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Le centre Diocésain accueille l’exposition-vente « KAMOUFLAGE ART Â» jusqu’au 18 février prochain, regroupant une cinquantaine d’œuvres de l’artiste ukrainien Andriy Naboka. Parmi ces créations, on y retrouve deux thématiques distinctes : des peintures à l’huile et des compositions plus récentes basées sur le tissage de filet de camouflage.

peinture ukraine

C’est avec une autorisation de sortie exceptionnelle d’une durée de trois semaines qu’Andriy Naboka apporte son soutien à son pays natal, l’Ukraine, au travers de ses peintures exposées au centre Diocésain à Besançon. Conjointement organisée avec les associations « Les convois solidaires Â» et « UKRaide Â», l’événement vise à retracer le conflit Russo-ukrainien en faisant usage d’une toute nouvelle technique artistique issue de l’inspiration du contexte actuel. Avec des réalisations faites de chutes de tissus ne pouvant plus servir à la réalisation des filets de combat, l’artiste nous fait découvrir un art nouveau.

 

L’art, une arme de combat pour Andriy Naboka

Douleur, souffrance, amour… Exprimer son art est devenu sa manière de combattre. Ses Å“uvres deviennent des témoignages qui retracent ses émotions ainsi que celle du peuple ukrainien face aux horreurs de la guerre. Une triste inspiration qui devient alors la priorité de l’artiste. L’invasion de l’Ukraine par la Russie marque un tournant majeur dans la vie et dans les travaux de l’artiste. L’assemblage de fragments de tissus devient désormais sa marque de fabrique et remplace les peintures à l’huile. Une technique imaginé lors de ses actions de bénévolat dans la confection de filets de camouflage pour soutenir son pays.   Parmi cette collection symbolique on retrouve un côté avec des peintures à l’huile imaginées lors des jours heureux et paisibles retraçant les paysages de l’Ukraine mais également les créations confectionnées récemment.

NEW EXPO PEINTURE UKRAINE UKRAINE

 

Info complémentaire : L’artiste met à disposition un large choix de créations émouvantes et parlantes à la vente dont les fonds seront reversés dans son intégralité à l’Ukraine.

L'interview de la rédaction : Sophie, bénévole à l’association « Ukraide Â».

En cette nouvelle journée de mobilisation nationale des syndicats contre la réforme des retraites, les élus communistes bisontins affirment qu’ils seront dans la rue ce mardi. Ils se mobilisent face « Ã  une réforme qui attaque frontalement les travailleurs et travailleuses du pays Â» indiquent-ils dans un communiqué de presse. Les élus communistes revendiquent une autre réforme « qui fasse de la retraite autre chose que l’antichambre de la mort en prenant en compte la pénibilité et en permettant à toutes et tous de partir à 60 ans en retraite Â». Ils déplorent aussi le souhait de la première ministre d’augmenter les cotisations des employeurs publics, alors qu’elle refuse toute discussion sur les cotisations des entreprises.

Suite à la disparition de l’actrice Mylène Demongeot, autrice et productrice française, le Centre de Ressources Iconographiques pour le Cinéma des Amis du Musée a souhaité lui rendre hommage à travers une exposition d’affiche de ses films. Celle-ci se déroulera dans le hall de l’hôtel de Ville de Pontarlier du 1 au 25 février.

Il y a du football ce mardi soir. Dans le cadre de la 21è journée de Ligue 2, le FC Sochaux Montbéliard (3è) reçoit Valenciennes (12è). Le coup d’envoi sera donné à 20h45. Rappelons que le FCSM reste sur une victoire à l’arraché ce week-end face à l’AS Saint-Etienne. Les hommes d’Olivier Guégan se sont imposés sur le score de 3 buts à 2 au stade Geoffroy Guichard.

Les jeunes fondeurs de la région s’y préparent. Elle avait été reportée au début du mois. Finalement, la Transju’Jeunes aura bien lieu ce mercredi 1er février aux Rousses. 2000 jeunes, âgés de 7 à 19 ans, sont attendus dans le Jura et participeront aux courses de 1 à 6 kilomètres.  On notera la présence de Célia Aymonier, médaillée aux championnats du monde de ski de fond et d’Anouk Faivre Picon pour donner le coup d’envoi de ces différentes épreuves  en style libre.

Nouvelle journée de mobilisation contre la réforme des retraites ce mardi. Plus d’un million de personnes sont descendues dans la rue le 19 janvier. Dans les rangs des syndicats, on espère faire aussi bien qu’il y a une dizaine de jours. Elisabeth Borne, la Première Ministre, a annoncé que l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans « n’est plus négociable Â». Des perturbations sont à prévoir dans les administrations, dans les transports et à l’Education nationale.

Ce matin, à 4h, l’intersyndicale des territoriaux appelait au blocage du Centre Technique Municipal à Besançon. D’autres actions sont prévues tout au long de cette journée en France et dans la région. Plus de 200 rassemblements sont prévus dans l’Hexagone ce jour.

Une femme de 20 ans a perdu la vie hier soir à Besançon. Son corps a été retrouvé en arrêt cardiorespiratoire dans le Doubs, après s’être jetée du Pont Charles de Gaulle. Une équipe de plongeurs des sapeurs-pompiers s’est rendue sur place. Après une longue tentative de réanimation, la jeune victime a été déclarée décédée par le médecin sur place.  

Dans le cadre de la première conférence de la vie étudiante, qui se tenait à Dijon ce lundi après-midi, Nathalie Albert Moretti, la rectrice de la région académique Bourgogne-Franche-Comté et ses partenaires ( le CROUS, la Région et la fédération des associations étudiantes de Franche-Comté) ont présenté un premier diagnostic territorial, issu des résultats d’une enquête menée auprès des étudiants de Bourgogne-Franche-Comté cet automne.  Une première démarche dans la rédaction du schéma territorial de la vie étudiante. Cette enquête s’inscrit dans une série d’actions, dont l’objectif est de répondre aux besoins des étudiants.

« Cette démarche de concertation inédite Â» s’appuie sur une enquête, à laquelle près de 12.000 étudiants bourguignons et francs-comtois ont participé, des rencontres avec les collectivités locales, les représentants de la vie étudiante et les établissements d’enseignement supérieur.

Les grandes lignes de l’enquête

Les jeunes bourguignons et francs-comtois affirment être en bonne santé physique Â» à 95%. Ils se disent, à 60%, épanouis dans leurs études. Selon cette même étude un étudiant sur deux travaille, dont 25% par nécessité. Ils sont un tiers au niveau national. Parmi les autres enseignements, on apprend que la marche à pied arrive en tête des moyens de déplacement des jeunes. Les transports en commun et la voiture apparaissent en deuxième et troisième position. Ils ne sont que 10% à faire appel au covoiturage. Enfin, un tiers des étudiants bourguignons et francs-comtois souhaitent travailler dans la région où ils suivent leurs études. Plus ils progressent dans leur formation, plus cette tendance se renforce. Elle atteint 50% en 3è année de licence.

Mercredi dernier, alors qu’ils perquisitionnaient un appartement situé au 6 rue de Savoie, dans le quartier de Planoise, les policiers bisontins retrouvaient une kalachnikov, des munitions, de la drogue et du matériel servant à conditionner des stupéfiants. Un homme de 41 ans, originaire de Saint-Étienne, condamné 25 fois, notamment pour trafic de drogue, extorsion et proxénétisme avait été placé en garde à vue, alors qu'il rôdait à proximité de l'appartement. Etienne Manteaux avait fait état d'une "accélération importante" de l'enquête, notamment grâce aux images des caméras de vidéosurveillance. Depuis, un deuxième homme a été interpellé par la police. Il s’agirait du locataire de l'appartement. Ce dernier a aussi été mis en examen pour tentative de meurtre en bande organisée et association de malfaiteurs en lien avec un trafic de stupéfiants. Les deux hommes ont été placés en détention provisoire dans l'attente de leur procès.

A compter du 8 février prochain, et jusqu’au 19 février, l’équipe de France de biathlon et Quentin Fillon Maillet disputeront les championnats du Monde de la discipline à Oberhof, en Allemagne. Il reste une semaine au champion jurassien pour préparer au mieux la compétition qui arrive. Déçu pour son début de saison, après un hiver 2022 du tonnerre, Quentin Fillon Maillet veut se mettre dans les meilleures conditions possibles pour performer.

 

Après une semaine passée auprès des siens, il s’apprête à s’envoler, avec le groupe France,  en Autriche pour une semaine intense d’entraînement.  Ces derniers résultats à Antholz-Anterselva l’ont rassurés, mais le bilan comptable – celui qu’il  s’est fixé cet été, est loin d’être atteint. « J’ai beaucoup appris de ce début de saison. J’ai compris certaines choses sur l’après Jeux Olympiques. Ça me fera beaucoup progresser pour la suite Â» explique Quentin. Et de compléter : « Je suis peut-être trop parti dans le standard de l’année passée, alors que  j’ai besoin de nouveautés et de changement pour continuer à évoluer. C’est ma façon de fonctionner Â».

Un sacre à Oberhof ne suffira pas à satisfaire complétement Quentin Fillon Maillet, qui entend  néanmoins « ne rien lâcher Â» dans la deuxième partie de saison à venir. «  Je ne lâcherai  pas l’affaire Â» prévient-il. Le champion, qui a plus que jamais les yeux rivés sur les prochains JO de Milan, en 2026, sera complètement  rassuré lorsqu’il parviendra à définir le mieux possible  ses difficultés du moment. « Il est important de se poser ces questions pour optimiser les trois prochaines années, jusqu’aux prochaines olympiades Â» narre-t-il. Le biathlète sait qu’il n’aura sans doute pas toutes les réponses, mais il a conscience que cette introspection est nécessaire pour la suite de sa palpitante et si riche carrière sportive.