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Le parcours de la Classic Grand Besançon a été dévoilé ce mardi. L’événement sportif aura lieu le 15 avril, avec un certain Thibaut Pinot en tête d'affiche. Pour cette 2ème édition, les coureurs s’affronteront sur un nouveau tracé de 180 km environ. Le départ se tiendra depuis le centre-ville bisontin, avec une arrivée programmée à Montfaucon, après deux ascensions de la terrible côte de la Malate et certains de ses passages à 17% d'inclinaison. L'édition 2022 du Tour du Jura se déroulera le lendemain entre Champagnole et Nozeroy, sur un tracé d'environ 160 km. Les deux courses seront diffusées en direct à la télé, en clair, sur la Chaine L'Equipe !

Une fois de plus, les coureurs de cette 2ème édition s'élanceront le 15 avril depuis l’Esplanade des Droits de l'Homme, toujours pour le départ fictif. Au bout de 180 km environ, ils atteindront la ligne d’arrivée tracée sur les hauteurs de la capitale comtoise au Belvédère de Montfaucon, le terminus de la côte de la Malate. Cette côte sera escaladée pour la toute première fois en course officielle Ã  l'occasion de la Classic Grand Besançon Doubs 2022, et ce à deux reprises. Le peloton aura également droit à deux autres nouvelles ascensions cette année : la côte d'Amagney et celle d'Abbans-Dessus. Le parcours devrait sillonner plus de la moitié des 68 communes du Grand Besançon.

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L'entretien polémique de Jean-Michel Blanquer au journal Le Parisien, pour annoncer un nouveau protocole sanitaire dans les écoles Ã  la veille de la rentrée scolaire, le 2 janvier dernier, a en fait été réalisé alors que le ministre de l'Éducation nationale était en vacances à Ibiza, aux Baléares, en Espagne, a-t-on appris ce lundi par le biais de Mediapart. Une révélation qui alimente encore plus la fracture et le sentiment de mépris que ressentent actuellement beaucoup de personnels dans l’Education Nationale.

 

En pleine cinquième vague du Covid-19, une certaine désorganisation planait encore la veille de la rentrée scolaire, et la mise en place du nouveau protocole sanitaire était tardive. Une situation qui passe mal, d’autant plus que des révélations de Mediapart, confirmées ensuite par le ministère, indiquent que Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Education Nationale, a dévoilé le protocole sanitaire à l'école début janvier depuis Ibiza, où il séjournait alors.

 

« Une fois de plus, on ressent ce sentiment de mépris. Mais on n’est malheureusement habitués. Le 31 décembre un nouveau protocole avait été publié, on s’était dit que le ministère avait pour une fois anticipé 2-3 jours avant une rentrée scolaire. Mais finalement ce n’était pas le cas, puisque des modifications sont arrivées le 2 janvier au soir, via un média payant en plus. Rien dans les boîtes mails des professionnels de l’éducation, mais à travers un média payant, pour connaître les modalités à mettre en Å“uvre dès le lendemain matin Â» déplore Karine Laurent, co-secrétaire départementale de SNUipp-FSU au niveau du Doubs.

 

De son côté, le cabinet du ministre a affirmé que « ce n'est pas parce qu'il n'était pas là qu'il n'était pas au travail, qu'il n'était pas connecté et loin de ce qu'il se passait ». Â« Le ministre travaille, ce n'est pas parce qu'il aurait été au bureau que cela aurait changé les choses Â», a-t-il déclaré. Â« L'équipe était là et lui était en permanence en lien avec nous en télétravail Â». Des propos qui malgré tout, sont loin d’apaiser et d’atténuer la colère que ressentent bon nombre de personnels de l’Education Nationale. « Donc nous on suit l’actualité parce qu’on a des élèves en charge, on a la responsabilité de nos classes, et on ne veut pas faire n’importe quoi, ni dire n’importe quoi aux parents. Mais ce n’était visiblement pas pour des questions d’actualité du terrain que les choses sont arrivées si tard. C’est parce que notre ministre n’était pas disponible, il était en vacances à Ibiza. Voilà la réalité. Ce ministre n’est plus du tout légitime à nos yeux Â», regrette Karine Laurent.

 

Dans cette nouvelle affaire désormais baptisée « l’IbizaGate Â», Jean-Michel Blanquer sera ce soir l’invité du JT de 20h sur TF1.

L’ESBF annonce qu’Aleksandra Rosiak ne continuera pas l’aventure ESBF l’année prochaine. En contrat jusqu’à la fin de cette saison, la joueuse avait une année en option qu’elle n’a pas souhaité activer. L’internationale Polonaise, arrière gauche, arrivée en juillet 2021 du club de MKS Lublin, ne fera plus partie du prochain effectif de Sébastien Mizoule. Le club souligne être fier d’avoir pu compter Aleksandra dans ses rangs cette saison, et lui souhaite le meilleur pour la suite de sa carrière professionnelle, même si elle porte aujourd’hui encore, et jusqu’à la fin de la saison, le maillot de l’ESBF, et continuera d’apporter le maximum sur et en dehors du terrain.

 

« Aujourd’hui on ne peut pas lutter avec des clubs qui jouent la Ligue des Champions et qui ont une capacité financière beaucoup plus importante que celle de l’ESBF. J’ai eu du nez à recruter cette joueuse en provenance de Lublin, j’avais vu en elle de vraies belles qualités de joueuse de handball. Je suis content pour elle qu’elle puisse évoluer dans un grand club sur la scène européenne au plus haut-niveau. J’espère qu’elle contribuera à atteindre nos objectifs, c’est-à-dire, de se requalifier pour la prochaine EHF European League et terminer dans les cinq premiers du championnat de France » Sébastien Mizoule, entraineur de l’ESBF

 

« Je suis heureuse d’avoir eu la chance de jouer dans le championnat français, à l’ESBF. Il s’agit sans aucun doute d’une équipe jeune et pleine d’avenir. D’ici à la fin de la saison, je ferai de mon mieux pour aider l’équipe à obtenir les meilleurs résultats. Je crois en cette équipe, et je sais que nous allons créer des surprises. » Aleksandra Rosiak

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Vendredi 14 janvier, l'Unité de Valorisation Énergétique de Besançon a fermé l'un de ses deux fours, servant à incinérer les poubelles grises d'une grande partie du Doubs. Il s’agissait d’un four datant de 1976. L'incinérateur du Sybert, ne fonctionne désormais qu’avec un seul four, une performance rendue possible grâce à la réduction des déchets, passées de 53.054 tonnes annuelles à 30.701 désormais.

 

Une installation cinquantenaire

L’UVE de Besançon permet d’incinérer les déchets collectés par le Sybert dans le Grand Besançon, mais c’est aussi là que sont brûlées les poubelles grises des communautés de commune du Val Marnaysien et Loue Lison. Ce sont donc les ordures ménagères de 163 communes et 225.000 habitants qui y sont, chaque année, valorisées. La construction de l’UVE a débuté en 1969 par la ville de Besançon. Sa mise en service date de 1971 avec deux fours d’incinération. Chacun disposait d’une capacité d’incinération de déchets de 2,1 tonnes par heure (t/h), et était équipé d’un système de récupération thermique. La chaleur créée permettait alors d’alimenter le réseau de chauffage urbain de Planoise. L’énergie récupérée sur la combustion des déchets représente environ 30% des besoins annuels du réseau du chauffage urbain placés sous la maîtrise d’ouvrage de la ville de Besançon, puis la Communauté urbaine de Grand Besançon Métropole.

 

Une politique de réduction des déchets

Au fil des années, la ville de Besançon et le Sybert, via ses adhérents, ont choisi de mettre en Å“uvre une politique de réduction de la production des déchets de leurs habitants. Ainsi, grâce aux actions de prévention, à la sensibilisation au tri des déchets, à la mise en place de la redevance incitative et à l’entrée en vigueur des extensions des consignes de tri dès 2016, le tonnage des ordures ménagères résiduelles a progressivement baissé. Il est ainsi passé de 53.054 tonnes en 2004 à 30.701 en 2020. C’est pourquoi en fin d’année 2016, suite à un diagnostic et à l’analyse de différentes solutions quant au devenir de l’UVE, les élus du Sybert ont pris la décision de fermer la ligne de 1976. D’importants travaux de restructuration seront alors menés afin de fiabiliser la ligne de 2002 et d’assurer son fonctionnement pour les années à venir.  

Vendredi, la police pontissalienne a interpellé un individu roulant à vive allure à Doubs. Placé en garde à vue, cet homme de 42 ans demeurant dans l’arrondissement présentait un taux de 2,38 grammes d’alcool par litre de sang. Son permis a été suspendu et son véhicule immobilisé. Il a reconnu les faits et sera convoqué le 14 avril 2022 au tribunal judiciaire de Besançon.

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Dimanche soir un homme de 26 ans a été interpellé par les forces de l’ordre sur l’arrondissement de Pontarlier. Il conduisait avec 0,80 gramme d’alcool par litre de sang. Son permis a été suspendu et des amis sont venus récupérer son véhicule. Il sera convoqué ultérieurement devant la justice.

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Aujourd’hui, un homme a été placé en garde à vue pour des faits du 7 janvier, dénoncés par son ex-conjointe. Celle-ci affirmait que son ex-mari n’était pas assez attentif à sa fille lorsqu’elle était en garde chez lui. L’enfant a confirmé, se plaignant de « moments d’incompréhension Â» avec son père, et indiquant ne plus vouloir y aller. Elle aurait reçu une gifle parce qu’elle n’aurait pas voulu ranger sa chambre. L’homme a été entendu, soulignant « des moments d’énervement Â». Un rappel à la loi a été prononcé pour les violences sans ITT, et un classement sans suite pour le reste de l’affaire, à cause du manque d’éléments.    

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Les sapeurs-pompiers du Jura sont intervenus aux alentours de 13h ce lundi sur le lotissement Joussote, au niveau de la commune de Chissey-sur-Loue. Les secours ont été engagés pour un accident de la circulation impliquant un véhicule qui aurait terminé dans un cours d’eau. La victime est sortie du véhicule avant l’arrivée des secours. Celle-ci a été transportée en urgence absolue sur un centre hospitalier.

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