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Ce vendredi, de 16h à 19h,  et ce samedi, de 9h à 16h,  le lycée agricole LaSalle de Levier ouvre ses portes. Durant ces deux journées, le public aura l’occasion de venir découvrir les installations et les formations de l’établissement. Les professeurs et leurs élèves seront présents pour répondre à toutes les questions

Quels cursus de formation ?

A Levier, le parcours de formation se divise en :

  • Une voie professionnelle, qui s’organise en un CAP palefrenier et une seconde professionnelle, qui donnent accès à un bac professionnel « conduite et gestion de l’entreprise hippique ou agricole Â» et un BTS en scolaire ou en apprentissage « Analyse Conduite et Stratégie de l’Entreprise Agricole et Productions Animales Â».
  • Une voie générale et technologique, qui accueille les élèves en seconde générale et technologique, puis en bac technologique « Sciences et Technologies de l’Agronomie et du Vivant Â», spécialités « Productions ou Services Â» ou bac général scientifique, permettant ensuite d’accéder au BTS précédemment cité.

Apprendre autrement

Le jeune est au centre du projet pédagogique de l’établissement. L’objectif est de le placer dans les meilleures conditions et s’assurer que son projet est bien en adéquation avec celui de l’établissement et du contenu des formations dispensées. Sa maturité, ses envies, ses  besoins, … font l’objet de toutes les attentions, afin d’éviter une désagréable mise en échec. Le lycée agricole veut accueillir au mieux ces jeunes recrues, éviter à tout prix le décrochage scolaire et déployer les accompagnements nécessaires pour une pleine réussite et insertion professionnelle. Pour se faire, c’est toute une équipe éducative qui se mobilise. On prête bien entendu attention à la qualité de l’enseignement dispensée, mais aussi au cadre de vie. Des prises en charge indispensables pour former les professionnels de demain et contribuer à l’épanouissement, au bien-être et à la confiance de cette jeunesse passionnée et motivée.

L'interview de la rédaction / Béatrice Aubrée, directrice du lycée agricole LaSalle de Levier

 

La mobilisation contre la réforme des retraites s’est poursuivie ce jeudi à Besançon. Ce matin, en raison d’une forte présence des forces de l’ordre, les manifestants n’ont pas pu procéder au blocage des ronds-points comme ils l’avaient prévu. Néanmoins, la mobilisation semble se durcir à la faculté des lettres de Besançon. Pour la troisième journée consécutive, le site Mégevand a été bloqué. Un blocage filtrant s’est tenu à l’entrée du site Canot. C’est chaque après-midi, en assemblée générale, que les étudiants décident de la poursuite du mouvement ou pas.

Les jeunes manifestants expliquent qu’au-delà de la contestation portant sur la réforme des retraites, ils entendent dénoncer « une crise de la démocratie Â» en France. « On se mobilise pour qu’il y ait plus de démocratie et que cesse l’adoption de réforme aussi impopulaire Â» explique cet étudiant.

L'interview de la rédaction

 

Un corps calciné a été découvert dans une forêt à Thise, dans le secteur du Grand Besançon. La macabre découverte a été effectuée, ce matin, par une promeneuse. Selon nos informations, une enquête pour assassinat a été ouverte. Néanmoins, aucune piste n’est pour l’heure privilégiée par les enquêteurs.

Un individu de 35 ans devrait être déféré ce jeudi pour s’expliquer sur des violences qu’il a commises mardi après-midi rue de Belfort à Besançon. Le trentenaire s’en est pris gratuitement à une dame de 75 ans. Il lui a porté un coup de pied au niveau de l’abdomen, provoquant sa chute au sol. L’agresseur présumé a été placé en garde à vue différée du fait de son comportement instable. Il a reconnu les faits qui lui sont reprochés.  

Ce vendredi, à 18h, la CGT du Doubs, organise une soirée-débat gratuite sur le thème de la réforme des retraites. Le rendez-vous est fixé à la salle David, 11 rue Battant, à Besançon. Des intervenants de différents secteurs d’activité prendront la parole à l’issue de la projection de courts métrages. S’en suivra ensuite un temps de discussion sur des sujets d’actualité : l’âge de départ à 64 ans,  l’espérance de vie ou encore les 1200 euros de pension promis par le gouvernement aux retraités ayant une carrière complète.

L’info est relatée par le journal « Le Progrès Â». L’homme, soupçonné d’avoir agressé au couteau une femme et son bébé aux Rousses, le 4 février dernier, est toujours en soins psychiatriques. Nos confrères ont interrogé Lionel Pascal, le procureur de la république du Jura, qui leur a confié que l’enquête se poursuivait et que l’individu serait interrogé lorsque son état mental sera stabilisé.

Les sapeurs-pompiers ont circonscrit un feu de cheminée, avec propagation à la toiture, hier soir, aux Hôpitaux-Neufs. Trois lances ont été établies. On ne déplore aucun blessé, mais deux personnes ont dû être relogées.

A Pontarlier, après la manifestation qui s’est tenue ce mardi, avec plus de 1000 participants, l’intersyndicale s’est fixée un nouveau rendez-vous pour organiser et prévoir la suite du mouvement. Il se tiendra ce jeudi matin. Il est d’ores et déjà annoncé deux rendez-vous : le samedi 11 mars, à 11h et le mercredi 15 mars.

Serge Dornier, représentant du syndicat CFE-CGC, fait savoir que la lutte se poursuit. Il dénonce « une reforme injuste Â» et pointe l’ensemble des professionnels, exerçant dans des secteurs d’activité difficiles,  qui ne pourront pas physiquement continuer à exercer  leur mission jusqu’à 64 ans. Les personnes mobilisées veulent partir à la retraite « en bonne santé Â» et pas cassé par le travail. « Les gens veulent vivre, passer du temps avec leurs familles et leurs petits-enfants et s’engager aussi dans les associations. Celles-ci ont besoin de nous, les bénévoles de demain Â» ajoute M. Dornier.

Par la voix de Serge Dornier, l’intersyndicale  maintient l’idée que cette réforme est « injustifiée Â». Elle appelle le gouvernement à revenir sur sa décision et aux parlementaires à s’y opposer.  Â« Il y a trop d’argent gaspillé par nos têtes pensantes et qui part dans les paradis fiscaux Â». Pour l’intersyndicale, d’autres moyens d’action et de financement sont possibles. Dans ces conditions, « non à la retraite à 64 ans et à l’allongement des années de cotisation Â».

L'interview de la rédaction / Serge Dornier