en house dance. Enfin la soirée de demain se terminera sur un DJ set festif, où chacun pourra se détendre et danser. Le lendemain, samedi, la fête recommence à 16H avec l'initiation au krump, puis s’enchaîne avec les battles de danse. Un nouveau DJ set viendra clore la block party.

Faire vivre le quartier Palente

Ce type d'événement est nouveau dans le quartier Palente, excentré du centre-ville bisontin. « Palente est un quartier où il se passe peu de choses. On a vraiment envie de faire bouger les jeunes. De leur montrer que dans leur quartier il peut se passer de belles choses », explique Clémentine Dagousset, co-créatrice de l'association et originaire du quartier. L'association Movo, crée en 2016, espère pouvoir répéter ce type d'événement dans le futur. « Cette année on s'est concentré sur le basket et les danses de rue, mais on aimerait également pouvoir proposer des activités autour de la culture hip-hop et d'autres sports », rajoute Clémentine Dagousset. L'association, en partenariat avec le BesAC et des danseurs spécialisés, est soutenue par les pouvoirs publics dans ce projet. « On est très content d'avoir obtenu le soutien de la ville de Besançon, du Grand Besançon Métropole et de la région Bourgogne-Franche Comté. Grâce à ces partenaires, que nous remercions, nous sommes en mesure de proposer un événement totalement gratuit », conclut Clémentine Dagousset.

L'interview de la rédaction / Clémentine Dagousset

Ce jeudi après-midi, le CHU Minjoz de Besançon lançait sa campagne de recrutement. Une centaine de postes, principalement de soignants, sont à pourvoir au sein de l’établissement. Néanmoins, d’autres métiers sont concernés. Pour postuler, rien de plus simple, il suffit de s’inscrire sur le site internet dédié à cette démarche et d’y déposer sa lettre de motivation et son  curriculum vitae.

Pour l’hôpital bisontin, l’urgence est de mise. Ce manque de personnel se traduit par la fermeture d’une centaine de lits. Emmanuel Luigi, le directeur général du CHU Minjoz, ne cache pas son inquiétude pour l’avenir et  la prise en charge à venir des patients durant cette période estivale.  Dans ces conditions, on cherche l’efficacité et on tente de nouvelles formes d’actions pour convaincre le plus grand nombre à venir renforcer les équipes de l’hôpital public.

Devenir indispensable

Les professionnels diplômés ou répondant aux compétences souhaités sont invités à déposer leur candidature en ligne. Baptisée « devenir indispensable », cette campagne de recrutement donne la parole à des patients de l’établissement qui évoquent leur séjour à l’hôpital, le professionnalisme du personnel et son altruisme. Chaque semaine, une vidéo sera mise en ligne. Elle saura interpeller celles et ceux qui ont envie de s’engager aux côtés des personnes en souffrance.

Une augmentation des demandes de disponibilité

Comme le rappelle M. Luigi, ce n’est pas la première fois que l’hôpital connaît de telles difficultés. Selon lui, les raisons sont multiples. Il évoque notamment la crise du covid-19, mais également les départs naturels, et notamment les demandes de disponibilité. La direction de l’hôpital cherche à comprendre d’où provient ce choix. S’il provient notamment de la lassitude, « des réponses devront être apportées » conclut M. Luigi.

La grande boucle passera dans le Jura pour la 10ème fois en 20 ans ce samedi. Pour tous les jurassiens, c’est l’occasion d’assister à un des évènements sportifs les plus suivis dans le monde mais surtout, pour la région, ce passage permet des retombées économiques importantes. Que ce soit dans les restaurants, commerces, hôtels ou campings, les bénéfices du Tour ne sont plus à démontrer. Pour prendre la température de ces bienfaits, la rédaction est allée à travers tout le Jura rencontrer des acteurs qui observent ces retombées directement. 

camping sous doriat

Les retombées économiques du passage du Tour s'observent à travers tout le Jura et notamment au camping Jura Sous Doriat, à 10km de Champagnole

Une opportunité mais aussi une contrainte

“Nous sommes très heureux de voir le tour passer dans notre jolie petite ville” déclare Yves le Coq, adjoint à la mairie d’Arbois en charge de la culture, de l'environnement, de la communication et de l’attractivité de la commune. Il sait pertinemment que les spectateurs qui viendront samedi observer les coureurs passer dans la ville du triangle d’or “viennent d’un peu partout, ce ne sont pas que des arboisiens”. Cependant, bien qu’au niveau des réservations de certains campings et hôtels, les bénéfices du Tour s’observent, monsieur le Coq appuie aussi sur le fait que ce passage n’a pas que des points positifs. En effet, il affirme par exemple que certains commerçants se plaignent de devoir fermer le jour du passage. Aussi, il rappelle qu’au niveau de la voirie avec un blocage de la circulation “de 10h à 15h dans la ville”, la grande boucle mobilise de très nombreux acteurs de la municipalité. Une mobilisation pour “un passage de seulement 7 minutes, de 13h44 à 13h51” samedi. D’autant que “les coureurs passent très vite”, l’adjoint à la mairie rappelle donc que cette venue est à double tranchant. Cependant, pour pondérer son constat, il se dit grandement satisfait qu’Arbois soit représentée à l’internationale dans le 3ème évènement sportif le plus suivi dans le monde, après la coupe du monde de football et les Jeux Olympiques. 

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Yves le Coq, adjoint à la mairie d'Arbois en charge de la culture, de l'environnement, de la communication et de l'attractivité de la commune

Un passage qui peut lancer la saison touristique estivale plus tôt 

En dehors des municipalités, les établissements touristiques profitent grandement de ce passage avec peut-être moins de contraintes. Rémi Tournier, gérant du camping Jura Sous Doriat, près de Champagnole, analyse ces retombées sur son niveau de réservation. “En général, les gens viennent juste avant le tour, donc dans deux jours, les vacanciers arriveront”. Alors que la saison débute traditionnellement “aux alentours du 14 juillet”, ce passage permet donc peut-être une venue prématurée des touristes. Des touristes qui viennent chercher en général “la verdure, les paysages de notre département". Cette année, Rémi observe particulièrement une augmentation des touristes étrangers : “les anglais sont revenus et les hollandais, eux, même en période covid, c’est une clientèle qui n’a pas baissé”. Pour le moment, “les réservations sont à bon niveau” ce qui augure une belle saison touristique pour Rémi et pour tous les campings de la région. 

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Rémi Tournier, gérant du camping Jura Sous Doriat

Le passage du tour de France est toujours un évènement. Par ce tour d’horizon, on voit que parfois les visions sur les réelles conséquences de ce passage sont contrastées. Quoi qu’il en soit, samedi, les touristes mais aussi les locaux auront l’occasion de participer à une belle fête sportive tout le long du Jura, de Dole jusqu’aux Rousses.  

 

L'interview de la rédaction / Yves le Coq et Rémi Tournier  

A l’occasion du Tour de France, l’artiste Pierre Duc est en train de réaliser une nouvelle œuvre de Land Art, sa cinquantième environ, aux alentours d’Arbois vers le Super U. Cette œuvre représentera Pasteur à l’occasion de son bicentenaire. Le travail débuté dans un champ depuis un peu plus d’une semaine est sans répit et est assuré aussi par de nombreux bénévoles présents. Nous sommes allés rencontrer ces bénévoles ainsi que l’artiste en plein travail directement dans le champ, quelques jours avant le passage des coureurs samedi.  

pierre duc travaux

Le travail consiste en la tonte de certaines parties de gazons et la disposition de miscanthus et de sciures de bois de différentes couleurs

Un projet qui mobilise des dizaines de bénévoles tous les jours

Pierre Duc dirige le projet. C’est lui qui a tracé le dessin et qui a commencé a travaillé avec un géomètre le lundi 27 juin pour définir ce dessin sur l’immense champ à l’aide de drapeaux. Cependant, de nombreux bénévoles participent également à la construction de cette œuvre. Des bénévoles amis de l’artiste mais aussi des individus en réinsertion grâce à l’association Tempo. Tous ces bénévoles travaillent de “8h30 à 17h tous les jours", nous confie la salariée de l’association Alita Gros. Même si la plupart n’ont jamais travaillé la terre ainsi, tous se disent très heureux de participer à cette expérience. Alita Gros se sent même "honorée" de contribuer à cette énergie créatrice. Pierre Duc, quant à lui, habitué du procédé, se dit satisfait des conditions météorologiques qui “en dehors de quelques jours de pluie les ont laissé tranquille”.

 

pierre duc drapeaux

Les plus de 1000 drapeaux disposés à l'intérieur du champ de 3 hectares

Après le tracé global, place à la précision

L’artiste jurassien travaille à présent sur les détails jusqu’à samedi. En effet, il nous confie que "même avec des géomètres de grande qualité, les décalages de 10 ou 15 cm sur les drapeaux se voient”. Pierre Duc déclare en rigolant : “j’ai l'habitude, ça se fait bien, ce qui est le plus difficile en réalité ce sont les poils parce qu’on ne rase pas Pasteur”. Grâce à un drône qui vient tous les soirs filmer l'évolution de l'œuvre, l’artiste peut donc préciser les détails et notamment les yeux qui "nécessitent une grande précision”. Alita Gros, bénévole sur le projet depuis le début, nous parle des conditions de travail un peu particulières : “on travaille toute la journée au sol et finalement c'est seulement le lendemain qu’on peut connaître le résultat”. “On est sur de l'infiniment grand au sol pour un résultat qui rend très petit dans les airs”.

pierre duc yeux

Pierre Duc nous montre le dessin des yeux de Louis Pasteur, si difficiles à reproduire sur l'immense champ arboisien

 

L’aboutissement final de ce projet sera enfin visible pour tous les téléspectateurs de France Télévisions samedi peu avant 14h. D’ici là, les bénévoles et Pierre Duc continuent leur travail acharné avec l’espoir d’un résultat grandiose. 

 

L'interview de la rédaction / Pierre Duc et Alita Gros  

Annoncés la semaine dernière, les résultats du BAC en Franche-Comté pour les lycées généraux se sont trouvés en baisse par rapport à l’année dernière. 91,5% des francs-comtois ont obtenu leur diplôme dès la première session. Pour le lycée Victor Considerant en revanche, ce taux de réussite se porte à 98%, dans la lignée des bons résultats des dernières années. 

Un lycée à taille humaine

La CPE du lycée, Mme Richard, arbore un grand sourire au moment de nous donner les résultats précis de son établissement : “85 élèves sur 87 ont obtenu leur bac dès la première session”. Avec 10 mentions très bien et un élève qui frôle les félicitations du jury avec une moyenne de 17,5, le lycée Victor Considerant peut être fier du travail des élèves et de son équipe. En dehors de l'accompagnement de l'équipe enseignante et administrative, Maryline Richard nous confie que les ingrédients de cette réussite se trouvent aussi dans la taille réduite de l'établissement. “On accueille 250 à 300 élèves chaque année, c’est sûr que ça permet un accompagnement plus personnalisé, on est là pour les élèves pour parler autant de leurs problèmes scolaires que personnels".

Un accompagnement continu

Après la période compliquée socialement pour les élèves avec les confinements successifs, cette réussite est d’autant plus significative. Mme la CPE le rappelle : “ce sont des élèves qui ont vécu deux années de seconde et de première anormales”. De plus, avec la réforme du Baccalauréat, les équipes du lycée ont dû s'adapter pour faire face à cette nouvelle formule. Celle-ci "occasionne un stress différent, échelonné sur la durée et non sur une semaine”, selon Mme Richard, qui nécessite forcément un accompagnement différent. Un accompagnement qui n’en finit pas et qui est encore présent cette semaine, au moment des rattrapages, pour les deux derniers élèves passant les épreuves de deuxième session aujourd’hui et vendredi.

Demain, les résultats définitifs seront donc enfin disponibles et on pourra savoir si le lycée de Salins-les-Bains réalise le résultat parfait avec 100% de réussite pour ses élèves de terminale : “les deux élèves ont pu choisir et travailler les matières spécifiques avec leurs professeurs, on a confiance” conclut Mme Richard. 

 

L'interview de la rédaction / Maryline Richard     

Publié dans Actualités

Plus de six mois après le premier appel, l’Etablissement français du sang lance une deuxième fois le protocole d’urgence maximale pour prévenir sur une situation qui pourrait s’avérer catastrophique. 

Un Été compliqué

“L’été est toujours une période difficile” selon Christophe Barisien, médecin coordinateur des activités de prélèvement à l’EFS Bourgogne Franche-Comté. En effet, les donneurs sont moins disponibles en raison des congés, des départs en vacances et l’on assiste en même temps à un manque de personnel pour organiser la collecte à cause de ces mêmes congés. Ainsi, pour aborder la saison estivale, un stock important de poches de sang doit toujours être prêt. Le stock habituel se situe autour de 110 000 poches nationalement. Aujourd'hui, celui-ci est plutôt de 90 000 poches et la journée mondiale du don du sang n’a pas permis de réhausser les stocks. En effet, cette journée qui est en réalité une semaine, cette année démarrée le 14 juin, est placée judicieusement. Cependant, même si la mobilisation cette année a été importante avec plus de 1 400 dons sur ces séances particulières, le docteur Barisien nous confie que “les records n’ont pas été explosés”. 

Une mobilisation immédiate nécessaire

Sans ces records de dons, les stocks n’ont pû être rehaussés et ainsi la mobilisation des citoyens dans les prochaines semaines est absolument indispensable. Christophe Barisien nous rappelle la procédure à suivre : “on doit être âgé de 18 à 71 ans, présenter un document d’identité et être en relative bonne santé”. Toutes les personnes présentant des pathologies infectieuses, comme le Covid, sont par exemple exclues. Selon le médecin coordinateur, ces critères, même dans une situation exceptionnelle, ne peuvent être modifiés. “Ce sont des critères de sélection définis par un arrêté ministériel, ils sont là pour la sécurité à la fois des donneurs et des receveurs". 

Ces prochaines semaines, la mobilisation des francs-comtois sera donc décisive et on appelle tous nos lecteurs à aller donner leur sang s’ils sont en capacité. Tous les sites de collecte, très nombreux avec des sites exceptionnels sur les lieux de vacances, sont disponibles sur le site de l’EFS : https://dondesang.efs.sante.fr/ et sur l'application mobile.

 

L'interview de la rédaction / Christophe Barisien    

La Grande Saline de Salins-les-Bains vient d'annoncer sa programmation pour l'été. Chaque mardi soir entre juillet et août, concerts, déambulations et expositions viendront divertir les visiteurs.

 

Les programmes estivaux de la Grande Saline de Salins-les-Bains sont de retour. Cette année, les visiteurs auront le choix, chaque mardi soir sur réservation, entre un concert avec des artistes locaux ou une exposition nommé ''Couleurs dans la Saline''. Cette dernière est une visite thématique spécifique sur la partie des puits de la Grande Saline, dans un cadre tamisé et coloré. « C'est l'occasion de découvrir la longue histoire de ce site dans l'allure d'un autre temps », décrit Frédéric Cretin, en charge de la programmation culturelle de la Grande Saline. Mais au-delà de ces événements estivaux spécifiques, la Grande Saline restera ouverte chaque jour pour tous ceux qui souhaitent la visiter. « Nous sommes ouverts tous les jours. Jours fériés et dimanche compris, de 9h30 à 19h30, pour proposer des visites guidées », explique Frédéric Cretin.

Retrouver le public après deux années compliquées

C'est également l'occasion pour la Grande Saline de se rouvrir intégralement à son public, après deux dernières saisons estivales passées sous la crise sanitaire. « On essaie de se diversifier chaque été et de proposer des choses différentes à chaque fois pour séduire le public. Cela marche plutôt bien. Les deux dernières saisons estivales ont été chargées en termes de visites », rajoute Frédéric Crétin. Cet été devrait sans aucun doute suivre l'exemple des précédents. Pour toute réservation, les intéressés sont invités à contacter la Grande Saline par téléphone au 03.84.73.10.92 ou par mail à l'adresse : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..

L'interview de la rédaction / frédéric Cretin

Dernièrement, s’est tenue la deuxième signature de la convention PAQTE (le Pacte avec les Quartiers pour toutes les entreprises) à Besançon. 24 chefs d’entreprise étaient sur place pour cette cérémonie. Le dispositif a pour but de favoriser l’inclusion des jeunes issus des quartiers dans le monde professionnel. 

Un peu plus d’une vingtaine de chefs d’entreprises étaient présents à l’hôtel de Ville de Besançon pour signer le “PAQTE avec les quartiers pour toutes les entreprises”. Cette réunion s’est tenue en présence de la maire Anne Vignot et du préfet Jean-François Colombet. Elle avait pour but de favoriser l’insertion des jeunes des quartiers dans le monde professionnel. Divers contrats sont proposés, alternance, CDD, CDI... Moins d’un an après le lancement du PAQTE dans la région, une cinquantaine d’entreprises se sont mobilisés dans le Grand Besançon Métropole. Qualifiée “d’opération fraternité” par le représentant de l’état, le dispositif a déjà réuni plus de 100 entreprises au niveau national. 

Créer le contact entre les jeunes et les entreprises

Ce deuxième rendez-vous avait aussi pour objectif d’inciter les entreprises hésitantes à rejoindre le dispositif. Le préfet insiste sur l’importance du PAQTE “Il y a des jeunes qui sont en recherche d’emploi et de l’autre côté il y a des entreprises qui sont demandeuses, ce n’est pas normal”. L’engouement autour du projet ne peut qu’amplifier l’effort d’inclusion envers les jeunes issus des quartiers de la ville. Initié en 2018 au niveau national, le PAQTE sensibiliseet forme les entreprises pour lutter contre l’isolement et la discrimination. 

Après 3 ans d’absence, la coupe du monde de combiné nordique de Chaux-Neuve revient battre son plein les 21 et 22 janvier prochains. Côté Jura, après une annulation de dernière minute dans un contexte Covid difficile, la coupe du monde de ski de fond de la Station des Rousses se déroulera le week-end suivant du 27 au 29 janvier 2023. De quoi garantir une semaine du nordique au cœur des Montagnes du Jura avec l’élite mondiale du ski de fond et du combiné.

Publié dans Actualités, A la une, Sport
Cette édition 2022 du Marché de Noël proposera une toute nouvelle formule, mêlant tradition et évolution. Une nouvelle implantation, de nouvelles décorations et de nouvelles animations seront à découvrir dès décembre  prochain. Le Père Noël sera aussi présent au cœur d'une grande parade.

Installé avec succès place d'Arçon et rue de la République, depuis plus d'une dizaine d’année, le marché de Noël connaîtra en 2022 une nouvelle dynamique. Le Père Noël ne descendra pas du clocher de l'église Saint Bénigne cette année, mais il arpentera les rues du centre-ville, fièrement installé sur son char, au cœur d'une parade de Noël féérique et musicale qui émerveillera petits et grands. Il rejoindra ainsi une toute nouvelle maison du Père Noël revisitée, au sein du village traditionnel de Noël sur la place Saint Bénigne. Il sera au rendez-vous tous les week-ends et les mercredis pour écouter les vœux de chacun ou prendre la pose dans son studio photo.

 

Désormais, le marché se déploiera sur trois sites distincts mais complémentaires :

 

1. Place Saint Pierre, marché de quartier animé par les commerçants de la place

2. Village féérique et traditionnel autour de l’église St Bénigne, en cœur de ville. Une majorité de chalet sera déplacé sur la place St Bénigne afin de créer le village féérique de Noël dans un cadre exceptionnel. Pour renforcer cette ambiance de somptueuses nouvelles décorations pourront être admirées.

3. Enfin, le pôle de glisse ludique et convivial sur la place d’Arçon. Vous y retrouverez la patinoire, quelques chalets de restauration. La patinoire se dotera d’une nouvelle animation avec la possibilité de jouer au curling sur certains créneaux.