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Ce samedi 16 septembre, le club Kiwanis de Besançon, avec le soutien du collectif d’Associations pour le Don d’Organes, organise la 28è édition des Boucles du Don. A travers cette manifestation sportive, le collectif veut informer et sensibiliser au don d’organes. Actuellement, en France, 10.800 personnes sont en attente d’une transplantation, faute de greffes. Le rendez-vous est fixé ce samedi 16 septembre, de 10h à 19h, sur la place Pasteur. Deux parcours d’environ 2 et 6 kilomètres seront proposés. Cette année, vos dons serviront à fournir ceintures et brassards aux enfants diabétiques hospitalisés afin qu’ils puissent ranger leur matériel de soin.

Du 15 au 17 septembre, l’association « focus nature Haut-Doubs Â» organise le 1er festival photo de Maîche avec la nature. Pour cette 1ère édition, l’organisateur accueillera 28 photographes naturalistes animaliers amateurs et professionnels, venus majoritairement de Franche-Comté et de Suisse. Au cours de cette exposition, le public pourra découvrir de magnifiques clichés mettant à l’honneur des animaux et toute la diversité de notre riche territoire franc-comtois.

A travers cette manifestation, les intervenants se sont donnés comme mission de partager leur passion, leur travail et leurs terrains d’exploration avec le grand public.  Â« On dit que l’on a l’habitude de protéger ce que l’on a déjà vu et ce que l’on aime Â» commente Jean-François Varriot, exposant et secrétaire de l’association organisatrice. Une maxime forte pour exprimer les valeurs qu’entend défendre cette manifestation culturelle.

Un marché artisanal

Sur place, le public pourra également rendre visite à la trentaine d’exposants artisans et producteurs locaux qui animeront le marché artisanal. Plusieurs métiers seront représentés : tourneur sur bois, sculpteur sur pierre, … . Les plus gourmands seront également récompensés avec la possibilité de déguster toute sorte de bons produits locaux. Des conférences sont également annoncées.

Ce premier évènement ne devrait pas passer inaperçu. L’exposition ouvrira  ses portes vendredi après-midi aux enfants des écoles. Le grand public est attendu nombreux samedi et dimanche. Les exposants seront présents au Château du Désert et à la salle de l’Union. Ajoutons qu’à l’intérieur du parc du Château, un circuit sera réalisé et conduira les visiteurs sur différents sites. Une sortie familiale, éducative et culturelle à ne surtout pas manquer.

Pour obtenir de plus amples informations : https://www.festivalphotomaiche.fr/

L'interview de la rédaction : Jean-François Varriot, exposant et secrétaire de l’association organisatrice.

 

Du 15 au 17 septembre, Besançon vivra au rythme de la nouvelle édition de « livres dans la Boucle Â». Cette année, l’évènement culturel grand bisontin accueillera 230 auteurs. La présidence de l’évènement a été confiée à l’académicien Dany Laferrière, prix Médicis 2009. « Livres dans la Boucle Â», c’est également près de 50 rendez-vous à Besançon et des rencontres, en marge du festival, dans les bibliothèques, les écoles, à l’hôpital ou  Ã  la maison d’arrêt. Ce rendez-vous littéraire bisontin a trouvé sa place. Il s’est installé dans le top 10 des festivals littéraires en France. Pour tout savoir sur ces trois jours dédiés aux livres : www.livresdanslaboucle.fr

Michel Neugnot, vice-président du Conseil Régional de Bourgogne-Franche-Comté , en charge des transports, a été suspendu, à titre conservatoire, de sa fonction de 1er secrétaire  fédéral de Côte d’Or, par le bureau national du parti socialiste. Il aurait tenu des propos racistes à l’encontre de Mahamadou Sangaré, élu à Nevers. Michel Neugnot se défend des accusations qui lui sont portées.

« Cette décision me permettra de me défendre sereinement. J’affirme que je ne me suis jamais adressé à cet élu dans les termes qui me sont reprochés. Plusieurs témoignages de participants à la réunion du 22 août confirment cette version des faits. Ils seront versés au dossier.

Je ne doute pas que le débat contradictoire annoncé par mon parti permettra de rétablir les faits réels. Je ne peux imaginer que mon parti balaie 50 ans d’engagements en faveur des valeurs socialistes et humanistes sur la seule foi d’un témoignage d’un opposant politique Â» écrit M. Neugnot.

La Crazy Pink Run de Pontarlier se prépare. Elle se tiendra le mercredi 4 octobre. Rappelons qu’elle s’inscrit dans l’édition 2023 d’Octobre Rose. L’objectif étant de sensibiliser les femmes au dépistage du cancer du sein. Les inscriptions sont lancées. Pour cette nouvelle édition, un nouveau parcours de 2,3 kilomètres sera proposé dans le centre-ville de la capitale du Haut-Doubs.

Des stands de sensibilisation des animations, un concert, … rythmeront la manifestation égalament. Une collecte de cheveux sera également organisée. Il sera possible de faire un don de 10 centimètres, qui sera assuré par des coiffeurs.

Pour s’inscrire : https://billetterie.ville-pontarlier.fr/index.php

Le projet contesté de la Ville de Besançon d’installer des bornes dans le quartier Battant-Madeleine a suscité la colère des commerçants du secteur, soutenu par l’Union des Commerçants de Besançon. Un collectif s’est créé et ses membres ont rencontré les élus. Plusieurs propositions ont été formulées, dont la possibilité de remonter les bornes après 19h, à la fermeture des commerces. « Le commerce est vital et doit se développer dans cette partie de la ville Â» explique le communiqué de presse.

L’iPhone 12, sorti en 2020, doit être retiré de la vente en France. La décision provient de l’agence nationale des fréquences (ANFR). Pour l’autorité, l’appareil présente un dépassement des valeurs limites sur les ondes électromagnétiques émises et absorbées par le corps humain. Le communiqué précise qu’Apple doit « mettre en Å“uvre tous les moyens disponibles pour remédier rapidement à ce dysfonctionnement. A défaut, il (lui) appartiendra de rappeler les exemplaires déjà vendus Â».  Le géant américain prévoit de contester les conclusions de l’agence.

Il serait complètement illusoire de laisser croire que la police nationale bisontine est parvenue à éradiquer le trafic de drogue à Planoise, mais il est objectif  de constater que la situation s’est nettement améliorée sur la voie publique. Yves Cellier, le directeur départemental de la sécurité publique du Doubs,  se félicite, avec toutes les précautions d’usage, d’un démantèlement important des lieux de deal à Planoise. Il explique qu’en près de 5 ans  de présence acharnée sur le terrain, « leur nombre est passé de 28 à 2 Â». Et ce, grâce à une meilleure collaboration de la population locale, qui utilise plus volontiers le dispositif en ligne « masecurite.fr Â» pour se protéger et protéger les leurs.  Cette action citoyenne est notamment à l’origine de l’identification d’un point de deal, implanté place de l’Europe,  en plein cÅ“ur du  quartier bisontin, ou une quantité importante de stupéfiants, pour une valeur marchande de 80.000 euros, a été découverte.

Dans ce contexte encore fragile, les dealeurs sont moins nombreux à officier sur la voie publique. Cependant, ils développent d’autres moyens pour poursuivre leur très lucratif trafic. Ce qui laisse apparaître une augmentation significative des livraisons à domicile, plus techniquement appelées « Uber shit Â». « J’ai conscience que les consommateurs et les dealers n’ont pas disparu pour autant Â» relativise M. Cellier. Et de poursuivre  : « On ne peut pas s’en satisfaire. Néanmoins, on recouvre un peu de tranquillité sur l’occupation de la voie publique Â». Avec humilité et précaution, le directeur de la sécurité publique du Doubs estime qu’il est possible « d’avoir une diminution des phénomènes de violence à force ouverte sur la voie publique Â» à Planoise.

L'interview de la rédaction / Yves Cellier

 

C’est le message qu’a souhaité faire passer hier Yves Cellier, le directeur  départemental de la sécurité publique du Doubs. Invité par le Procurer de la république de Besançon à faire le point sur l’interpellation d’un adolescent de 17 ans, qui a cru bon se faire justice lui-même  dans le cadre d’une enquête sur la fugue de sa petite sÅ“ur de 12 ans à Besançon, le policier a expliqué que les forces ont du gérer l’interventionnisme déplacé de badauds ce jour-là, rue de Dole.

Plusieurs personnes, sans connaître l’auteur, ni les raisons de son interpellation, se sont manifestées, en s’opposant physiquement à la patrouille dépêchée sur place.  Â« C’est un phénomène plutôt nouveau à Besançon, même s’il ne l’est pas partout sur le territoire national Â» explique M. Cellier. Et de compléter : «  Le citoyen n’a pas a jugé la manière dont on intervient. Il n’a pas à intervenir dans les opérations qui sont menées sur voie publique. S’il y a des erreurs, ce qui peut être le cas, c’est à l’autorité judiciaire et à l’autorité administrative  d’en juger Â».

M. Cellier demande de la citoyenneté. « Ces opérations sont justifiées. Lorsque la force doit être utilisée, elle est le plus souvent justifiée également Â» conclut le directeur départemental de la sécurité publique du Doubs. Le policier ne cache pas son inquiétude sur ce point. « Les policiers ont besoin du soutien de leurs concitoyens Â» conclut-il.

L'interview de la rédaction : Yves Cellier, directeur départemental de la sécurité publique

 

L’échéance approche à grands pas. Pour le kayakiste pontissalien Jules Bernardet, il s’agit de l’un des deux derniers grands rendez-vous qualificatifs pour les Jeux Olympiques 2024 à Paris. A compter du 19 septembre, et jusqu’au 24 septembre, l’athlète  participera aux championnats du monde A  de la discipline qui se disputeront à Lee Valley au Royaume Uni. 15 jours plus tard, il faudra également atteindre l’excellence  lors de la finale de la Coupe du Monde qui se jouera sur le bassin olympique à Vaires-sur-Marne. Autant dire que les places sont chères.

Néanmoins, les Pontissaliens, à l’image de François Rosset, le président du club de kayak local, rêve d’une qualification historique aux JO. Tout laisse à penser qu’il ne s’agit pas d’une utopie. Jules reste sur de belles performances. En août dernier, il a décroché deux titres, en individuel et en équipe, aux championnats du monde chez les moins de 23 ans.

Un pur produit de la formation pontissalienne

C’est à Pontarlier que le jeune homme a fait ses premières armes. A l’image de son aîné Pierre Bourliaud, Jules a su quitter son Haut-Doubs pour se donner les moyens de ses ambitions. « Après leur passage à l’école de pagaie, lorsque les jeunes arrivent en U15, et qu’ils sont très bons, nous ne pouvons plus répondre à leur niveau de pratique à Pontarlier. Le standard de notre bassin n’est pas suffisamment exigeant en termes d’eau vive » explique François Rosset. Dans ces conditions, les jeunes kayakistes vont tenter l’aventure ailleurs. La jeunesse pontissalienne rejoint les pôles de formation nationaux où elle peut performer davantage et s’ouvrir d’autres portes. Ce fut le cas pour Jules Bernardet qui a pu grandir mentalement et sportivement et atteindre le haut niveau. Il est en passe d’écrire une belle histoire sportive à Pontarlier. C’est tout le mal que nous pouvons lui souhaiter.

L'interview de la rédaction / François Rosset, président du club de kayak de Pontarlier