« Je vais participer le 11 septembre à l’élection de Miss Franche-Comté. Je suis actuellement la première dauphine de Miss Doubs, et je serai la candidate numéro 13 » confie Cléo. Une écharpe obtenue lors de son élection à Micropolis durant la foire comtoise en mai dernier, aux côtés de Diane Leyre, Miss France 2022, et des anciennes miss et dauphines des quatre départements de la région. Ce dimanche sera l’occasion de concrétiser cette belle aventure à l’espace Pourny de Pontarlier. Toutes les places ont déjà été vendues et le public votera pour les 5 finalistes. C’est ensuite le jury qui attribuera les places. « On va être jugé sur tout ce qu’on a fait depuis notre élection à Micropolis, depuis qu’on porte notre première écharpe. Mais également sur notre côté intellectuel, avec un test de culture générale, sur notre capacité à danser, être fluide, sourire, se tenir droite, notre bienséance en quelque sorte. Tous ces critères vont être très importants lors de l’élection » souligne Cléo Trouttet.
« J’aimerais porter au plus loin ma région, et surtout le Haut-Doubs, ma terre natale et celle où ma famille a toujours vécu. Je suis d’ailleurs la seule candidate qui provient du Haut-Doubs. Mais j’aimerais aussi porter la Franche-Comté à bout de bras, parce que c’est une magnifique région, que je trouve encore trop méconnue »
D'où t'es venue cette envie de participer à cette élection ?
« Le second confinement a été très difficile. J’étais seule dans mon appartement, je ne sortais pas, et je ne voulais pas revivre un moment pareil. J’ai pris le taureau par les cornes, et je me suis bougée pour faire changer les choses ! Je me suis orientée vers l’Islande, parce qu’il n’y avait pas de confinement et de contraintes trop intenses. Je suis donc partie en Erasmus, du mois d’août jusqu’en décembre. J’ai d’ailleurs validé mon semestre avec 14 de moyenne. Et comme j’ai toujours été intéressée par les Miss, c’est là -bas que j’ai eu un déclic. De me lancer, d’arrêter d’avoir peur, de ne pas avoir confiance en moi. Je me suis dit que moi aussi, je pouvais tenter l’expérience »
Comment as-tu vécu cette aventure jusqu’à présent ?
« Au début, j’avais très peur. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre. Et puis finalement, je me trouve vraiment à ma place, j’aime beaucoup ce qu’on est toutes en train de faire. Je me sens bien, je me sens suffisamment mature, et je sais que j’ai les épaules pour cette aventure fabuleuse »
Quelles seraient tes qualités principales ?
Certaines de mes qualités se transforment parfois en défauts. J’ai une profonde empathie, qui parfois me fait défaut, surtout avec les animaux ! J’ai aussi, quelquefois, du mal à cacher ce que je ressens. Ça se voit sur mon visage, je suis comme un livre ouvert, et de temps à autre, c’est difficile à porter. Sinon, je ne suis pas la meilleure danseuse, on n’a pas toutes pratiqué la danse, mais ça reste bon enfant, on rigole ensemble, c’est assez sympa et convivial. C’est vrai que ce n’est pas facile de danser en talons, se tenir droite et sourire. Ce n’est pas quelque chose d'inné. Il ne faut pas être trop rigide non plus, ce n’est pas évident ! Heureusement qu’on a des répétitions. Sinon, concernant le test de culture générale, ça devrait bien se passer. En préparant les concours de journalisme, on acquiert beaucoup de connaissances très diverses, ça aide pas mal ! J’aimerais d’ailleurs beaucoup faire du journalisme dans le domaine culturel, c’est un milieu qui m’intéresse énormément »
L’élection se tiendra le 11 septembre à l’espace Pourny de Pontarlier. Ce sont 13 candidates qui vont se mesurer au public et au jury, dans l’espoir de décrocher la couronne de Miss Franche-Comté 2022. Diane Leyre, Miss France 2022, sera présente. L’élection se déroulera en deux étapes. Le public sélectionnera sept candidates parmi les treize grâce à leurs votes. Le jury décidera ensuite qui des sept miss qualifiées aura l’honneur de représenter la Franche-Comté à l’élection de Miss France 2023.
Cléo Trouttet :
Les policiers pontissaliens ont eu à gérer deux affaires de violences conjugales ces derniers jours. Aucune ITT n’a été prononcée. Lors des investigations policières, il est apparu que les femmes commettaient les mêmes violences que celles qu’elles reprochaient à leur conjoint ou ex-conjoint. Des violences psychologiques et physiques ont été révélées. Les deux couples devront respectivement s’expliquer en octobre et novembre prochain devant le délégué du procureur.
Un Pontissalien de 41 ans, présentant des troubles psychiatriques, a été hospitalisé, avant de s’expliquer devant la justice. Ce dernier est soupçonné d’avoir envoyé des menaces de mort à sa tante pour une histoire d’héritage. Cette dernière, qui habite la région lilloise, a déposé plainte. L’affaire a été transférée au commissariat de police de Pontarlier, où réside le quadragénaire. Au cours de son audition, le mis en cause a reconnu les faits, mais ses propos sont apparus très confus.
Ce dimanche 11 septembre, de 10h à 12h, à la Maison des Sciences de l’Homme et de l’Environnement, la Ville de Besançon accueillera la Société des amis de Colette, pour une journée de conférences et de lectures autour de Colette et de Besançon.
Renseignements : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Inscriptions : https://my.weezevent.com/collette-bisontine-conferences-et-lectures
A Besançon, l’Orangerie municipale organise ses journées Portes Ouvertes au 3 rue du Puits, les samedis 10 et dimanche 11 septembre, entre 10h et 18h. Cette initiative est gratuite.
Sont au programme : troc de plantes et de graines, conseils, conférences et ateliers pour une gestion des espaces de nature en faveur de la biodiversité, visites des serres horticoles et botaniques, découverte de l’éco-pâturage avec les bergers municipaux et une partie du troupeau municipal, exposition « 2050, l’Odyssée du végétal », visites du quartier Saint-Ferjeux pour comprendre la gestion des espaces verts et échanger sur les moyens de lutter contre les îlots de chaleur. Autres nouveautés : un stand d’informations sur la prévention et la lutte contre les perturbateurs endocriniens ainsi qu’un stand d’informations sur les possibilités de carrières à la Ville de Besançon. Enfin, à l’occasion de la programmation Besançon XVIIIe , le public pourra découvrir un parterre de végétaux utilisés à l’époque de Vauban.
L’événement accueillera de nombreux partenaires tels que l’Office National des Forêts, le Conseil d'Architecture d'Urbanisme et de l'Environnement du Doubs, la Citadelle de Besançon, le Bibliobus, l'Agence Régionale de la Biodiversité Bourgogne-Franche-Comté ainsi que le Conservatoire Botanique National de Franche-Comté.
Jusqu’au 11 septembre, la Ville de Pontarlier donne carte blanche à l’illustrateur Steven Grah. Le rendez-vous est fixé à la Chapelle des Annonciades. L’entrée est libre. Rendez-vous tous les jours de 10h à 12h et de 14h à 18h. En parallèle, vous pouvez également découvrir des œuvres de l’artiste sur la façade de l’hôtel de Ville, place d’Arçon, dans le cadre de Reg’arts sur la ville.
Un rassemblement s’est tenu ce mardi, à la mi-journée, devant le lycée Claude Nicolas Ledoux à Besançon. Une manifestation à l’appel de Force Ouvrière pour dénoncer la souffrance au travail. Pour les manifestants, la coupe est pleine. Au lycée Claude Nicolas Ledoux, certains dénoncent le management de l’intendante. Ils évoquent un véritable harcèlement psychologique, un dénigrement régulier de leur travail et des accusations de vol infondées. Selon les agents présents, « de nombreux arrêts de travail sont prononcés et les cas de burn-out sont une réalité ». Ils déplorent « une terreur qui s’installe et les pressions subis par leurs collègues ». Ce qui explique la faible mobilisation de ce matin.
Mobilisation depuis quatre jours à Baume-les-Dames

Des agents de Baume-les-Dames ont également rejoint la mobilisation bisontine. Ils pointent le comportement « zélé » d’un personnel de direction, également élu de la commune, qui « outrepasserait ses fonctions ». A Baume-les-Dames, cela fait quatre jours que les agents sont en grève. Pour Frédéric Vuillaume, secrétaire général du syndicat Force Ouvrière au Conseil Régional de Bourgogne Franche-Comté, « la présidente de Région doit protéger les agents et améliorer leurs conditions de travail ». « Il est intolérable que les agents viennent travailler avec la peur au ventre » conclut-il.
L'interview de la rédaction / Frédéric Vuillaume, secrétaire général du syndicat Force Ouvrière au Conseil Régional de Bourgogne Franche-Comté
Actuellement, dans le Val de Morteau, un dépliant à destination des victimes de violences conjugales est diffusé. Contrairement, aux autres années, ce support de communication a été créé par les différents partenaires concernés par ce fléau au sein du conseil intercommunal de Sécurité et de Prévention de la Délinquance du Val de Morteau. Ainsi, élus, gendarmerie, travailleurs sociaux du Département, de Solidarité Femmes ou encore de l’ADDSEA, ainsi que la juriste du Centre d’Information du Droit des Femmes et des Familles ont collaboré à sa rédaction. Durant les périodes de confinement, à Morteau, comme ailleurs, les autorités ont constaté une augmentation des cas de violences intrafamiliales. D’où l’utilité d’une telle démarche.
Son objectif ? Informer les victimes et leurs proches sur les dispositifs existant afin qu’elles puissent trouver l’aide et les interlocuteurs qui sauront les guider et les conseiller pour surmonter les difficultés, les violences et les souffrances qu’elles rencontrent.
Ce nouveau dépliant d’information est disponible auprès des administrations, des différents services médico-sociaux du territoire et sur le site internet de la Communauté de Communes du Val de Morteau et de la Ville de Morteau.
L'interview de la rédaction / Marie Bonnetn vice-présidente du CCAS de Morteau
Un accident, ente une moto et une voiture, s’est produit ce matin, vers 11h, à Morbier (39). Deux personnes sont impliquées. On déplore un blessé grave qui a été pris en charge par les secours et transporté sur un centre hospitalier.
Le tournoi de pétanque, organisé par la Boule Chapeline, à Chapelle d’Huin, au profit de l’association des Lionnes Roses, a été un véritable succès. Rappelons que Elodie et Clémence, qui constitiuent l’équipage, participeront au Trophée « Roses des Sables », en octobre, dans le désert marocain.
Avec une météo très clémente, les joueurs étaient au rendez-vous. Ils ont pu évoluer aux côtés de trois personnalités du monde de la pétanque : le champion du monde 1998 Michel Briand et l'équipe féminine championne du Doubs 2021 et 2022, composée de Gaëlle Mattey Doret et Laurence Bertrand. Grâce à la générosité de tous les participants, 950 euros ont été récoltés. 850 tickets de tombola ont été vendus.
L’association organisatrice a remis à Elodie et Clémence le chèque qui leur permettra de compléter leur budget. Les deux aventurières tiennent à remercier " l'équipe de la Boule Chapeline, les participants et tous les sponsors » qui les soutiennent. A quelques semaines de l’aventure, le budget est désormais bouclé. Les aspects administratif et financier étant finalisés, il ne reste plus qu’à se concentrer sur la performance sportive.