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L’exploration urbaine, abrégée en urbex (de l'anglais urban exploration), est une pratique consistant à visiter des lieux construits et abandonnés par l'homme. L'exploration urbaine est considérée comme une visite sans autorisation de lieux délaissés ou abandonnés. Elle possède ses propres principes et pour certains un véritable code de conduite visant à préserver les lieux et les protéger au maximum, notamment en dissimulant les adresses des lieux afin d'éviter d'y attirer des casseurs ou des voleurs. Cette activité inclut la visite de lieux cachés ou difficiles d'accès. Dans certains cas plus rares, la pratique s'étend à des lieux explicitement interdits comme des tunnels de métro, des catacombes et des rooftops. Elle regroupe ainsi diverses activités dites « underground », et elle est très liée à certaines activités sportives telles que l'escalade ou le parkour.
 

Nous avons rencontré Elie Grenard-Joly, étudiant à Besançon, photographe amateur, et adapte de l’urbex depuis quelques années. Nous nous sommes entretenus avec lui afin de mieux comprendre cette pratique.

 

 

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Bonjour Elie, peux-tu nous parler de cette pratique et nous l’expliquer à ta façon ?

Bien sûr. L’urbex c'est une pratique qui consiste à visiter des bâtiments abandonnés, que ce soit en ville ou en campagne. Ça peut être des friches industrielles, des châteaux, des habitations, des magasins, il y a beaucoup de bâtiments variés. Il y a des personnes qui vont simplement visiter des lieux et d'autres qui immortalisent leur passage en prenant des photos, comme c’est le cas pour moi. Et bien sûr cette pratique se fait dans le respect du lieu, à savoir de ne pas casser et ne pas voler l'endroit.

 

Même si cette pratique est considérée comme étant « illégale », il y a tout de même quelques règles à respecter, comme de toujours être respectueux des lieux ?

C’est exactement ça. Quelquefois on tombe sur des habitations où il reste beaucoup de mobilier, ou d'objets de la vie quotidienne. Donc il faut respecter ces règles. Mais dans le fond il n'y a aucune loi comme c'est une activité illégale, et il y a malheureusement toujours des personnes mal intentionnées qui ne les respectent pas. Et c’est dommage.

 

Comment est-ce que s'organise une sortie urbex ? Est-ce qu'il y a des repérages qui sont effectués auparavant ?

Oui bien sûr il y a des repérages. Les premiers se font par imagerie satellite, donc sur des sites comme Google Maps. Chacun a sa méthode. On va essayer de trouver des bâtiments, en cherchant par exemple une toiture abîmée. Ensuite on regarde dans la rue avec le camion de Google qui fait les images à hauteur humaine, pour remarquer d’autres éléments. Est-ce que les volets de la maison sont fermés ? Est-ce que la façade est endommagée ? Est-ce que le jardin est entretenu ? Ces repérages peuvent aussi se faire par échange, une fois qu'on a « un nom » dans la scène urbex, on peut rentrer en contact avec d'autres individus de confiance. Et ensuite il y a le repérage sur place. Il faut faire un petit tour pour voir s’il y a un accès. Parce qu’une des règles majeures, c'est de ne surtout pas casser pour rentrer. Si on aborde un lieu mais qu’il est bien fermé, on ne casse surtout pas, tant pis !

 

Et dans la région, y’a-t-il beaucoup de zones propices à ces explorations ?

Oui en Franche-Comté, il y a beaucoup d’endroits. Il y a quelques années, moi j'ai commencé là-bas, l'ancienne usine de la Rhodiacéta à Besançon était un assez gros terrain de jeu, bien délabré, pour prendre des photos. Il y a aussi pas mal de beaux châteaux, avec des adresses dont je tairai le nom parce qu’ils doivent rester confidentiels. Nous avons une très bonne région pour l’exploration. Mais comme je pratique depuis 6-7 ans, et plus intensément depuis que j'ai le permis, désormais à chaque nouvelle sortie nous sommes presque obligés de sortir de la région pour aller explorer des endroits encore inconnus.

 

A quelle fréquence pratiques-tu ? Dès que tu as un peu de temps libre et que l’occasion se présente ?

C'est ça, c’est une question de temps libre et de distance à parcourir. Parce que plus on a fait d’explorations, plus on doit aller loin ! En ce moment je n'ai pas trop le temps avec mon mémoire, mais sinon j'essaye d’y aller une à deux fois par mois. Parfois on organise même des voyages en Belgique, qui est un gros pays industriel, sur plusieurs jours. Il y a des grosses usines, des théâtres, des casses de voitures, des lieux sympas à explorer !

 

Et c'est toujours avec cette vision, par le biais de ce travail artistique, que tu veux prendre des clichés de ces endroits pour les immortaliser à ta façon ?

Exactement, c’est pour avoir une trace du lieu et aussi le côté historique. J'aime bien regarder les papiers, par exemple les lettres ou les calendriers dans les maisons, pour savoir à peu près à quelle année les édifices ont été abandonnés. Mais principalement c'est pour la photo. J'aime bien l'aspect surréaliste de ces lieux abandonnés, figés dans le temps, en quelque sorte apocalyptiques.

 

 

Toutes les photos d'Elie sont à retrouver sur : https://www.instagram.com/urbexfc/ 

 

 

Publié dans Actualités, A la une, Sport

La commune de Pirey vient de donner naissance à un nouveau lieu de mémoire. Quatorze arbres ont été plantés le long du chemin de la Roche pour rendre hommage au sacrifice de 14 soldats de la commune morts pour la France au cours des 1ère et 2è guerres mondiales. Une cérémonie est prévue le 18 juin prochain pour inaugurer ce chemin de la mémoire. Une partie des descendants de ces soldats disparus et des enfants des écoles seront présents.

Un jeune homme de 25 ans, domicilié en région parisienne, devra sans doute s’expliquer devant la justice. Il est dans l’attente d’une réponse pénale. Le 1er mai, vers 10h15, lors d’un contrôle, il n’a pas été en mesure de présenter son permis de conduire, qui avait été annulé, et une attestation d’assurance en règle. Lors de son audition libre, il a reconnu les faits.

Le 1er mai dernier, à Pontarlier, vers la gare, une patrouille de police secours a interpellé un homme, connu pour conduite sous l’effet de produits stupéfiants. Le dépistage par kit salivaire s’est révélé positif. Il sera reconvoqué lorsque le résultat des analyses complémentaires sera connu.

Suite à la disparition du comédien français Michel Bouquet, le Centre de Ressources Iconographiques pour le Cinéma des Amis du Musée de Pontarlier bouleverse son programme et lui rend hommage à travers une exposition d’affiches de ses films. Celle-ci se déroule dans le Hall de l’Hôtel de Ville de Pontarlier du 3 au 28 mai 2022.

Le Crédit Agricole Franche-Comté a présenté ce jeudi 28 avril, son projet d’inclusion professionnelle par le sport en partenariat avec l’Agence pour l’éducation par le sport (APELS). De très longue date, de par sa politique de recrutement, son action en faveur de l’alternance, et son soutien au sport amateur, véritable levier d’insertion, le Crédit Agricole Franche-Comté est mobilisé en faveur des jeunes.

Ce dispositif illustre le volet sociétal du projet d’entreprise du Crédit Agricole Franche-Comté ainsi que les valeurs portées par la marque « Sport Comme École de la vie ». Créée en 1997, l’Agence pour l’Éducation par le Sport est une association nationale d’inclusion par le sport destinée à la jeunesse peu ou non diplômée. Elle permet à des jeunes d’être reconnus pour leurs compétences et valeurs, de prendre en main leur avenir et d’accéder à l’emploi. Le principe du programme de l’APELS est de détecter dans les clubs sportifs, des jeunes peu ou non diplômés et prêts à s’engager dans le parcours d’insertion professionnelle. Ce parcours est constitué d’une formation intensive de deux mois sur les codes de l’entreprise et les bases de la banque, suivie par un contrat de professionnalisation de 1 an menant au métier de conseiller clientèle. Pour l’année 2022/2023, 10 postes sont à pourvoir au sein de la banque régionale. La 1ère promotion sera constituée d’une dizaine de jeunes et le dispositif sera reconduit chaque année.

« Plus qu’un loisir, le sport est un des moteurs du vivre ensemble, l’un des derniers endroits où se retrouvent les Français dans leur diversité. Le sport, c’est aussi une école qui permet à chacun de se réaliser, de grandir et d’avancer dans la vie. Les valeurs qu’il porte sont riches d’enseignements : dépassement de soi, estime de soi, humilité, respect, gestion de la pression mais aussi apprentissage de l’échec, capacité à faire face »

À ce jour, au niveau national, 400 jeunes ont suivi le parcours « Déclics Sportifs » au sein des Caisses régionales du Crédit Agricole et 700 collaborateurs du groupe ont été mobilisés sur les parcours avec pour résultat : 84% de retour à l’emploi dont 50% au sein de l’entité et 34% dans d’autres entreprises. Le Crédit Agricole Franche-Comté s’appuie sur l’APELS pour expérimenter le cursus d’intégration, afin d’amener une dizaine de jeunes vers les métiers de conseiller d’accueil. Par la suite, d’autres promotions verront le jour. La détection des jeunes est effectuée par l’APELS, selon différents critères comme la motivation et les aptitudes commerciales et relationnelles, le goût du challenge, le dépassement de soi, un engagement fort, etc.

 

Plusieurs partenaires

Pour Jean-Philippe Acensi, le président d'APELS, ce programme permettra de "redonner confiance aux gens qui ont perdu toute motivation puisqu'il y’a une grande partie de la jeunesse qui est coupé du monde de l’emploi, pas par choix, mais à cause de leur milieu." Lors de cette signature, deux partenaires sportifs du Crédit Agricole Franche-Comté, le Racing Besançon et la Ligue de Bourgogne Franche-Comté du judo ont apporté leur soutien à ce projet. Pour Claude Cuinet, président du Racing Besançon, il était important d'aider dans la réinsertion professionnelle les jeunes issues de quartiers prioritaires à Besançon. "L'école de la vie c'est aller chercher les gens qui ne viendraient pas de leur plein gré. Il faut aller chercher les jeunes issus de quartier prioritaire qui ne sont pas assez intégrés et faire découvrir le sport à ces jeunes, directement aux pieds des immeubles”. Le club bisontin souhaite ainsi former 10 jeunes, déscolarisés et issus de quartiers prioritaires, en tant que moniteur-éducateur afin qu’ils aillent ensuite directement “aux pieds des immeubles” faire découvrir le sport.

 

Franck Bertrand, directeur général du Crédit Agricole Franche-Comté & Jean-Philippe Acensi président de l'APELS : 

 

 

André Mathey est en grève de la faim depuis le 5 avril. Cet artisan sellier du Doubs, installé à Rouhe, près de Quingey, vit avec 583 euros par mois et n'arrive pas à obtenir d'aides sociales. Il tente d’alerter sur sa situation financière en interpellant les élus et les administrations par son geste fort. Andrey Mathey souhaite faire valoir ses droits sociaux et les aides Covid pour sauver mon entreprise née en 2011. Depuis le début de sa grève de la faim, André Mathey a perdu 13 kilos et son état de santé commence à se dégrader sérieusement. Il indique ne pas vouloir abandonner avant d’avoir obtenu des réponses.

 

« Je souhaite obtenir le rétablissement de mes droits sociaux alors que beaucoup d'entreprises et de commerçants se sont gavés. Le but pour moi étant d'avoir le plus d'aides possibles, tout comme les autres commerces et entreprises pour pouvoir continuer mon activité. Je ne vois pas pourquoi les autres y auraient droit et pas moi » souligne l’artisan. A la tête d’une entreprise de sellerie auto-moto qui connaît quelques difficultés depuis la crise Covid, (moins de devis, des matières premières qui augmentent), André Mathey se trouve dans une situation critique. Il se nourrit désormais uniquement de bouillon le soir, et se soumet à un régime alimentaire « liquide ». Sous les conseils de Stéphane Ravacley, qui lui a apporté son soutien, et qui l’a « coaché » afin de ne pas mettre sa santé en péril, André Mathey indique que la limite n’est pas loin d’être « franchie ». « J’ai supprimé les sucres la journée, et à un moment donné le corps en a besoin, et commence à puiser ailleurs. C’est-à-dire les graisses. Et quand il n’y en a plus, c'est au tour des protéines, les muscles, donc le cœur. Mais de toute façon je ne lâcherai rien, j’irai jusqu’au bout, je ne peux pas arrêter maintenant. Je n’ai rien eu » déplore l’artisan. Et rien n’évolue pour l’heure, la situation stagne. « Je devais passer en commission sociale de l'Urssaf qui a été repoussée de multiples fois jusqu'au 15 mai. L'Urssaf ayant été prévenu de ma grève de la faim, elle a décidé de ne pas attendre le résultat de cette commission et de m'octroyer 2000 € d'aides, mais pour l'instant je n'ai touché que 500 € car ils semblent bloqués par des textes administratifs ».

 

Pour tout comprendre sur la situation d’André, il nous a raconté son histoire :

« J'ai changé de statut, en passant d'auto-entreprise en micro Bic réel simplifié, qui a été refusé par l'Urssaf, pour dossier hors délai, alors qu'il a été remis courant décembre 2019. Il y a eu un arrêt du paiement des charges auto-entreprise. Je suis en attente de passage en commission Urssaf. Pendant l’année 2020, je pouvais payer le loyer du local de Quingey en ayant encore un bail commercial de 2 ans, celui de Chouzelot, donc les charges des deux locaux, plus celles de l'appartement où je réside, chez des amis et je descends à 7.500 euros de découvert. Je double le chiffre d'affaires à un peu plus de 49.000 euros et je réalise un bénéfice net d'un peu plus de 9.000 euros. Je touche alors une prime à l'emploi, une partie du RSA et ayant de petits revenus, des APL. Mes droits ont été supprimés et je ne touche plus que 84 euros de prime à l'emploi depuis le Covid.

Dans l’année 2020, je réside chez des amis, seulement je dois partir. J'essaie d'acheter une maison pour m'y installer ainsi que mon atelier, mais mon prêt est refusé juste après le reconfinement de la population. Les problèmes de délais, d'horaires de confinement ont fait chuter le chiffre d'affaires, et j'ai de plus en plus de mal à équilibrer mon budget.

 J'ai eu ensuite un abaissement des droits sociaux et je ne touche plus que 28 euros de prime à l'emploi. Fin 2020, je dois trouver une location, pour sortir des baux commerciaux étant en bail précaire jusqu'en fin d'année 2020. En 2021, il y a eu une augmentation des matières premières, du carburant et des produits de première nécessité. Je tire la sonnette d'alarme concernant ma situation. Je contacte le département, la région, la préfecture, qui me disent de saisir la commission sociale de l’Urssaf, je fais un courriel à l'Élysée. Je ne peux alors toucher aucune aide covid car il y a toujours un point qui ne colle pas. Aucune réponse du cabinet.

Début 2022, le bilan est de 7.095 euros de bénéfice net imposable soit 585 euros de rémunération par mois durant 2021. Mon dossier en commission Urssaf normalement traité mi-février est repoussé au 15 mai, mais toujours pas de soutien du cabinet. Sur le formulaire en ligne du centre des impôts, lorsque je rentre le code postal 25440, un message s'affiche disant que le département n'est pas concerné et me renvoie une nouvelle fois vers toutes les administrations déjà contactées ». 

 

André Mathey : 

 

 

La première édition de 2019 avait réuni plus de 12.000 festivaliers au Russey. Après deux années difficiles dues au contexte sanitaire, le Pop’Cornes Festival revient agiter la commune du Haut-Doubs du 3 au 5 juin. Cette bande de potes du Russey, animée et passionnée par la musique, devenue une association de 19 personnes, porte cette volonté de pérenniser le Pop’Cornes Festival au sein de leur village. A l’affiche cette année : 23 artistes et groupes qui se produiront sur scène durant trois jours. De Christophe Maé au rappeur Rim’K, de Superbus à Soso Maness, sans oublier le metal de Lofofora, la pop d’Aloïse Sauvage et l’électro de The Avener, les scènes du Pop’Cornes Festival proposeront une programmation très variée, qui satisfera musicalement tous les goûts et toutes les générations. L’évènement souhaite également mettre en avant des artistes locaux chaque soir.

 

Les origines du festival

« C’est un projet d’une bande de potes » explique simplement Jordan Pavy, président du Pop’Cornes festival, et chargé de la programmation. « L’objectif était de faire découvrir différents styles de musique à un public très varié, avec des soirées à thèmes. Une soirée électro/rap plutôt destinée aux jeunes, une soirée rock/métal fidèle à nos valeurs, et un dimanche plus familial avec des groupes de variété française » poursuit Jordan. « On a pris confiance en nous au fil des années, on a été rassuré par les événements que l’on a organisés, on a trouvé nos marques, chacun sa place. On est une association de 19 personnes, chacun joue un rôle bien défini, ce qui nous permet d’avoir une organisation au top. On s’est lancé dans un événement plus grand, et jusqu’à aujourd’hui ça se passe très bien ». Si les éditions 2020 et 2021 n’ont pas eu lieu en raison du contexte sanitaire, les organisateurs ont tout de même souhaité garder la main en proposant « le Grain de Pop », un petit évènement qui a eu lieu à la fin du mois d’août de l’année dernière, pour témoigner de leur présence malgré une situation délicate.

Du côté de la programmation, vendredi sera dédié à une soirée électro/rap avec notamment la présence de The Avener, Soso Maness, Rim’K, et Aloïse Sauvage, « une touche féminine toujours sympa » comme le souligne Jordan Pavy. Samedi les deux gros artistes de la soirée seront Superbus et Jean-Baptiste Guégan. Les organisateurs tenaient aussi à proposer plusieurs groupes de métal, le thème des années précédentes, avec la présence de Lofofora, Sidilarsen, Black Bomb A. Et comme la variété avait plutôt bien fonctionné lors de l’édition 2019 avec les venues de Jennifer et Jérémy Frérot, dimanche ce seront Christophe Maé et les Négresses Vertes qui monteront sur scène.

 

L’édition 2022

Plus de 5000 personnes sont attendues chaque jour sur le site du Russey. C’est en tout cas ce que souhaitent les organisateurs. « Ce serait vraiment le top. C’est ce qu’on peut accueillir sur le site » détaille Jordan Pavy. Mais hors programmation, de nombreux critères seront déterminants dans le succès de cet événement. On pense évidemment aux conditions météorologiques, qui étaient venues perturber l’édition 2019. Petit changement cette année : une partie de la grande scène sera couverte, en cas de mauvais temps et abritera une partie du public. « On espère vraiment que ce sera une réussite, et croyez-moi, on se donne vraiment de la peine pour la bonne tenue de cet événement, et pour arriver à ces 5000 personnes par jour. Toute l’équipe est vraiment motivée à l’idée de repartir, tout le monde a envie de faire un bel événement cette année, pour faire encore de plus belles choses par la suite » clame le président du Pop’Cornes Festival.

Le festival est dans l’attente d’au moins 400 bénévoles et un appel a été lancé la semaine dernière. Des rôles bien différents sont à pourvoir au sein de l’événement. « Cela va de la restauration au bar, de la billetterie aux entrées, de la gestion au transport des artistes, de la gestion écologique, parce qu’on a décidé de mettre un point sur fort là-dessus cette année, comme par exemple avec une équipe qui fait le tri sur le site. Enfin il y a vraiment beaucoup de pôles différents, et chacun peut trouver sa place dans cet événement » explique Jordan Pavy.

 

Un point sur l’organisation

« Tout sera situé au même endroit, c’est la grande force qu’on a cette année par rapport à 2019 où nous étions éparpillés un peu partout » explique le président du festival. Le site verra le jour à côté du stade des Butiques, à la sortie du Russey en direction de Morteau. Un parking sera disponible à cet endroit, tout comme un camping gratuit, avec de la restauration de prévue : un brunch le matin, et une buvette l’après-midi ! Le tout juste à côté du site, pour que tout soit à disposition des festivaliers. Les places sont à retrouver directement sur le site internet du Pop’Cornes Festival mais également auprès des différents partenaires comme la FNAC. Au niveau des tarifs : 34€ pour le Pass 1 jour, 63€ pour le Pass 2 jours, et 92€ pour le Pass 3 jours. Un tarif réduit est proposé pour les moins de 14 ans.