Tony Mauricio a prolongé son contrat en faveur du FC Sochaux-Montbéliard. Le milieu de terrain de 28 ans est désormais lié au Club jusqu'en 2025, avec une option jusqu’en 2026.
Le jeune lynx, découvert dernièrement sur le territoire de la commune de Chapelle des Bois, n’a pas survécu. Et ce malgré, la mobilisation de l’équipe de soigneurs de l’antenne Athenas, basée à l’Etoile (39). Rappelons que l’animal, une femmelle de 4 mois, a été retrouvée déshydratée, dénutrie et en hypothermie. C’est un randonneur qui avait donné l’alerte. La mère n’a jamais été retrouvée. Sur sa page Facebook, l’équipe, « abattue » par cette fin tragique, réaffirme « sa détermination pour « sauver les lynx et lutter contre le braconnage ».
Cette année encore, la recyclerie citoyenne de Maîche, baptisée Re Bon, participe au Festival des Solutions écologiques, organisé par la Conseil Régional de Bourgogne Franche-Comté. Dans ce contexte, elle propose différentes animations et invite la population à venir pousser les portes de la structure. Des animations sont organisées à destination des scolaires durant ces deux prochains jours, jusqu’au 29 septembre, et pour le grand public ce vendredi et ce samedi. Rencontre avec Jean Marc Lerat, son président.
Créée par Préval Haut-Doubs en 2018, la recyclerie maîchoise a désormais pris son indépendance. Gérée sous un statut associatif, elle est un acteur de premier plan dans le domaine de l’économie sociale et solidaire. Engagée dans le registre de l’insertion sociale et professionnelle, son action cible la réduction des déchets par le réemploi des objets destinés à être jetés. Une démarche multiple qui remet sur la voie les personnes les plus éloignées de l’emploi, participe à la protection de l’environnement, en s’insérant dans la démarche « Zéro Déchet », et sensibilise à ces enjeux.
15 tonnes de déchets récoltés par mois
Actuellement, quatorze personnes en insertion travaillent au sein de cette structure. Elles sont encadrées par une équipe de quatre permanents et bénévoles. Tout au long de l’année, l’association redonne une seconde vie aux vêtements, livres et produits électroménagers qui lui sont confiés. C’est comme cela qu’elle finance son activité et rémunère ses collaborateurs. Son chiffre d’affaires annuel est estimé à 200.000 euros.
Développement et projets
Depuis quelques temps, « Re Bon » a développé une activité « E.commerce ». Mais ce n’est pas la seule initiative qui a été mise en œuvre. Une déchetterie mobile a également vu le jour. Prochainement, un service de transport à la demande sera déployé sur le territoire maîchois. Deux voitures ont été acquises et desserviront le territoire.
Pour de plus amples informations : www.recyclerie-maiche.org
L'intervbiew de la rédaction / Jean-Marc Lerat, président de la recyclerie de Maîche
Un homme de 23 ans, inscrit au fichier des personnes recherchées sous contrôle judiciaire, avec interdiction de se rendre sur la commune de Besançon, et de quitter la Haute-Savoie, a été interpellé hier soir, vers 23h15, rue de Savoie, par les policiers bisontins.
Ce dernier a refusé de se soumettre aux injonctions formulées par les forces de l’ordre de s’arrêter. Il a pris la fuite à pied. Lors de la palpation de sécurité, il a trouvé porteur d’un sachet d’herbe de cannabis. Au commissariat, il a refusé de se soumettre aux épreuves de dépistage alcoolique et stupéfiants. Il a été placé en garde à vue avec différemment des droits.
Ce vendredi 30 septembre, Grand Besançon Métropole, en partenariat avec de nombreux partenaires et le Conseil Départemental du Doubs, organise l’opération « Cap vers l’emploi » à Micropolis de 9h à 17h. Il s’agit de la deuxième édition de cet évènement.
A travers ce rendez-vous, les organisateurs veulent simplifier les contacts entre les employeurs et les personnes à la recherche d’un emploi. Dans un contexte socioéconomique particulier, avec un taux de chômage très faible sur le bassin d’emploi de Besançon (5,8%, inférieur à la moyenne nationale (7,4%)), le public ciblé semble être davantage en difficulté et beaucoup plus éloigné de l’emploi que les années précédentes. C’est la raison pour laquelle les structures sont à ses côtés pour l’accompagner au mieux. Les freins à l’emploi sont multiples et chacun doit faire un pas vers l’autre pour trouver des solutions et faciliter l’intégration. Le salaire, une juste répartition des richesses, les conditions de travail, les déplacements et les coûts qui y sont liés, s’adapter aux besoins et aux attentes de la nouvelle génération … font partie des freins que les employeurs et les entreprises doivent être en capacité de lever pour faciliter aussi leur recrutement.
1.400 offres d’emploi proposées
Les chiffres sont éloquents. L’édition 2022 du Salon Cap vers l’emploi accueillera plus de 150 exposants, issus de très nombreux domaines d’activité : l’aide à la personne, la vente, le BTP, la santé, … . . 1.400 offres seront proposées. Un espace d’accueil, de conseil, d’orientation et de préparation aux entretiens avec les employeurs sera mis en place. Précisons qu’en amont de cet évènement, des ateliers de préparation à l’embauche se sont tenus au sein de différentes structures.
L'interview de la rédaction / Nicolas Bodin, vice président à l'économie, au commerce, à l'artisanat et à l'insertion à Grand Besançon Métropôle
Ce mardi, le BesAC dispute sa première journée de championnat de la saison en nationale 1. Les basketteurs bisontins se déplacent à Toulon. Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 20 heures.
A Besançon. Un homme d’une quarantaine d’années a été placé sous mandat de dépôt en attendant son jugement en comparution immédiate le 28 septembre prochain. Il est soupçonné d’avoir donné des coups à une victime du même âge dans le quartier Battant le 25 septembre.
Le quadragénaire présentait des plaies au visage. Il a été transporté à l’hôpital Minjoz. Repéré par les caméras de vidéosurveillance, l’agresseur présumé a été interpellé Grande Rue et placé en garde à vue différé, vu son taux d’alcoolémie ( 1,44 gramme d’alcool par litre de sang).
La Situation est inquiétante. La facture énergétique pèse lourd dans le budget de la ville de Besançon. Pour l’année 2023, elle va doubler par rapport à l’année précédente. Passant de 6,7 millions d’euros à 12 millions d’euros. Pour le prochain exercice comptable, la collectivité doit trouver huit millions d’euros pour équilibrer son budget. Pour l’heure, une économie de seulement deux millions d’euros est possible. Il reste encore six autres millions à trouver. Pas facile, lorsque l’on sait que l’état soumet, depuis plusieurs années déjà , les collectivités à faire d’importantes économies. Lorsque Bruno Le Maire, le Ministre de l’économie déclare ce matin que « la France est à l’euro près », Anthony Poulin lui rétorque que « les collectivités sont au centime près ».
Conserver la qualité de service public
C’est la mission que s’est fixée la Ville de Besançon. Elle souhaite conserver la qualité de service public actuelle, et ne pas procéder à des fermetures qui seraient néfastes pour la population locale. La priorité pour la ville est l’éducation, l’accompagnement des familles et des enfants et le vivre ensemble. A plus au moins long terme, Anne Vignot, la maire bisontine, craint « une crise d’ampleur ». « Le nombre de personnes sollicitant l’aide du CCAS explose » explique-t-elle.
Des premières mesures qui pourraient en appeler d’autres
Quelques mesures sont d’ores et déjà annoncées pour faire des économies, mais elles ne permettront pas de trouver les ressources nécessaires dont la cité a besoin. Tout en demandant à l’état que les collectivités locales bénéficient du bouclier énergétique, il est prévu de réduire de 2° la température dans les bâtiments publics, de 1° l’eau des deux piscines municipales couvertes et de modifier l’éclairage de certains bâtiments en changeant les ampoules actuelles par des leds. En parallèle, la Ville aimerait poursuivre les chantiers de rénovation énergétique lancés depuis le début du mandat, et qui lui ont permis de réaliser de nettes économies. Plusieurs milliers d’euros ont été économisés grâce aux chantiers entrepris dans les quatre gymnases. L’ambition est également de poursuivre le plan de rénovation thermique dans les écoles bisontines. A moins que le contexte économique exige de nouvelles restrictions.
L'interview de la rédaction : Anne Vignot