Le Député Laurent Croizier assurera, en fin de semaine, deux permanences de proximité sur sa circonscription. Rendez-vous ce vendredi 29 novembre, le matin, sur le territoire de la commune de Burgille, en mairie, et l’après-midi, toujours en mairie, à Chemaudin-et-Vaux. Pour prendre rendez-vous : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou par téléphone au 09.80.81.44.80
Le Député Laurent Croizier et le Sénateur Jean-François Longeot, qui ont mené une réflexion et un travail en faveur de la restriction du trafic de poids-lourds sur la RN 83 et son report vers l’autoroute, mènent actuellement des réunions publiques sur le territoire concerné. Ils entendent ainsi informer sur les actions mises en œuvre et leur avancée. Chaque jour plus de 2.500 camions traversent les villages via la RN83 avec des conséquences importantes pour la sécurité, l’environnement et le bien-être des riverains.
Les prochaines dates sont les suivantes :
Le 4 novembre, à 20h, à la salle communale de Quingey (place d’Armes).
Le 8 novembre, Ã 20h, Ã Rennes-sur-Loue, Ã la salle communale (place du village).
Le 15 novembre, à 20h, à Chenecey-Buillon, à la salle communale (rue de l’église).
Le 25 novembre, Ã 20h, Ã Sansom, Ã la salle communale (3 rue du Bas).
Le 29 novembre, Ã 20h, Ã Larnod, Ã la salle communale (Esplanade Marthe Dagot).
Suite à la situation d’un étudiant bisontin, contraint au redoublement, après avoir été hospitalisé en urgence, le jour de ses épreuves écrites de BTS, le député Modem doubiste Laurent Croizier a déposé une proposition de loi instaurant des sessions de remplacement pour les candidats hospitalisés.
« Alors que les examens du baccalauréat, du certificat d’aptitude professionnelle, ou du brevet professionnel prévoient des sessions de remplacement, une absence à une épreuve du Brevet de Technicien Supérieur pour une cause de force majeure est sanctionnée par la note zéro » pointe le parlementaire. Cette proposition de loi transpartisane a été cosignée par 35 députés de 9 groupes différents.
Dans une missive, qu’il communique à la presse, le Bisontin Jean-Philippe Allenbach, président du Mouvement Franche-Comté, interpelle le député doubiste Modem Laurent Croizier, suite à son communiqué de presse sur la déclaration de politique générale de Michel Barnier.
En utilisant le « tu », l’ancien candidat aux municipales de Besançon demande au parlementaire s’il s’appliquerait, localement, à lui-même, sa conclusion : « Il est temps de dépasser les divisions et les querelles, les Français nous regardent ».
Se projetant déjà sur 2026, il aimerait savoir si Laurent Croizier assumerait une union « Macron-Modem-LR » pour remporter la ville de Besançon. Il lui renvoie, ainsi qu’à son adversaire Ludovic Fagaut, « N’oubliez pas que les Bisontines et les Bisontins vous regardent ». Affaire à suivre.
Dans un communiqué de presse, Laurent Croizier, député Modem du Doubs, représentant l’opposition municipale à Besançon, réagit à l’installation de sept caméras de vidéoprotection dans la cité comtoise. Il regrette qu’Anne Vignot, la maire écologiste, n’ait pas « entendu plus tôt les demandes de l’opposition municipale et celles de la police nationale et de la justice ».
Il invite la municipalité à changer "de braquet en matière de politique de sécurité : poursuivre l’installation de nouvelles caméras, recruter les 18 policiers municipaux manquants depuis 2020, armer la police municipale et créer une brigade de soirée au sein de la police municipale ».
Dans un communiqué de presse, Laurent Croizier, le député Modem du Doubs, réagit à la Déclaration de politique générale de Michel Barnier, effectuée mardi à l’Assemblée nationale. Selon lui, « le Premier ministre à la hauteur sur le ton et sur le fond ». Tout en expliquant que le chef du gouvernement « a déroulé une feuille de route en phase avec les attentes des Français ». « Il est temps de dépasser les divisions et les querelles, les Français nous regardent » termine le parlementaire.
Avant de traiter ce genre d’affaire, il est toujours bon de se rappeler que le journalisme se base sur des faits, et que seuls les faits sont indiscutables. Cette approche déontologique est encore plus vraie en politique. Elle évite les incompréhensions et les influences éventuelles. Chaque décision n’est jamais anodine et mérite d’être recontextualisée, tout en essayant de comprendre le pourquoi du comment. Les réactions politiques et syndicales, qui ont suivi le courrier de la Ville de Besançon, suite à une démarche anonyme, après de prétendus vols dans un immeuble du quartier de Trépillot, demandent cette approche.
Rappelons les faits. En avril dernier, la cité comtoise reçoit un courrier anonyme. Maladroitement, une élue de la majorité s’engage dans une réponse écrite, dans laquelle on demande aux concernés de dénoncer les agents municipaux, qui pourraient être à l’origine de ces vols. Lors du dernier conseil municipal, l’élu LR Ludovic Fagaut brandit le courrier, pointe la décision et quitte théâtralement la salle, en compagnie du député Modem Laurent Croizier, et leurs soutiens. Ce mercredi, l’intersyndicale de la Ville et de Grand Besançon Métropole est montée au créneau à son tour et menace de faire grève pour dénoncer l’initiative municipale.
L'interview de la rédaction : Anne Vignot
Une enquête administrative
Anne Vignot reconnaît « une erreur » dans la manière avec laquelle la Ville de Besançon et son adjointe ont traité le problème. « Cela ne se fait pas » explique l'édile, qui exprime clairement son désaccord par rapport à l’écrit et son contenu. Elle rappelle néanmoins qu’une enquête administrative, qui a pris du retard, a été lancée en juillet dernier. Elle a été réactivée cet été et fait suite à plusieurs dénonciations de ce type, survenues déjà durant l’année 2023. Pour la Maire et présidente de Grand Besançon Métropole, « il n’était pas question de rendre publique cette enquête administrative. Elle rappelle que ce choix s’est effectué dans le respect des convenances et pour ne pas jeter l’opprobre sur les agents bisontins. Elle le redira demain aux syndicats, qui ont demandé à la rencontrer.
« Une manipulation politique »
Anne Vignot n’est pas dupe. La réaction théâtrale de l’opposition municipale s’inscrit dans la visée des élections municipales de 2026. « Une chose est certaine. Ils ont bien l’intention de mener une campagne des municipales qui ne sera pas sur le fond, mais qui cherchera à égratigner mon image et celle de mon équipe. Quoiqu’il en soit, je serai toujours sereine, droite et intègre. Je le démontrerai en permanence ».
L'interview de la rédaction : Anne Vignot
Un soutien au pouvoir d’achat des agents
Anne Vignot rappelle que le pouvoir d’achat des agents et la lutte contre la précarisation ont toujours été une préoccupation durant ce mandat. Elle rappelle les décisions importantes qui ont été prises ces dernières années. « 300 agents supplémentaires ont basculé d’un CDD à un CDI, la moitié d’entre eux bénéficient désormais d’une grille indiciaire plus favorable et 2,8 millions d’euros ont été budgétisés pour l’amélioration de leur pouvoir d’achat. Soit une augmentation de 600 à 800 euros pour 2.400 agents ». Selon Mme Vignot, « de telles décisions n’avaient pas été prises depuis plusieurs décennies’.
Dans une triangulaire très serrée, le député centriste de l’ancienne Majorité présidentielle Laurent Croizier est parvenu à conserver son fauteuil à l’Assemblée nationale dans la 1ère circonscription du Doubs. Il s’impose avec 36,18% des suffrages. Le parlementaire se voit comme celui qui a « fait barrage à l’extrême droite et à l’extrême gauche ». M. Croizier voit en cette victoire, « la récompense d’un travail de terrain ». « Quand on travaille pour l’intérêt général, pour les habitants et leur quotidien, on arrive à des résultats » explique-t-il.
L'interview de la rédaction : Laurent Croizier
Et l’avenir ?
Laurent Croizier espère désormais « un rassemblement des modérés à l’Assemblée Nationale ». « Je me fiche de savoir si les uns sont de gauche ou les autres de droite. Ce qui m’intéresse, c’est de travailler pour les Français. Quand on est modéré et responsable, on est en capacité de travailler les uns avec les autres. Certes, avec des compromis, mais sans compromission » termine-t-il.
Avec 36,18% des suffrages, Laurent Croizier a été réélu dans la 1ère circonscription du Doubs. Thomas Lutz recueille 32,31% des voix. Séverine Véziès se classe en troisième position, avec 31,51% des suffrages.
Dans un communiqué de presse, Laurent Croizier, le député sortant de la 1ère circonscription du Doubs appelle « les modérés de gauche, de droite et du centre » à le rejoindre lors du 2è tour des législatives. Rappelons que le parlementaire s’est hissé en tête des suffrages dimanche, à l’issue du 1er tour. Il a obtenu 33,5% des suffrages. Soit 920 voix de plus que Sévérine Véziès du Nouveau Front Populaire et 1180 voix de plus que Thomas Lutz, son opposant du Rassemblement National.