Un accident impliquant un poids lourd seul, transportant du béton à l’aide d’une toupie, a terminé sa course sur le côté à hauteur de la commune de la Chaux, sur la départementale 48, entre La Chaux et Bugny. Le conducteur est incarcéré à l’intérieur de son véhicule. Il est bloqué au niveau des membres inférieurs. Après avoir été médicalisé sur place, il sera évacué par héli25 sur un centre hospitalier
La situation était déjà inquiétante et la tension palpable, dans un contexte où de nombreux professeurs partis l’année dernière n’ont pas été remplacés, et où de très nombreuses heures sont vacantes. Les étudiants parlent de 360 heures non pourvues cette année, réparties sur les trois années de Licence et sur le Master 1. Une multitude de cours indispensables ne sont pas assurés. A cela vient s’ajouter la volonté de démanteler le département en deux entités : une pour la licence et une autre pour le Master. « Le constat est dramatique. Les conséquences seraient terribles pour les étudiants. Cela entraînerait la fin de l’alternance car plus de moyens humains, et la fin du CMI car il ne peut pas courir sur deux départements distants. Et surtout la fin de la continuité pédagogique » souligne Natacha, en deuxième année de master information-communication. « Nous avons par exemple une professeure, qui gère plusieurs cours en même temps, qui est censée effectuer 192h sur toute l’année. Elle y arrivera au mois de novembre. Comment fait-on ? Si elle arrête de travailler, nous n’avons plus de tuteur. Et personne ne sait ce qu’il se passera » poursuit-elle. Avant d’être reprise par Siella, étudiante en deuxième année en CMI. « Nous c’est notre gérante de projet. Si elle s'arrête, on ne peut pas valider notre CMI. C’est impossible ». « Dans cette même idée, les étudiants de première année en CMI ne peuvent pas valider leur année, car ils n’ont personne pour gérer leur projet » explique à son tour Florian, étudiant en Master 1.
« Dans notre classe de CMI on est tout le temps sous tension. Ça se sent chez les étudiants. On a très peur pour notre avenir, ça nous angoisse beaucoup » Myra, étudiante L2 CMI info-com
Les conséquences de cette scission apparaissent comme dramatiques et angoissantes pour tous les étudiants du département Info-Com. Cette fraction entraînerait la fermeture immédiate de l’alternance, obligeant les Master 1 à couper leur contrat car personne ne pourrait les superviser. Les tuteurs devront refuser des alternances aux étudiants qui les obtiennent, car personne ne pourra les encadrer. Cette formation, qui pourtant fonctionne très bien, se dirige progressivement au bord du précipice.
Comment la situation a-t-elle pu en arriver là , alors que cette licence est la deuxième la plus demandée de l’UFR, tout comme le Master. Plus de 1000 inscriptions sur Parcoursup l’année dernière, et 300 en Master sur eCandidat. Des effectifs complets, un taux d’insertion professionnel très bon, des étudiants qui obtiennent à coup sûr des alternances. « Il y a des débouchés, on a la preuve que ça fonctionne, que ça marche » précise Enzo, en deuxième année de licence info-com. « Mais c’est l’incompréhension des étudiants à l’heure actuelle. Pourquoi on veut sectionner un département, tout arrêter, simplement à cause d’un problème interne. Nous, les étudiants, on n’a pas à être tributaires de tout ça. Et on n’a pas à risquer notre alternance et notre CMI » complète Natacha.
« On en a marre d’être pris en otage » Natacha, alternante en Master 2
Certains viennent de loin, voire de très loin, afin d’intégrer le cursus en CMI. Parfois même hors de l’hexagone, la filière Info-Com de Besançon apparaissant comme très convoitée. « On a pris des appartements qu’on paye. On paye aussi la fac. On a été sélectionnés sur Parcoursup, et ça a été très compliqué d’être accepté. Ensuite on nous dit qu’il y a une possibilité qu’on soit renvoyé chez nous, et que notre formation ne vaut rien. Alors que tout vient d’un problème interne, qui n’a rien à voir avec les étudiants » déplore Siella.
Face à cette situation d’ampleur, une pétition a été lancée. Il est demandé à l’université cet abandon de projet de scission, des postes d’enseignants supplémentaires pour combler l’ensemble des cours vacants, la garantie de la pérennité des trois formations au sein d’un seul département, et la continuité de la professionnalisation des formations (alternances, stages, CMI). Prévenus seulement la semaine dernière de cette fraction probable, les étudiants en Master 2 ont fait passer le message aux Master 1, pour ensuite tenter d’intervenir dans les différentes promotions afin d’alarmer l’ensemble des étudiants. Si l’alerte a pu être transmise aux étudiants en deuxième année et troisième année, la chose fut plus complexe concernant les nouveaux arrivants de première année, face au refus de certains professeurs, soutenant cette scission, et empêchant certaines interventions dans leurs cours. Pour l’heure, 702 signatures ont été obtenues sur les 1000 attendues. Le sort du département information-communication devrait être connu dès vendredi matin.
Après une participation en 2011, puis en 2014, Stromae est de retour pour l’édition 2022 des Eurockéennes de Belfort. Le festival a confirmé ce mardi sa présence pour l’année prochaine. Le chanteur belge sera présent le jeudi 30 juin, six ans après sa dernière venue dans le Territoire de Belfort.
Stromae, auteur des albums ''Cheese'' en 2010 et ''Racine Carrée'' en 2013, vient de dévoiler la liste des festivals sur lesquels il compte se produire. Il débutera sa tournée sur la scène de l'Aluna en Ardèche le 16 juin, puis devrait être de passage aux Vieilles Charrues pour les 30 ans du festival, à Rock en Seine, et au Cabaret Vert. Six ans après sa dernière apparition, son retour se faisait sentir ces derniers temps. L’artiste belge qui a sorti le clip ''Santé'', recueillant déjà presque 10 millions de vues sur YouTube depuis le 15 octobre, premier single de son troisième album très attendu, a prévu de faire un passage par le Malsaucy le jeudi 30 juin 2022.
La station de Métabief, au cœur des montagnes du Jura, propose un domaine skiable avec 41 pistes sillonnant le massif du Mont d’Or avec une vue imprenable sur la chaîne des Alpes et le Mont Blanc. Les 3 secteurs de Métabief, Superlongevilles et Piquemiette sont entièrement reliés, accessibles à tous, et avec chacun leurs spécificités à découvrir et apprécier. Aujourd’hui, l’heure est à l’organisation et à la mise en place de la saison, à quelques semaines de son ouverture. « Effectivement, nous sommes en pleine préparation de la saison hivernale. C’est une période un peu intermédiaire pour nous » indique Cyrielle Viey, de l’office du tourisme du Haut-Doubs, et responsable communication. « Il y a toujours un peu de randonnées, mais ça dépend beaucoup de la météo. Ça a l’air de bien s’annoncer pour l’instant ! Mais l’idée actuellement à l’office de tourisme, c’est vraiment la préparation de la saison hivernale » poursuit-elle.
« On prépare la communication autour de toutes les activités qu’on va pouvoir proposer sur la station de Métabief, comme bien évidemment le ski alpin. Mais également les activités autour, comme le VTT sur neige, le biathlon, le ski de fond, la raquette, la luge, etc. Il y a des petites nouveautés aussi depuis quelques années, comme la cascade de glace, ou encore les trottinettes sur neige. Il y a vraiment pas mal d’activités de découverte de la montagne et de la neige ! » souligne Cyrielle Viey. Des activités, qui pour l’instant, ne sont ni trop perturbées ni trop impactées par le passe sanitaire, duquel on peut se dispenser en plein air, pour l’heure. « Les mesures restent encore un peu floues, mais ça a l’air d’être plutôt bien engagé. On l’espère en tout cas. De toute façon, on a l’habitude d’être adaptables maintenant, donc quoiqu’il se passe, on sera prêts. Aussi bien au niveau des activités, que des prestataires, etc. On sait faire face maintenant ! » proclame la responsable communication de l’office du tourisme du Haut-Doubs.
La première phase du SNU est une phase d’immersion, où les jeunes se retrouvent éloignés de leur foyer familial pendant une douzaine de jours. Ils sont pris en charge par des éducateurs, des formateurs, et les sapeurs-pompiers du Doubs, qui participent de manière active, en leur prodiguant la formation des gestes qui sauvent. Aussi au programme dans cette première phase, un forum des métiers, avec une présentation des différentes activités, de police, de gendarmerie, et de tout le ministère de la défense. Ensuite, arrive la deuxième phase qui est la mission d’intérêt général. Développée sous l’égide du lieutenant-colonel Colard, chef du groupement territorial Ouest, cette mission d’intérêt général est intitulée : « Je découvre l’engagement chez les sapeurs-pompiers ».
« J’ai sélectionné 8 jeunes qui se sont positionnés sur le site du SNU pour venir faire leur mission d’intérêt général qui regroupe 84h de présence. Et donc, cette semaine du 25 au 29 octobre représentera 35h des 84h qu’ils ont à faire. Et dans cette semaine, je leur fais découvrir avec des formateurs et des sapeurs-pompiers, ce qu’est l’engagement d’un sapeur-pompier. Par exemple, ils ont participé hier de manière active au port de l’appareil respiratoire isolant, ils ont découvert les contraintes de se déplacer lors des interventions, et notamment dans les incendies, avec ces appareils respiratoires » William Guyot, responsable de la formation des RH et du développement du volontariat au groupement territoriale ouest au SDIS du Doubs
Ce mardi, ces jeunes effectuaient leur premier secours civique de niveau 1 au sein du service départemental d’incendie et de secours du Doubs. Le reste de la semaine sera tout aussi complet et formateur, car ils découvriront notamment le centre de traitement de l’alerte, ils iront visiter le vaccinodrôme, puis la plateforme logistique du SDIS. « Ils verront de cette façon que les sapeurs-pompiers vont bien au-delà de leurs missions aujourd’hui, et qu’ils participent de manière active à des opérations de gestion de crise dans la société » souligne William Guyot. « Je leur apprendrai aussi un petit peu à marcher au pas, parce que je ne vous cache pas que je souhaiterais que pour la fin de leur deuxième phase, ils puissent être avec nous le 14 juillet 2022 » poursuit le sapeur-pompier. Cette mission se terminera au mois de juillet 2022, mais les jeunes devront avoir réalisé leurs 84h afin d’obtenir leur diplôme de SNU. Et s’ensuivra alors peut-être pour ceux qui le souhaitent, une troisième phase, qui est la phase de l’engagement. S’ils ont été satisfaits et s’ils ont bien appréhendé la structure qui les a accueillis pour cette deuxième phase de mission d’intérêt général, ils pourront s’ils le souhaitent, contracter un engagement de sapeur-pompier volontaire au sein du SDIS du Doubs.
J’ai commencé le vélo à l’âge de 6-7 ans au club de l’ASPTT Besançon, en VTT. J’ai pratiqué jusqu’à 13-14 ans, et je me suis mis à la route. J’ai intégré le club de l’Amicale Cycliste Bisontine, et depuis je fais du cyclo-cross l’hiver, et de la route durant l’été et le printemps. Je fais les deux disciplines comme ça.
Ah oui c’est clair que j’ai fait une bonne saison ! Je suis vraiment content, je ne m’attendais pas à faire aussi bien. C’était mes objectifs, d’aller chercher le titre européen, et de conserver mon titre de champion de France. La saison est plus que réussie !
Oui c’est un nouveau challenge. En plus je passe dans les rangs espoirs, donc on commence vraiment les choses sérieuses on va dire. J’ai fait le choix de l’équipe Continentale Groupama-FJD parce qu’elle est bisontine. Pour moi c’était le choix le plus simple, de pouvoir avoir mes entraîneurs et un service de performance à 15 minutes de la maison. C’est le plus pratique pour évoluer sereinement, et continuer ma progression.
Maintenant, je m’entraîne tous les jours. J’ai peut-être un jour de repos dans la semaine, mais ça s’arrête là . Sinon ça va autour de 17h hebdomadaires d’entraînement, avec de la préparation physique en salle, plus particulièrement l’hiver. Ça commence à faire des semaines un peu chargées, et ça ne fera qu’augmenter ces prochaines années.
Oui bien sûr, on s’adapte forcément à nos objectifs. Si on a une course en montagne, on ne va pas se préparer de la même façon que pour les classiques sur les pavés. Après on essaye aussi de varier les plaisirs à l’entraînement, on essaye de toucher un peu à tout. Faire un petit peu de VTT, mais aussi un peu de route, l’hiver on n’hésite pas à aller faire du ski de fond, il faut aussi diversifier pour s’entraîner correctement.
Pour l’instant on n’a pas totalement regardé le calendrier 2022. Mais pour une année espoir, je pense que mes gros objectifs seront Liège-Bastogne-Liège espoir, ou le Tour de l’Avenir. Ce sont pour moi les deux grosses courses du calendrier espoir, et j’essayerai de bien performer là -bas.
Pour l’instant je suis en train de me reposer (rires). Donc on va dire de bien reprendre la saison, et de garder la bonne santé !
Une autopsie a été demandée après la découverte, ce dimanche, d’une adolescente sans vie au pied d’une falaise à Mouthier Haute-Pierre. La victime avait participé la veille à une fête. Elle avait été déposée à proximité de son habitation. Un message inquiétant avait ensuite été envoyé à son frère. D’importants moyens aériens et terrestres ont alors été déployés pour la retrouver. Les investigations se poursuivent.
NAISSANCES
13/10/2021 – Dilara de Mehmet GÖNÜL, micro entrepreneur et de Aurélie PARROD, sans profession.
15/10/2021 – Kaymeron de Yvan LAMBERT, opérateur de production et de Lindsay JOVICIC, conseillère de vente.
14/10/2021 – Elia de Pedro PACA, éducateur et de Lisa MENETRIER, chargée de mission communauté de communes.
15/10/2021 – Antoine de Mathias MALANDRIN, chef d’équipe et de Amélie BOUSSON, éducatrice de jeunes enfants.
14/10/2021 – Éllio de Thomas VIENNOT, technico-commercial et de Mégane VANOTTI, décoratrice horlogerie.
14/10/2021 – Paloma de Julien BEGIN, régleur et de Anaëlle NOLOT, professeure certifiée. 14/10/2021 – Kieran de Dominique BEC, chef pâtissier et de Joanna MOUSSALLY, psychologue psychothérapeute.
15/10/2021 – Ayla de Sevket AKÖZ, polisseur et de Nurkiye YILDIRIM, horlogère.
15/10/2021 – Dua de Shkelzen FETAHU, cuisinier et de Elmie RASHITI, employée de fromagerie.
15/10/2021 – Sabrije de Ekrem AHMETI, peintre en bâtiment et de Valmire GASHI, sans profession.
15/10/2021 – Maylan de Matthieu GROSSOT, mécanicien automobile et de Océane POUTHIER, esthéticienne.
15/10/2021 – Elyo de Jérémy LELANDAIS, mécanicien automobile et de Jenny THOMET, assistante de gestion.
18/10/2021 – Hailey de Alexis FEUVRIER, agriculteur et de Alyssa DENIS, sans profession.
20/10/2021 – Ayse-Reyyân de Muzaffer ORAK, boulanger et de Hafize DIKYAR, opératrice en horlogerie.
19/10/2021 – Gabriel de Sylvain SADERNE, pharmacien et de Alexia GUILLOU, ingénieure.
20/10/2021 – Maël de Samuel KARAHASANOVIC, couvreur et de Camille ROCHE, gestionnaire de paie.
20/10/2021 – Alessandro de Romain LÉONET, mécanicien poids lourds, et de Océane FERAY, serveuse.
19/10/2021 – Damien de Guillaume BARBE, employé communal et de Alicia BERNHARD, directrice de centre de loisirs.
19/10/2021 – Jade de Anthoy DEFERT, agent de fabrication et de Emeline MINARY, employée logistique.
PUBLICATION
25/10/2021 – Jean-Louis CHABOD, retraité et Patricia CHAMBELLAND, retraitée.
08/10/2021 – Valentin CAILLIER, technicien d’usinage et Mélissa TOGNOL, adjoint administratif.
08/10/2021 – Nicolas FAIVRE-PIERRET, responsable adjoint pôle conciergerie et Pauline GABRIS, assistante éducative et sociale.
DECES
17/10/2021 – Anne-Marie GAUME, 87 ans, retraitée, domiciliée à Les Fins (Doubs), veuve de Paul FEUVRIER.
18/10/2021 – Raymonde YAMESKY, 80 ans, retraitée, domiciliée à Epenoy (Doubs), épouse de Jacques GRÉBERT.
18/10/2021 – Michel MOUREAUX, 94 ans, retraité, domicilié à Mouthe (Doubs), veuf de Juliette GUYON-GELLIN.
19/10/2021 – Antoine BULLE, 92 ans, retraité, domicilié à Les Fourgs (Doubs), veuf de Yvette MAIRE[1]SEBILLE.
19/10/2021 – Jules GUYON, 94 ans, retraité, domicilié à Levier (Doubs), veuf de Paulette VERNEREY. 19/10/2021 – Raymond DUC, 77 ans, retraité, domicilié à Champagnole (Jura), époux de Denise MARCOUX.
19/10/2021 – Annie ROHRBACH, 66 ans, retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs), veuve de Emile GOGUELY.
20/10/2021 – Monique BENOIT , 78 ans, retraitée, domiciliée à Chaffois (Doubs), veuve de Simon LAURENCE.
21/10/2021 – Fabrice BIDAU, 55 ans, chauffeur routier, domicilié à Loulle (Jura)