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Trois nouveaux parkings de covoiturage viennent d’être aménagés sur les communes de Chemaudin-et-Vaux, Marchaux-Chaudefontaine et Miserey-Salines. Chaque parking a une capacité de 49 places (47 à Chemaudin-et-Vaux), dont une place réservée aux personnes à mobilité réduite. Il comporte également un abri et un banc pour plus de confort. Réalisées sous maîtrise d’ouvrage Grand Besançon Métropole, ces trois infrastructures sont financées par APRR dans le cadre de son plan d’investissement autoroutier 2018-2022. La communauté urbaine du Grand Besançon en assure l’exploitation et l’entretien.

Ces trois infrastructures complètent l’offre existante sur le territoire du Grand Besançon. L’aire de Morre-La Vèze va s’étendre, passant de 34 places à une capacité de 49 places avant la fin de l’année, en raison d'une forte demande. A cela s’ajoute le parking de covoiturage de la rue de Vesoul à Besançon et celui du pôle d’échanges multimodal de Saint-Vit.

Début 2023, de nouvelles infrastructures sont prévues : une aire de covoiturage route de Franois sur le parking de l’Institut de formation des professions de santé (IFPS) et un parking de covoiturage sur la RN 83 à proximité des communes de Busy et de Larnod. Un autre verra le jour à l’occasion de la réalisation du pôle d’échanges multimodal en projet à Saône (2024)

Ce jeudi 10 novembre, dans la cadre de la journée nationale de lutte contre le harcèlement scolaire, le collège Victor Hugo à Besançon organisait une fresque humaine, composée des 1000 élèves de la 6è à la 3è de l’établissement scolaire, l’équipe éducative   et quelques parents. L’objectif est de sensibiliser ces jeunes à ce fléau, que les réseaux sociaux sont venus aggraver.

Cette action s’inscrivait dans le cadre du pHARe, un programme de lutte contre le harcèlement scolaire à l’école. Un dispositif piloté par Olivia Guyon, la principale adjointe du collège bisontin. A l’initiative de cette opération collective, qui en appellera d’autres, Fanny Lonchampt, professeur de mathématiques. Pour l’occasion, élèves et adultes ont été invités à porter un vêtement de couleur verte. Regroupés par classe,  ils se sont rendus dans la cour principale pour former les lettres qui composent un message de prévention. « Non au harcèlement au collège Victor Hugo Â» est alors apparu. De leur côté les adultes ont diffusé les deux numéros de téléphone de la plateforme ( 3020 et 3018), mise en place pour lutter contre le harcèlement des jeunes.

L'interview Mme Lonchampt

 

harcelement scolaire victor hugo

Améliorer le climat scolaire

Au collège Victor Hugo, l’amélioration du climat scolaire est une grande cause. Cette thématique s’inscrit dans le projet d’établissement et se décline à tous les niveaux. En fonction de leur âge, les collégiens bénéficient  d’actions éducatives qui promeuvent cette valeur. Ces savoir-être et savoir-faire sont déclinés par des enseignants formés à ces approches pédagogiques et des intervenants. On notera par exemple la participation d’un juriste, dont la mission est de communiquer sur les valeurs de citoyenneté et la place qu’occupe chaque jeune dans la société. A travers les temps mis en place et l’implication des adolescents et des familles, la direction entend faire évoluer les mentalités et sensibiliser tout un chacun sur ces faits de société. Prochainement, une évaluation sera effectuée à l’échelle du collège pour apprécier la pertinence des actions menées et les résultats obtenus.

Interview Mme Guyon

Ce vendredi, on célèbre le 104è anniversaire de l’Armistice du 11 novembre 1918. De nombreux rassemblements se tiendront dans la région. A Pontarlier, le rendez-vous est fixé à 11h au Monument aux Morts de l’Hôtel de Ville. Le cortège se rendra ensuite au Monument aux Martyrs de la déportation et au Monument aux Morts du cimetière. On notera la présence d’une section du 13ème Régiment de Génie de Valdahon. A Besançon, le rendez-vous est donné  Ã  11h au Mémorial du Souvenir de l’esplanade des Glacis.

La fin des vacances de la Toussaint a donné des envies de neige et d’évasion aux locaux et touristes, bien désireux de profiter du bon air du Haut-Doubs et de ses espaces verts et blancs. Depuis quelques jours, les téléphones ne cessent de sonner dans les différents bureaux des offices de tourisme. Certes, pour l’heure, on vient plutôt chercher des informations, mais les réservations sont en cours également.

Le contexte économique

Difficile d’y passer à côté. Les interrogations portant sur les tarifs pratiqués ou encore l’approvisionnement en essence sont au rendez-vous. Mais sur ces points, les hôtesses sont plutôt confiantes. Les tarifs restent quasiment inchangés et les difficultés pour s’approvisionner en carburant ne sont plus qu’un mauvais souvenir sur le secteur.

Un territoire aux multiples atouts

« Les signes sont au vert Â» explique Cyrielle Viey,  responsable communication de l’office de tourisme du Haut-Doubs. Les hébergements se remplissent régulièrement et les écoles de ski prennent leurs premières réservations. Comme chaque saison à Noël, c’est surtout lors de la 2è semaine de vacances que les touristes et vacanciers seront les plus nombreux. Si la présence de l’or blanc n’est pas la priorité en cette période, elle l’est beaucoup plus en février. C’est la raison pour laquelle tout le monde espère que les prairies du Massif du Jura seront blanches pour accueillir les premiers visiteurs des prochaines vacances d’hiver. Dans le Haut-Doubs, les élus ont anticipé ces conditions incertaines en déclinant une politique tournée vers un tourisme quatre saisons. Le territoire a de toute façon, toute une gamme d’activités à faire valoir.  Luge quatre saisons, randonnées, visites, gastronomie, … séduisent chaque année.

A quand le début de saison ?

Les dates sont d’ores et déjà fixées. Si la neige est au rendez-vous, la station de Métabief devrait ouvrir ses pistes dès le 1er  week-end du mois de décembre, les 3 et 4 décembre. Concernant le ski nordique, le lancement de la saison peut s’effectuer beaucoup plus vite. Lorsque la quantité de neige sera suffisante, les fondeurs pourront rapidement renouer avec les joies de la glisse.

L'interview de la rédaction / Cyrielle Viey, responsable communication de l’office de tourisme du Haut-Doubs.

 

Mardi soir, vers 22h30, un homme de 22 ans a été interpellé rue de la Butte à Besançon. Dans son véhicule, les policiers ont découvert 1070 euros, 40 grammes d’herbe de cannabis, 36 grammes de cannabis et 2 grammes de cocaïne. Lors de la perquisition de son domicile, les policiers ont saisi 1,5 gramme de cannabis et 100 grammes d’herbe de cannabis.

Il a expliqué aux enquêteurs qu’il était livreur de stupéfiants depuis deux semaines,  suite à une embauche sur le réseau social Telegram. Cette activité était plutôt lucrative puisqu’elle lui permettait de gagner entre 100 et 150 euros par jour pour des ventes quotidiennes estimées entre 500 et 1200 euros. Il s’expliquera en mars prochain devant la justice.

Une femme de 45 ans a été placée en garde à vue à Besançon. Mardi soir, elle aurait agressé une autre personne. Le litige porterait sur la vente d’une voiture. La victime a transmis aux policiers la description de la mise en cause. Cette dernière a été interpellée avenue Île de France. Elle était alcoolisée et n’était pas titulaire du permis de conduire.

Après vérification, son taux d’alcoolémie était de 1,16 gramme par litre de sang. Au cours de son audition, elle a nié les faits de violences, mais a reconnu, difficile de faire autrement, sa conduite en voiture. Précisons que deux jours d’ITT ont été prescrits à la victime.

A l’appel de la CGT, une journée de grève, portant sur les salaires, est organisée ce jeudi partout en France. Plusieurs rassemblements sont prévus dans la région. Des perturbations sont à prévoir dans de nombreux services et administrations. Les transports ne sont pas épargnés. En Franche-Comté, prévoyez la circulation de 4 TER sur 5. Le trafic sera normal pour les TGV et les Intercités desservant notre territoire. « Les circulations seront normales le vendredi 11 novembre ainsi que le weekend du 12 et 13 novembre Â» annonce la SNCF. Pour obtenir de plus amples informations, vous pouvez vous rendre sur le site www.ter.sncf.com ou 03.80.11.29.29.

Ce mercredi après-midi, les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus dans un centre de tri et de revalorisation à Quingey, dans la zone artisanale La Blanchotte. Deux personnes, un homme de 20 ans et une femme de 37 ans,  ont été légèrement intoxiqués en testant une machine destinée à une blanchisserie. Ils ont été transportés sur le centre hospitalier Jean Minjoz à Besançon.