Le mercredi 5 juillet, le centre hospitalier de Morteau organise une conférence de 17h à 18h. Les sujets abordés seront la fin de vie, la personne de confiance et les directives anticipées et les soins palliatifs. Ce rendez-vous sera animé par le Réseau Qualité Bourgogne Franche-Comté et l’Équipe Mobile des Soins Palliatifs du CHI de Pontarlier. Il se déroulera salle du maintien de l’autonomie, Pavillon des Montagnons.
Cette conférence est grand public. Elle est ouverte à tous. Elle permettra d’aborder des sujets difficiles, mais qui font partie de notre quotidien. Quels sont nos droits et ceux de nos proches et quelle est la législations en vigueur ? Ces questions et bien d’autres seront abordées au cours de cette rencontre. Jean-Marie Chanudet, coordinateur des soins au centre hospitalier de Morteau, explique que « c’est un sujet qui est évoqué avec réticence, mais qu’il est important que chacune et chacun soient informés des dispositions législatives en cours ». Une thématique qui fait également écho à l’actualité et les discussion actuellement menées sur la sédation, la sédation profonde, l’euthanasie et le suicide assisté.
Une demande des professionnels mortuaciens
En organisant cette conférence, l’hôpital mortuacien répond à une demande exprimée par ses professionnels qui, dans le cadre de leur mission quotidienne, doivent répondre aux questions de leurs patients et des familles sur ces points douloureux. La rigueur doit être de mise.
Cette conférence s’adresse à celles et ceux qui sont intéressés par le sujet. Elle est gratuite.
L'interview de la rédaction : Jean-Marie Chanudet, coordinateur des soins au centre hospitalier de Morteau
Pour remplacer Siriman Kanouté, parti rejoindre la ProB et Aix Maurienne, le BesAC a recruté Anthony Da Silva (22 ans – 1,85m). Il arrive du Havre. Les deux parties ont trouvé un accord pour un contrat de deux ans avec une clause de sortie possible à l’issue de la première saison, mais uniquement pour un club de division supérieure (Pro A ou Pro B) ou pour un club étranger.
Dans le même temps, le club annonce d’autres départs. Ainsi, L’intérieur Guillaume Valayer rejoint Berck, en nationale 1. Sydney Hammond s’en va à Boulogne-sur-Mer, un club de nationale 1. Enfin, Gaëtan Etienne, l’adjoint de Joseph Kalambani, a choisi d’évoluer la saison prochaine à Toulon, qui a été repêché en nationale 1, suite à l’impossibilité pour Lons-le-Saunier de confirmer sa montée sportive.
Le 30 juin prochain, le Chœur d’hommes de la Vallée de la Loue, C(h)œur de Lou(v)e, sous la direction de Karine Pidancet, chantera aux côtés de la formation des Carpates, un groupe musical ukrainien, composé de six musiciens et chanteurs, qui vivent dans la région montagneuse des Carpates, à l’ouest de l’Ukraine. Cette formation a été autorisé à quitter son pays en guerre pour une tournée d’un mois en France afin de récolter des fonds pour venir aide à leurs compatriotes.
En 2022, cette tournée n’a pas eu lieu en raison des combats. Six voix, deux violons, une clarinette, un accordéon, une caisse claire et un cymbalum animent leur répertoire, qui dépasse les frontières ukrainiennes, en puisant dans les chants et la musique traditionnelle d’Europe de l’Est d’inspiration slave, tzigane, et yiddish. En parallèle, les deux formations se produiront vendredi matin à l’EHPAD d’Ornans et l’après-midi à l’EHPAD du Larmont à Doubs. Les chanteurs seront également reçus, à 18h, à la mairie de Cléron. Puis, peu avant le concert à Notre Dame du Chêne, une action symbolique sera menée avec la plantation de l’arbre de la paix.
L’entrée est libre. L’intégralité des fonds récoltés sera reversée aux artistes ukrainiens, via une association française, qui gère leur périple durant ce mois en France.
L'interview de la rédaction : Bernard Vuillaume, président de la formation doubiste
Le collectif InPACT 25 propose une soirée « projection-échanges » ce mardi 27 juin au théâtre Bernard Blier avec la diffusion du documentaire « Essaimons-nous ». Ce film retrace les actions d’un collectif de maraîchers et maraîchères, troqueur de semences dans la région, qui se lance dans l’aventure d’un projet de vente de semences aux particuliers : La Semencerie. Cette projection s’inscrit dans la réflexion que mène le collectif InPACT autour des questions d’autonomie sur les fermes, de mutualisation des savoirs et des outils dans un esprit de cheminement collectif pour un agriculture citoyenne et territoriale.
Notre rédaction s'est entretenue avec Benoît Belot d’InPACT 25 (initiative pour une agriculture citoyenne et territoriale dans le Doubs), un collectif composé des associations Accueil Paysan, AFOCG 25, MRJC, Terre de Liens Bourgogne-Franche-Comté, Solidarité Paysans 25, qui a pour mission de travailler sur l’installation et la transmission dans le milieu agricole, avec une petite annexe sur les actions alimentaires.
Bonjour monsieur Belot, tout d’abord, qu’évoque ce documentaire que vous présenterez, aux côtés de vos confrères, ce mardi soir ?
« Ce documentaire va parler d’un sujet important : l’autonomie semencière, notamment chez les maraichers. La semence aujourd’hui est privatisée par des grands groupes. Les maraichers, notamment en Franche-Comté, ont démarré l’initiative d’un partage de semences, et ont fondé un GIE, la Semencerie, pour commercialiser des semences paysannes libres de droit. Ce documentaire réalisé par Laure Saint-Hillier, raconte l’histoire de ces maraîchers, qui militent pour récupérer la propriété de la semence, comme ça s’est toujours fait dans le milieu agricole »
Ces procédés sont déjà mis en place et appliqués ?
« Ça a été créé assez récemment, il y a quelques années, pour ce qui est la vente de semence. L’échange de semence appartient à des réseaux beaucoup plus vieux, qui ont mûri de longue date dans l’esprit de ces maraîchers que l’on suit tout au long du documentaire. Tout ce qui va être échange se réalise entre professionnels. Mais aujourd’hui, le droit européen a permis des améliorations. La vente se fait principalement vers les particuliers, avec une limite peut-être encore un peu floue vis-à -vis des professionnels »
Quel est l’intérêt ?
« L’intérêt de la semence aujourd’hui, c’est de pouvoir l’adapter à un territoire, et encore plus de façon actuelle, avec tous les soucis qu’on connaît, l’accès à l’eau, le réchauffement climatique, etc. On a besoin d’avoir des semences qui vont évoluer et s’adapter. Le travail du paysan est aussi de sélectionner les graines qui vont nous permettre d’avoir encore une production, peu importe les circonstances. Et d’avoir des fruits et légumes de qualité, pas dans une logique de productivité, mais de bienfaits pour la santé en priorité »
Finalement, c’est un enjeu très actuel, en adéquation avec les problématiques modernes.
« Bien sûr. La sélection semencière a toujours appartenu aux paysans, et ils ont, au travers des générations, apporté beaucoup de qualité à la semence. Ça s’est un peu perdu avec la recherche industrielle, où l’intérêt était peut-être plus de viser la production, dans des conditions où le climat et le sol permettaient d’avoir ce genre de chose, ce qui est plus compliqué aujourd’hui »
Ce documentaire qui dure un peu plus d’une heure, sera diffusé à 20h dans la salle Jean Renoir du théâtre Bernard Blier à Pontarlier ce mardi 27 juin. Après la diffusion, Laure Saint-Hillier, la réalisatrice, ainsi que des représentants du réseau de semence et de la Semencerie, seront sur place afin d’interagir avec les personnes venues participer à cette soirée.
Synopsis : A la recherche d’autonomie et porté par un profond respect du vivant, un petit groupe de maraîchers en agriculture biologique, réunis au sein d’un collectif informel d’échange de semences, décide de se lancer dans la vente de graines aux particuliers. Le passage d’une logique d’échange à une pratique commerciale plonge alors le groupe dans une profonde réflexion.
Un jeune homme de 24 ans, qui faisait l’objet d’une fiche de recherche pour un mandat d’arrêt émanant du tribunal judiciaire de Lons-le-Saunier, a été interpellé à la suite d’un accident survenu le 24 juin, à 20h30, rue des Cras, à Besançon. Il a été placé en garde à vue différée au commissariat de police bisontin. Il s’est également vu remettre une convocation pour s’expliquer le 23 novembre devant la justice. Précisions que le test d’alcoolémie a révélé un taux de 1,24 gramme d’alcool par litre de sang.
C’est la période où l’on réfléchit au programme de ses prochaines vacances. Il n’est parfois pas utile d’aller très loin pour passer un bon moment et se changer les idées. La Franche-Comté regorge de richesses patrimoniales, naturelles, culinaires, …. qu’il est possible de découvrir ou redécouvrir. Notre région est un formidable terrain de jeu et un écrin naturel qui mérite le coup d’œil. Plein Air vous propose de prendre vos chaussures de randonnée, votre gourde et votre chapeau et de prendre la direction des sentiers du Morbier. Direction Métabief et Labergement Sainte-Marie. Pensez également à vous munir d’un stylo et d’un appareil photo. Vous ne serez pas déçu.
Il y a une dizaine d’années, le syndicat du morbier et ses acteurs ont souhaité communiquer davantage sur ce fromage. Entre le comté et le Mont d’Or, le Morbier était en mal de notoriété. Pourtant, il raffole les palais et les papilles et se cuisine merveilleusement bien, en s’associant avec de nombreuses autres productions locales. C’est alors que Claude Philippe, ancien président du syndicat, et toute son équipe, ont eu l’idée de cette approche à la fois touristique et liée au développement local. Ils se sont appuyés sur les forces vives du territoire pour donner naissance à ces parcours touristiques et pédagogiques, que les nouvelles technologies sont venues enrichir.
L'interview de la rédaction / Patrick Sancey-Richard ( ancien fromager à Métabief)
Des parcours pour tous
Au départ de Métabief ou de Labergement-Sainte-Marie, ces deux boucles vous feront découvrir les paysages du massif jurassien et un de ses délicieux fromages AOP. Pour évoluer, il suffit de télécharger l’application « Morbier Explor Games » et de se laisser guider. Chaque sentier est jalonné de quatre panneaux explicatifs. L’aventure est enrichissante. Les parcours sont accessibles. Une visite des fromageries est également prévue. Ca sent bon la nature et les produits du terroir. Des projets identiques sont actuellement en réflexion. Ils pourraient voir le jour dans le secteur jurassien cette fois-ci.
L'interview de la rédaction / Patrick Sancey-Richard ( ancien fromager à Métabief)
N'hésitez pas à vous renseigner auprès des offices de tourisme pour obtenir de plus amples informations.
Les sapeurs-pompiers de Morteau, du Russey et de Pierrefontaine-les-Varans sont intervenus également au Bélieu, route de Fuans, pour du fourrage en surchauffe. Un volume de 1000 m3 de foin en vrac a dû être évacué. Quatre lances ont été établies afin de garantir une protection lors de la prise en charge du fourrage.
Un accident mortel s’est produit ce dimanche, vers 17h30, aux Rousses. Une voiture et une moto se sont percutées. Le motard n’a pas survécu à ses blessures. Les deux occupants de l’automobile n’ont pas été blessés. Ils ont été laissés sur place, après avoir été examinés.
Les sapeurs-pompiers sont intervenus ce dimanche, en fin d’après-midi, à Charquemont (25). Un homme de 38 ans a chuté d’une falaise au point de vue de la Cendrée. Le trentenaire est grièvement blessé. Il a été hélitreuillé par l’hélicoptère de la Rega et transporté au CHU Minjoz.
Le cycliste Valentin Madouas de Groupama FDJ a remporté ce dimanche le titre de champion de France à Cassel, dans le Nord. Son coéquipier Rudy Molard et Julien Bernard (Trek - Segafredo) complètent le podium. Le Franc-Comtois Thibaut Pinot termine à la 7è place. Cette course était l’ultime rendez-vous cycliste avant le Tour de France, qui s’élancera ce samedi 1er juillet de Bilbao.