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Morteau voulait son festival de musique, l’Escale l’a fait. Les 29, 30 avril et 1er mai  prochains, la cité du Haut-Doubs vivra au rythme du Festi’Burn’s, la 1ère édition de ce rendez-vous musical qui devrait en appeler d’autres. Mathias Bourney, le gérant des lieux, est fier de pouvoir proposer un tel rendez-vous, qui se veut festif et rassembler un large public, désireux de renouer avec les belles ambiances d’avant covid.  Durant ces trois jours, le public pourra se divertir au son du rock celtique, du rock’n roll et du blues. Tout le monde devrait y trouver son compte.

Pour participer à cet évènement : Facebook : https://www.facebook.com/Festi-Burns-105148655303958 ou sur Instagram : https://www.instagram.com/festiburnsfestival/?hl=fr 

L'interview de la rédaction / Mathias Bourney, directeur de l'établissement mortuacien

Un accident, impliquant deux camionnettes et une voiture, s’est produit cet après-midi, vers 14h30, à Orchamps (39). On déplore deux blessés légers. Deux autres personnes, indemnes, ont été laissées sur place.

Un accident de la route s’est produit cet après-midi, vers 14h45, à Bletterans, sur la départementale 122. Le véhicule a fait plusieurs tonneaux. On déplore deux blessés légers qui ont été transportés sur un centre hospitalier.

Après le deuxième tour de l’élection présidentielle, qui a vu Emmanuel Macron être reconduit une nouvelle fois à la tête de la nation française, Anne Vignot, maire de Besançon, indique que le président de la République devra rendre des comptes à la gauche, ayant grandement participé à sa réélection.

 

Un cri d’alerte face à l’extrême droite

Emmanuel Macron a été réélu pour un second mandat avec 58,54% des suffrages exprimés. Marine Le Pen obtient 41,46% des voix. L'abstention reste très élevée avec 28,01%. Et selon les premières estimations d'Ipsos-Sopra Steria, 42% des électeurs d'Emmanuel Macron ce dimanche ont voté pour lui, « afin de faire barrage à Marine Le Pen Â». Les 58% restants ont choisi le président sortant car ils considèrent « qu’avant tout il ferait un bon président de la République Â». Dans son discours de victoire ce dimanche, au Champ de Mars, Emmanuel Macron a d'ailleurs reconnu ce vote barrage : « Je sais que nombre de nos compatriotes ont voté pour moi, non pour soutenir les idées que je porte, mais pour faire barrage à celles de l’extrême droite. Ce vote m’oblige pour les années à venir Â». Un avis partagé par Anne Vignot, maire de Besançon. « Cette élection démontre qu’on n’a pas entendu ni écouté tout ce qui se passe en ce moment. La fracture sociale dans laquelle on est, l’écologie qui n’a pas eu de place dans le discours. On voit qu’il y a eu un vote par défaut, on le lit très bien dans de nombreux bureaux de vote Â» précisait l’édile bisontine dimanche soir. Avant de poursuivre : « Nous sommes passés à côté de l’extrême droite de façon importante, et j’espère que la leçon sera retenue, car on ne peut pas se réjouir des chiffres que nous avons eu. On peut dire que la gauche s’est mobilisée pour sauver Macron Â».

« Nous sommes confrontés à une fracture sociale qui est absolument insupportable. On attend des gestes forts dans les ministères qui vont être créés, avec beaucoup de modestie, beaucoup d’écoute. Il faut aussi que les élus se rapprochent du terrain. Il y a une rupture avec les collectivités. On a besoin d’un autre gouvernement, qui sache travailler avec les élus sur le terrain, en face des difficultés des citoyens, c’est urgent Â» Anne Vignot, maire de Besançon.

 

Une union totale de la gauche pour les législatives ?

« La situation est grave, avec la crise sociale, la crise climatique, la crise de manque de confiance. On ne peut pas continuer comme ça. La colère est déjà présente aujourd’hui, elle s’exprimera. Nous devons franchir un cap avec les législatives » poursuit la maire de Besançon. Et lorsqu’on évoque avec elle, une possible union de toute la gauche, cette dernière ne referme pas complétement la porte. Bien au contraire. « La rupture est tellement forte aujourd’hui, il faut que les discussions aient lieu. Chacun doit prendre ses responsabilités. Nous avons besoin de montrer une union de la gauche, écologiste qui va montrer une nouvelle façon de penser le gouvernement et le Parlement. Je suis pour l’union, le dialogue est ouvert. Les partis sont d’ailleurs en train de discuter, et je suivrai la ligne du parti Â». Et quand on questionne Anne Vignot sur une possible alliance avec La France Insoumise, laquelle n’avait jamais été possible jusqu’à présent, l’élu bisontine évoque des discussions en cours. « Une chose est certaine, aujourd’hui je gouverne une équipe qui est multiple, et on a besoin de cette diversité de pensées, même si ce n’est pas simple. Je pense qu’il risque d’avoir un gouvernement avec un dialogue extrêmement difficile, puisque si les votes pour le Parlement s’expriment de la même façon, voire avec plus de diversité qu’au premier tour, la gouvernance va être compliquée. Il va falloir apprendre à vivre ensemble et à s’écouter. Moi je remets toujours tout à plat à chaque élection Â». 

De nombreux projets cinématographiques sont à découvrir en ce mois de mai au cinéma Les 2 Scènes de Besançon. Parmi lesquels  Â« En marge Â» du 2 au 25 mai au Kursaal qui proposera différents films qui entremêlent histoires individuelles et collectives, regards documentaires, expériences politiques et rêveries poétiques.

Le cinéma allemand sera également à l'honneur au Kursaal du 2 au 4 mai avec « Cinékino Â». Enfin, à l'occasion de la Journée internationale de lutte contre l'homophobie, un film sera proposé du 19 au 20 mai au Kursaal par le collectif du 17 mai. Toute la programmation est à retrouver sur le site Internet : www.les2scenes.fr

Les projets liés à l’immobilier se multiplient dans le Haut-Doubs. Nombreuses sont les communes à mettre à disposition du terrain pour y développer de nouveaux lotissements. Un moyen de répondre notamment à une demande qui explose et qui n’est pas sans conséquence sur les prix pratiqués. Rencontre avec Cyril Mattera, le directeur de l’enseigne l’immobilier pontissalien Â», qui a développé ses agences dans le Haut-Doubs.

Un marché difficile à gérer

Le temps passe, les saisons s’enchaînent mais une chose demeure : la pierre reste l’investissement privilégié des Français. Bonne pioche, car lorsque l’on constate les prix de l’immobilier dans le Haut-Doubs, et plus généralement à l’échelle nationale, on observe assez facilement qu’il s’agit du meilleur investissement à long terme. Une aubaine, donc, pour les agences immobilières ? Pas totalement. Si l’inflation des prix permet de réaliser des ventes plus conséquentes, elle nécessite néanmoins une certaine adaptation. Et quant aux agences, si elles ne veulent pas effrayer une partie de leurs clients potentiels, elles se doivent d’essayer de gérer au maximum l’explosion de la demande. Et parfois, cela reste compliqué nous avoue Cyril Mattera : Â« le marché va vite […] et aujourd’hui quand les gens nous demandent d’estimer une maison, il y a le prix qu’on estime et le prix qu’ils en veulent, donc des fois il y a des différences Â». « Parfois, je trouve certains prix démesurés Â» poursuit-il.

La faute aux frontaliers ?

C’est bien connu, la coopération frontalière n’est pas systématiquement tarie d’éloges. Et pour cause, les habitants de communes voisines voient leur vie quelque peu bouleversée. La raison principale ? Le salaire des frontaliers qui tentent de venir s’installer au plus près de leur lieu de travail, tout en gardant les pieds dans leur pays d’origine. Dans le Haut-Doubs, la réalité n’en est pas moins différente car il est clair que le dynamisme du marché résulte de sa proximité avec la Suisse. Un marché considéré comme un « marché à deux vitesses Â» par Cyril Mattera, et qui laisse malheureux les clients non-frontaliers, pour qui trouver un logement est désormais un véritable casse-tête. Mais le directeur d’agence tient à tempérer : Â« ce n’est pas dû qu’aux frontaliers Â», anticipant une probable future augmentation des taux.

L'interview de la rédaction

 

Après deux saisons à Besançon, Adréa Prohaska a décidé de quitter le Grand Besançon Doubs Handball en fin de saison. Avec 53 buts inscrits en 52 matches, l’ailier droit bisontin a rapidement su répondre aux exigences du championnat de Proligue. Les dirigeants du GBDH lui souhaitent le meilleur pour la suite de sa carrière.

Un homme de 42 ans est venu signer sa suspension de permis au commissariat de Pontarlier… en voiture. Alors qu’il se garait à proximité du commissariat pensant que les policiers ne le voyaient pas, l’homme, reconnu par les forces de l’ordre, a été interpellé. Il s’est avéré que ce pontissalien était en plus positif au dépistage de produits stupéfiants. Sa suspension pour la première affaire étant notifiée, il devra se rendre à nouveau au commissariat dans la semaine. 

Publié dans Actualités, Fait divers