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Un accident de bûcheronnage s’est produit hier à Pouligney-Lusans. La victime a reçu un arbre sur les jambes. Elle a été transportée médicalisée sur le centre hospitalier Jean Minjoz par Dragon 25.

Un accident s’est produit hier soir à Besançon, boulevard Fleming. Les sapeurs-pompiers ont porté secours à une femme de 20 ans, piégée dans sa voiture. La victime a été prise en charge par les sapeurs-pompiers  et transportée sur l’hôpital Minjoz.

Le Secours Catholique vient de rendre publique son traditionnel baromètre sur l’état de la pauvreté en France en 2022. Il en ressort une nouvelle fois encore que la précarité s’aggrave et que les crises successives actuelles et à venir, liées à l’énergie et à l’inflation, vont encore aggraver une situation déjà bien compliquée. Le Covid est également passé par là. Les aides de l’état ont permis d’accompagner au mieux les plus démunis durant cette période, mais la fin de ces dispositifs replonge ces publics dans les méandres de la pauvreté.

En 2022, en Franche-Comté, le secours catholique et ses 1000 bénévoles ont rencontré 15.000 personnes. Nombreuses sont les familles dans la plus grande des détresses. Elles représentent près de 50% du public accompagné. 25% sont des mères isolées et 21% sont des couples avec enfants. Pour ces hommes et ces femmes, le quotidien est des plus difficiles. Plus de la moitié (69%) vivent avec 548 euros par mois, pour le ménage. Soit la moitié du seuil de pauvreté qui s’établit à 1.132 euros. Pour des raisons multiples, mais aussi par dignité, beaucoup de ces personnes préfèrent ne pas faire les démarches nécessaires pour obtenir les aides qui pourraient améliorer le quotidien, qu’il s’agisse du RSA ou des allocations familiales. Ce taux de non-recours interroge le monde associatif. Il est deux fois plus élevé dans la population étrangère

Le reste à vivre

C’est un indicateur fort qui prouve, une nouvelle fois encore, la véritable précarité dans laquelle se trouvent ces personnes. Les dépenses pré-engagées, celles qui correspondent aux impondérables, prennent une place importante dans leur budget. Le loyer, l’énergie, le téléphone, les assurances, l’eau, … représentent 60% de ce dernier. Cette même part s’élève à 30% sur un revenu moyen. Compte tenu de ce contexte, le reste à vivre est estimé à environ 5 euros par jour et par personne.

Les recommandations du Secours Catholique

L’association appelle l’état à prendre des mesures fortes pour lutter contre cette pauvreté qui ne cesse de s’installer en France. Antoine Aumonier, le délégué régional de l’organisation, juge les efforts consentis « insuffisants Â» et ne répondant pas à la prise de conscience qu’exige la situation. Le Secours Catholique demande notamment au gouvernement de « relever les minimas sociaux, veiller à l’accessibilité de tous aux biens et services essentiels, de sortir les ménages les plus en difficulté du piège des prix élevés de l’énergie, de renforcer les politiques publiques liées à la rénovation énergétique des logements et de faire vivre le droit à la mobilité durable pour tous Â».

L'interview de la rédaction / Antoine Aumonier

Hier après-midi, vers 14h30, un homme de 36 ans a été placé en garde à vue, qui était toujours d’actualité hier soir. Lors du contrôle, mené rue de Belfort, il est apparu qu’il conduisait malgré une annulation de son permis de conduire. Il ne portait pas sa ceinture de sécurité  et il était en possession d’un petit sachet de résine de cannabis.

A Pontarlier, l’opération de renouvellement de l'éclairage public se poursuit. Pour rappel, il s'agit d'un éclairage LED plus économique, technologique, environnemental et adapté. Rappelons que plus de 250 luminaires sont en train d’être changés pour un coût total de 200.000 euros. A travers cette démarche, les élus entendent Rénover et remettre aux normes l’espace public, réaliser de fortes économies d'énergie et réduire la pollution lumineuse. En ce mois de novembre, ce sont les rues du lycée et des Déportés qui sont concernés.

L’info est relatée par le journal « Le Progrès Â». Dimanche, un éleveur jurassien, implanté dans le secteur des Rousses, a retrouvé une génisse de son troupeau morte. Selon le quotidien jurassien, les autorités auraient confirmé l’attaque d’un loup. Il y a quelques mois, en août dernier, le loup avait déjà sévi dans ce même secteur jurassien. Un veau et une génisse avaient alors perdu la vie.

Ce mardi, en fin d’après-midi, un homme, âgé de 49 ans, a cassé deux téléphones et dégradé un ordinateur à l’accueil du service d’action sociale de la rue Champrond à Besançon. Il a été interpellé par la BAC alors qu’il dégradait le chéneau de l’immeuble de cette administration. Alcoolisé, il a été placé en garde à vue différée. Son taux d’alcoolémie est estimé 1,20 gramme par litre de sang. Le quadragénaire ne s’est pas blessé.

Un jeune homme de 17 ans a été placé en garde à vue à Besançon. Il a lancé une chaise sur le directeur d’un foyer de la protection judiciaire de la jeunesse, située à Besançon, et lui a donné des coups de poings. Il n’a pas supporté qu’un éducateur et son responsable lui confisquent les quelques grammes de cannabis qu’il avait en sa possession.  Il était porteur de près de 3 grammes de résine de cannabis.