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À l’approche du grand week-end du Téléthon, qui se tiendra les 6 et 7 décembre, Pontassociations, présidée par Catherine Mollet, mobilise toute son énergie pour faire de cette édition un moment fort de solidarité et de convivialité. Objectif affiché : dépasser les 7000 euros de collecte pour soutenir la recherche sur les maladies génétiques.

L'interview de la rédaction : Catherine Mollé 

Un programme riche et varié

En parallèle de l’évènement national, à Pontarlier, les animations débuteront le samedi 6 décembre, à 7h du matin,  au Théâtre Bernard Blier, avec un grenier solidaire, un marché de Noël, et une exposition de trains miniatures présentée par le Club ferroviaire de Franche-Comté, mettant en scène la célèbre Maurienne. Le point d’orgue du week-end sera le concert du samedi soir, offert par l’école de musique de Philippe Roy. 45 musiciens interpréteront un programme éclectique mêlant variété, classique, guitare et violon. La totalité des recettes de la soirée sera reversée à l’AFM Téléthon. Une buvette sera également proposée sur place. Les places pour le concert sont déjà disponibles au Tabac Presse Le Saint-Claude, Faubourg Saint-Etienne à Pontarlier. Tarif : 10 euros. La tombola, dont le tirage aura lieu le dimanche, viendra compléter la collecte. A ne pas manquer également le concours de tarot, à partir de 13h30.

Mobilisation locale et appel aux bénévoles

L'interview de la rédaction : Véronoique Parent 

Le Téléthon a déjà démarré en octobre avec un repas solidaire organisé en partenariat avec le lycée professionnel Toussaint Louverture, dont les élèves ont offert leur prestation au profit de l’événement. Malgré l’engagement d’une poignée de bénévoles fidèles, Catherine Mollet lance un appel à renforts, notamment auprès des associations sportives pour proposer des défis. Les dons alimentaires (pain, charcuterie, boissons) sont également les bienvenus pour alimenter la petite restauration. Précisons que la ville de Pontarlier soutient également l’événement. « Plus on donne, plus la recherche avance », rappelle Véronique Parent, bénévole à l'association. L’association espère une forte mobilisation du public pour faire de ce Téléthon 2025 un succès à la hauteur des enjeux

Ce jeudi, la France rend hommage aux victimes des attentats du 13 novembre 2015, qui ont endeuillé Paris et Saint-Denis. Cette nuit tragique a coûté la vie à 132 personnes et blessé plus de 350 autres, laissant une empreinte indélébile dans la mémoire collective.

À Besançon, une cérémonie de recueillement se tient à 11h00 au cimetière du Champ Brulley, en hommage à Ariane Theiller, victime du Bataclan. Dans le Jura, Françoise et Jean-Paul Gomet, parents de Cédric Gomet, tombé lui aussi au Bataclan à l’âge de 30 ans, sont à Paris pour participer à la cérémonie nationale.

Ce moment, à Besançon comme à Paris, s’inscrit dans une journée de commémoration portée par le devoir de mémoire et la solidarité envers toutes les familles touchées.

À la veille d’un match retour crucial en Coupe d’Europe face à Chambray, l’ESBF a retrouvé le chemin de la victoire en championnat. Les Bisontines se sont imposées 36 à 30 contre Sambre Avesnois hier soir au Palais des Sports pour le compte d’une nouvelle journée de championnat en D1 féminine. Un succès qui a mis du temps à se dessiner, mais qui fait du bien au moral et à la dynamique du groupe avant le rendez-vous continental.

Hier, en fin d’après-midi, les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus sur un parking commercial, chemin des Seignes à Morteau, pour un accident impliquant un véhicule léger et une piétonne. Une femme de 80 ans a été violemment percutée lors d’une manœuvre. Grièvement blessée, elle a été médicalisée sur place par le SMUR avant d’être évacuée vers le CHU de Besançon. La Gendarmerie Nationale était présente sur les lieux.

 

La dermatose nodulaire contagieuse (DNC) continue de frapper le cheptel jurassien. Un nouveau foyer a été détecté à Écleux, déjà considéré comme l’épicentre de la maladie. Il s’agit du septième cas recensé dans le département depuis le 10 octobre. Ce lundi, sept bovins ont dû être abattus pour contenir la propagation. La vigilance reste de mise pour les éleveurs et les autorités sanitaires.

Le 9 novembre dernier, vers 10h45, un homme en état d’ivresse a agressé une passagère dans un bus à l’arrêt "Liberté", rue de Belfort à Besançon. Après lui avoir arraché son téléphone, qu’il a volontairement brisé, il l’a saisie par le cou et projetée au sol. L’individu a pris la fuite avant d’être interpellé à 12h25 rue Isenbart, grâce à plusieurs signalements. Placé en garde à vue, il a reconnu le vol mais dit ne pas se souvenir des violences. Il sera jugé le 28 mai prochain.

Devant des militants et des élus de gauche, réunis à la Maison du Peuple, dans le quartier Battant, au centre-ville de Besançon, la maire sortante Anne Vignot a donné ce mardi le coup d’envoi de sa campagne pour les élections municipales de 2026. À la tête d’une liste d’union de la gauche et des écologistes, l’édile sortante entend rassembler au-delà des clivages pour poursuivre une action municipale qu’elle veut « juste, vivante et humaine ». Comme le souligne le nom de la liste qu’elle proposera aux Bisontines et Bisontins.

L'interview de la rédaction : Anne Vignot 

Une union revendiquée face à une droite « revancharde »

« Nous lançons une campagne de fierté et d’unité, fidèle à l’histoire de Besançon et à ses valeurs de solidarité », a déclaré la maire sortante, entourée des représentants de plusieurs formations de gauche. La devise de la campagne — « Besançon vivante, juste et humaine » — se veut un marqueur d’identité locale autant qu’un mot d’ordre politique. L’union, présentée comme plus large qu’en 2021, rassemble notamment le Parti Communiste Français, Génération.s, L’Après d’Alexis Corbière et Clémentine Autain, Debout de François Ruffin, À Gauche Citoyens et L’Engagement, fondé par Arnaud Montebourg qui, depuis, a pris  ses distances avec la vie politique. Si le Parti socialiste et La France insoumise ne figurent pas pour l’heure dans cette coalition, la porte « reste ouverte » jusqu’au dépôt officiel des listes, prévu le 15 février.

Pour l’élu communiste Hasni Alem,  cette union est « une responsabilité collective »,  face à la montée d’une droite qualifiée de « revancharde » et à une extrême droite en progression. « Notre devoir est de maintenir Besançon à gauche, pour changer la vie des classes populaires et préparer la ville aux défis climatiques », a-t-il insisté.

 

MUNICIPALES VIGNOT BONTEMPS

Un bilan revendiqué, malgré les crises

L’équipe sortante et ses soutiens  défendent un bilan de mandat positif, malgré « les crises successives » — sanitaire, énergétique ou sociale. Selon les intervenants, Besançon est restée « attractive, a su préserver son tissu économique et renforcer les services publics Â».

La campagne s’articule autour de trois axes :

  • « Besançon vivante », pour soutenir le commerce local et l’industrie.
  • « Besançon juste », pour renforcer les solidarités et les services publics.
  • « Besançon humaine », pour faire de la capitale comtoise une ville inclusive et écologique.

Anne Vignot entend prolonger « une gouvernance collective et apaisée », symbole selon elle d’une « gauche de gestion et d’écoute ».

L'interview de la rédaction : Anne Vignot 

Un paysage politique fragmenté

Malgré la volonté d’unité, la gauche bisontine reste morcelée : cinq listes de sensibilité proche seraient déjà déclarées. Certains y voient une « primaire déguisée » au premier tour ; une idée qu’Anne Vignot réfute fermement. « Notre liste a la légitimité de son bilan et la crédibilité de son projet », a-t-elle martelé.  La question de la participation reste l’un des enjeux majeurs. Avec une abstention record de 61 % en 2020, la gauche veut s’adresser aux citoyens éloignés des appareils politiques : militants associatifs, jeunes, habitants des quartiers populaires.

« Besançon mérite une majorité de projet, pas une addition de sigles », a résumé Gabriel Viennet, militant au collectif l’Après, appelant à une campagne « de terrain et de conviction ».

Prochaines étapes

Le collectif Vignot se donne jusqu’à la mi-février pour finaliser sa liste et poursuivre les discussions avec d’autres formations. En cas de dispersion au premier tour, les responsables n’excluent pas des fusions au second tour, dans l’esprit du « rassemblement le plus large possible ». La bataille de Besançon entre dans une nouvelle dynamique, avec l’entrée officiellement en lice de la maire écologiste sortante, bien déterminée à retrouver son siège en mars prochain.  

La commune de Larnod lance une enquête pour mieux comprendre les habitudes de déplacement de ses habitants : voiture, bus, vélo, covoiturage… Chaque réponse contribuera à l’amélioration des infrastructures et des services de transport, souligne la municipalité.  Le questionnaire est anonyme et rapide , comptez entre 3 et 5 minutes de réflexion.  Pour participer : Enquête sur les habitudes de déplacement des habitants de Larnod