Choix du secteur :
Se connecter :
 

Football

7è tour de la Coupe de France

Pontarlier 2 – 2 FC Sochaux Montbéliard ( 5 TAB 6) 

Racing Besançon 4 – 0 Thionville Lusitanos

FC Villars l’Isle Saint Maurice 1  – 1 Sarre Union ( 3 TAB 4) 

Régional 1

Louhans Cuiseaux – Grandvillars ( match reporté) 

Vesoul 3 – 1 Ornans

Pays Maîchois – Racing Besançon (2) ( match reporté) 

Pontarlier (2) – Jura Sud Foot (2) ( match reporté) 

USPV 0  – 1 Morteau Montlebon

Le rendez-vous est pris : les Eurockéennes de Belfort reviendront du 2 au 5 juillet 2026 sur la presqu’île du Malsaucy pour une 36e édition éclectique. Ce vendredi 14 novembre, 26 artistes ont été annoncés, dont Aya Nakamura, Orelsan et Vald, Feu Chatterton et le DJ Quentin Mosimann. La billetterie ouvre ce lundi 17 novembre à midi. Comptez 67 € pour une journée, 119 € pour deux, 165 € pour trois jours et 209 € pour le pass quatre jours.

 

Depuis 2023, un van itinérant sillonne la Bourgogne-Franche-Comté pour offrir un accès au droit au plus près des habitantes et habitants. Porté par la Fédération régionale des CIDFF (Centres d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles), ce dispositif innovant se déploie largement depuis 2024 et 2025 sur l’ensemble du territoire. Chargée de projet, Lily Tribouley-Mathey revient sur les enjeux d’un outil pensé pour aller là où les services publics ne vont plus.

Un service né pour lutter contre l'isolement territorial

Initialement expérimenté, le van a convaincu. Il répond à une problématique bien particulière : l’accès inégal aux services d’information et d’accompagnement. « Notre région est très étendue et très rurale. Les services au public sont concentrés dans les grandes villes. Le van nous permet d’aller à la rencontre des habitants là où ils vivent, devant un supermarché ou sur un marché », explique Lily Tribouley-Mathey. Pensé pour les zones rurales, le dispositif a progressivement étendu son rayon d’action : quartiers prioritaires, événements institutionnels, et désormais milieux universitaires.

L'interview de la rédaction : Lily Tribouley-Mathey, chargée de projet 

Un outil pour toucher tous les publics, y compris les étudiants

En 2025, le CIDFF a inauguré une « tournée des campus », une première à l’échelle nationale. Les étudiants constituent un public difficile à atteindre, alors même qu’ils sont, selon la chargée de projet, « énormément victimes de violences, de discriminations et de précarité, autant sociale qu’économique ». Le dispositif  permet ainsi d’aller au-devant de jeunes souvent isolés, parfois loin de leur famille, confrontés à des jeux de pouvoir au sein de l’université, ou encore à des situations de grande vulnérabilité.

Les violences sexuelles et sexistes surviennent fréquemment dès la première semaine d’intégration, souvent en contexte festif. « Beaucoup mettent du temps à comprendre que ce qu’ils ont vécu relève d’une violence », ajoute-t-elle, rappelant la nécessité d’un espace d’écoute bienveillant. « On les croit. Toujours. Et on peut les accompagner dans des démarches psychologiques ou juridiques. »

L'interview de la rédaction : Lily Tribouley-Mathey, chargée de projet 

Un accès au droit pour tous, au-delà des violences faites aux femmes

Souvent perçus comme des structures centrées sur la lutte contre les violences faites aux femmes, les CIDFF remplissent en réalité une mission plus large d’accès au droit.
Chaque centre doit disposer au minimum d’un·e juriste : orientation, vulgarisation du droit, explication des démarches… « L’objectif est de rendre l’information accessible à tous, gratuitement et de manière confidentielle », rappelle Lily Tribouley-Mathey. Selon les départements, les CIDFF développent aussi des actions spécifiques : accompagnement vers l’emploi, hébergements pour femmes victimes de violences conjugales, parcours de sortie de prostitution, etc.

Prostitution, traite et réseaux sociaux : un enjeu croissant

La chargée de projet souligne également un phénomène préoccupant : l’entrée de plus en plus précoce de jeunes femmes dans la prostitution ou la traite, souvent via les réseaux sociaux. Si ce volet du projet reste récent, les CIDFF restent mobilisés pour lutter contre l’exploitation en toutes ses formes.

L'interview de la rédaction : Lily  Tribouley-Mathey, chargée de projet 

Un « aller-vers » concret : visibilité, proximité et écoute active

Le van itinérant ne se contente pas d’être présent sur le terrain : il capte l’attention. Tables, chaises, outils de sensibilisation, échanges informels… « L’aller-vers, ce n’est pas juste être sur place. C’est aller au contact. Quand quelqu’un observe le van de loin, on l’aborde, on crée un dialogue. C’est comme ça que les problématiques émergent. »

Grâce à cet outil mobile, le CIDFF rend visible un droit qui, trop souvent, reste inaccessible.

À partir du lundi 17 novembre, des travaux de réfection de la chaussée seront réalisés sur la RN57, à hauteur de L’Hôpital-du-Grosbois, dans le sens Besançon vers Pontarlier. Menée par la Direction interdépartementale des Routes Est pour le compte de l’État, cette opération se déroulera jusqu’au vendredi 21 novembre.

Les voies de gauche seront neutralisées dans les deux sens pendant les deux premiers jours, puis la circulation sera basculée sur la voie opposée. Les bretelles Besançon vers L’Hôpital-du-Grosbois et L’Hôpital-du-Grosbois vers Pontarlier seront fermées durant les quatre derniers jours. Des déviations seront mises en place.

Sans aucune surprise, dans un communiqué de presse, Le MoDem du Doubs et sa présidente Anne Falga annoncent  leur  soutien à Laurent Croizier et Ludovic Fagaut, porteurs d’un projet de rassemblement pour Besançon. « Après six années marquées par une gestion jugée clivante et polémique », le mouvement appelle « à tourner la page et à remettre les préoccupations concrètes des Bisontines et Bisontins au cœur de l’action municipale : sécurité, mobilité, propreté et qualité de vie ».

 Face à l’essor du e-commerce et à l’intensification des flux de marchandises importées dans l’Union européenne, les services de l’État renforcent leur vigilance. Une opération de contrôle ciblée des colis postaux, notamment en provenance de Chine, a été menée ce jeudi au centre de tri postal de Besançon, avenue Clémenceau.

Cette action a mobilisé les douanes de Besançon, la police nationale, ainsi que les services de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes. Elle visait à détecter les fraudes, les contrefaçons de marque et à garantir la sécurité des consommateurs. Cette opération a été réalisée en présence notamment de Rémi Bastille, le Préfet du Doubs, d’Estelle Rocklin, la directrice régionale des douanes de Franche-Comté et Laurent Perraut, directeur interdépartemental de la police nationale du Doubs.

Ce samedi à 16h, le stade Paul Robbe de Pontarlier sera en ébullition. Le CA Pontarlier Football (N3) reçoit le FC Sochaux-Montbéliard (National) pour un 7e tour de Coupe de France qui s’annonce bouillant.

Une effervescence à la hauteur de l’événement

« C’est vrai que c’est une belle affiche, un parcours qui récompense le club », confie Betrand Gabry, le Président du CA Pontarlier Football.  L’effervescence est palpable dans la cité du Haut-Doubs. Et pour cause : accueillir le FC Sochaux-Montbéliard, institution du football franc-comtois, reste un moment particulier pour tout le club. « On aimerait vraiment que ce soit la fête du foot franc-comtois », ajoute le dirigeant, soulignant l’esprit de camaraderie et de fair-play qui unit les deux clubs.

L'interview de la rédaction : Bertrand Gabry, président du CA Pontarlier Football 

Un stade Paul Robbe à guichets (presque) fermés

Le public sera au rendez-vous. « Côté pontissalien, on est quasiment à guichet fermé. Il reste quelques places pour les visiteurs, mais le stade sera plein », assure M. Gabry.
Les supporters du CAP, fidèles et bruyants, joueront une fois encore un rôle essentiel. « On l’a vu contre Mulhouse, le public a porté l’équipe jusqu’à la victoire. Leur soutien est une vraie force pour nos joueurs. »

Un défi sportif immense… mais pas impossible

Sur le papier, la marche paraît haute. Le FC Sochaux-Montbéliard, fort de son expérience et des deux divisions qui séparent les deux formations, part évidemment favori. Mais Pontarlier a déjà prouvé qu’il savait créer des surprises. « En 2016, on avait déjà réussi un exploit. La Coupe de France, c’est la compétition des surprises. Pourquoi ne pas en écrire une nouvelle à Paul Robbe samedi ? » sourit Bertrand Gabry,  qui croit dur comme fer à l’exploit. Le mot d’ordre du groupe est clair : aucun regret. « Les joueurs sont concentrés, prêts à tout donner. Ils vont mouiller le maillot pour défendre les couleurs du club et de la ville. »

L'interview de la rédaction : Bertrand Gabry, président du CA Pontarlier Football 

Des bénévoles et partenaires à l’honneur

Au-delà du terrain, cette rencontre symbolise tout l’engagement d’un club amateur.
« C’est une récompense pour nos bénévoles, nos partenaires, tous ceux qui œuvrent au quotidien dans l’ombre », souligne le dirigeant. Beaucoup d’entre eux ne verront sans doute pas le match, occupés à faire tourner la buvette ou à encadrer les flux de supporters. « Les joueurs le savent. Ils voudront leur offrir la qualification pour les remercier. »

Et après ? Le rêve du 8e tour

En cas de victoire, Pontarlier s’ouvrirait les portes du 8e tour – dernière étape avant les prestigieux 32es de finale. L’Isle sur le Doubs ou Sarre Union se trouveront alors sur la route des Capistes ». Mais avant de rêver plus grand, place à Sochaux. Un choc régional, un parfum de derby, et surtout une promesse de passion.

Le Grand Besançon Doubs Handball reçoit ce vendredi soir Massy, lanterne rouge du championnat, pour une rencontre à ne surtout pas prendre à la légère. Sur le papier, les Bisontins partent favoris : Massy n’a toujours pas gagné depuis le début de saison. Mais pour  Christophe Viennet le coach bisontin, pas question de se relâcher. « Il ne faut pas sous-estimer l’adversaire », prévient l’entraîneur. « Massy n’est jamais très loin au score et va récupérer des joueurs importants. On doit assumer notre statut de favori, mais sans se croire à l’abri. »

Retrouver l’exigence dès l’entame

Après leur déconvenue la semaine dernière à Valence, les Bisontins veulent surtout retrouver du rythme et de la rigueur dès les premières minutes. « La deuxième mi-temps à Valence a été meilleure, mais on a mis trop de temps à entrer dans le match. Il faut être exigeant dès le coup d’envoi pour se rendre le match conforme à nos ambitions », souligne le coach. Les joueurs le savent : tous les points comptent. « C’est typiquement le genre de match qu’on ne peut pas perdre si on veut viser le haut de tableau  », glisse-t-il. « Ces rencontres-là font la différence sur une saison. ». 

L'interview de la rédaction : Christophe Viennet 

Régularité et gestion des “trous d’air”

Si le GBDH s’est montré séduisant face aux grosses cylindrées, il peine encore à enchaîner. Le manque de régularité et la gestion des temps faibles restent les points à améliorer. « Les scores sont souvent très serrés, preuve qu’on n’est jamais loin. Mais on a encore ces passages à vide qu’il faut réduire au maximum », reconnaît le pivot Alexandre Aguilar
Ces petites phases de relâchement coûtent parfois cher. « Un match n’est jamais linéaire. L’enjeu, c’est de savoir faire le dos rond, resserrer le jeu et rester concentré quand ça va moins bien. »

Une question de culture et d’exigence collective

Au-delà du terrain, le discours du staff est clair : l’exigence doit devenir une habitude quotidienne. « L’exigence, ce n’est pas que le jour du match. C’est à l’entraînement, dans la préparation, dans la logistique, dans tout ce qu’on fait au club. C’est ce qui nous permettra de franchir un cap », insiste l’entraîneur.

L'interview de la rédaction : Christophe Viennet 

Objectif : confirmer à domicile

Face à un Massy dos au mur mais toujours combatif, le GBDH n’a pas le droit à l’erreur. Gagner ce match serait l’occasion de relancer une dynamique positive avant une série de rencontres déterminantes face à des adversaires directs (Saintes, Sarrebourg…). « Tous les matchs valent deux points, mais celui-là peut valoir bien plus dans les têtes », résume Christophe Viennet

L'interview de la rédaction : Alexandre Aguilar 

Le rendez-vous est donné : coup d’envoi vendredi à 20h30 au Palais des Sports de Besançon. L’occasion, pour les Bisontins, de confirmer leur potentiel… et leur ambition.